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30 juillet–5 août LUC 14-16

4 participants

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130 juillet–5 août LUC 14-16 Empty 30 juillet–5 août LUC 14-16 Lun 30 Juil - 13:22

Josué

Josué
Administrateur

30 juillet–5 août

LUC 14-16

Alors que Jésus poursuit sa route vers Jérusalem, il est invité dans la maison d’un chef des Pharisiens. On l’épie, car c’est un jour de sabbat et il y a là un homme qui souffre d’hydropisie, ou rétention d’eau, dans les bras et les jambes probablement. S’adressant aux Pharisiens et aux légistes présents, Jésus demande: “Est-il permis ou non de faire une guérison pendant le sabbat?”
Tous gardent le silence. Jésus guérit donc l’homme et le renvoie, puis il pose cette question: “Lequel d’entre vous, si son fils ou son taureau tombe dans un puits, ne l’en tirera aussitôt, le jour du sabbat?” Cette fois encore, personne ne lui répond un mot. Luc 13:22 à 14:6; Jean 1:29.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Luc Chapitre 14
Lc 14.1 Les pharisiens: litt. eux.
Ps 37.32Lc 7.36Lc 11.37

Lc 14.2 Rempli d’œdème: ou atteint de rétention liquidienne, gr. hudropikos.

Josué

Josué
Administrateur

S’adressant aux Pharisiens et aux légistes présents, Jésus demande: “Est-il permis ou non de faire une guérison pendant le sabbat?”
Tous gardent le silence. Jésus guérit donc l’homme et le renvoie, puis il pose cette question: “Lequel d’entre vous, si son fils ou son taureau tombe dans un puits, ne l’en tirera aussitôt, le jour du sabbat?” Cette fois encore, personne ne lui répond un mot. Luc 13:22 à 14:6; Jean 1:29.

Josué

Josué
Administrateur

Qui inviterons-nous?
“Quand tu offres un déjeuner ou un repas du soir, a dit Jésus, n’appelle ni tes amis, ni tes frères, ni les gens de ta parenté, ni des voisins riches.” Pourquoi cela? “Il se pourrait qu’eux aussi t’invitent à leur tour un jour ou l’autre, et cela deviendrait ta rétribution.” (Luc 14:12). Jésus n’a pas voulu montrer par là que nous ne devons pas recevoir nos amis et notre famille. Lui-même a été heureux de partager un repas avec ses amis à certaines occasions, par exemple chez Marthe et Marie. Par contre, il a voulu faire remarquer que lorsque nous manifestons l’hospitalité, nous ne devrions pas être motivés par le désir d’obtenir quelque chose en retour.
Comme Jésus l’a précisé ensuite, lorsque nous envisageons de recevoir, nous devons d’abord penser à ceux qui en retireront le plus de bienfaits (Luc 14:13). Il peut s’agir de ceux qui ont besoin d’encouragement, des nouveaux dans la vérité, de ceux qui sont timides, qui ont tendance à être renfermés ou qui sont âgés. L’effet stimulant d’une telle compagnie ressort des propos d’Oï Yuk, une sœur âgée qui est très zélée malgré sa mauvaise santé: “Les frères ne m’oublient pas quand ils font leurs invitations et ils manifestent leur bienveillance envers moi de nombreuses façons. Je suis vraiment heureuse de faire partie d’une grande famille!”

chico.

chico.

*** w08 15/3 p. 32 § 1 Points marquants du livre de Luc ***
14:26 — En quel sens les disciples de Christ doivent-ils ‘ haïr ’ les membres de leur famille ? Dans la Bible, ‘ haïr ’ peut signifier aimer moins une personne ou une chose qu’une autre (Gen. 29:30, 31). Les chrétiens doivent ‘ haïr ’ les membres de leur famille en ce sens qu’ils doivent les aimer moins que Jésus. — Mat. 10:37.

Josué

Josué
Administrateur

JÉSUS CHRIST a offert à ses disciples l’espérance de la vie éternelle, mais il les a aussi encouragés à évaluer ce qu’il en coûte d’être chrétien. Illustrant cette idée, il a demandé : “ Lequel d’entre vous qui veut bâtir une tour ne s’assoit d’abord pour calculer la dépense [ou évaluer ce qu’il en coûte] et voir s’il a de quoi la terminer ? ” (Luc 14:28). À quel coût Jésus faisait-il allusion ?
Tous les chrétiens rencontrent des épreuves — certains de sérieuses (Psaume 34:19 ; Matthieu 10:36). Par conséquent, nous devons nous préparer mentalement et spirituellement, pour ne pas être surpris le jour où nous rencontrerons de l’opposition ou d’autres problèmes. Nous avons déjà dû compter ces difficultés dans le prix à payer pour être un disciple de Christ, sachant que la récompense — la libération du péché et de la mort — a bien plus de valeur que tout ce que le système actuel peut nous offrir. Rien de ce que Dieu permet, pas même la mort, ne peut nous nuire indéfiniment si nous continuons de le servir. — 2 Corinthiens 4:16-18 ; Philippiens 3:8.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Aux pharisiens et spécialistes de la loi à indignés,Jésus raconte trois paraboles par lesquelles il explique son attitude envers les collecteurs d'impôts et autres pêcheurs notoires.(15:1-2).

samuel

samuel
Administrateur

Quel homme d'entre vous, ayant cent brebis, et en ayant perdu une seule, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf au désert, et ne va après celle qui est perdue, jusqu'à ce qu'il l'ait trouvée ?
Jésus en appelle aux propres sentiments de ses auditeurs : Quel est l'homme d'entre vous ? Puis il recourt à cette image du bon berger, (Jean 10) sous laquelle de tout temps l'Eglise s'est représenté son Sauveur et son Chef.
La brebis est incapable, dés qu'elle est égarée, de revenir au bercail ou de se défendre en présence du moindre danger, ou de supporter aucune fatigue. Pour qu'elle ne soit pas irrévocablement perdue, il faut que le berger la cherche, la porte, lui prodigue tous ses soins. Parfaite image de l'homme pécheur, éloigné de Dieu.

samuel

samuel
Administrateur

derniers mots, qui indiquent si bien la plénitude de la grâce dont Dieu peut combler un pauvre pécheur, Paul se hâte de donner à Celui qui le fortifie (le texte reçu dit "Celui qui me fortifie, Christ," mais ce mot n'est pas authentique, quoique certainement dans la pensée de l'apôtre) toute la gloire de cette difficile science du contentement d'esprit, même au sein des privations. (versets 11,12)

samuel

samuel
Administrateur

Chapitre 16.
1 à 13 La parabole de l'économe infidèle.
Ses disciples : ce terme ne désigne point les apôtres seuls, ni exclusivement les adhérents dont Jésus était suivi dans ce voyage à Jérusalem, mais bien les divers auditeurs qui ont entendu les paraboles du chapitre précédent.
C'est ce que prouve déjà cette tournure si familière à Marc et à Luc : or il disait aussi, qui indique toujours une idée nouvelle, un enseignement nouveau, venant s'ajouter, dans le même discours, à ce qui a précédé. Jésus est donc encore entouré de ses disciples ordinaires, des pharisiens dont il a confondu les murmures (verset 14 ; comparez Luc 15.2), et des péagers qui s'approchaient de lui pour l'entendre. (Luc 15.1)
C'est à tout cet auditoire que Jésus adresse deux paraboles sur l'emploi des biens de la terre. Cet enseignement était nécessaire, soit aux pharisiens, qui, à l'orgueil, joignaient l'avarice ; (verset 14) soit aux péagers dont plusieurs possédaient des richesses acquises d'une manière plus ou moins injuste ; il présentait à tous l'esprit de la vie nouvelle, qui résulte de la réconciliation avec Dieu, dans son opposition avec une des principales tendances du pharisaïsme : (verset 14) l'amour de l'argent. Les versets 14-18, qui se trouvent entre les deux paraboles, ne sont qu'une sorte d'introduction à la seconde. (verset 19 et suivants)
- La parabole de l'économe infidèle qui va nous occuper d'abord, est, sans contredit, la plus difficile que Jésus ait prononcée. L'application qu'en fait le Sauveur (versets 9-13) présente elle-même des pensées dont le sens n'est pas évident. Aussi, si l'on en excepte l'Apocalypse, est-il peu de parties de l'Ecriture sur lesquelles les commentateurs aient émis des interprétations plus diverses. Nous nous bornerons à indiquer celles qui peuvent avoir quelque valeur, et à exposer ce qui nous paraît être la pensée de la parabole.
Dans le sens littéral, le récit qui s'ouvre par ces mots est simple et clair. (Voir l'analyse.) Mais il en est autrement, dès qu'on cherche sa signification religieuse et morale.

samuel

samuel
Administrateur

aisé que le ciel et la terre passent, qu'il ne l'est qu'un seul trait de lettre de la loi tombe.
 Sur quoi se fondait Jésus pour prononcer un jugement si sévère contre les pharisiens ?

Sur la loi et les prophètes, dont ils prétendaient être les zélés observateurs et défenseurs, tandis qu'ils accusaient Jésus de les rabaisser en annonçant (gr, évangélisant) le royaume de Dieu.
Mais non ; la prédication de l'Evangile, l'ouverture d'une ère nouvelle, et le zèle violent avec lequel chacun se précipite dans ce royaume (d'autres traduisent, en prenant le verbe au passif : "chacun est vivement pressé d'y entrer," mais comparez Matthieu 11.12, note) ne diminuent en rien les saintes exigences de la loi, dont il n'est pas possible qu'un seul trait de lettre soit aboli. (Matthieu 5.18, note.)

Josué

Josué
Administrateur

*** w89 1/4 p. 24 L’homme riche et Lazare voient leur condition changer ***
L’ILLUSTRATION que relate Jésus met en scène un homme riche et un pauvre mendiant appelé Lazare. L’homme riche représente les chefs religieux qui jouissent d’avantages et de privilèges sur le plan spirituel. Quant à Lazare, il figure le peuple affamé de nourriture spirituelle. Dans la suite de son récit, Jésus décrit un changement spectaculaire dans la condition des deux hommes.
“Or, par la suite, dit Jésus, le mendiant mourut et il fut emporté par les anges auprès d’Abraham, à la place du sein. Le riche aussi mourut et fut enterré. Et dans l’Hadès il leva les yeux, car il était dans les tourments, et il vit Abraham de loin et Lazare auprès de lui, à la place du sein.”
L’homme riche et Lazare n’étant pas des personnes réelles mais symbolisant des classes d’individus, il s’ensuit logiquement que leur mort est, elle aussi, symbolique. Que figure-t-elle?
Jésus vient juste de mettre en relief un changement de situation, disant que ‘jusqu’à Jean le Baptiste ce furent la Loi et les Prophètes, mais que depuis lors le royaume de Dieu est annoncé’. C’est donc la prédication de Jean et de Jésus qui entraîne la mort de l’homme riche et de Lazare quant à leur condition passée.
Les humains humbles et repentants qui constituent la classe de Lazare meurent quant aux privations dont ils souffraient jusque-là sur le plan spirituel et se voient accorder une place nouvelle: la faveur de Dieu. Alors qu’ils se tournaient précédemment vers les chefs religieux pour ramasser le peu qui tombait de leur table spirituelle, les vérités bibliques exposées par Jésus comblent maintenant leurs besoins. Ils sont ainsi emportés auprès de Dieu, le Grand Abraham, à la place dite du sein, ou position de faveur.

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