Autant apprivoiser une hyène que de déradicaliser un jeune musulman
04/10/2016 Salem Ben Ammar 2 commentaires
Comme un musulman qui croit dur comme fer que la ka’aba est le centre du monde, les socialistes sont convaincus qu’en dépensant à fonds perdus l’argent du contribuable, ils vont pouvoir redonner des vertus humaines à des individus élevés dans la haine de la France, avant que ces petits voyous des cités deviennent des bombes humaines.
Le mal est irréversible et aucune thérapie n’est envisageable dans le cas de ces jeunes métastasés par un endoctrinement religieux nihiliste et une éducation à contre-courant de l’éducation républicaine.
La France n’a pas à s’auto-flageller pour avoir failli dans sa politique d’intégration des musulmans. Si fiasco il y a, il est de leur fait. Il n’a jamais été question pour eux de se faire une place en son sein : ils veulent avoir toute la place pour eux. Sans les lois républicaines ils n’auraient jamais acquis la citoyenneté française ni joui de la dignité humaine qui est la leur, et ils veulent leur substituer la loi de l’islam.
Ils n’ont que faire de la préservation des valeurs républicaines, ils n’ont qu’un but : les détruire pour prospérer sur leur ruine comme naguère les hordes arabisées en Afrique du Nord.
Plutôt que de retenir les leçons de l’histoire et d’étouffer dans l’œuf ses velléités conquérantes et hégémoniques, le régime socialiste continue à traiter l’islam comme une croyance inoffensive, ne sachant pas ou feignant de ne pas le savoir que c’est une idéologie totalitaire qui instrumentalise le sacré à des fins politiques.
Mais de cela les socialistes n’en ont cure. Ils ne vont pas compromettre leur avenir électoral en se privant des voix des musulmans pour avait dit la vérité sur la nature politique de l’islam. Les morts et les blessés des attentats terroristes sont une péripétie parmi tant d’autres on les commémore comme s’ils étaient des héros tombés sur les champs d’honneur sans jamais désigner le vrai ennemi laissant même croire que celui qui est censé l’être est en réalité la vraie victime des forces occultes, des imposteurs qui s’affublent de son masque pour brouiller les cartes.
C’est moins une guerre de civilisations qu’une capitulation face à un envahisseur porteur d’un système de valeurs antinomiques avec les siennes.
La France doit plus que jamais prendre la mesure du péril musulman, et non se faire sa thérapeute. Quoi que fasse la République, elle est aux yeux des musulmans l’ennemie à abattre et plus elle est dans la compromission plus ils sentent que l’heure de la victoire approche. Elle fait fausse route en s’imaginant pouvoir lutter avec succès contre la radicalisation des jeunes musulmans « radicalisés » qui ne sont pourtant pas plus radicalisés que le fondateur de l’islam lui-même : un nazi dans l’âme, plus jusqu’au boutiste qu’Adolphe Hitler.
.Ces jeunes ne dévoient pas l’islam et ne sont coupables d’aucune dérive sectaire, contrairement aux allégations mensongères de Donia Bouzar. Ils sont dans la logique textuelle des préceptes coraniques et de la Sunna mahométane.
Avant leur pseudo « radicalisation » ils étaient peu instruits de l’islam, jusqu’au jour où ils ont fini par connaître les vraies obligations qui pèsent sur les bons musulmans, pour passer du stade de ceux qui étaient dans le chemin de l’ignorance au stade de ceux qui sont enfin dans la voie de l’islam. Une voie de sang et de mort.
C’est en s’imprégnant de l’enseignement de leurs textes « sacrés » qui leur recommandent le combat permanent, le djihad, jusqu’à la victoire finale de l’islam : « Combats donc dans le sentier d’Allah, tu n’es responsable que de toi-même, et incite les croyants (au combat) Allah arrêtera certes la violence des mécréants. Allah est plus redoutable en force et plus sévère en punition (4.89). »
En intégrant leur enclos musulman qui n’est ouvert qu’aux seuls musulmans dans le sentier d’Allah, qui fait du combat contre les infidèles leur raison d’être et de vivre, ils sont convaincus qu’ils vont pouvoir mériter la récompense promise par Allah pour ceux qui tronquent leur vie sur terre afin que « la religion soit entièrement à Allah »(8, 39)
L’islam est lui-même extrémiste par nature, tranchant et décapitant. Intransigeant et inflexible avec ceux qu’il désigne par infidèles, totalitaire, hégémonique et cosmique, se considérant comme la seule religion valable qui doit régner sans partage sur la terre. Souffrant d’une véritable hypertrophie de l’ego, l’islam n’a que haine et rancœur pour tout ce qui ne se plie pas à sa loi : « Entre nous et vous [ les infidèles] Aucun compromis ni concession » . Comment peut-on apaiser un musulman qui s’enracine dans sa foi nihiliste alors qu’il n’est pas plus radicalisé que Mahomet lui-même ? Alors qu’il faudrait plutôt le désintoxiquer des effets néfastes de l’islam.
Pourquoi un jeune qui n’était pas familier des préceptes de l’islam se mue en monstre quand il se plonge dans la lecture du Coran ? Le même jeune aurait lu le Capital ou la Bible ne serait pas devenu terroriste.
La vraie cause est le Coran et par conséquent l’islam. Pour les immuniser contre ce fléau neuropsychologique il faut les éloigner de l’islam. On ne lutte pas contre les effets de la drogue en ménageant les dealers et en la laissant la proliférer. Ce n’est pas avec une méthode placebo que l’on peut endiguer le péril musulman.
Pendant que l’on déradicalise un jeune à grands frais pour un résultat nul, 100 autres jeunes sont déjà prêts à passer à l’acte.
L’islam est la plus grosse manufacture de terroristes au monde. Plus les musulmans découvrent l’islam, plus ils versent dans l’ultra-violence car ils ont compris qu’on ne transige pas avec l’enseignement coranique si l’on est un vrai musulman.
Un musulman ne se radicalise pas, il met sa pendule musulmane à l’heure après avoir appris comment la faire fonctionner. Ces jeunes ne dérivent pas, ils sont dans la logique de leurs dogmes. Une idéologie belliciste et très agressive ne peut engendrer des amis de l’abbé Pierre.
04/10/2016 Salem Ben Ammar 2 commentaires
Comme un musulman qui croit dur comme fer que la ka’aba est le centre du monde, les socialistes sont convaincus qu’en dépensant à fonds perdus l’argent du contribuable, ils vont pouvoir redonner des vertus humaines à des individus élevés dans la haine de la France, avant que ces petits voyous des cités deviennent des bombes humaines.
Le mal est irréversible et aucune thérapie n’est envisageable dans le cas de ces jeunes métastasés par un endoctrinement religieux nihiliste et une éducation à contre-courant de l’éducation républicaine.
La France n’a pas à s’auto-flageller pour avoir failli dans sa politique d’intégration des musulmans. Si fiasco il y a, il est de leur fait. Il n’a jamais été question pour eux de se faire une place en son sein : ils veulent avoir toute la place pour eux. Sans les lois républicaines ils n’auraient jamais acquis la citoyenneté française ni joui de la dignité humaine qui est la leur, et ils veulent leur substituer la loi de l’islam.
Ils n’ont que faire de la préservation des valeurs républicaines, ils n’ont qu’un but : les détruire pour prospérer sur leur ruine comme naguère les hordes arabisées en Afrique du Nord.
Plutôt que de retenir les leçons de l’histoire et d’étouffer dans l’œuf ses velléités conquérantes et hégémoniques, le régime socialiste continue à traiter l’islam comme une croyance inoffensive, ne sachant pas ou feignant de ne pas le savoir que c’est une idéologie totalitaire qui instrumentalise le sacré à des fins politiques.
Mais de cela les socialistes n’en ont cure. Ils ne vont pas compromettre leur avenir électoral en se privant des voix des musulmans pour avait dit la vérité sur la nature politique de l’islam. Les morts et les blessés des attentats terroristes sont une péripétie parmi tant d’autres on les commémore comme s’ils étaient des héros tombés sur les champs d’honneur sans jamais désigner le vrai ennemi laissant même croire que celui qui est censé l’être est en réalité la vraie victime des forces occultes, des imposteurs qui s’affublent de son masque pour brouiller les cartes.
C’est moins une guerre de civilisations qu’une capitulation face à un envahisseur porteur d’un système de valeurs antinomiques avec les siennes.
La France doit plus que jamais prendre la mesure du péril musulman, et non se faire sa thérapeute. Quoi que fasse la République, elle est aux yeux des musulmans l’ennemie à abattre et plus elle est dans la compromission plus ils sentent que l’heure de la victoire approche. Elle fait fausse route en s’imaginant pouvoir lutter avec succès contre la radicalisation des jeunes musulmans « radicalisés » qui ne sont pourtant pas plus radicalisés que le fondateur de l’islam lui-même : un nazi dans l’âme, plus jusqu’au boutiste qu’Adolphe Hitler.
.Ces jeunes ne dévoient pas l’islam et ne sont coupables d’aucune dérive sectaire, contrairement aux allégations mensongères de Donia Bouzar. Ils sont dans la logique textuelle des préceptes coraniques et de la Sunna mahométane.
Avant leur pseudo « radicalisation » ils étaient peu instruits de l’islam, jusqu’au jour où ils ont fini par connaître les vraies obligations qui pèsent sur les bons musulmans, pour passer du stade de ceux qui étaient dans le chemin de l’ignorance au stade de ceux qui sont enfin dans la voie de l’islam. Une voie de sang et de mort.
C’est en s’imprégnant de l’enseignement de leurs textes « sacrés » qui leur recommandent le combat permanent, le djihad, jusqu’à la victoire finale de l’islam : « Combats donc dans le sentier d’Allah, tu n’es responsable que de toi-même, et incite les croyants (au combat) Allah arrêtera certes la violence des mécréants. Allah est plus redoutable en force et plus sévère en punition (4.89). »
En intégrant leur enclos musulman qui n’est ouvert qu’aux seuls musulmans dans le sentier d’Allah, qui fait du combat contre les infidèles leur raison d’être et de vivre, ils sont convaincus qu’ils vont pouvoir mériter la récompense promise par Allah pour ceux qui tronquent leur vie sur terre afin que « la religion soit entièrement à Allah »(8, 39)
L’islam est lui-même extrémiste par nature, tranchant et décapitant. Intransigeant et inflexible avec ceux qu’il désigne par infidèles, totalitaire, hégémonique et cosmique, se considérant comme la seule religion valable qui doit régner sans partage sur la terre. Souffrant d’une véritable hypertrophie de l’ego, l’islam n’a que haine et rancœur pour tout ce qui ne se plie pas à sa loi : « Entre nous et vous [ les infidèles] Aucun compromis ni concession » . Comment peut-on apaiser un musulman qui s’enracine dans sa foi nihiliste alors qu’il n’est pas plus radicalisé que Mahomet lui-même ? Alors qu’il faudrait plutôt le désintoxiquer des effets néfastes de l’islam.
Pourquoi un jeune qui n’était pas familier des préceptes de l’islam se mue en monstre quand il se plonge dans la lecture du Coran ? Le même jeune aurait lu le Capital ou la Bible ne serait pas devenu terroriste.
La vraie cause est le Coran et par conséquent l’islam. Pour les immuniser contre ce fléau neuropsychologique il faut les éloigner de l’islam. On ne lutte pas contre les effets de la drogue en ménageant les dealers et en la laissant la proliférer. Ce n’est pas avec une méthode placebo que l’on peut endiguer le péril musulman.
Pendant que l’on déradicalise un jeune à grands frais pour un résultat nul, 100 autres jeunes sont déjà prêts à passer à l’acte.
L’islam est la plus grosse manufacture de terroristes au monde. Plus les musulmans découvrent l’islam, plus ils versent dans l’ultra-violence car ils ont compris qu’on ne transige pas avec l’enseignement coranique si l’on est un vrai musulman.
Un musulman ne se radicalise pas, il met sa pendule musulmane à l’heure après avoir appris comment la faire fonctionner. Ces jeunes ne dérivent pas, ils sont dans la logique de leurs dogmes. Une idéologie belliciste et très agressive ne peut engendrer des amis de l’abbé Pierre.