Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Bahreïn, un modèle de dialogue entre les religions.

4 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

Josué

Josué
Administrateur

Bahreïn, un modèle de dialogue entre les religions.
Alors que le dialogue des cultures semble à bien des égards à l’arrêt, l’initiative prise récemment par le royaume du Bahreïn mérite d’être signalée. Du 5 au 7 mai dernier, le pays a en effet reçu plus de 100 représentants des religions pour une conférence internationale intitulée « Toutes les civilisations au service de l’Humanité ».


À l’initiative du roi Hamed Ben Issa Al Khalifa, plus de 100 religieux de haut rang, issus des mondes musulman, chrétien, hindou et juif, chercheurs et personnalités politiques – dont le frère du roi de Jordanie ou le prince Turki Al-Faisal d’Arabie saoudite – ont pu échanger afin de souligner ce qui rapproche les croyants à travers le monde et comment leur foi devrait les amener à agir pour la paix. La diversité ne doit pas être une source de craintes mais, bien au contraire, d’espoirs, comme l’a souligné Aram Ier, le catholicos des Arméniens de Cilicie (Liban).

L’événement a constitué une première à Bahreïn, qui a connu il y a plusieurs mois des troubles intercommunautaires entre musulmans chiites et sunnites, mais qui reste un lieu où la tolérance religieuse n’est pas un mythe. Le royaume abrite en effet de nombreuses églises, des temples hindous et même une synagogue, sans nécessiter de protection particulière.

Ne plus instrumentaliser les religions

La conférence a reçu le soutien officiel du Vatican, mais aussi de l’ONU, très active sur place par l’intermédiaire de son représentant pour l’information, Nejib Friji. Son secrétaire général, Ban Ki-moon, a fait lire un discours, saluant l’initiative qui s’inscrit dans la Décennie internationale du rapprochement des cultures (2013-2022).
http://www.lemondedesreligions.fr/actualite/bahrein-un-modele-de-dialogue-entre-les-religions-20-08-2014-4195_118.php

chico.

chico.

C'est de la poudre aux yeux ce pays veux ce faire passer pour un état tolérant.

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom de d'Allah, l'infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que le salut et bénédictions soient sur son messager, Mohammad, le dernier maillon de la chaîne prophétique. Amine

Bonjour  

Dialogue interreligieux : qu’en pense Dieu ?

LA TOUR DE GARDE MARS 2014

« La religion est-elle un facteur d’unité ou de division ? » Cette question a été posée aux lecteurs du quotidien The Sydney Morning Herald. Parmi ceux qui ont répondu, la grande majorité (89 %) voyaient en elle un facteur de division.

LES partisans du dialogue interreligieux, eux, voient les choses tout autrement. « Trouvez-moi une religion qui ne prône pas la compassion [...], le respect de l’environnement [...], l’hospitalité », a un jour lancé Eboo Patel, fondateur d’Interfaith Youth Core, une organisation interreligieuse pour les jeunes.

Il est vrai que bouddhistes, catholiques, protestants, hindous, musulmans et bien d’autres ont parfois uni leurs forces pour combattre la pauvreté, défendre les droits de l’homme, faire interdire les mines antipersonnel ou alerter le public sur des problèmes écologiques. Diverses religions se réunissent pour discuter de la façon dont elles peuvent favoriser une bonne influence et une compréhension mutuelles. Elles célèbrent leur diversité par des fêtes, de la musique, des prières, des cérémonies où elles allument des bougies, etc.

Le dialogue interreligieux apaisera-t-il les conflits entre les religions ? Est-ce par ce moyen que Dieu établira un monde meilleur ?


L’UNITÉ : À QUEL PRIX ?

L’une des plus grandes organisations interreligieuses se vante de compter parmi ses membres des représentants de plus de 200 religions et d’être active dans 76 pays. Son objectif déclaré est de « favoriser entre les religions une coopération quotidienne et durable ». Plus facile à dire qu’à faire... Par exemple, selon les fondateurs de cette organisation, rédiger une charte qui n’offense aucune des nombreuses religions qui devaient la signer a réclamé beaucoup d’efforts. Pourquoi ? Notamment parce que tout le monde n’était pas d’accord pour faire figurer Dieu dans la charte. En conséquence, aucune référence à Dieu n’y a été faite.

Mais si Dieu est mis de côté, quel rôle peut encore jouer la foi ? De plus, en quoi un tel mouvement interreligieux diffère-t-il d’un quelconque organisme de bienfaisance ou philanthropique ? Ce n’est pas pour rien que l’organisation précitée se décrit, non comme une entité religieuse, mais comme « une organisation qui crée des ponts entre les gens ».


ENCOURAGER AU BIEN, EST-CE SUFFISANT ?

Selon le dalaï-lama, un partisan bien connu du rapprochement interreligieux, « toutes les grandes religions délivrent plus ou moins le même message : un message d’amour, de compassion et de pardon. L’important, c’est que ces qualités fassent partie de notre quotidien ».

Certes, on n’insistera jamais trop sur la valeur de l’amour, de la compassion et du pardon. Dans ce qu’on appelle la Règle d’or, Jésus a dit : « Tout  ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, de même vous aussi, vous devez le faire pour eux » (Matthieu 7:12). Mais la vraie foi ne consiste-t-elle qu’à encourager au bien ?

Au sujet d’un certain nombre de croyants qui prétendaient adorer Dieu à son époque, l’apôtre Paul a dit : « Je leur rends témoignage qu’ils ont du zèle pour Dieu ; mais non selon la connaissance exacte. » Quel était le problème ? « Ne connaissant pas la justice de Dieu », a expliqué Paul, ils « cherch[ent] à établir la leur propre » (Romains 10:2, 3). Comme ils n’avaient pas la « connaissance exacte » de ce que Dieu attendait d’eux, leur zèle, et donc leur culte, étaient vains (Matthieu 7:21-23).


LE POINT DE VUE DE LA BIBLE

« Heureux les pacifiques », a déclaré Jésus (Matthieu 5:9). Jésus a pratiqué ce qu’il prêchait en encourageant à la non-violence et en apportant un message de paix à des gens de divers horizons religieux (Matthieu 26:52). Ceux qui adhéraient à son enseignement étaient unis par un lien d’amour indestructible (Colossiens 3:14). Mais l’objectif de Jésus était-il simplement de créer des ponts entre des gens de divers horizons pour qu’ils puissent vivre en paix ? S’est-il associé aux autres dans leurs pratiques religieuses ?

Les chefs religieux de la secte des Pharisiens et de celle des Sadducéens se sont violemment opposés à Jésus. Ils ont même cherché à le tuer. Comment a-t-il réagi ? Il a dit à ses disciples : « Laissez-les. Des guides aveugles, voilà ce qu’ils sont » (Matthieu 15:14). Jésus s’est refusé à tout partenariat religieux avec de tels individus.

Quelque temps plus tard, une congrégation chrétienne a été formée à Corinthe (Grèce), une ville réputée pour son pluralisme, y compris dans le domaine religieux. Quelle ligne de conduite les chrétiens devaient-ils adopter dans un tel environnement ? L’apôtre Paul leur a clairement montré qu’ils ne devaient pas se mêler au culte des autres Corinthiens : « Quels rapports ont la justice et l’illégalité ? Ou quelle participation la lumière a-t-elle avec les ténèbres ? En outre, quelle harmonie y a-t-il entre Christ et Bélial [ou : Satan] ? » Puis, il a donné ce conseil : « Sortez du milieu d’eux, et séparez-vous » (2 Corinthiens 6:14, 15, 17).

À l’évidence, la Bible condamne le rapprochement interreligieux. Mais vous vous demanderez peut-être : « Dans ce cas, comment parvenir à l’unité ? »


POUR PARVENIR À L’UNITÉ

La Station spatiale internationale, une merveille technologique en orbite autour de la terre, est le produit des efforts communs de 15 nations. Pensez-vous que ce projet aurait pu aboutir si les nations participantes ne s’étaient pas mises d’accord sur le plan à utiliser ?

C’est au fond la situation du mouvement interreligieux aujourd’hui. Bien que la coopération et le respect soient largement mis en avant, il n’y a pas de « plan » commun à partir duquel bâtir la foi. Les questions de doctrine et de moralité restent donc source de conflits.

La Bible contient les normes de Dieu, qui sont comparables à un plan. Nous pouvons construire notre vie en suivant ce que la Bible dit. Ceux qui l’ont fait ont surmonté leurs préjugés raciaux et religieux, et ont appris à coopérer dans la paix et l’unité. Dieu avait effectivement annoncé : « Je changerai la langue des peuples en une langue pure, pour qu’ils invoquent tous le nom de Jéhovah, pour qu’ils le servent épaule contre épaule. » C’est en pratiquant la « langue pure », en adorant Dieu comme il le demande, qu’on parvient à l’unité (Tsephania 3:9 ; Isaïe 2:2-4).

Les Témoins de Jéhovah seraient heureux de vous accueillir dans une Salle du Royaume (leur lieu de culte) près de chez vous. Vous pourrez ainsi constater par vous-même qu’il règne parmi eux une paix et une unité remarquables (Psaume 133:1).
La vérité est-elle relative ?

Les partisans du rapprochement interreligieux disent souvent qu’aucune religion ne peut prétendre être la seule à détenir la vérité. En fait, une opinion aussi tranchée est selon eux à l’origine de bien des problèmes aujourd’hui.

Pourtant, Jéhovah est appelé « le Dieu de vérité » et il affirme : « Je n’ai pas changé » (Psaume 31:5 ; Malaki 3:6). Jésus a dit à Dieu : « Ta parole est vérité » (Jean 17:17). Cette vérité est révélée dans les Écritures inspirées par Dieu, la Bible. Elle nous instruit et nous équipe « pour toute œuvre bonne » (2 Timothée 3:16, 17).

Source : http://www.jw.org/fr/publications/revues/wp20140301/dialogue-interreligieux/

Fraternellement Talab al ilm

Wa Salam

.

http://www.aimer-jesus.com

samuel

samuel
Administrateur

Des musulmans des musulmans qui parlent de dialogue religieux sa me fait rire.au fait que dit le Coran sur cette question?

Josué

Josué
Administrateur



Contre l'extrémisme : appel aux spirituels


Contre l'extrémisme : appel aux spirituels
Sébastien Morgan - publié le 29/08/2014

L’extrémisme est plus que jamais actif au sein de nos sociétés. Comme une peste, il se répand dans toutes les religions sans distinction, mais également au sein de l'athéisme qui, sous couvert de laïcité, n'hésite pas à partir en croisade contre la spiritualité.
L’extrémisme est un monstre, une créature infâme issue des abîmes les plus sombres. Hier, chrétien, il dressait les bûchers. Athée, il construisait les goulags. Aujourd'hui c'est au sein de l'islam qu'il est le plus spectaculaire.
Sa particularité ? Il est comme les cellules cancéreuses qui détruisent l'organe dont elles sont issues. Sous couvert d'exalter la pensée au sein de laquelle il voit le jour, l’extrémisme dénature cette pensée, la vide de sa substance avant de la retourner contre elle-même dans un processus de destruction et d'annihilation totale.



La volonté de normalisation est souvent la marque de l’extrémisme. Elle consiste à édicter des règles aussi rigides qu'absurdes dans le fond, et de condamner quiconque ne s'y conforme pas. Ceux qui édictent ces lois disposent alors d’un levier d'action sur la population se trouvant sous leur coupe. Jouant sur la superstition, la culpabilisation et la peur irrationnelle (de l'Enfer, du Diable, de mal faire,...), les intégristes dictent leurs normes et condamnent ceux qui ne s'y conforment pas. Normes soit disant issues de « lois naturelles », de la « volonté divine » ou de la conformité rationnelle et scientifique.

Ainsi, la chasse à l'hérésie et l'Inquisition sont-elles directement responsables de la perte de crédibilité de l'Eglise et du christianisme en général. En instaurant une police de la pensée, une gestapo dogmatique, en inventant le concept d'hérésie, en torturant de pauvres filles innocentes, l'Église a réussi à redonner corps aux monstres que le Christ lui-même avait combattu : le pharisaïsme mortifère, le jugement de l'autre et le patriarcat auquel il est souvent associé. Les premières victimes de l’extrémisme chrétien furent d'autres chrétiens jugés déviants (ariens, gnostiques, cathares, protestants, etc...).

Aujourd'hui, l'esprit d'Inquisition n'est pas mort. On ne dresse peut-être plus de bûchers, mais on continue à juger et à condamner... Il suffit de voir certaines interventions des patriarcats orthodoxes, de certains pasteurs ou prêtres conservateurs ou de lire certains commentaires sur les forums associés à la Manif pour tous pour se rendre compte à quel point cet esprit est toujours vivant, à quel point certains rêvent d'un monde où chaque homme (et surtout chaque femme) serait enfermé dans une case pré-définie. Et tout cela contribue à détruire et à défigurer chaque jour un peu plus le christianisme que ces gens disent pourtant défendre.

Dans l'islam, l’extrémisme s'en donne à cœur joie, attaquant les chrétiens qui sont l'objet d'un véritable génocide en Orient, mais s'en prenant également majoritairement aux autres musulmans et à l'islam. En tant que chrétien, j'abomine l'esprit d'Inquisition qui me semble aux antipodes de l'élévation spirituelle et de la régénération individuelle prônée par le Christ. J'imagine que tout véritable soufi, vivant ontologiquement l'Amour de Dieu, ne peut que considérer avec la même répulsion le terrorisme et l'esclavage de la femme prônée par les barbus.

On pourrait aussi s'étendre sur les formes d’extrémisme judaïque allant à l'encontre de l'esprit d'universalité et d'ouverture présents dans l'âme juive, et parler également des manifestations d'ombre dans certains courants bouddhistes ou hindouistes.

Que faut-il en conclure ? Que chaque religion possède sa part d'ombre, sa part maléfique ? Ou bien que chaque religion est comme chaque individu qui, dans son parcours spirituel, lutte avec lui-même pour faire éclore l'image divine qui est en lui. Image devant mener à la ressemblance avec Dieu et transformer chaque être en source d'Amour et de Compassion. Les résistances intérieures à cette transformation font partie du processus devant mener à la transfiguration. Elles sont les innombrables blessures et déterminismes bloquant, tels de gigantesques barrages, la libre circulation de l'Eau Vive et du Souffle de l'Esprit.

Ce sont ces barrages intérieurs que chacun doit faire sauter afin de devenir réellement libre et accompli. Ce sont de ces multiples blessures dont il faut guérir afin de vivre Dieu tel qu'Il est, et de se libérer de l'image fausse que l'on s'en fait.

Il est temps que la civilisation guérisse de la barbarie, il est temps d'incarner l'amour divin ici-bas, il est temps de vivre réellement Dieu. Les véritables spirituels de chaque religion, femmes et hommes de bonne volonté, se doivent de se dresser contre les idées mortifères qui cachent le joyau divin dont ils ont la garde. Ils se doivent de plonger toujours plus profondément dans le cœur de leur religion afin d'en faire jaillir la source immortelle pour la guérir des scories qui la défigurent.

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum