Samedi 2 décembre
Je suis [venu] [...] pour faire, non pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé (Jean 6:38).
Imagine qu’un ami t’offre une voiture. Il te tend les papiers en disant : « Je vais garder les clés. Et c’est moi qui la conduirai, pas toi. » Que penserais-tu ? Réfléchis à présent à ce que Jéhovah est en droit d’attendre d’une personne qui lui voue sa vie, qui lui dit : « Je te donne ma vie. Je t’appartiens. » Et si cette personne commençait à mener une double vie, peut-être en sortant secrètement avec un non-Témoin ? Ou si elle acceptait un travail qui l’empêcherait de participer pleinement à la prédication ou d’assister régulièrement aux réunions de la congrégation ? Cela ne reviendrait-il pas à garder les clés de la voiture ? Quelqu’un qui se voue à Jéhovah lui dit en résumé : « Ma vie appartient plus à toi qu’à moi. S’il arrive qu’il y ait conflit entre ce que tu veux et ce que je voudrais, c’est ce que tu veux qui l’emportera, à chaque fois. » Cet état d’esprit reflète la pensée de Jésus, exprimée dans le texte de ce jour. w16.03 1:16, 17.