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En Islande, nouvelle éruption d'un volcan

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

En Islande, nouvelle éruption d'un volcan
Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 22/05/2011 à 10:44
L'espace aérien islandais a été temporairement fermé ce dimanche matin. Il n'est pas encore possible de déterminer si les cendres de l'éruption du Grimsvoetn pourraient provoquer des dégâts semblables à ceux causés par Eyjafjöll an avril 2010.
Le volcan Grimsvoetn est entré samedi en éruption sous le plus grand glacier d'Islande, ont annoncé les services météorologiques islandais en précisant qu'un grand panache de fumée se dégageait au-dessus du cratère. "Une éruption a commencé au Grimsvoetn et un avion est en route pour aller là-bas recueillir davantage d'informations", a indiqué un météorologue, Haraldur Eirkisson. L'espace aérien islandais a été temporairement fermé ce dimanche matin.
Neuf éruptions entre 1922 et 2004
"Il y avait un nuage s'élevant du Grimsvoetn vers 19h (heure moyenne de Greenwich) et juste avant 20h il avait atteint une altitude de 11 kilomètres", a ajouté le scientifique. Le volcan Grimsvoetn se trouve sous le glacier Vatnajoekull (sud-est de l'Islande). C'est le volcan le plus actif d'Islande: il a fait éruption neuf fois entre 1922 et 2004.
Un nuage de cendres dégagé par une éruption du volcan islandais Eyjafjöll en avril 2010 avait entraîné la plus grande fermeture d'espace aérien décrétée en Europe en temps de paix, avec plus de 100.000 vols annulés et plus de huit millions de passagers bloqués. Les autorités aéronautiques craignaient en effet que les fines poussières volcaniques n'encrassent les moteurs d'avions et ne les fassent tomber en panne. Il n'était pas encore possible samedi soir de déterminer si les cendres de l'éruption du Grimsvoetn pourraient provoquer de tels dégâts. Le volcan est cependant lui aussi situé sous une épaisse couche de glace, ce qui avait été déterminant dans les effets de l'éruption d'avril 2010.

Josué

Josué
Administrateur

Par THIERRY VIGOUREUX
L'Europe a-t-elle retenu les leçons d'avril 2010 ? Que se passerait-il en cas de réveil du volcan Eyjafjöll ou d'un de ses homologues comme le Grimsvoetn cette semaine ? "Le système européen pour décider des fermetures de l'espace aérien ne fonctionne pas. Ce problème n'est pas près de disparaître", avertissait Giovanni Bisignani, directeur général de l'IATA, Association internationale des transporteurs aériens. "La sécurité est toujours notre priorité numéro un. Mais nous devons prendre des décisions qui reposent sur des faits, pas sur des modèles théoriques non corroborés." Les compagnies aériennes regroupées au sein de l'IATA ont signalé un manque à gagner de 1,2 milliard d'euros, selon une "estimation prudente" faite après la crise. À Bruxelles, l'Eyjafjöll demeure toujours d'actualité un an plus tard. La Commission européenne a admis que les moyens d'éviter un tel chaos étaient toujours à l'étude.

Décision technique ou politique

Les prévisions données par le Volcanic Ash Advisory Centre (VAAC) de Londres, considérées comme parole d'évangile en 2010, ne prenaient pas en compte la concentration de cendres volcaniques, ce qui a été corrigé aujourd'hui. Le mois dernier est également parue une étude du Dr Susan Stipp de l'université de Copenhague qui conclut à la nocivité des cendres rejetées par le volcan en avril 2010. Sa crédibilité est toutefois contestée par la communauté aéronautique, car les constructeurs de moteurs, premiers concernés par l'agression des cendres, n'y ont pas été associés pour indiquer ce qui était acceptable et ce qui ne l'était pas pour un réacteur.

La décision de laisser voler les avions relève certes de critères techniques, mais aussi de considérations politiques. Du côté des ingénieurs, on considère que l'on risque l'extinction des moteurs à 2 mg/m3 (milligrammes par mètre cube) de cendres volcaniques. Les concentrations relevées vers le 20 avril 2010 dans le ciel de plusieurs pays européens étaient en moyenne vingt fois plus faibles. Mais on se heurte aussi à la réticence des motoristes à fixer une norme définissant l'usure du moteur puis la dégradation des performances, car il faudra ensuite le prouver par une coûteuse certification. Et ce n'est pas simple, car il n'y a pas deux volcans semblables. Les cendres peuvent convenir des dérivés sulfurés, qui provoquent des réactions chimiques avec les organes du réacteur, ou de la silice, qui favorise une vitrification. Le retour d'expérience des volcans de Java ou d'Alaska n'est donc pas directement extrapolable.
la suite ici
http://www.lepoint.fr/monde/l-union-europeenne-a-t-elle-retenu-les-lecons-de-l-eyjafjoll-23-05-2011-1333895_24.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20110523

samuel

samuel
Administrateur

C’était il y a tout juste 200 ans. Le 10 avril 1815, le volcan Tambora, sur l’île indonésienne de Sumbawa, entrait en éruption. Une éruption énorme. Cataclysmique. Sur Sumbawa et les îlots alentours, plus de 70 000 personnes périrent.

Mais cet événement eut aussi des conséquences mondiales. En rejetant d’énormes quantités de particules dans l’atmosphère, le volcan Tambora a causé un refroidissement global du climat, touchant aussi bien l’Europe que les Etats-Unis. Selon l’Université de Berne – qui organise du 7 au 10 avril un cycle de conférences sur le sujet – les températures mensuelles observées dans les mois qui suivirent se situaient «entre 2,3 et 4,6 °C en dessous des moyennes saisonnières». Depuis, 1816 est entrée dans les annales comme «l’année sans été».

Un impact qui dure un siècle

«Les éruptions volcaniques de grandes ampleurs dégagent des particules fines qui montent jusque dans la stratosphère, soit à plus de 10 km d’altitude. Ces éléments forment alors une sorte de barrière qui renvoie les rayons du Soleil et refroidissent ainsi l’atmosphère, explique Didier Swingedouw, chercheur au département Environnements et paléoenvironnements océaniques et continentaux, à l’Université de Bordeaux (CNRS). Cet «effet parasol» s’avère néanmoins limité. La baisse de température est de l’ordre de 1 à 2 °C et dure deux à trois ans – le temps que les particules retombent – pour des événements modérés. C’est un phénomène bien connu, particulièrement étudié lors de l’éruption du mont Pinatubo.»

En 1991, ce volcan des Philippines crache dans l’atmosphère 30 millions de tonnes de poussières. De quoi faire de l’ombre à la Terre. Selon une étude, publiée en février 1995 dans la revue Nature, ce bouclier naturel a entraîné une diminution globale de 0,5 °C, pendant près de deux ans. L’impact des volcans sur le climat à court terme est donc un phénomène bien documenté. Ce qui l’est moins, en revanche, c’est que leurs effets pourraient en fait se prolonger pendant plusieurs décennies, en modifiant les courants océaniques. C’est l’étonnante conclusion d’une étude parue le 30 mars dans la revue Nature Communications. «L’océan Atlantique Nord est le siège d’un gigantesque tapis roulant, le Gulf Stream. L’eau chaude des tropiques remonte en surface et vers les hautes latitudes où, refroidie et plus dense, elle plonge en profondeur et fait le trajet inverse, raconte Didier Swingedouw, qui a dirigé l’étude. Ce mécanisme, qui contribue à adoucir le climat européen, connaît des variations régulières.»

Josué

Josué
Administrateur

[size=40]L’EFFET INATTENDU DES ÉRUPTIONS VOLCANIQUES[/size]
MICKA
 | 17 avril, 2021 at 22:17

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L’Islande est le théâtre d’activités volcaniques intenses. Cela est notamment dû au déplacement des plaques tectoniques. Entre août 2014 et février 2015, la région de Holuhraun, située dans le système volcanique de Bardarbunga au centre de l’île, a connu une éruption volcanique qui n’est pas passée inaperçue auprès des scientifiques.


Un groupe d’experts venant du Royaume-Uni et d’Islande s’est récemment concentré sur cette éruption volcanique. Leur objectif est d’en apprendre plus sur l’impact d’un tel événement sur la santé de la population locale. Au cours de leur étude, ils ont découvert que cette éruption volcanique a propagé environ 11 millions de tonnes de dioxyde de sulfure dans l’air au cours des six mois qui ont suivi cet événement.
En Islande, nouvelle éruption d'un volcan VolcanCrédits Pixabay
Les chercheurs ont indiqué qu’à la suite de cette éruption, les diagnostics de maladies respiratoires ont connu une hausse de l’ordre de 23%.

Des fumées qui ont voyagé jusqu’en Europe


Les experts ont réussi à retracer le trajet de la fumée évacuée par le volcan de Holuhraun. Selon eux, après s’être propagée en Islande et sur l’océan Atlantique, elle a voyagé jusqu’en Europe et au Royaume-Uni. Les courants d’air l’ont ensuite ramené aux alentours de l’Islande.
Cette fumée a transporté avec elle des gaz qui représentent un danger pour la santé. Les chercheurs ont déclaré que les habitants de la capitale de Reykjavik ont été exposés à cette pollution à de nombreuses reprises. On soulignera le fait que cette région se trouve à 250 km du site de l’éruption.

Une situation qui aggrave les maladies respiratoires


Les scientifiques qui ont mené cette étude ont tiré la sonnette d’alarme face à cette situation. Ils ont expliqué que les particules polluées qui sont transportées par cette fumée pénètrent en profondeur dans les poumons des personnes habitants aux environs et peuvent engendrer de graves problèmes de santé.
« Les volcans sont une source importante de pollution atmosphérique, mais bien sûr, c’est une source qui ne peut être contrôlée. De grandes éruptions volcaniques peuvent provoquer une pollution atmosphérique nocive à la fois immédiatement et également lorsque la fumée revient dans la même zone. Nos recherches montrent que lors d’éruptions prolongées telles que Holuhraun, les fumées récentes et celles qui sont plus matures peuvent circuler en même temps, augmentant les effets néfastes sur la santé de ceux qui vivent dans les régions volcaniques », a déclaré Evgenia Ilyinskaya de l’Université de Leeds.

D’après elle, les autorités doivent donc prendre des mesures pour protéger leur population après ce genre d’événements.

Lechercheur



Et les mesures sont- elles vraiment prises ?

Lechercheur



Islande : ce que l’on sait de l’éruption d’un volcan annoncée comme imminente
L’Islande a déclaré vendredi l’état d’urgence et ordonné l’évacuation de la ville de Grindavik, en raison de l’éruption d’un volcan, annoncée comme imminente. Voici ce que l’on sait.


RUV/RAGNAR VISAGE / REUTERS
Ouest-France

Josué

Josué
Administrateur

Volcan : l'Islande en état d'alerte éruption imminente
Par Sylvie Rouat le 15.11.2023 à 10h03, mis à jour le 15.11.2023 à 16h31
Ecouter 4 min.
La ville islandaise de Grindavík, à quelques encablures de la capitale de l'île, est menacée par une éruption volcanique dont la menace est imminente. Les habitants ont évacué depuis le 10 novembre. Une nouvelle alerte a été émise le 14 novembre alors que des mesures de souffre indiquaient une remontée du magma vers la surface.

Grindavik et les traces d'une future éruption
A Grindavik, la route principale a été éventrée par les secousses sismiques. L'Islande retient son souffle, dans l'attente d'une éruption qui sera peut-être d'ampleur.

KJARTAN TORBJOERNSSON / AFP
Mardi 14 novembre 2023, les derniers personnels présents à Grindavík, localité du sud-ouest de l'Islande, ont été sommés d’évacuer la ville en raison de teneurs élevées de dioxyde de soufre mesurées dans l’air. Située dans la péninsule de Reykjanes, à 69 km de la capitale Reykjavik, ce site connaît depuis fin octobre une intense activité sismique qui laisse présager une éruption volcanique imminente du volcan Fagradalsfjall. Une hypothèse confortée par cette soudaine émergence de dioxyde de souffre, qui semble indiquer que le magma dégaze à l’approche de la surface. Et que l’éruption est imminente…

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