On ne naît pas père, on le devient.

On ne naît pas père, on le devient
AMANDINE PILAUDEAU publié le 15/06/2016

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© Halfpoint / iStock © Halfpoint / iStock
Désamorcer les angoisses des jeunes pères, tout en les aidant à se prémunir des difficultés du quotidien. Tel est l'enjeu des lieux d'aide à la parentalité.
À la joie d'être père succèdent bien vite les premières appréhensions. Vais-je réussir à assumer ce nouveau rôle ? Comment m'occuper au mieux de mon bébé ? En 2015, ils étaient 75% à bénéficier du congé de paternité. Or, si l'implication des pères n'a jamais été aussi prédominante, leur prise en charge par le corps médical peine encore à se démocratiser. Tandis que madame est accompagnée à chaque étape, de la grossesse à la maternité, monsieur se sent souvent délaissé et démuni. Aujourd'hui, des lieux d'écoute et de formation bienveillante à la paternité permettent de pallier ce déficit.
http://www.lavie.fr/famille/couple/on-ne-nait-pas-pere-on-le-devient-15-06-2016-73843_416.php

Et bien ça c'est bien vrais ,car nous sommes des apprenties bien longtemps et quant nous devenons ouvriers les enfants partent faire leurs vies.

chico. a écrit:Et bien ça c'est bien vrais ,car nous sommes des apprenties bien longtemps et quant nous devenons ouvriers les enfants partent faire leurs vies.

Paroles d'un sage.