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Une plus grande transparence du financement des lieux de culte

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Le Sénat préconise une plus grande transparence du financement des lieux de culte
Le Monde | 18.03.2015 à 12h37 | Par Bertrand Bissuel

Le financement des lieux de culte devrait être rendu plus transparent, grâce à une « meilleure traçabilité » des flux d’argent ayant permis la construction d’édifices religieux. C’est l’une des principales recommandations du « rapport d’information » adopté à l’unanimité, mardi 17 mars, par la délégation sénatoriale aux collectivités territoriales – un organe dans lequel siègent des élus issus de tous les groupes. Coordonné par Hervé Maurey (UDI-UC, Eure), ce rapport entend « relayer une demande des élus locaux », qui sont nombreux à réclamer un contrôle renforcé.
Une telle préconisation vaut pour toutes les confessions, précise M. Maurey, mais elle concerne, au premier chef, l’islam, « la deuxième religion du pays », qui reste confronté à « un retard historique en matière d’immobilier cultuel », selon l’une des personnalités auditionnées dans le cadre de la réalisation du rapport.
Etant « en phase de rattrapage », les musulmans veulent édifier des mosquées, en particulier « dans les zones urbanisées et dans les grandes métropoles » où les besoins s’avèrent les plus importants, ce qui n’est pas forcément regardé d’un œil favorable par tous les riverains. Pour contribuer à « l’apaisement dans le déploiement de certains projets », il conviendrait donc de faire la lumière sur les sommes d’argent qu’ils ont mobilisées : le rapport suggère d’obliger les maîtres d’ouvrage à « produire un plan de financement avec un contrôle de l’origine des fonds par un commissaire aux comptes ».
Dons des fidèles
« Nous n’avons aucune information (…) sur la manière dont les lieux de culte sont financés, en premier lieu les mosquées », déclare M. Maurey, dans un entretien à Libération de mercredi. Or, ajoute-t-il, « nous avons besoin de savoir si certains doutes sont fondés ou non », en faisant une allusion – très vague – à des interrogations de Tracfin, la cellule anti-blanchiment de Bercy. Le rapport, de son côté, relève la difficulté à « identifier précisément l’origine des fonds des porteurs de projets (…), notamment lorsqu’il s’agit d’espèces ».
En revanche, M. Maurey ne souhaite pas, à ce stade, que la France s’inspire de l’Autriche, qui vient d’interdire les financements étrangers pour édifier des mosquées. Lors d’un déplacement à Strasbourg, le 3 mars, Manuel Valls avait déclaré que « des solutions existent en France lorsque des responsables cultuels cherchent un soutien et des moyens pour construire un lieu de culte ou un centre culturel ». « Je souhaite que ce réflexe consistant à demander le soutien d’Etats étrangers se perde », avait-il ajouté.
Le rapport de M. Maurey tord le cou à une idée très répandue : les subsides accordés par des pays tiers « vers des lieux de culte musulmans en France ne représentent qu’une part minoritaire du financement total des cultes, assurés en majorité par les dons des fidèles ». En règle générale, l’argent octroyé par ces Etats porte « sur des projets d’envergure mais (…) ponctuels » et les flux sont déclarés à l’administration. Parmi les principaux bailleurs de fonds figure l’Algérie dont les aides financières en faveur des musulmans de France ont atteint 1,8 million d’euros en 2013. Le Maroc, lui, a versé « environ 4 millions d’euros » dont grosso modo un tiers pour la construction et la rénovation de mosquées (Saint-Etienne, Strasbourg, Blois, Evry…). L’Arabie Saoudite a également mis la main à la poche pour celle de Mantes-la-Jolie (Yvelines).
Mais l’essentiel du financement des lieux de prière provient de donateurs privés (particuliers, organisations non gouvernementales), de l’entraide entre associations, de prêts et du soutien apporté par les fédérations musulmanes, énumère M. Maurey.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/03/18/le-senat-preconise-une-plus-grande-transparence-du-financement-des-lieux-de-culte_4596029_823448.html#DEII96s9IzU6F6lU.99

samuel

samuel
Administrateur

cultes devraient pouvoir reprendre le 29 mai. Avant la fête catholique, mais après la fin du ramadan. Les musulmans contestent ce "deux poids, deux mesures".

Quatre jours. Quatre petits jours qui sèment la zizanie. En envisageant la réouverture des lieux de culte le 29 mai, Edouard Philippe a-t-il vraiment mesuré le trouble qu'il semait entre croyants, chahutés par deux mois de réclusion forcée ? Pourtant, le 28 avril, lors de la présentation du plan de déconfinement à l'Assemblée nationale, le Premier ministre est très clair : les églises, mosquées, temples et synagogues, jugés non prioritaires, ne pourront reprendre la célébration des cultes qu'à partir du 2 juin. Une date qui a le mérite, d'un point de vue politique et religieux, d'enjamber toutes les grandes fêtes : le ramadan pour les musulmans, chavouot pour les juifs, l'ascension et la Pentecôte catholiques. 
C'est sans compter sur le lobbying intense que lance alors une partie de la hiérarchie catholique. Dans un communiqué, la Conférence des évêques de France déplore la décision de l'exécutif : "La fête de la Pentecôte devrait marquer, sauf reprise de l'épidémie, la fin du confinement sévère en matière de vie liturgique et sacramentelle". Des échanges assez vifs s'ensuivent, un rendez-vous est organisé avec Christophe Castaner, le ministre de l'Intérieur. Le 4 mai, devant le Sénat, Edouard Philippe change de pied et annonce qu'il est prêt à étudier une reprise des offices dès le vendredi 29 juin, pour la Pentecôte, donc et pour chavouot. "Je sais (...) que la période du 29 mai au 1er juin correspond pour plusieurs cultes, à des fêtes ou à des étapes importantes du calendrier religieux", explique le Premier ministre.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Gérald Darmanin, fier ministre des cultes[/size]

Portrait 

Désireux d’assumer son rôle auprès des cultes, le nouveau ministre de l’intérieur s’est rendu vendredi 10 juillet à la synagogue de la Victoire, à Paris. Il compte rencontrer rapidement les différents représentants des religions, et souhaite se rendre à Saint-Étienne-du-Rouvray pour commémorer l’assassinat du père Jacques Hamel.



  • Gauthier Vaillant, 
  • le 13/07/2020 à 07:01 
  • Modifié le 13/07/2020 à 14:54



Une plus grande transparence du financement des lieux de culte Ministre-linterieur-cultes-Gerald-Darmanin-linterieur-synagogue-Victoirele-rabbin-Moshe-Sebbag-president-Consistoire-central-Joel-Mergui-grand-rabbin-France-Haim-Korsia-10-juillet_0_729_490



Le ministre de l’intérieur et des cultes Gérald Darmanin à l’intérieur de la synagogue de la Victoire avec le rabbin Moshe Sebbag, le président du Consistoire central Joël Mergui et le grand rabbin de France Haim Korsia, le 10 juillet.[size=12]ANNE-CHRISTINE POUJOULAT/AFP
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Il est un peu plus de 20 heures, vendredi 10 juillet, quand Gérald Darmanin quitte la grande synagogue de la Victoire, dans le 9e arrondissement de Paris. Accueilli par le grand rabbin de France Haïm Korsia, le président du Consistoire Joël Mergui, le président du Crif Francis Kalifat et le rabbin de la grande synagogue Moshe Sebbag, il vient d’assister à l’office de shabbat après une visite des lieux.
→ DOSSIER : Toute l’actualité sur Gérald Darmanin

« Je n’oublie pas que le ministre de l’intérieur est le ministre des cultes, et qu’à ce titre il doit, et c’est une grande fierté pour ma part, garantir à tous les citoyens croyants qu’ils ont une liberté indéfectible de croire en leur religion », déclare-t-il depuis le perron de la synagogue.
Nommé ministre de l’intérieur lundi 6 juillet, Gérald Darmanin n’aura pas mis longtemps à endosser cet autre costume qui lui échoit comme locataire de l’hôtel de Beauvau. Dès la passation de pouvoir avec son prédécesseur, Christophe Castaner, il avait souligné son rôle de ministre des cultes.

La liberté de conscience doit être défendue


« En République, la liberté de conscience et de croyance doit être ardemment défendue, mais jamais la foi ne doit être au-dessus de la loi », déclarait-il. Il a alors promis d’être « intraitable » avec le « séparatisme » – le nom macronien du communautarisme – et de « combattre de toutes (ses) forces l’islamisme politique ».
Si Gérald Darmanin aborde si volontiers cette partie de son nouveau ministère, c’est parce que le sujet l’intéresse depuis longtemps. « J’ai toujours été passionné par la question des relations entre l’État et les religions », confie-t-il à La Croix en marge de son déplacement à la grande synagogue.

« Le cadre de 1905 ne doit en aucun cas être remis en cause »


En juin 2016, alors qu’il était encore maire (LR) de Tourcoing, il avait d’ailleurs publié un texte d’une soixantaine de pages sur le sujet, intitulé Plaidoyer pour un islam français, fruit d’un travail de réflexion avec le député Henri Guaino, commandé aux deux hommes par Nicolas Sarkozy.
Dans ce texte, toujours disponible en ligne, il dressait un sombre constat de l’état de communautarisation du pays, et prônait des mesures plutôt drastiques, plaidant notamment pour « imposer une concorde » à l’islam « afin de l’assimiler totalement à la République », ou proposant d’ajouter le mot « laïcité » à la devise républicaine.
Aujourd’hui, le Gérald Darmanin devenu ministre de l’intérieur n’est plus aussi catégorique. S’il considère toujours qu’il y a un travail à mener avec l’islam en France, il affirme désormais que « le cadre de 1905 ne doit en aucun cas être remis en cause ».
Mais l’intérêt pour le sujet demeure, et le jeune ministre en a discuté avec le président de la République bien avant sa nomination à Beauvau. Ce qui lui permet d’affirmer que, sur ces sujets, « je partage les mêmes convictions que le président de la République ». Il loue au passage le discours d’Emmanuel Macron au Collège des Bernardins, le 9 avril 2018, « rigoureux et enthousiaste », dans lequel le président détaillait sa conception du rôle des religions et des croyants dans la société.

L’altérité comme héritage


À son intérêt intellectuel s’ajoute aussi l’histoire familiale de celui qui porte, en deuxième prénom, celui de son grand-père Moussa, tirailleur algérien et harki. Il ne l’a pas connu, pas plus que son autre grand-père, juif maltais. Et il n’a pas hérité de la foi de ces aïeux qui ont même fait baptiser leurs enfants par souci d’intégration. Mais, de cet héritage « il reste quelque chose qui me rappelle que l’altérité est essentielle, et le danger de s’enfermer dans une autre communauté que la communauté nationale », assure le ministre à La Croix.
« Je n’aurai pas le ministère des cultes honteux », résume-t-il après sa visite à la grande synagogue. « J’ai déjà contacté l’intégralité des représentants des cultes en France », indique-t-il. Il prévoit notamment de rencontrer « dans les prochains jours » le président du Conseil français du culte musulman, en visitant « une mosquée de son choix ».
Il annonce également son souhait de se rendre à Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), pour commémorer le meurtre en 2016 du père Jacques Hamel par deux djihadistes, « un assassinat horrible qui a marqué toute la communauté nationale ». Selon les informations de La Croix, Gérald Darmanin souhaiterait s’y rendre un dimanche de juillet, et assister à une messe. Il se trouve que justement, cette année, le 26 juillet, date de l’attentat, tombe un dimanche.

samuel

samuel
Administrateur

Uj
[size=38]Royaume-Uni : les Églises chrétiennes contre une réduction de l’aide internationale Abonnés[/size]
Analyse 

Dans les colonnes de l’ « Evening Standard », mardi 6 avril, Justin Welby, archevêque de Cantorbéry, et le cardinal Vincent Nichols, archevêque de Westminster, ont jugé « profondément inquiétante » la réduction de l’aide internationale décidée par le gouvernement britannique. Ils appellent les autorités à faire volte-face.


  • Malo Tresca, 
  • le 09/04/2021 à 06:18 
  • Modifié le 09/04/2021 à 10:08

  • [size=38]Royaume-Uni : les Églises chrétiennes contre une réduction de l’aide internationale A[/size]

    Analyse 


  • « Les promesses – et la vérité – comptent en politique, comme dans tous les domaines de la vie. Il n’est jamais trop tard pour faire ce qu’il faut. La Grande-Bretagne ne peut pas prospérer, si elle se dérobe à ses responsabilités internationales », martèlent les deux archevêques dans le texte, avant d’appeler le premier ministre Boris Johnson à faire volte-face : « (…) il s’agit [d’une question] de moralité et de respect de notre promesse, envers les personnes qui vivent dans la pauvreté. Nous devons être à la hauteur de la situation ».
    → ANALYSE. Londres se penche sur le premier budget de l’après-Brexit
    Ce n’est pas la première fois que les dirigeants catholiques et anglicans montent au créneau dans cet épineux dossier. Après avoir interpellé à plusieurs reprises l’opinion publique et les responsables politiques sur le sujet depuis novembre dernier, Justin Welby avait notamment exhorté, début mars, les fidèles à faire part de leur désaccord à leurs élus.

    « Pas en arrière »

    Dans une missive adressée fin novembre aux parlementaires, le cardinal Vincent Nichols avait quant à lui évoqué un « pas en arrière » pour le pays. « Les grandes tragédies des migrations massives forcées et de la traite des êtres humains doivent être combattues à la racine. Des programmes d’aide soigneusement ciblés et bien gérés sont une partie essentielle de cet effort », soulignait-il, avant de citer l’encyclique Fratteli Tutti du pape François : « ou bien nous nous sauvons tous ou bien personne ne se sauve ».

    Outre-Manche, l’annonce de ces coupes budgétaires a aussi cristallisé des résistances dans les rangs des députés ; alors que le Royaume-Uni doit accueillir, en juin prochain, le sommet du G7, « [il est] le seul pays [du groupe] qui réduit l’aide internationale. D'un point de vue diplomatique, il est donc impératif que le premier ministre soit en mesure de rassembler tous les alliés pour donner un coup de fouet à la reprise mondiale, lutter contre la Covid et éviter le changement climatique », a ainsi déploré Anthony Mangnall, député du Totnes. En mars, Boris Johnson avait de son côté fait valoir que les Britanniques pouvaient rester « fiers » de leurs dépenses d’aide, parmi les plus élevées des membres du G7.






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