Mosquée = Danger !

La construction d’une mosquée ne porte pas atteinte à l’intérêt de la ville et des habitants



Une mosquée n’est un lieu de culte mais un centre de gouvernement islamique
L’absence de liturgie, l’absence de cérémonie cultuelle, l’absence de clergé, l’absence de service religieux intermédiaire entre les fidèles et Allah, rend l’existence d’une mosquée absolument pas nécessaire pour prier. Pourquoi les musulmans désirent-ils tant construire des mosquées en Europe? Parce que la mosquée peut être utilisée comme lieu de réunions politico-religieuses, de centre d’endoctrinement, de centre d’entraînement, et qu’elle peut servir de place forte en cas de conflit.

L’islam est un système politique qui utilise le Divin pour légitimer toutes ses actions.


En banlieue les enfants et les jeunes musulmans sont éduqués dans le mensonge et la haine de l’Occident
Les cours d’arts martiaux se développent à grande vitesse, et ce n’est pas pour la beauté du sport; ce sont des cours intensifs de combat.
Les jeunes musulmans des quartiers se préparent au combat. Le corrompu Dali Boubaker pousse à la construction intensive de mosquées. http://www.francesoir.fr/actualite/societe/dalil-boubakeur-%E2%80%9Cil-faut-doubler-nombre-mosquees-en-france%E2%80%9D-54083.html

Chaque future mosquée (Reims http://www.grandemosqueedereims.fr/accueil.php, Saint-Denis http://mosquee-saintdenis.com/, Marseille http://lamosqueedemarseille.com/, etc… plus de 200 sont en construction ou en projet), chaque future mosquée sera composée de salles de “prières”, d’un centre commercial halal pour avoir une autonomie financière, d’une école coranique, de centres “culturel” et “sportif” pour séparer les enfants musulmans des non-musulmans et les endoctriner.

Bref, ces mosquées sont des centres de préparation pour le djihad.

Une mosquée met en danger chaque ville où elle est construite
Car les enfants musulmans ne grandiront plus avec les enfants non-musulmans, la communauté musulmane se sépare volontairement du reste des habitants afin de se préparer à imposer la charia dans le quartier autour de la mosquée, puis dans toute la ville.

Mosquées "radicales" : les musulmans perplexes après 20 fermetures
Par AFP , publié le 25/11/2016 à 14:29 , mis à jour à 14:29
Des musulmans prient dans une cour à Lagny-sur-Marne, après la fermeture de la mosquée "radicale" , le 4 décembre 2015Des musulmans prient dans une cour à Lagny-sur-Marne, après la fermeture de la mosquée "radicale" , le 4 décembre 2015 afp.com/sarah brethes
Paris - Un an après la fermeture de la mosquée "radicale" de Lagny-sur-Marne, une vingtaine de lieux de culte au total ont fait l'objet de mesures similaires : des procédures délicates, contestées en justice, qui suscitent interrogation voire perplexité chez les responsables musulmans.

- Sur la base de quels textes ' -

Un an après le déclenchement de l'état d'urgence au lendemain des attentats du 13 novembre 2015, une vingtaine de mosquées et salles de prière "radicalisées" ont été fermées.

Ces fermetures ont été favorisées par l'article 8 de la loi de 1955 sur l'état d'urgence, qui vise "en particulier des lieux de culte au sein desquels sont tenus des propos constituant une provocation à la haine ou à la violence ou une provocation à la commission d'actes de terrorisme ou faisant l'apologie de tels actes".

Ces fermetures sont "provisoires", le temps de l'état d'urgence. Lagny (Seine-et-Marne) est emblématique, puisque l'association gérant la mosquée perquisitionnée et fermée le 2 décembre a été dissoute en Conseil des ministres le 13 janvier - une première -, de même que les deux associations qui l'avaient précédée.

En dehors du cadre de l'état d'urgence, les préfets peuvent agir en utilisant la réglementation sur les établissements recevant du public (conditions sanitaires, de sécurité...) et la lutte anti-fraude. Mais les autorités avancent avec prudence, sous le contrôle du juge administratif, sur ces questions ayant trait à la liberté de culte.

- Du contentieux et des critiques -

Selon des sources proches du renseignement, la France compte environ 120 mosquées et salles de prière - sur 2.500 lieux de culte musulman - salafistes ou sous influence du salafisme, courant fondamentaliste sunnite. Pourquoi ne pas les fermer toutes, comme l'ont réclamé des élus de droite et d'extrême droite '

"Le salafisme ordinaire, quiétiste, diffère du jihadisme, même s'il y a de la porosité entre les deux", explique à l'AFP Bernard Godard, ancien spécialiste de l'islam au bureau central des cultes. "Il faut vraiment que des faits (détention d'armes notamment), des propos (incitation au jihad...) soient avérés. Mais c'est compliqué : quand des associations salafistes penchent vers le jihadisme, elles ne l'expriment pas, elles s'auto-limitent".

La plupart des associations visées contestent en justice les motifs invoqués en vue de la fermeture. Ainsi d'une mosquée d'Ecquevilly (Yvelines), fermée le 2 novembre. Devant le tribunal administratif, la représentante du ministère de l'Intérieur a décrit, derrière une "vitrine propre", "un message insidieux, subliminal, qui instille l'idée dans la communauté que, finalement, les attentats sont tolérables".

"Ses responsables assument d'être +salafi+, contre Daech (acronyme arabe du groupe Etat islamique, NDLR) et contre toute dérive vers cette tendance. Cela a le mérite d'être clair. Le problème, c'est que ce n'est pas suffisant pour qu'ils puissent rester ouverts", regrette M'hammed Henniche, secrétaire général de l'Union des associations musulmanes de Seine-Saint-Denis.

- Un "plan B" pour les fidèles ' -

Le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Anouar Kbibech, estime que "si un imam ou un responsable de mosquée se rend coupable d'appels à la haine, ou de tout autre propos tombant sous le coup de la loi, les autorités doivent faire leur travail, dans le respect de l'état de droit".

Mais il souhaite que des "solutions alternatives" soient proposées, alors que le culte musulman manque déjà de lieux. Manière d'éviter, comme à Lagny, les prières de rue.

Pour le président de l'Observatoire contre l'islamophobie au CFCM, Abdallah Zekri, il faudrait mettre en place un "comité provisoire de gestion" de la mosquée en attente d'une décision de justice puis, si sa fermeture est confirmée, donner mandat au Conseil régional du culte musulman (CRCM) de constituer un nouveau bureau gérant le lieu. En s'inspirant de l'expérience de L'Arbresle (Rhône), où le CRCM et les pouvoirs publics ont travaillé ensemble à la création d'une nouvelle association.

"Ce n'est pas aux fidèles de payer les errements de quelques-uns", souligne ce délégué de la grande mosquée de Paris.
http://www.lexpress.fr/actualites/1/styles/mosquees-radicales-les-musulmans-perplexes-apres-20-fermetures_1854153.html

Depuis les attentats, aucune mosquée n'a été reconnue dans notre pays: les ratés du plan anti-radicalisation
JULIEN THOMAS Publié le jeudi 04 mai 2017 à 09h08 - Mis à jour le jeudi 04 mai 2017 à 09h13

EXCLUSIF
MONDELe projet de reconnaissance de 80 nouveaux imams d’ici 2019 connaît blocages et lenteurs administratives.
"Nous continuons à encourager toutes les mosquées à se faire reconnaître. Pour nous, la reconnaissance des mosquées est importante car cela présente un intérêt dans le cadre de la lutte contre la radicalisation. On reçoit encore de nombreuses marques d’intérêt de la part des mosquées. Mais en même temps, tous ces blocages font réfléchir un certain nombre de mosquées. Certains responsables religieux voient ce qui se passe avec le processus lancé pour les mosquées qui se sont manifestées et cela peut les faire réfléchir. Les gens sont un peu dans le doute", explique le président de l’Exécutif des musulmans de Belgique (EMB) Salah Echallaoui, alors que le vaste programme fédéral de reconnaissance des mosquées belges connaît blocages et lenteurs administratives.

C’est en févier 2016 que le gouvernement fédéral débloque 3,3 millions d’euros afin de financer le salaire de 80 nouveaux imams. Une mesure qui s’inscrit dans le cadre du plan de lutte contre la radicalisation, visant notamment à promouvoir un islam dit intégré. Le plan prévoit la reconnaissance de 80 mosquées d’ici 2019, avec un calendrier assez précis : notamment 30 mosquées dès 2016 et 15 en 2017.

Au final, en ce mois de mai 2017, aucun lieu de culte censé être reconnu en 2016 n’a encore été reconnu. Le dossier des cinq mosquées situées en Wallonie est en cours d’étude à l’échelon provincial, le dossier des cinq situées dans la capitale pourrait aboutir d’ici l’été, tandis que la ministre flamande compétente, Liesbeth Homans (N-VA), bloque pour des raisons purement politiques le dossier des 20 dernières situées au nord du pays. "Une réunion était prévue le 19 avril entre la Sûreté de l’État et la ministre pour répondre à ses questions sur le plan de la sécurité. La ministre a annulé la réunion", indique-t-on du côté du cabinet du ministre de la Justice Koen Geens (CD&V).

Du côté fédéral , on rappelle que le processus prend du temps en raison de la complexité institutionnelle du pays. "Les dossiers ont été renvoyés aux Régions en décembre 2016 après avoir reçu tous les informations de la Sûreté d’État, ainsi qu’un avis budgétaire positif. Les moyens pour les imams sont là, mais le fédéral et l’EMB ne peuvent pas commencer les nominations des imams sans avoir la reconnaissance des mosquées", explique Sieghild Lacoere, la porte-parole du ministre.

Salaires des imams payés et déficits comblés

La reconnaissance d’une mosquée par les autorités régionales permet principalement deux avantages : le paiement du salaire d’un à trois imams selon la taille de la mosquée, le paiement de certains travaux et le comblement de l’éventuel déficit. En échange, l’imam aura fait l’objet d’un premier screening par l’Exécutif des musulmans de Belgique (EMB), puis par la Sûreté de l’État. La mosquée devient un établissement public, ce qui implique des droits (avantages fiscaux) et des devoirs (tutelle, procédure de marché public, etc.).

Julien Thomas
http://www.dhnet.be/actu/monde/depuis-les-attentats-aucune-mosquee-n-a-ete-reconnue-dans-notre-pays-les-rates-du-plan-anti-radicalisation-590a24ddcd700225429a789c

Bonjour

Importance et rôle de la mosquée

http://www.iqri.org/articles/importance-et-role-mosquee

.

Ce n'est pas vraiment la question du sujet.

Bonjour Josué

Qu'est ce qui n'est pas la question du sujet ?

.

Le sujet et Mosquée = danger.
Relis le premier post.

Bonjour samuel

J'ai bien lu. T'inquiète les mosquées ne sont pas dangereux. Pour s'en convaincre il suffit de venir de rendre visite et tu vas voir tu seras même très content.

Wa Salam

Alors pourquoi certaines sont fermées ?

Bonjour Josué

Parce qu'ils n'aime pas les musulmans.

Non si des mosquées sont fermer c'est pas pour cette raison.

Si en France des mosquées sont fermées c'est à cause des prêches de certains imams extrémistes qui font des sermons remplis de haines contre les mécréants.

samuel a écrit:Si en France des mosquées sont fermées c'est à cause des prêches de certains imams extrémistes qui font des sermons remplis de haines contre les mécréants.

C'est bien ça et rien a voir avec le fait de ne pas aimer les musulmans.

Bonjour

Il suffit à regarder la propagande médiatique l'hostilité que les français ont envers les musulmans.

.

Ne fait pas le persécuté car toutes les mosquées ne sont pas fermées,mais seulement ou les prédicateurs sont des extrémistes et font des prêches de haines envers l'Occident.

Salam aleicom

De nos jours, l'islam est perçu par beaucoup de monde, comme la religion de l'extrémisme et du radicalisme religieux par excellence, à cause des agissements exagérés et extrémistes au nom de l'islam, commis par certaines personnes qui s'affilient à l'islam, or, l'islam se désavoue totalement de leurs agissements. En effet, l'islam est en vérité la religion du juste milieu par excellence, tant dans les rapports avec le Seigneur, que dans les rapports avec le monde. Allah le Très Haut dit dans le sens du verset: traduction relative et rapprochée des sens des versets : « Et nous avons fait de vous une communauté de juste milieu ». Coran sourate 2 : verset 143

En effet, l'exagération et l'extrémisme religieux sont condamnés dans le Saint Coran et dans la sunna du prophète -que les éloges et le salut soient sur lui-.

Wa Salam

Les faits malheureusement prouvent qu'ils y a des mosquées ou l'enseignement et radicalisé.
Ouvre un peut les yeux stp.

Bonjour samuel

Ce n'est pas la majorité des mosquées qui sont radicalisé, c'est une petite minorité.

Wa Salam

[size=38]Assassinat de Samuel Paty : la mosquée de Pantin rouvrira vendredi Abonnés[/size]
Les faits 

Fermée après l’assassinat de Samuel Paty, la mosquée de Pantin rouvrira ses portes vendredi 9 avril. Cette décision intervient après la démission du recteur de la mosquée, M’hammed Henniche. Ce dernier espère ainsi sauver la construction de la grande mosquée.

• La Croix (avec AFP), 
  
• le 07/04/2021 à 10:23 
  
• Modifié le 07/04/2021 à 16:19
  

C'est quand même triste cette violence chez les musulmans intégristes.

[size=38]Le Conseil d’État confirme la fermeture de la mosquée d’Allonnes Abonnés[/size]

Les faits
 

Saisi en référé par une association contestant la fermeture administrative de la mosquée d’Allonnes, le Conseil d’État a confirmé, lundi 29 novembre, la décision préfectorale datant de fin octobre.

• La Croix (avec AFP), 
  
• le 30/11/2021 à 11:46 
  
• Modifié le 30/11/2021 à 13:41
  

La mosquée d’Allonnes, près du Mans (Sarthe), en octobre 2021.[size=12]PIERRE-ALEXANDRE GOUYETTE/OUEST FRANCE/MAXPPP[/size]

Le Conseil d’État a rejeté lundi 29 novembre la demande d’une association contestant en référé la fermeture administrative de la mosquée d’Allonnes (Sarthe), soupçonnée de promouvoir une pratique radicale de l’islam.
→ CONTEXTE. Fermeture de

[size=38]Le gouvernement multiplie les fermetures de mosquées jugées « séparatistes » [/size]

Les faits
 

Alors que les associations gérantes de la mosquée d’Allonnes, fermée en octobre pour six mois, ont été dissoutes mercredi 5 janvier, La Croix dresse le tableau des nombreuses fermetures et dissolutions administratives prononcées par le gouvernement ces derniers mois, pour lutter contre le « séparatisme islamiste ».

• Mélinée Le Priol, 
  
• le 07/01/2022 à 18:55 
  
• Modifié le 07/01/2022 à 19:41
  

La mosquée d’Allonnes fermée.[size=12]JEAN-FRANCOIS MONIER/AFP[/size]
Les deux associations gérantes de la mosquée d’Allonnes (Sarthe) ont été dissoutes en conseil des ministres, mercredi 5 janvier. Cette mosquée accueillant environ 300 fidèles avait été fermée pour six mois, fin octobre 2021, car elle était soupçonnée de légitimer, lors des prêches, le djihad armé ou le terrorisme. Après la Sarthe, l’Oise : la grande mosquée de Beauvais a été fermée, elle aussi pour six mois, le 27 décembre

[size=38]Près de Bordeaux, la justice suspend la fermeture d’une mosquée [/size]
Les faits 
Le tribunal administratif de Bordeaux a suspendu, mercredi 23 mars, la fermeture de la mosquée Al-Farouk de Pessac, prononcée par la préfecture de Gironde pour une durée de six mois. Une décision à contre-courant face à la multiplication des fermetures de mosquée en France.

• Sixtine Lerouge, 
  
• le 28/03/2022 à 18:27
  
  

Manifestation devant le tribunal administratif de Bordeaux, le 21 mars 2022.GUILLAUME BONNAUD/SUD-OUEST/MAXPPP

Pour la première fois, une décision de justice a suspendu la fermeture d’une mosquée. Dans la banlieue de Bordeaux, la mosquée Al-Farouk, de Pessac (Gironde) faisait l’objet d’une fermeture temporaire, pour promouvoir un « islam radical » et une « idéologie salafiste », prononcée par la préfecture de Gironde, le 14 mars.
Saisi par l’association Rassemblement des musulmans de Pessac chargée de la mosquée, le juge

Islam : réouverture de la mosquée de la Sarthe qui avait été fermée administrativement
Les faits Le maire d’Allonnes (Sarthe) a annoncé vendredi 13 janvier que la mosquée de la commune, fermée administrativement en 2021 après des soupçons de pratique radicale de l’islam, avait rouvert.
La Croix (avec AFP), le 13/01/2023 à 18:07

Chiffre : 4.000

22 juin 2023 15 h 25 min


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C’est, en nombre de fidèles, la contenance de la future Grande Mosquée de Rennes, jadis capitale de la Bretagne catholique et française. Le maire socialiste, Nathalie Appéré, a mis gracieusement un terrain de 3.000 mètres carrés à la disposition de l’association cultuelle Espoir Amal, et les formalités administratives vont bon train. Les travaux, d’un montant de cinq millions d’euros, devraient commencer début 2024.[/size]

C'est le grand remplacement en ordre de marche...

Attendre et voire venir.

papy a écrit:Attendre et voire venir.

C'est le meilleur moyen d''être submergé.

Mais ce n'est pas aux chrétiens de vouloir changer les choses.

[size=42]Augmentation record du nombre de mosquées en Russie[/size]

13 décembre 2023 21 h 01 min


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 [/size]
« En 1991, le pays ne comptait que 120 mosquées en activité, contre plus de 7.000 aujourd’hui », s’est félicité Magomedsalam Magomedov lors du XIXe Forum musulman international à Moscou, mardi. « Jamais dans son histoire, notre pays n’a connu un tel nombre de mosquées », a-t-il ajouté. S’exprimant au titre de Chef adjoint de l’administration présidentielle, cet assistant de Poutine a salué l’augmentation record du nombre de mosquées en Russie dont le nombre a été multiplié par 60 en trente ans. Après l’effondrement de l’Union soviétique, la liberté de religion est devenue un droit constitutionnel en Russie, qui a vu la résurgence de l’islam aux côtés d’autres religions, principalement le christianisme orthodoxe, note rt.com. Le catholicisme y est toutefois considéré comme une religion d’étrangers, et le prosélytisme catholique demeure proscrit.[/size]

Ouest-France
Le Maine Libre

Pays de la Loire
Le Mans
Article premium,Réservé aux abonnés
Mosquée des Sablons au Mans. L’agrandissement tarde, les fidèles prient sur le trottoir
Vendredi, jour de prière crucial pour les musulmans. Aux Sablons au Mans (Sarthe), la mosquée est devenue trop petite pour accueillir les fidèles, qui doivent prier dehors. Son agrandissement, dans les cartons depuis des années, n’aboutit pas. On fait le point sur ce sujet serpent de mer.

Vendredi, comme dans toutes les mosquées, la prière était très suivie à celle des Sablons. L’édifice religieux est désormais trop petit pour accueillir tous les fidèles qui doivent prier sur le trottoir depuis déjà plusieurs mois.
OUEST-FRANCE
Ouest-France Véronique GERMOND.
Publié le 24/02/2024 à 08h03

Les pratiquants de la religion islamique ont augmenté ces dernières années au Mans. Conséquence, une mosquée trop petite aux Sablons, mais aussi aux Glonnières, surtout lors du sermon du vendredi. Des fidèles prient en direction de la Mecque, mais dehors. Aux Glonnières, sur un parking. Aux Sablons, à même le trottoir qui donne sur un rond-point. On fait le point sur le projet d’agrandissement retardé de celle des Sablons.

L’extension de la mosquée à l’arrêt

L’agrandissement de la mosquée As-Sounna des Sablons, rue de la Bertinière, est enfoui dans les cartons des gestionnaires des lieux depuis plusieurs années. En cette fin février, il est toujours au point mort. Le lieu de culte des musulmans a pourtant besoin de pousser ses murs pour mieux accueillir les croyants du quartier, de plus en plus nombreux. Pour cela, la mosquée a acheté, dès 2015, le pavillon mitoyen, envisageant de faire fusionner les deux bâtiments.

Un premier permis de construire

En janvier 2022, un premier permis de construire est déposé et refusé par la Ville du Mans. « Des aménagements sont à fournir dans les trois mois, mais nous n’avons pas eu le temps de proposer un autre projet » , plaide Mohamed-Ylyasse Hamdaoui, président de l’association des Bonnes Œuvres de...


Ouest-France Abonnés
par Taboola

[size=38]La nouvelle Grande Mosquée d’Alger bat tous les records de gigantisme[/size]
Reportage 
En construction depuis 2012, la « plus grande mosquée d’Afrique » a été officiellement ouverte au public dimanche 25 février.

• Akli Ouali, correspondance particulière à Alger, 
  
• le 26/02/2024 à 17:08
  

En construction depuis 2012, la « plus grande mosquée d’Afrique » a été officiellement ouverte au public dimanche 25 février.ANIS BELGHOUL / AP




Dressé face à la Méditerranée, le minaret de la Grande Mosquée d’Alger apparaît comme une fusée reliée au ciel bleu azur. En ce dimanche 25 février, l’énorme obélisque de verre n’a qu’un concurrent : un immense drapeau algérien, flottant dans les jardins du vaste édifice religieux qui a reçu la visite du président Abdelmadjid Tebboune pour son inauguration.

Fièvre religieuse et histoire coloniale

Cette visite solennelle marque l’ouverture de l’édifice au public en prévision notamment du mois de Ramadan, qui commencera le 11 mars. De nombreux Algériens ont exprimé, depuis de longs mois, leur désir de pouvoir prier dans ce qui est désormais considéré comme « la plus grande mosquée d’Afrique », la troisième au monde après celles de Médine et de La Mecque, toutes deux situées en Arabie saoudite.

Si pour certains cette grande mosquée est un nouvel écrin destiné à entretenir la fièvre religieuse qui a gagné ces dernières années des pans entiers de la population algérienne, pour d’autres elle est surtout un pied de nez à l’histoire coloniale : c’est à quelques mètres seulement que le cardinal Lavigerie, ancien archevêque d’Alger, fondateur de la Société des missionnaires d’Afrique, avait installé une communauté de Pères Blancs jusqu’en 1920. Un journaliste rappelle, quant à lui, qu’à l’origine, la mosquée était voulue par l’ancien président, Abdelaziz Bouteflika, pour « nourrir son égo ».« Il voulait qu’à l’image de la Mosquée Hassan II de Casablanca au Maroc, cette structure porte son nom après son décès ».

Jusqu’à 120 000 fidèles

Finalement baptisée « Djamaâ El-Djazaïr » (en français : « grande mosquée d’Alger ») – ce lieu de culte aux proportions pharaoniques, bat de nombreux records : son minaret, rectangulaire, atteint 265 mètres, le plus haut du monde. Dans ses 46 étages, couverts de verre fumé, se trouvent des restaurants et cafés accessibles par de nombreux ascenseurs. Du haut, on a une vue imprenable sur Alger, sa baie et l’arrière-pays mais aussi sur l’ensemble de la mosquée, bâtie sur 20 hectares, ainsi que ses dépendances : un institut de sciences islamiques, un hôtel, une grande bibliothèque et une salle de prière pouvant contenir plus de 35 000 fidèles – jusqu’à 120 000 si on inclut l’esplanade. L’enceinte religieuse est également reliée à la promenade des Sablettes par deux ponts à haubans qui enjambent la voie express reliant la capitale algérienne à sa banlieue est.

Des polémiques sur les coûts

Mais ce gigantisme a un prix. Lancés par l’ancien président Bouteflika, qui voulait qu’elle porte son nom pour la postérité, les travaux ont été entamés en 2012 par la société chinoise China State Construction Engineering pour être achevés en avril 2019. Du moins pour le minaret et la grande salle de prière. Jusqu’à ce jour, le coût réel de la construction, estimé à 1 milliard d’euros au début des travaux et qui a suscité la controverse, n’est pas connu.

En 2020, la partie chinoise avait évoqué près de 2 milliards de dollars (1,84 milliard d’euros). Devant la polémique, le ministre des finances de l’époque, Aïmene Benabderrahmane, devenu premier ministre quelque temps après, avait, lui, affirmé que son département avait transféré 898 millions d’euros. À cette controverse se sont ajoutés des doutes sur la conformité de l’édifice aux normes parasismiques, bâti sur un terrain à forte sismicité. Une critique balayée par les autorités algériennes.
Sur le plan politique, celles-ci ont nommé un recteur, avec grade de ministre d’État, pour gérer la mosquée. Mohamed Mamoune El Kacimi El Hassani est issu de la confrérie Rahmaniyya, la plus répandue dans le pays et qui prêche, selon les autorités, un islam modéré. Une manière de « vulgariser l’islam du juste milieu », loin des « dérives » salafistes, comme l’a souligné le président Tebboune.

Mosquées, la course au gigantisme
LETTRE DU MAGHREB. À deux semaines du ramadan, Alger a inauguré la plus grande mosquée d’Afrique, la troisième au monde en termes de capacité, 120 000 fidèles