Traduction de Fabre d'Olivet.
Une traduction, peu connue des dix premiers chapitres de la Genèse, est due à Antoine Fabre, dit Fabre d’Olivet, écrivain et érudit français, né à Ganges dans l’Hérault en 1768 et mort à Paris en 1825. Issu d’une famille protestante, il fut élevé dans la religion réformée. Destiné au commerce il y renonça bientôt pour s'adonner aux études les plus diverses, ainsi qu’aux conceptions scientifiques et mystiques de son époque. Il est actuellement reconnu comme ayant fait partie des plus grands théosophes (dans le strict sens du terme) d'Occident. Parmi toutes ses œuvres on retiendra plus particulièrement : La Langue Hébraïque Restituée et le véritable sens des mots hébreux rétabli et prouvé par leur analyse radicale (1816) et son Histoire philosophique du genre humain (1822).
C’est dans son ouvrage intitulé : La Langue Hébraïque Restituée, qu’il traduit (après les avoir analysé) les dix premiers chapitres du Livre du Commencement, cette traduction étant assez différente des versions traditionnelles. Malheureusement, il ne voit dans ces écrits qu’une œuvre symbolique et ainsi, au lieu d'en simplifier le sens et la compréhension, il le rend plus difficile et finalement son travail s’est avéré sans grand intérêt pour l’exégèse biblique.
Une traduction, peu connue des dix premiers chapitres de la Genèse, est due à Antoine Fabre, dit Fabre d’Olivet, écrivain et érudit français, né à Ganges dans l’Hérault en 1768 et mort à Paris en 1825. Issu d’une famille protestante, il fut élevé dans la religion réformée. Destiné au commerce il y renonça bientôt pour s'adonner aux études les plus diverses, ainsi qu’aux conceptions scientifiques et mystiques de son époque. Il est actuellement reconnu comme ayant fait partie des plus grands théosophes (dans le strict sens du terme) d'Occident. Parmi toutes ses œuvres on retiendra plus particulièrement : La Langue Hébraïque Restituée et le véritable sens des mots hébreux rétabli et prouvé par leur analyse radicale (1816) et son Histoire philosophique du genre humain (1822).
C’est dans son ouvrage intitulé : La Langue Hébraïque Restituée, qu’il traduit (après les avoir analysé) les dix premiers chapitres du Livre du Commencement, cette traduction étant assez différente des versions traditionnelles. Malheureusement, il ne voit dans ces écrits qu’une œuvre symbolique et ainsi, au lieu d'en simplifier le sens et la compréhension, il le rend plus difficile et finalement son travail s’est avéré sans grand intérêt pour l’exégèse biblique.