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Les bienfaits de la loi de Moïse.

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Toute l'Ecriture est divinement inspirée, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour former à la justice; Afin que l'homme de Dieu soit accompli, et propre à toute bonne oeuvre." 2Timothée 3:16, 17
Tous les savants, ou presque, s'entendent sur le fait que le système de lois sanitaires des cinq premiers livres de la Bible est le premier qui ait été établi de toute l'histoire de l'humanité. L'un d'eux les appelle "les chapitres remarquables" de la médecine de l'antiquité. Un autre reconnaît que ces lois reposent sur "de solides fondements scientifiques", même si on les compare aux découvertes de l'ère moderne; il ajoute que, de tous les codes médicaux de l'antiquité, aucun n'est aussi complet ni approfondi.
Selon un autre encore, ces lois "dépassent d'une façon incroyable les connaissances de l'époque", et "les Israélites sont les fondateurs de la médecine préventive".
Un autre savant affirme que ces lois sanitaires étaient supérieures à toutes celles qui existaient alors, dans le monde entier" et que, "jusqu'à aujourd'hui, on n'y a apporté que très peu d'améliorations".

R. K. Harrison remarque également que ces règles étaient "essentielles à la santé des gens et des collectivités en ce qu'elles permettaient d'éviter le déclenchement d'épidémies dévastatrices", et qu'en "observant les règles d'hygiène, d'isolement et de propreté, on se protégeait grandement des maladies infectieuses". Il observe enfin que "les principes énoncés dans le Pentateuque sont conformes aux principes fondamentaux de la médecine préventive actuelle".

A. Castiglione, grand expert en maladies tropicales, ajoute que "l'on ne peut s'empêcher d'admirer profondément les précautions sanitaires prises au temps de Moïse. Les règles strictes qui régissent la quarantaine ont sans aucun doute été extrêmement bénéfiques". Enfin, nous nous devons de mentionner les paroles de Harry Wain, historien contemporain de la médecine. Il affirme que ces lois sont "d'avant-garde", qu'elles sont "supérieures à tout ce qui existait à l'époque" et "aussi bénéfiques aujourd'hui qu'à l'époque où on les a énoncées".
De telles éloges sont très impressionnantes, surtout si l'on se rappelle que (1) dans l'antiquité, la grande majorité de la population était ignorante, que (2) l'auteur même du code de lois du Pentateuque avait été imprégné de ces erreurs flagrantes dès son enfance (Actes 7:22), et que (3) ces lois étaient transmises à un peuple de nomades qui avait passé des années dans la servitude.
Les lois dont parlent ces historiens de la médecine comprennent, notamment, les règles de propreté et d'hygiène de base, les méthodes de quarantaine, ainsi que les règles sur le traitement des ordures énoncées dans les livres du Lévitique, des Nombres et du Deutéronome.
Avant de les étudier, on se rappellera qu'elles n'ont pas été édictées dans le but d'établir des principes scientifiques. Il semble plutôt qu'elles régissaient des cérémonies sociales ou religieuses. L'aspect scientifique y est très secondaire, mais il n'en est pas moins présent.

Josué

Josué
Administrateur

UN EXEMPLE : La Loi mosaïque demandait aux Israélites d’éliminer les déchets en les enterrant “ en dehors du camp ”. (Deutéronome 23:12, 13.) S’ils touchaient un cadavre d’homme ou d’animal, ils devaient se laver ou laver leurs vêtements (Lévitique 11:27, 28 ; Nombres 19:13, 19). En ce temps-là, les lépreux étaient mis en quarantaine jusqu’à ce qu’un examen confirme qu’ils n’étaient plus contagieux. — Lévitique 13:1-8.

Josué

Josué
Administrateur

Propreté et hygiène - En notre siècle de lumières, on oublie facilement qu'à une certaine époque, on n'entendait que très rarement parler de précautions sanitaires. Toutefois, ceux qui connaissent un peu l'histoire de la médecine se souviendront d'Ignaz Semmelweis qui, vers le milieu du XIXe siècle, à Vienne, essaya désespérément de convaincre ses collègues qu'ils contribueraient énormément à la prévention des maladies infectieuses en se lavant tout simplement les mains.
Semmelweis était assistant à la salle d'obstétrique du Allgemeine Krankenhaus, un grand hôpital universitaire viennois. Bien que cet hôpital soit de renommée mondiale, le taux de mortalité dans ses maternités y était terriblement élevé : une patiente sur six mourait de "fièvre après couches". Semmelweis en était profondément troublé : il résolut de découvrir la cause de cette hécatombe.
Certains de ses collègues attribuaient cette calamité à la peur ou à un empoisonnement de l'air. Aussi piteuses que ces suggestions puissent paraître, elles étaient le seul point de départ dont il disposait. Semmelweis s'engagea à découvrir la cause réelle. Placé à la tête de l'une des salles d'obstétrique, il prit soigneusement note de tous les faits et inscrivit toutes ses observations. Peu de temps après, il en était arrivé à une conclusion... mais celle-ci semblait si simple qu'il osait à peine l'avancer.
Quelques observations de plus, et il fut convaincu. Il avait remarqué, par hasard, que le taux de mortalité était beaucoup plus élevé dans la section où les étudiants en médecine, et non les sages-femmes, examinaient les patientes. Il lui avait été facile d'établir un lien plutôt général... mais il eut plus de peine à mettre le doigt sur la cause exacte. L'horaire quotidien des internes lui avait vaguement suggéré une solution. Semmelweis avait remarqué que la toute première tâche des médecins et de leurs étudiants était l'autopsie des patients décédés au cours des vingt-quatre dernières heures. Puis, sans aucune précaution hygiénique, professeurs et étudiants passaient de la salle d'autopsie aux salles de maternité pour examiner leurs patientes vivantes.
Semmelweis établit une nouvelle règle quelque peu étrange... dans sa salle de maternité, docteurs et étudiants en médecine étaient obligés de se laver soigneusement les mains avant d'examiner une patiente. Le taux de mortalité descendit presque à zéro. Un mois plus tard, dans cette salle, une patiente seulement sur quarante-deux était décédée. Deux mois après, le taux de mortalité demeurait à une patiente sur quatre-vingt-quatre. Semmelweis avait trouvé la solution.

Même avec ces preuves, il lui fallut des années pour convaincre les membres de la profession médicale que de simples mesures d'hygiène pouvaient empêcher l'infection de se propager. Cette découverte était aussi simple qu'elle était profonde. Elle représente un tournant dans l'histoire de la médecine. Il n'est peut-être pas très exact de dire qu'il s'agit d'une découverte. On devrait plutôt l'appeler "redécouverte" puisque, plus de trois millénaires avant les observations de Semmelweis, Moïse avait transcrit des commandements détaillés (Nombres 19; Lév. 13-15) qui s'orientaient très évidemment dans le même ordre d'idée. Si on en avait observé la logique, ce code aurait évité des siècles de morts et de souffrances inutiles.

samuel

samuel
Administrateur

 propos de ce médecin.
Ignace Philippe Semmelweis (en hongrois, Ignác Fülöp Semmelweis), né le 1[size=12]er juillet 1818[/size] à Ofen (nom allemand de Buda, qui fait aujourd'hui partie de Budapest), mort à Döbling, près de Vienne le 13 août 1865, est un médecin obstétricienaustro-hongrois qui œuvra pour l'hygiène. Il démontra l'utilité du lavage des mains après la dissection d'un cadavre, avant d'effectuer un accouchement. Il démontra également que le lavage des mains diminuait le nombre des décès causés par la fièvre puerpérale des femmes après l'accouchement. Jusqu'alors les médecins accoucheurs essayaient en vain de comprendre d'où venaient les fièvres puerpérales en faisant de nombreuses autopsies. Ce fut un coup terrible pour ceux qui furent finalement convaincus par les idées de Semmelweis : il s'avérait qu'eux-mêmes transmettaient involontairement la maladie.
J'ai vue un film le concernant pour la petite histoire il a accouché sa femme mais dans l'urgence il ne sait pas lavé les mains et sa femme en est morte emportée par la fièvre.

Josué

Josué
Administrateur

Les lois de Moïse étaient simples. Quiconque touchait un mort était déclaré impur. Ces personnes devaient alors laver leur corps et leurs vêtements plusieurs fois à grande eau avant de reprendre leur place dans la société. Le plus extraordinaire, c'est que nous les observons encore à l'heure actuelle. Comme l'écrit un savant, "elles sont essentielles au contrôle de la maladie". Un autre scientifique explique que "le nettoyage à l'eau et au savon détruit les micro-organismes qu'attrapent les patients, et on le recommande non seulement comme précaution d'hygiène personnelle, mais comme procédure principale de prévention des infections nosocomiales que propage le personnel hospitalier". Un autre encore ajoute : "Il n'y a rien de mieux que de se laver les mains régulièrement au savon et à grande eau". Il est bien malheureux de constater qu'il a fallu à la médecine tant de siècles pour redécouvrir l'importance de se laver.
http://www.rosee.org/rosee/page77.html

Josué

Josué
Administrateur

On rencontre également, en occident, de graves problèmes de santé à cause d’une trop grande consommation d’hydrates de carbone raffinés. Le sucre et la farine raffinés ont été vidés de leur contenu nutritionnel. Les populations qui consomment de grandes quantités d’hydrates de carbone raffinés sont parmi celles qui ont un taux très élevé de diabète et d’autres problèmes semblables. La Bible nous met pourtant en garde contre ce genre de régime. Salomon fut divinement inspiré à dire : « Il n’est pas bon de manger beaucoup de miel » (voir Proverbe 25 :16, 27). Même si le miel est une substance « naturelle », il est « raffiné » dans un sens par les abeilles qui le produisent. Le pollen collecté parmi un grand nombre de fleurs se trouve sous forme concentré dans certains miels. Le principe biblique consiste à consommer modérément les hydrates de carbone raffinés. Cependant, à cause de l’engouement pour les boissons légères (plus de 200 litres par personne chaque année aux Etats-Unis), les pâtisseries, les confiseries et la nourriture sucrée, beaucoup de gens ingèrent plus de 45 kilos de sucres raffinés par an – au détriment de leur santé !

Josué

Josué
Administrateur

La Loi encourageait la miséricorde et la compassion, surtout envers le petit et le faible. Les veuves et les orphelins faisaient l’objet d’attentions particulières (Exode 22:22-24). Les animaux utilisés pour le travail ne devaient pas être traités avec cruauté. Les droits fondamentaux de la propriété étaient reconnus (Deutéronome 24:10 ; 25:4). La Loi exigeait la peine de mort pour le meurtrier, mais elle laissait place à la miséricorde en cas d’homicide accidentel (Nombres 35:11). Dans le cas de certains délits, il semble que la sévérité de la peine était laissée à la discrétion des juges israélites, qui tenaient compte de l’attitude du coupable. — Voir Exode 22:7 et Lévitique 6:1-7.

samuel

samuel
Administrateur

Un bienfait c'est aussi la mise en quarantaine des malades contagieux.
Les médecins ont mis des siècles avant d'en comprendre les avantages.

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