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Israstine“ ou “Palesraël“, la solution fédérale.

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Israstine“ ou “Palesraël“, la solution fédérale
ANNE GUION publié le 10/01/2017

À la veille de la conférence de Paris, où 70 États doivent se rassembler pour relancer le processus de paix, focus sur des initiatives qui imaginent de nouvelles solutions.
Et si l’avenir d’Israël-Palestine passait par la ­création de l’« Israstine » ou du « Palesraël », une entité où les deux peuples coexisteraient ? Doux fantasme ? Pas si sûr. Les années de conflit et les attentats, tel celui du 8 janvier à Jérusalem, où quatre jeunes soldats ont été tués, ont peu à peu imposé l’idée que seul un divorce était possible. Pourtant, depuis quelques années, de nouvelles idées de résolution émergent : des projets s’approchant de la fédération. Leur point commun ? Tous rejettent l’idée d’une séparation totale entre Israéliens et Palestiniens. Et préfèrent une forme de cohabitation au divorce. Dans One Land Two States, Israel and Palestine as Parallel States (« Un pays, deux États, Israël et Palestine comme États parallèles », University of California Press), publié en 2014, Mathias Mossberg, un ancien ambassadeur suédois qui a participé aux négociations israélo-­palestiniennes, et l’historien américain Mark Levine décrivent précisément un projet où les deux États coexisteraient en parallèle de part et d’autre d’une frontière ouverte. « Nous avons commencé à réfléchir à cette idée dès 2003, explique ainsi Mathias Mossberg. En 2008, celle-ci a même fait l’objet d’un programme académique à l’université de Lund, en Suède. Puis, deux ans plus tard, nous y avons consacré un colloque international. » Sur le terrain, une initiative appelée Two States One Homeland (« Deux États, une patrie ») propose depuis quelques mois une solution similaire. Lancée par le journaliste israélien Meron Rapoport et le militant palestinien Awni al-Mashni, l’initiative se base sur l’idée que les deux peuples sont liés à la même terre, de la Méditerranée au Jourdain.
La faillite de la solution des deux États

À l’origine, il y a surtout une vision pragmatique qui repose sur un constat : la faillite de la solution des deux États côte à côte et indépendants. C’est un fait, la réalité sur le terrain rend aujourd’hui très difficile la création d’un État palestinien viable sur les frontières de 1967 avec Jérusalem comme capitale. ­Pourquoi ? Essentiellement à cause de la colonisation israélienne. Aujourd’hui, 380 000 colons israéliens vivent en Cisjordanie. Ajoutez à cela les 180 000 habitants israéliens de Jérusalem-Est. C’est beaucoup, alors qu’Israël ne compte que 7,7 millions d’habitants.
http://www.lavie.fr/actualite/monde/israstine-ou-palesrael-la-solution-federale-10-01-2017-79078_5.php

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

De toute façon la concorde entre peuple ne pourra se fair que grâce au royaume de Dieu.
Et ce n'est pas pour rien que nous prions pour ce royaume afin que la volonté de Dieu se fasse sur la terre comme au ciel.

samuel

samuel
Administrateur

La solution ne viendra pas des humais mais du royaume de Dieu .

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR


L’organisation qui contrôle la Bande de Gaza s’est dite prête à accepter les frontières de 1967 pour un État palestinien. Mais le ton reste ferme entre le Hamas et Israël.

L’organisation qui contrôle la Bande de Gaza s’est dite prête à accepter les frontières de 1967 pour un État palestinien, lundi 1er mai.
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L’organisation qui contrôle la Bande de Gaza s’est dite prête à accepter les frontières de 1967 pour un État palestinien, lundi 1er mai. / KARIM JAAFAR/AFP
C’est un grand pas pour le Hamas. L’organisation palestinienne a annoncé lundi 1er mai au soir qu’elle était prête à accepter un État palestinien dans les frontières de 1967. Le mouvement, considéré comme terroriste par les États-Unis, l’Union européenne et Israël, a modifié ses textes fondateurs. Le conflit avec Israël est ainsi requalifié de « politique » et de non plus « religieux ».

Les frontières du 4 juin 1967

Dans le document, le Hamas estime qu’« un État palestinien entièrement souverain et indépendant dans les frontières du 4 juin 1967, avec Jérusalem pour capitale, (…) est une formule de consensus national ». « Nous sommes prêts à coopérer avec quiconque pouvant nous aider à obtenir » cet État, a ajouté son leader, Khaled Mechaal.

Mais l’organisation, qui contrôle depuis dix ans la Bande de Gaza, insiste toujours sur le fait de ne pas reconnaître Israël et un document rendu public évoque « la Palestine, du fleuve Jourdain à la mer Méditerranée ». Le texte, qui s’ajoute à la charte originelle de 1988, affirme que le Hamas est « en conflit avec le projet sioniste et non avec les juifs en raison de leur religion ».

Le Hamas veut revenir dans les négociations internationales

Cette annonce intervient alors que la première rencontre entre le président américain Donald Trump et son homologue palestinien, Mahmoud Abbas, doit avoir lieu mercredi 3 avril. Pour les experts, le Hamas essaye ainsi de revenir dans le jeu des négociations internationales et de renouer le dialogue avec les autres forces palestiniennes, Mahmoud Abbas en tête.


« Le Hamas est un mouvement vivant qui se renouvelle », a plaidé Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha. L’organisation prend par ailleurs ses distances avec les Frères musulmans égyptiens, un gage donné au voisin égyptien, selon les observateurs. Khaled Mechaal a toutefois prévenu : « la politique du Hamas est de refuser les négociations directes avec Israël car il n’y a pas d’équilibre des forces ».

Israël a déjà répliqué qu’il n’était pas convaincu par ce revirement. Le Cogat, l’organe du ministère israélien de la défense en charge des territoires occupés, a estimé que le Hamas « se moque du monde en essayant de se présenter avec ce soi-disant document comme une organisation éclairée ». « Ils creusent des tunnels pour mener des actes terroristes et tirent des milliers et des milliers de missiles sur des civils israéliens », a accusé un porte-parole du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou dans un communiqué.

La Croix (avec AFP)

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