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Découverte d'une larve dévoreuse de plastique.

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Découverte d'une larve dévoreuse de plastique
Les larves peuvent endommager un sac plastique en moins d'une heure. Photo AFP/CSIC
Les larves peuvent endommager un sac plastique en moins d'une heure. Photo AFP/CSIC

Elle serait capable de dévorer l'une des matières plastiques les plus résistantes.

Une chercheuse a récemment fait la découverte d’une larve capable de dévorer le polyéthylène, l’une des matières plastiques les plus résistantes, utilisées dans de nombreux emballages.

Une trouvaille qui pourrait s'avérer bénéfique pour l'environnement, puisqu'elle offre la perspective de bio-dégrader rapidement ce polluant qui s’accumule notamment les océans.

Cette larve, élevée commercialement en grand nombre pour servir d’appât pour la pêche, est à l’état sauvage un parasite des ruches qui se niche dans la cire d’abeilles, partout en Europe.

«Les déchets plastiques sont un problème environnemental mondial, surtout le polyéthylène, particulièrement résistant et qui très difficilement dégradable naturellement», explique Federica Bertocchini, une chercheuse au Centre espagnol de la recherche nationale (CSIC), auteur de la découverte de cette larve de la fausse teigne de la cire (Galleria mellonella), un papillon très répandu.

Cette scientifique, également apicultrice amateur, a observé que les sacs en plastique dans lesquels elle plaçait la cire des ruches infectée par ce parasite, étaient rapidement criblés de trous.

Une action "extrêmement rapide"
D’autres observations avec un sac de supermarché au Royaume-Uni, soumis à une centaine de ces larves, ont montré que celles-ci pouvaient endommager le plastique en moins d’une heure.

Des trous commençaient à apparaître après seulement quarante minutes et au bout de douze heures, la masse de plastique du sac était réduite de 92 milligrammes, ce qui est considérable, expliquent ces chercheurs.

Ils soulignent que ce taux de dégradation est «extrêmement rapide» comparativement à d’autres découvertes récentes telle que celle d’une bactérie, l’an dernier, qui peut également dégrader certains plastiques mais au rythme de 0,13 milligramme par jour seulement.

Les auteurs de cette dernière découverte, pensent que la larve de la fausse teigne de la cire n’ingère pas seulement le plastique mais qu’elle le transforme ou le brise chimiquement avec une substance produite par ses glandes salivaires.

Vers une fabrication industrielle ?
«L’une des prochaines étapes sera de tenter d’identifier ce processus moléculaire et de déterminer comment isoler l’enzyme responsable», expliquent-ils.

«S’il s’agit d’une simple enzyme on pourra alors la fabriquer à une échelle industrielle grâce à la biotechnologie», estime Paolo Bombelli de l’Université de Cambridge au Royaume-Uni, un des principaux co-auteurs de ces travaux.

Selon lui, «cette découverte pourrait être un outil important pour éliminer les déchets de plastique polyéthylène qui s’accumulent dans les décharges et les océans.»

Dans quoi trouve-t-on le polyéthylène ?

Le polyéthylène est surtout utilisé pour l’emballage et compte pour 40% de la demande totale des produits plastiques en Europe dont 38% se retrouvent dans des décharges.

Mille milliards de sacs plastiques sont utilisés dans le monde chaque année et chaque individu utilise en moyenne chaque année plus de 230 de ses sacs, produisant plus de 100.000 tonnes de déchets.

Un processus qui peut durer jusqu'à 400 ans
Actuellement, le processus de dégradation chimique de ces déchets plastiques avec des produits très corrosifs comme l’acide nitrique peut prendre plusieurs mois.

Laissés dans la nature, il faut environ un siècle pour que ces sacs plastique se décomposent complètement. Pour les plastiques les plus résistants, ce processus peut prendre jusqu’à 400 ans.

80
Chaque année, quelque 80 millions de tonnes de polyéthylène sont produites dans le monde, précisent ces chercheurs dont la découverte a été publiée lundi dans la revue américaine Current Biology.
http://www.ledauphine.com/france-monde/2017/04/26/decouverte-d-une-larve-devoreuse-de-plastique

chico.

chico.

J'ai vue hier cela aux informations.

papy

papy

Elles vont avoir du travail avec tout le plastique qui se jette chaque jour que Dieu fait!

papy

papy

Microplastiques dans les sodas : Coca-Cola et Schweppes pointés du doigt par une enquête
Shem's Tlemçani 23/08/2024, 17:30 Environnement
Voir le diaporama
Une enquête de l’association Agir pour l’environnement dénonce la présence de plusieurs microplastiques dans les bouteilles des marques Coca-Cola et Schweppes.

En juillet 2022, l’association Agir pour l’environnement révélait la présence de microplastiques dans 78 % des 6 bouteilles d'eau qu’elle avait fait analyser, aujourd’hui, ce sont les boissons sucrées des marques de Coca-Cola et de Schweppes qui sont concernées.

11 types de micro-plastiques dans les sodas
La récente enquête publiée ce mois-ci par l’association s’est intéressée, cette fois-ci, à une bouteille en plastique de Coca-Cola d’un litre et un soda d’un litre et demi de Schwepps Indian Tonic. Pour mesurer les taux de microplastique qu’elles contiennent, l’organisme a ouvert à plusieurs reprises la même bouteille. A chaque ouverture, les spécialistes ont prélevé la quantité de microplastiques.

D’après les résultats, à la première ouverture, la boisson Coca-Cola Original dénombrait quatre microparticules et Schwepps Indian Tonic, sept microparticules. Ces sodas contiennent du polyéthylène (PE), du polyéthylène téréphtalate (PET) et du polychlorure de vinyle (PVC), et enfin du polyamide (PA), du polypropylène (PP) et du polyuréthane (PU). « Il nous a paru étonnant d’identifier 6 polymères différents alors que les fabricants ne déclarent que 2 polymères en contact avec la boisson : du PE pour le bouchon et du PET pour la bouteille », note l’association.

Les microparticules prolifèrent à chaque ouverture
L’expérimentation révèle aussi que le nombre de microparticules augmente à chaque fois que la boisson est rouverte. Au total, après 20 ouvertures, l’association a dénombré 46 micro-plastiques (dont 25 de PVC) dans le Coca et 62 (dont 57 de PE) dans le Schweppes.

Le rapport souligne également la présence importante de nanoparticules, 1000 fois plus petites que les microparticules après les 20 essais. "L’ouverture multiple des bouteilles a généré une plus grande gamme de tailles de nanoparticules dont la taille moyenne est légèrement supérieure à celle de la population de nanoparticules présentes initialement après une ouverture unique", peut-on lire dans l’enquête. Selon l’association, cette prolifération des nanoparticules de plastique est certainement due à la dégradation du bouchon à chaque ouverture et fermeture.

L’association appelle le gouvernement à l’action
Ces nanoparticules ne sont pourtant pas inoffensives pour la santé, rappelle l'association. Par leur minuscule taille, ces particules sont beaucoup plus facilement ingérables par l’humain et cette forme "facilite leur contact et leur internalisation par les cellules dans les muqueuses humaines après leur ingestion, comme le décrit la littérature scientifique." En effet, des études ont montré, qu’une fois ingérées, ces microparticules peuvent potentiellement entraîner des inflammations, des perturbations endocriniennes, et des risques accrus de maladies chroniques. L’association appelle les autorités françaises à agir et à faire de ce combat une "priorité publique et de protection de l’environnement." Dans son enquête elle préconise plusieurs actions, dont la mise en place d’une norme maximale de présence de micro et nanoplastiques dans les eaux et les sodas.

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