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Le phénomène d'hikikomori

3 participants

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1Le phénomène d'hikikomori Empty Le phénomène d'hikikomori Dim 31 Aoû 2014 - 18:26

samuel

samuel
Administrateur

Le phénomène d'Hikikomori (isolement des jeunes) touche également la France
INFO SANTÉ jeudi 4 avril 2013


On a longtemps cru que cette forme
d'isolement volontaire était une spécificité japonaise. Victimes d'un
esprit de compétition effréné pendant leurs études et d'une grande dureté dans
le monde du travail, certains jeunes Japonais préféreraient se cloîtrer chez eux, se replier
dans un monde virtuel, saturé de jeux vidéo.
Mais, les cas de Hikikomori ne se
limitent plus à l'archipel nippon. D'autres pays sont touchés, dont la
France où le phénomène n'est pas clairement
comptabilisé à la différence du
Japon où on estime qu'environ 1% des personnes entre 20 et 49 ans est concerné.

Les signaux

Le Docteur Nancy Pionnié-Dax, psychiatre à la maison des adolescents de
l'hôpital Cochin a co-organisé un colloque sur ce phénomène d'isolement qui réunissait non
seulement des psychiatres français et japonais, mais aussi des sociologues et
des anthropologues.

Ce sont les familles, le plus souvent désemparées, qui font appel aux médecins. Elles constatent que leurs enfants ont progressivement arrêtés tous les investissements sociaux, scolaires, et vivent la plupart du temps dans leur chambre en décalage avec la société.
Au-delà du décrochage scolaire, on observe aussi des jeunes de 26 ans, 27 ans qui sont reclus chez eux depuis plusieurs années.

Comprendre l'augmentation des cas

Cet isolement pourrait être une conséquence de l'allongement du temps de
l'adolescence et de la difficulté d'entrer dans l'âge adulte. Le poids qui pèse sur l'individu pour assumer ses échecs et ses
réussites joue aussi un rôle très important.

Le traitement

Il n'y a pas de stratégie de prise en charge définie aujourd'hui, mais cela pose un enjeu éthique très important car ces personnes ne sont pas demandeuses pour elles-mêmes. Ce sont les familles qui donnent l'alerte et le plus souvent les jeunes suivent. Mais, plus la prise en charge est tardive, plus l'isolement est difficile à combattre.
Pour aller plus loin : Le site du colloque

2Le phénomène d'hikikomori Empty Re: Le phénomène d'hikikomori Lun 1 Sep 2014 - 8:38

Josué

Josué
Administrateur

blob:https%3A//www.youtube.com/6c7692fc-940a-47b8-b299-bde1d585633a
Les « hikikomori » : « Je ne suis pas anormal, je ne sors juste plus »
Arthur de Boutiny | Journaliste
En japonais, « hikikomori » signifie « confiner, se retrancher » et désigne les milliers de jeunes vivant reclus. Un phénomène mystérieux qui divise les spécialistes en France.

Lucas (le prénom a été modifié) serait allé assez loin dans la vie s’il ne l’avait pas abandonnée. Maigre, malingre même, le visage mangé par de grosses lunettes sur sa photo de profil Facebook, il n’est pas repoussant. Il avait commencé une khâgne, puis des études de lettres avant de tout laisser tomber.

A 24 ans, cela fait deux ans qu’il ne quitte plus sa chambre. La seule personne qu’il voit, c’est son père, chez qui il habite en banlieue parisienne et qui le blanchit, le nourrit. En T-shirt et en caleçon, il reste devant son ordinateur, à se gaver de jeux vidéo, de surf sur Internet et surtout de haine de soi.

« Je suis un “hikikomori” », dit Lucas, passionné par la culture japonaise.

« J’ai découvert le mot sur Wikipédia. »

« Confiner, se retrancher », dans la langue de Mishima. Ou un mot qui désigne une réalité de la société japonaise : en 2010, ils étaient 230 000 adolescents ou jeunes adultes, bien souvent de sexe masculin, sur tout l’archipel nippon.

Ils vivent reclus dans leur chambre, souvent au domicile parental, sans communiquer avec quiconque : parfois, seul Internet leur permet de s’ouvrir sur le monde, leurs parents doivent parfois leur laisser de la nourriture sur un plateau.

3Le phénomène d'hikikomori Empty Re: Le phénomène d'hikikomori Mar 16 Sep 2014 - 21:52

chico.

chico.


Le phénomène d'hikikomori 4750379Certains enfants de grands patrons de la high tech n'ont pas le droit d'utiliser des tablettes ou des ordinateurs, explique le "New York Times". (ALE VENTURA / PHOTOALTO / AFP)
Par Marie-Violette Bernard




Mis à jour le 16/09/2014 | 13:36 , publié le 16/09/2014 | 13:33


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  • [url=http://twitter.com/share?url=http://www.francetvinfo.fr/monde/ameriques/ces-patrons-de-la-silicon-valley-qui-interdisent-la-high-tech-a-leurs-enfants_695203.html&text=Ces patrons de la Silicon Valley qui interdisent la high tech %C3%A0 leurs][/url]





"A la maison, nous limitons l'utilisation des gadgets technologiques." La phrase est prononcée par Steve Jobs, en 2010. Surprenant ? Pas tant que ça, à en croire le New York Times (en anglais), qui explique jeudi 11 septembre que de nombreux dirigeants de la Silicon Valley tiennent leurs enfants à l'écart des nouvelles technologies.

"Nous connaissons personnellement les dangers"

Ainsi, Chris Anderson, ancien rédacteur en chef du magazine spécialisé Wired et actuel directeur exécutif d'une firme fabriquant des drones, limite le temps d'utilisation de tous les appareils électroniques de sa maison. A tel point que ses enfants les accusent, lui et sa femme, "d'être des fascistes bien trop inquiets au sujet de la technologie". "C'est parce que nous connaissons personnellement les dangers de la technologie", répond Chris Anderson au New York Times.
Même son de cloche chez Evan Williams, un des cofondateurs de Twitter, dont les enfants ont accès à des livres et non à des iPad. Certains parents autorisent toutefois leurs adolescents à utiliser ordinateurs et tablettes pour des activités créatives comme la programmation informatique ou le montage vidéo, rapporte le quotidien américain.

Pas d'iPad pour les enfants de Steve Jobs

Plusieurs dirigeants de Google, Yahoo!, Apple ou encore eBay, non contents d'interdire les écrans à la maison, placent en outre leurs enfants dans des écoles anti-technologie. En novembre 2011, le New York Times (en anglais) évoquait ainsi le cas de l'établissement Waldorf, en Californie, où les élèves n'apprennent à maîtriser Google qu'à partir de la 4e.
Les salles de classe sont en revanche dotées de tableaux noirs, de craies et de livres. Selon la direction de l'établissement, les ordinateurs et les tablettes nuiraient à la créativité et à la concentration des enfants. Un point de vue que partageait sans doute Steve Jobs : à la question "Vos enfants aiment-ils les iPad ?", le fondateur emblématique d'Apple avait répondu au New York Times,  en 2010, qu'ils n'en avaient jamais utilisé.

4Le phénomène d'hikikomori Empty Re: Le phénomène d'hikikomori Lun 8 Déc 2014 - 18:45

Josué

Josué
Administrateur

Le phénomène d'hikikomori Img_0615

5Le phénomène d'hikikomori Empty Re: Le phénomène d'hikikomori Mer 7 Jan 2015 - 14:56

Josué

Josué
Administrateur

Casques audios : des risques sous-estimés pour l'audition
Mots clés : audition, surdité, Musique, ORL, Infographie
Par figaro iconPauline Fréourfigaro iconService infographie du Figaro - le 05/01/2015
INFOGRAPHIE - Utilisés par 75 % des 15-45 ans, les écouteurs ont augmenté le risque de surexposition prolongée à des sons forts. La ministre de la Santé a réagi ce matin.
Impossible d'y échapper. Large et apparent façon serre-tête à bouts ronds, ou plus discrets, les écouteurs nichés au creux des oreilles, le casque audio est un élément quasi incontournable de la panoplie des jeunes générations. S'il offre un confort d'écoute accru, son usage de plus en plus intensif, et pas seulement chez les adolescents, s'accompagne d'une hausse significative des risques de perte auditive, mettent en garde les experts de la Semaine du son, une opération de sensibilisation qui aura lieu du 19 janvier au 8 février. Au quotidien, les Français sont largement exposés aux sons, y compris dans le cadre de leurs loisirs: télévision, jeux vidéo, pratique ou écoute de musique. L'écoute au casque gagne du terrain à tous les âges, y compris à la maison, où on l'adopte autant pour ne pas gêner son entourage que pour ne pas être dérangé soi-même, révèle un sondage sur 500 personnes, commandé par la Semaine du son à l'institut Ipsos.
«Dans certaines catégories, on dépasse ainsi les 7 heures d'écoute cumulée par jour, avec parfois des tranches ininterrompues de 3 heures», s'alarme Jean-Louis Horvilleur, audioprothésiste, spécialiste des sujets de santé auditive pour la Semaine du son. «Ce qui nous a effrayés, c'est que le volume est plus fort quand les gens écoutent de la musique au casque dans leur chambre que dans le métro. Et il y en a qui s'endorment avec!», ajoute Christian Hugonnet, président de l'opération.
Faire des pauses
Le grand public se révèle bien informé sur les risques associés à une exposition excessive à des sons forts. Beaucoup ont déjà ressenti les symptômes associés: acouphènes, sensation d'oreille cotonneuse, hypersensibilité aux sons (hyperacousie), douleur dans l'oreille… Mais, paradoxalement, la majorité (59 %) n'a rien fait. Seuls 20 % ont pensé à en parler à leur médecin ou ont consulté un ORL, un réflexe qui devrait être bien plus systématique. «Si la sensation n'a pas disparu après une nuit de sommeil, il faut consulter. Le risque auditif est trop souvent traité avec inconscience», regrette Christian Hugonnet, assurant que l'impact psychologique de la perte de l'audition est sous-estimé. A fortiori par les jeunes, qui se croient volontiers indestructibles.
Peut-être les recommandations de bonne pratique sont-elles moins connues. «Il faut faire des pauses régulières pour que l'oreille puisse respirer, d'environ 10 minutes toutes les 45 minutes», rappelle Jean-Louis Horvilleur. Autre principe à respecter: le temps d'écoute est inversement proportionnel au niveau sonore: deux heures pour 91 dB, mais 15 minutes pour 100 dB. En effet, le son impose une pression sur le tympan: quand celui-ci est trop fort, les cellules sensorielles de l'audition, appelées cellules ciliées, peuvent être arrachées. Or elles ne repoussent pas.
«Si on commence à abîmer son système auditif à 18 ans, on prépare des générations de sourds», s'alarme le Dr Alain Londero, ORL à l'hôpital Georges-Pompidou à Paris, rappelant que le vieillissement s'accompagne aussi d'une baisse de l'acuité auditive.
Une loi?
La ministre de la Santé Marisol Touraine a déclaré mardi qu'elle réfléchissait à introduire dans sa loi Santé deux mesures pour lutter contre la surdité des jeunes. Invitée de BFMTV et de RMC, la ministre veut d'une part «s'assurer que les casques ne peuvent pas produire un son supérieur à certain niveau de décibels», et d'autre part «encadrer les sons émis dans des salles fermées à l'occasion de concerts». Ces deux mesures seraient introduites par amendements. Marisol Touraine a précisé qu'elles étaient initialement comprises dans la loi Santé, mais qu'elles en avaient été retirées car la loi était «trop longue». «Il ne s'agit pas d'empêcher d'écouter de la musique, mais de faire au contraire en sorte qu'on puisse en écouter toute sa vie», a expliqué la ministre.

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