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22 déc. Lecture de la Bible : Josué 9-11

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Josué

Josué
Administrateur

En Genèse 36:2, selon le texte massorétique, le grand-père d’une femme d’Ésaü est appelé “ Tsibéôn le Hivite ”. Toutefois, aux versets 20 et 24, on le présente comme un descendant de Séïr le Horite. “ Horite ” signifie peut-être simplement “ troglodyte ”, car il est dérivé du terme hébreu ḥor (“ trou ”). Dans ce cas, Tsibéôn était un Hivite troglodyte.
En Josué 9:7, la Septante présente les Guibéonites comme des “ Horréens ” (Horites) et non comme des “ Hivites ”. Il s’agit apparemment d’une erreur, étant donné que les Guibéonites appartenaient à l’une des sept nations cananéennes vouées à la destruction (alors que les Horites ne l’étaient pas). Le texte massorétique met “ Hivites ”. — Jos 9:22-27 ; Dt 7:1, 2.
Les Hourrites. De nombreux biblistes pensent aujourd’hui que les Horites constituaient en fait un peuple qu’ils appellent les “ Hourrites ”. Cette conclusion repose essentiellement sur des similitudes linguistiques, notamment dans des noms propres qui figurent sur d’anciennes tablettes récemment découvertes dans une vaste région englobant la Turquie actuelle jusqu’à la Syrie et la Palestine. Ils soutiennent donc que les “ Hourrites ” en vinrent à être appelés Horites. Il est à noter toutefois ce que E. Speiser déclare à ce propos dans l’ouvrage The World History of the Jewish People (1964, vol. 1, p. 159). Il présente tout d’abord le raisonnement suivant :
“ Les Yebousites de la Bible, eux aussi, se révélèrent être des Hourrites déguisés. Ils étaient de souche étrangère (Jug. 19:12), description qu’appuie le nom propre yebousite Awarnah (II Sam. 24:16, Kethib). Un dirigeant de Jérusalem ou Yebous portait au XIVe siècle un nom qui contenait l’élément hourrite attesté Hépa. Ainsi donc, les Yebousites et les Hivites, deux nations préisraélites, n’étaient que des subdivisions du groupe hourrite très répandu. ” Mais il ajoute :
“ Cependant, la conclusion exposée ci-dessus doit à présent subir une correction sensible. Cette modification nécessaire n’ôte rien à la position qu’occupaient les Hourrites locaux dans les temps bibliques les plus reculés. Toutefois, elle remet en cause l’identification systématique des Hourrites aux Horites. [...] Aucun élément archéologique n’indique l’existence d’une colonie hourrite en Édom ou en Transjordanie. Il s’ensuit donc que le terme biblique Hori, de manière très semblable à Koush, a dû être utilisé autrefois dans deux sens différents et non apparentés. ”
Les érudits souhaitent utiliser un nom qui ne figure pas dans la Bible et l’appliquer à un peuple répandu qui, disent-ils, englobe les Horites, les Hivites et les Yebousites. Toutefois, ils admettent que, par exemple, on n’a aucune preuve de l’existence d’une population hourrite en Édom, où vivaient les Horites dont parle la Bible. Par conséquent, en appelant “ Horites ” les habitants préédomites de Séïr, la Bible limite apparemment l’usage de ce nom aux seuls habitants de Séïr.

Josué

Josué
Administrateur

Sous la conduite de Josué, les Israélites mirent six années à assujettir le pays de Canaan, afin de partager le territoire conquis parmi les douze tribus d’Israël. Chaque région reçut le nom de la tribu à laquelle elle fut attribuée. L’année qui suivit ce partage du territoire par le sort fut une année sabbatique, la première célébrée dans le pays. À peine établis, les Israélites durent aussitôt manifester leur foi, car ils devaient obéir à la loi de Jéhovah leur prescrivant de laisser la terre jouir de sa première année de repos sabbatique (Josué 14:1 à 17:18). Grâce à la bénédiction divine, les Israélites obéissants subsistèrent jusqu’à la récolte de la huitième année. — Lévitique 25:18-22.
Josué, fils de Nun, membre de la tribu d’Éphraïm, fut le premier d’une série de juges que Jéhovah suscita en Israël pendant une période de 356 ans. Melchisédek, prêtre de Jéhovah et roi de Salem, avait disparu voilà plusieurs centaines d’années et ne régnait plus sur le pays de Canaan. Les conditions avaient donc changé, car l’un des rois de Canaan qui combattirent contre Josué fut Adoni-Tsédek, roi de Jérusalem. Le nom Adoni-Tsédek signifie “seigneur de justice”. Mais Adoni-Tsédek ne fut pas un roi juste comme Melchisédek, puisqu’il combattit contre Jéhovah et son peuple. Après que Josué eut vaincu ce roi de Jérusalem et ses alliés à la bataille de Gabaon, il fit mourir Adoni-Tsédek. — Josué 10:1-27 ; 12:7-10.

Josué

Josué
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22 déc.  Lecture de la Bible :  Josué 9-11 Josuy_10
Un des dieux contre lesquels luttèrent les hébreux, le Baal au foudre de Ras Shamra.

Josué

Josué
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Après la Pâque, les Israélites commencèrent à manger les produits du pays de Canaan. Exactement au moment voulu, la manne miraculeuse dont ils se nourrissaient depuis quarante ans cessa de se former chaque matin sur le sol. Ils n’en avaient plus besoin, à présent qu’ils se trouvaient dans un “pays où coulent le lait et le miel”. (Josué 5:12.) C’est aussi à partir de l’année de leur entrée en Terre promise, soit en 1473 av. notre ère, que les Israélites commencèrent à compter les années en vue de la célébration des années sabbatiques et des années jubilaires ou de libération. — Lévitique 25:1, 2.
La Terre promise tout entière devait jouir régulièrement de ses sabbats. En effet, de la fidélité des Israélites à observer les années sabbatiques et le Jubilé tous les cinquante ans dépendait la prolongation de leurs jours comme un peuple libre dans le pays que Dieu leur donnait. À partir de cette année-là, 1473 av. notre ère, jusqu’à la deuxième année sabbatique que les Israélites n’observèrent que partiellement durant le règne de leur dernier roi, Sédécias (617 à 607 av. notre ère), la loi de Dieu exigeait la célébration de 17 Jubilés et de 121 années sabbatiques intermédiaires (Jérémie 34:1-22). Jéhovah allait sans cesse veiller à la manière dont les Israélites garderaient les années sabbatiques et les Jubilés.
Sous la conduite de Josué, les Israélites mirent six années à assujettir le pays de Canaan, afin de partager le territoire conquis parmi les douze tribus d’Israël. Chaque région reçut le nom de la tribu à laquelle elle fut attribuée. L’année qui suivit ce partage du territoire par le sort fut une année sabbatique, la première célébrée dans le pays. À peine établis, les Israélites durent aussitôt manifester leur foi, car ils devaient obéir à la loi de Jéhovah leur prescrivant de laisser la terre jouir de sa première année de repos sabbatique (Josué 14:1 à 17:18). Grâce à la bénédiction divine, les Israélites obéissants subsistèrent jusqu’à la récolte de la huitième année. — Lévitique 25:18-22.
Josué, fils de Nun, membre de la tribu d’Éphraïm, fut le premier d’une série de juges que Jéhovah suscita en Israël pendant une période de 356 ans. Melchisédek, prêtre de Jéhovah et roi de Salem, avait disparu voilà plusieurs centaines d’années et ne régnait plus sur le pays de Canaan. Les conditions avaient donc changé, car l’un des rois de Canaan qui combattirent contre Josué fut Adoni-Tsédek, roi de Jérusalem. Le nom Adoni-Tsédek signifie “seigneur de justice”. Mais Adoni-Tsédek ne fut pas un roi juste comme Melchisédek, puisqu’il combattit contre Jéhovah et son peuple. Après que Josué eut vaincu ce roi de Jérusalem et ses alliés à la bataille de Gabaon, il fit mourir Adoni-Tsédek. — Josué 10:1-27 ; 12:7-10.

Josué

Josué
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La vallée d’Ayyalôn, la plus au N. de plusieurs vallées qui coupent les collines de la Shéphéla, était un lieu de passage important parce qu’elle menait des plaines côtières à la région montagneuse du centre. Josué était sans doute à proximité de cette plaine quand il demanda que le soleil et la lune restent ‘ immobiles ’ au-dessus de Guibéôn et de la “ basse plaine d’Ayyalôn ”, afin d’achever sa victoire sur les cinq rois amorites qui avaient attaqué Guibéôn (Jos 10:12-14). Après que Josué eut conquis Canaan, Ayyalôn fut donnée à la tribu de Dân (Jos 19:40-42). Elle devint par la suite ville lévitique et fut comme telle attribuée aux fils de Qehath. — Jos 21:24.
Au départ, les Danites furent incapables de chasser les Amorites d’Ayyalôn, mais Éphraïm vint du N. à leur secours et “ la main de la maison de Joseph se fit si lourde qu’ils [les Amorites] furent astreints à la corvée ”. (Jg 1:34, 35.) C’est peut-être la raison pour laquelle 1 Chroniques 6:69 cite Ayyalôn parmi les possessions d’Éphraïm que cette tribu céda aux Qehathites (voir toutefois le cas similaire de GATH-RIMMÔN No 1). Plus tard, peut-être après la scission du royaume, il est question d’Ayyalôn comme de la ville de certains Benjaminites en vue. — 1Ch 8:13.
C’est à Ayyalôn que Saül vainquit les Philistins pour la première fois, quand les Israélites “ continuèrent d’abattre les Philistins [en fuite], depuis Mikmash jusqu’à Ayyalôn ”. (1S 14:31.) De nombreuses années plus tard — le royaume avait été divisé après la mort du roi Salomon (env. 998 av. n. è.) — Rehabam, le fils et successeur de ce dernier, fortifia Ayyalôn et en fit une de ses forteresses pour se défendre au N. et à l’O. (2Ch 11:5-12.) Presque deux siècles et demi après, sous le règne du roi infidèle Ahaz (761-746 av. n. è.), Ayyalôn passa aux mains des Philistins. — 2Ch 28:18.

Josué

Josué
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● La Bible déclare que Josué “ brûla [la ville cananéenne de] Hatsor au feu ”. (Josué 11:10, 11.) Or dans les ruines de cette cité, des archéologues ont mis au jour trois temples cananéens qui avaient été complètement détruits. Ils ont également exhumé des preuves que la ville a été brûlée dans les années 1400. Autant de faits en accord avec la Bible.
● Autre cité cananéenne digne d’intérêt : Guibéôn, située à une dizaine de kilomètres de Jérusalem. Les archéologues ont identifié cette ville grâce à la découverte d’une trentaine d’anses de jarres portant son nom gravé. Contrairement aux Hatsorites, les Guibéonites ont réclamé la paix à Josué, qui a alors fait d’eux des “ puiseurs d’eau ”. (Josué 9:3-7, 23.) Pourquoi une telle fonction ? Deux Samuel 2:13 et Jérémie 41:12 rapportent que Guibéôn abondait en eau. Conformément à ces extraits bibliques, un ouvrage affirme : “ La particularité la plus notable de Guibéôn est en fait son riche approvisionnement en eau, dû à la présence d’une source principale et de sept sources secondaires. ” — Archaeological Study Bible, New International Version.
● Des documents indépendants corroborent l’historicité de dizaines de personnages bibliques. Comme indiqué précédemment, on y retrouve les noms de 17 rois issus d’Abraham qui ont régné sur Israël ou Juda. Citons Ahab, Ahaz, David, Hizqiya, Manassé et Ouzziya. La mention de dynasties témoigne avec force qu’une nation nommée Israël est non seulement entrée en Canaan, mais s’y est aussi établie.
● En 1896, on a découvert en Égypte, à Thèbes, la stèle de Mérneptah. Ce relief vante les campagnes militaires du pharaon Mérneptah en Canaan vers 1210 avant notre ère. Il contient la première mention connue non biblique d’Israël, une preuve supplémentaire de l’existence de la nation.

Josué

Josué
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“Aux temps bibliques, l’ignorance et la superstition prévalaient et on ignorait l’art de l’écriture. L’histoire se transmettait par tradition orale. Alors comment la Bible peut-elle dire vrai?”
Croyez-vous qu’il en a été ainsi pour la Bible?
DES gens de bonne foi professent cette opinion. D’autres bien sûr ont recours à un tel raisonnement pour fuir leurs responsabilités. Mais est-il vrai qu’aux temps bibliques la société humaine était à ce point primitive et ignorante?
À la suite de fouilles entreprises ces dernières années à Ebla, en Syrie, une bibliothèque contenant plus de 16 500 tablettes cunéiformes (graphie avec des clous ou des coins sur argile) a été mise à jour. Ces tablettes et d’autres fragments décrivent divers aspects de la vie dans cette région. Quelle est la période couverte par ces documents? D’après les estimations les plus récentes des archéologues, elles se rapporteraient au troisième millénaire avant notre ère.
Que contiennent ces tablettes au sujet de cette société humaine antique? Était-elle aussi primitive, illettrée et ignorante qu’on a bien voulu le laisser croire? Demandons l’avis de Giovanni Pettinato, un philologue spécialisé: “À l’examen préliminaire de ces documents, nous pouvons déduire qu’Ebla était un État très industrialisé dont l’économie reposait sur la production industrielle et sur le commerce international plutôt que sur l’agriculture et l’élevage.”
Quel genre d’informations cette bibliothèque renfermait-elle? G. Pettinato fait ce commentaire: “Les textes conservés offrent dans 70 pour cent des cas un aspect économique ou administratif. (...) 10 pour cent présentent un caractère historique et ont été soigneusement gardés, car ils comportaient des traités internationaux. Vingt pour cent des textes sont des œuvres littéraires.”
Il reste à établir si le contenu de cette bibliothèque éclairera d’un jour nouveau certains événements dont parle la Bible. Toutefois, il convient de souligner qu’il y a plus de quatre mille ans la vie n’était pas aussi primitive que certains voudraient nous le faire croire.
L’exactitude de la Bible est-elle confirmée?
Venons-en à cette question: Les inscriptions anciennes et les écrits cunéiformes mettent-ils en lumière les faits historiques rapportés par la Bible? Considérons quelques exemples tirés du récit biblique. Tout d’abord, examinons un fait qui remonte au XVe siècle avant notre ère, à l’époque de la conquête de Canaan par les Israélites.
1. “Josué fit demi-tour en ce temps-là et s’empara de Hazor; (...) et il brûla Hazor au feu.” — Josué 11:10, 11.
En 1928, le professeur John Garstang, aujourd’hui disparu, identifia Tell el-Qedah, au nord de la mer de Galilée, comme le site de la ville cananéenne de Hazor. De 1955 à 1958, des fouilles eurent lieu et une équipe d’archéologues trouvèrent une tablette cunéiforme qui apporta la confirmation de cette précédente découverte. D’après l’ouvrage Illustrations de l’histoire de l’Ancien Testament (angl.), de R. Barnett, “on découvrit des maisons cananéennes à l’angle sud-ouest de la ville basse. (...) La couche de terrain où ces constructions étaient situées (...) porte les marques d’un abandon et d’une destruction violente. Cela s’accorde de façon admirable avec la tradition de la prise de la ville par Josué après l’exode”. Voilà qui vient donc confirmer l’exactitude de la Bible.

Josué

Josué
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Il semblerait qu’il y ait deux récits de la première conquête de Debir par Israël au cours des opérations militaires de Josué. Le premier récit rapporte simplement l’anéantissement des habitants de Debir (Jos 10:38, 39). Le deuxième, en Josué 11:21-23, est sans doute une récapitulation de la même conquête (puisque selon le verset 18 “ c’est pendant de longs jours que Josué fit la guerre à tous ces rois ”), qui contient cependant un renseignement supplémentaire : Josué ‘ retrancha les Anaqim [...] à Debir ’ et dans d’autres villes. Ce renseignement supplémentaire fut peut-être inséré pour montrer que pas même les Anaqim, de grande taille, qui avaient suscité la crainte dans le cœur des espions israélites plus de 40 ans auparavant (Nb 13:28, 31-33 ; Dt 9:2), n’avaient été invincibles.
Toutefois, il semble que les Anaqim, arrivant peut-être de la côte philistine (Jos 11:22), se réinstallèrent dans la ville de Debir pendant que les Israélites étaient temporairement dans leur camp à Guilgal ou étaient en guerre dans le N. (Jos 10:43–11:15.) Bien que les premières campagnes de Josué aient servi à vaincre la résistance des ennemis coalisés dans le pays de Canaan, en démolissant rapidement toutes les principales forteresses, apparemment ce genre de combats ne permit pas d’installer des garnisons pour défendre les emplacements de toutes les villes détruites. C’est pourquoi Othniel effectua une deuxième conquête ou opération de “ nettoyage ” à Debir. Othniel s’étant distingué lors de la prise de la ville, il reçut pour femme Aksa, la fille du vétéran Caleb. — Jos 15:13-19 ; Jg 1:11-15.

samuel

samuel
Administrateur

TG 2011 15/7 p. 11-12 §5-8
Josué 14:6 « Alors les fils de Juda s’avancèrent vers Josué, à Guilgal, et Caleb le fils de Yephounné le Qenizzite lui dit : “ Tu connais bien, toi, la parole que Jéhovah a dite à Moïse l’homme du [vrai] Dieu à mon sujet et à ton sujet à Qadesh-Barnéa ».
Josué 14:8 « Mes frères qui étaient montés avec moi ont fait fondre le cœur du peuple ; mais moi, j’ai pleinement suivi Jéhovah mon Dieu ».

Josué et Caleb étaient attachés à Dieu et n’ont jamais envisagé de suivre la foule incrédule, ce qui les aurait conduits à décevoir Jéhovah. Ils sont restés fermes et sont donc pour nous d’excellents exemples.
Vous arrive-t-il d’être tenté de suivre la foule ? En matière de divertissements, cette foule exprime souvent des points de vue non fondés. Elle affirme que l’immoralité sexuelle, la violence et le spiritisme — omniprésents dans les émissions télévisées, dans les films ou dans les jeux vidéo — sont totalement inoffensifs 
À l’école, les jeunes chrétiens sont parfois pressés par leurs camarades de regarder ou de faire les mêmes choses que tout le monde

TG 2004 15/5 p. 11-12 §8
Josué 14:13,14 « Alors Josué le bénit et il donna Hébrôn en héritage à Caleb le fils de Yephounné. C’est pourquoi Hébrôn est devenue la propriété de Caleb le fils de Yephounné le Qenizzite, en héritage jusqu’à ce jour, parce qu’il avait pleinement suivi Jéhovah le Dieu d’Israël.

Caleb avait 79 ans quand il a traversé le Jourdain pour entrer en Terre promise. Au bout de six années de combats victorieux dans l’armée d’Israël, il aurait pu se reposer sur ses lauriers. Mais non. Il a courageusement demandé qu’on lui confie la mission difficile consistant à s’emparer des “ grandes villes fortifiées ” de la région montagneuse de Juda, une région habitée par les Anaqim, des hommes d’une taille exceptionnelle. Et avec l’aide de Jéhovah, Caleb y est arrivé ; il les a ‘ dépossédés, comme Jéhovah l’avait promis ’
A notre époque, en persévérant courageusement dans la prédication malgré les limites que leur impose le passage des années, les frères et soeurs âgés marchent sur les traces de Caleb. Ils peuvent être assurés que Jéhovah est avec eux et s’ils lui restent fidèle, Jéhovah leur accordera une place dans le monde nouveau qu’il a promis.




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