Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le Deal du moment : -55%
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer ...
Voir le deal
49.99 €

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Pour éduquer leurs enfants sur la sécurité en ligne, les parents doivent avant tout montrer l’exemple

2 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

Josué

Josué
Administrateur


Pour éduquer leurs enfants sur la sécurité en ligne, les parents doivent avant tout montrer l’exemple

Un enfant doit comprendre que la protection de sa vie privée sur Internet est un droit, et qu’il n’est pas obligé d’accepter tout ce qu’on lui demande.



  • Ale Brown
    Fondatrice et principale consultante du cabinet Kirke Management Consulting




Pour éduquer leurs enfants sur la sécurité en ligne, les parents doivent avant tout montrer l’exemple Http%3A%2F%2Fo.aolcdn
[size=7]SASIISTOCK VIA GETTY IMAGES

Pour éduquer leurs enfants sur la sécurité en ligne, les parents doivent avant tout montrer l’exemple.



L'école a beau être finie, les parents ont encore un sujet à étudier avec leurs enfants pendant l'été: la protection de leur vie privée en ligne. Cet enjeu clé est depuis plusieurs mois au centre d'un intense débat international. Facebook et Google, visés par 19 plaintes transfrontalières déposées suite à l'entrée en vigueur du RGPD, risquent d'ores et déjà de faire l'objet d'une enquête de l'Union européenne.
Au Canada, le Commissariat à la protection de la vie privée offre ses conseils pour assurer la sécurité de vos enfants. Ces régulations sont très claires sur ce que les organisations ont et n'ont pas le droit de faire en ce qui concerne leur traitement des mineurs. Aux États-Unis et en Union européenne, la loi COPPA et le RGPD permettent tous deux de mieux préserver les plus jeunes des dangers d'Internet.
La législation ne suffira pas à la protection de nos enfants
C'est plutôt aux parents de prendre en main la question de leur vie privée.
Depuis l'entrée en vigueur du Règlement général sur la protection des données (ou RGPD) au sein de l'Union européenne, je constate un changement de mentalité autour de ces enjeux. Les particuliers sont aujourd'hui prêts à agir pour reprendre le contrôle sur l'usage de leurs données. Autre signe prometteur, les autorités aussi prennent conscience des conséquences néfastes du partage généralisé, comme de la nécessité de règles pour faire respecter la vie privée de chacun (et tout particulièrement des enfants).
[/size]
Beaucoup d'enfants ne savent pas réellement ce qu'ils font en communiquant des informations personnelles sur un site ou une application.

Face à la présence grandissante d'Internet dans la vie des plus jeunes, les réseaux sociaux représentent pour les parents une question épineuse. Malheureusement, beaucoup d'enfants ne savent pas réellement ce qu'ils font en communiquant des informations personnelles sur un site ou une application. Au lendemain de la Journée mondiale des médias sociaux organisée le 30 juin dernier, prenons le temps de saluer l'impact positif de ces canaux sur la communication au niveau international — et d'éduquer les parents sur les bonnes pratiques à adopter sur le Web et la manière de les faire comprendre à la nouvelle génération.

Les conséquences d'un partage excessif
Tous les jeunes ont tendance à faire des blagues douteuses ou à divulguer des choses très personnelles à leurs amis. Avant l'essor du Net, tout cela ne portait guère à conséquence... Mais aujourd'hui, chacun de nous possède une empreinte numérique susceptible de revenir le hanter. Beaucoup de mineurs ont une conduite irresponsable en ligne, ce qui risque de leur nuire sérieusement au moment de s'inscrire au lycée — ou même à l'université.
D'après un sondage mené en 2017 par l'entreprise Kaplan, spécialiste du secteur de l'éducation, 29% des responsables des admissions de ce type d'écoles s'intéressent à la présence en ligne des futurs étudiants. L'année dernière, Harvard a annulé l'acceptation d'une douzaine de jeunes suite à la découverte de mèmes au contenu choquant sur leurs pages Facebook.
Au-delà même du choix de son établissement, les conséquences d'un mauvais comportement sur Internet peuvent aussi impacter les chances de votre enfant d'obtenir son diplôme. En 2015, des étudiants en dentaire de l'université de Dalhousie ont fait l'objet d'un scandale suite à la découverte d'un "club de gentlemen" secret où ils postaient commentaires homophobes et remarques misogynes à l'encontre de leurs camarades de sexe féminin.
Les jeunes incriminés sont passés à deux doigts de l'expulsion, et bien que l'affaire se soit finalement soldée par une procédure de justice réparatrice, elle les suivra tout au long de leur vie. On apprend également que plusieurs d'entre eux ont ensuite reçu divers refus: opportunités d'emploi, candidatures à des bourses, admission en troisième cycle de leurs études universitaires...

Nous devons collectivement sortir d'une culture du secret où chacun ne se préoccupe que de "ne pas se faire attraper", pour développer une vraie capacité à faire les bons choix sur ce que nous partageons sur Internet.

Voilà pourquoi tout parent doit aborder régulièrement le sujet de la vie privée. Nous devons collectivement sortir d'une culture du secret où chacun ne se préoccupe que de "ne pas se faire attraper", pour développer une vraie capacité à faire les bons choix sur ce que nous partageons sur Internet. Ce qui tenait autrefois de la sphère personnelle peut aujourd'hui rejaillir sur la scène publique, détruisant ou nuisant gravement à une réputation précédemment excellente et à de grands espoirs professionnels.
Les plus sinistres conséquences d'un partage peu judicieux touchent sans doute à son impact sur la santé mentale des enfants. Il n'est pas exclu qu'il existe une corrélation entre la hausse du taux de suicide chez les adolescents et la généralisation des médias sociaux. Entre la menace toujours bien présente du cyberharcèlement et la montée des applications permettant de cacher des photos intimes, les risques sont de plus en plus multiformes.
Il est aussi important de vous soucier de montrer l'exemple en évitant de divulguer trop de choses sur votre famille, générant une influence négative. Un enfant doit comprendre que la protection de sa vie privée sur Internet est un droit, et qu'il n'est pas obligé d'accepter tout ce qu'on lui demande.
La vie privée en ligne est un vrai enjeu pour chaque individu. Elle est indispensable pour éviter toute usurpation de notre identité. Depuis toujours, les parents veulent savoir avec qui leurs enfants sortent et chez qui ils se rendent. Ne l'oublions pas, leur sécurité sur le Web est tout aussi importante que dans le monde physique.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Il bien dit que les parents doivent avant tout donner l'exemple.

Josué

Josué
Administrateur

[size=40]Smartphones, tablettes : comment protéger la vue des enfants face aux écrans ?[/size]

Faire une pause pendant le visionnage d'un film ou réduire l'accès aux smartphones et autres tablettes le soir permettent de protéger la vue des enfants


Par Fabien Cassar
Pour éduquer leurs enfants sur la sécurité en ligne, les parents doivent avant tout montrer l’exemple Istock_75121907.15068144127.w768Les experts recommandent de limiter l'exposition des jeunes populations à la lumière bleue émise par les téléphones portables, les tablettes tactiles ou les jouets connectés.[size=11]GORDANA JOVANOVIC/ISTOCK.COM[/size]



Plus personne n'ignore les méfaits de l'exposition aux écrans sur la santé oculaire et la forme en général, surtout chez les enfants et les adolescents. Trop de temps passé sur les écrans peut entraîner un risque accru d'obésité, de sécheresse oculaire, de migraines, de fatigue visuelle, d'une moindre qualité de sommeil et une recrudescence de myopie. Voici quelques conseils de professionnels pour limiter le temps d'exposition des plus jeunes aux smartphones et autres tablettes.
Les ophtalmologues recommandent une pause de 20 secondes toutes les 20 minutes lorsqu'on lit un livre (sur tablette ou non), car la lecture prolongée peut entraîner une fatigue oculaire. Le professeur K. David Epley, de l'Académie américaine d'ophtalmologie, conseille aux parents d'utiliser une minuterie de cuisine ou celle d'un smartphone pour rappeler aux enfants qu'une pause est nécessaire, qu'il faut par exemple regarder par la fenêtre tous les deux chapitres ou après avoir fini un niveau ou une mission d'un jeu vidéo.
Il est important que les enfants et les adolescents ne passent pas plus d'une heure ou deux devant les écrans chaque jour, a noté le professeur Tracie A. Barnett, chercheur à l'INRS-Institut Armand Frappier de Montréal, dans une étude récemment publiée dans la revue Circulation. Le professeur Barnett ajoute que de nombreux enfants dépassent largement ces recommandations et conseille aux parents d'être vigilants sur ce point au quotidien.

Donnez l'exemple


Tracie A. Barnett explique aussi que les parents peuvent aider leurs enfants à réduire leur temps d'exposition aux écrans en leur montrant l'exemple et en établissant des règles claires pour chacun à la maison. L'ophtalmologue David Epley est sur la même longueur d'ondes : "Je préfère donner de meilleures habitudes aux enfants plutôt que d'avoir à leur fournir une béquille comme des lunettes de confort qui leur permettront de passer encore plus de temps sur les écrans. Idéalement, les écrans devraient être bannis des chambres, surtout parce que certaines études ont montré que le fait d'avoir de tels appareils dans la chambre pouvait affecter le sommeil. Mettez l'accent sur les interactions directes et le temps passé en extérieur", ajoute le professeur Barnett.
Dans une étude récente parue dans la revue Ophthalmology, le professeur Epley avait trouvé que le temps passé à l'extérieur, surtout chez les plus jeunes, pouvait ralentir la progression de la myopie. D'autres études précédentes étaient déjà arrivées à cette conclusion. Des recherches relayées la semaine dernière par l'Université de Tolède ont montré que la lumière bleue émise par les écrans pouvait contribuer à certaines maladies oculaires et à la cécité en déclenchant un processus dans la rétine qui détruit les cellules. C'est pourquoi le directeur de cette étude, le Dr. Ajith Karunarathne, recommande d'éviter l'utilisation des écrans dans l'obscurité car elle peut augmenter les troubles de la vue.

Josué

Josué
Administrateur

Agrégé de philosophie, Martin Steffens, 41 ans, marié et père de quatre enfants, vient de publier "L’amour vrai, au seuil de l’autre" (Salvator), un essai sur l’amour, et en négatif, sur la pornographie. En disséquant ces deux notions, en les opposant, parfois même en les comparant, l’auteur démêle le vrai du faux, non pas dans une démarche morale, mais plutôt de recherche de la vérité. Il définit l’amour comme la vocation de tout homme au don de soi. Entretien.

Aleteia : Vous dites dans votre livre que la pornographie contient une part de vérité. Vous prenez l’exemple de la tapette à souris qui contient une « vraie » part de fromage pour attirer le rongeur. Quelle est cette part de vérité ?
Martin Steffens : Comme la tapette à souris, la pornographie utilise quelque chose de vrai, de beau, de fort pour nous attirer. Cette part de vérité, c’est le désir que Dieu a mis dans nos cœurs, c’est l’amour fou auquel tout homme est appelé. La pornographie nous attire et nous attrape par cette caricature de l’amour que le désir croit reconnaître. La pornographie ne marche que parce qu’elle profane quelque chose de sacré. Elle singe l’amour, en mimant le désir humain de se donner sans réserve. Si elle ne faisait pas écho à un désir inscrit au plus profond du cœur de l’homme, regarder un homme et une femme s’accoupler aurait le même effet qu’un documentaire animalier ! Or ce n’est pas le cas, il y a une attirance, une sidération, des effets destructeurs, parce qu’elle est l’image fausse d’un désir vrai : le désir de vivre avec son corps un don total.

Vous soulignez la nécessité de protéger un enfant de la pornographie. En même temps, vous écrivez très justement : « Quand un enfant pressent qu’on veut le protéger du mal, il commence à pressentir que ce mal existe. » Donc son innocence s’est déjà envolée. Alors comment le protéger ? Nous n’avons guère plus que la parole pour le protéger. Ce mal existe. Enfermer ses enfants sous une cloche de verre n’est pas une solution. Ce serait une manière de dire que le mal est partout, et de gâter ainsi leur innocence. Par la parole, par les mots, il faut faire une relecture du monde et de ce qui s’y vit de dur.
Pour éduquer leurs enfants sur la sécurité en ligne, les parents doivent avant tout montrer l’exemple Web3-sad-and-tired-young-man-with-tablet-computer-sitting-on-the-bed-shutterstock_160315688 
Lire aussi :
Les dégâts de la pornographie sur les enfants

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum