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"L'alimentation est notre première médecine"

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

"L'alimentation est notre première médecine"
PROPOS RECUEILLIS PAR SOPHIE BARTCZAK
Canadien, le professeur Richard Béliveau est docteur en biochimie, directeur scientifique du laboratoire de médecine moléculaire et de la chaire en traitement du cancer à l'université du Québec à Montréal. Coauteur avec Denis Gingras de L'alimentation anti-âge (Le Livre de poche), il explore depuis plus de 30 ans les vertus anticancer des aliments. Des recherches très avancées outre-Atlantique face à des maladies de civilisation en pleine expansion.

Maladie d’Alzheimer, cancer, diabète, problèmes cardiovasculaires... Ces maladies de civilisation pourraient être largement évitées en changeant notre alimentation explique le Dr Béliveau, rappelant le célèbre adage d’Hippocrate, il y a près de 2500 ans : « Que ton aliment soit ta seule médecine. » Au sein du laboratoire de médecine moléculaire qu’il dirige, le professeur canadien explore avec son équipe depuis plus de 30 ans les molécules des aliments et leurs vertus anticancer.

Les recherches sur les aliments santé proviennent en grande partie des États-Unis ou du Canada. Comment expliquez-vous cela ?

L’épidémie de l’obésité et la crise de la malbouffe nous ont touchés bien avant vous et les coûts et impacts sont si conséquents sur notre société qu’ils obligent les politiques à réagir, à l’exemple de Mme Obama qui en a fait un enjeu majeur de sa communication de première dame. Dans des régions comme le Mississippi, on compte jusqu’à 88% d’obésité ! Au Canada, c’est désormais la moitié du budget de l’État qui doit être consacré à la santé. On assiste à une rupture de la transmission des connaissances culinaires entre mères et filles. Aujourd’hui, la ménagère américaine connaît moins de huit recettes de cuisine. Ce désert culinaire a été comblé par l’industrie agroalimentaire et la vague d’épidémies de santé dues à la malbouffe rejoint l’Europe et même la France. Des bastions comme la Crète ou l’île d’Okinawa, des modèles de l’alimentation saine, sont désormais touchés : la culture des pizzas et des crackers a ainsi envahi l’île japonaise des centenaires au contact des bases américaines qui y sont installées.

Peut-on se soigner avec l’alimentation ?

On n’a pas testé à ce jour d’aliments au cours de maladies comme on le ferait avec des médicaments. Il faudrait avoir recours aux mêmes méthodes d’évaluation avec le même ordre de coûts (300 à 400 millions d’euros pour la mise sur le marché d’un médicament). Il y a peu de chance qu’un producteur de brocolis rentabilise son investissement... En revanche, dans le domaine de la prévention, on sait, grâce à des cohortes d’études populationnelles menées sur des dizaines de milliers de personnes que certains aliments réduisent les risques de maladies ou augmentent la survie suite à une maladie grave. En cardiologie, par exemple, un centre à Montréal suit les patients victimes d’infarctus : on les fait bouger et on les oriente vers le régime méditerranéen, réduisant ainsi leur risque de mortalité de 30%. Idéalement, suite à un cancer, on devrait se voir « prescrire » un régime anticancer... On sait, par exemple, que trois portions hebdomadaires de choux et de brocolis augmentent la survie de 60% chez les personnes ayant été touchées par un cancer de la vessie.

Vous dites qu’il n’est jamais trop tard pour changer son alimentation...

Tout à fait. De nombreuses études l’ont montré : même après 65 ans si l’on introduit du thé vert ou des polyphénols alimentaires (fruits rouges, chocolat, agrumes, vin rouge, pommes, oignons...), on constate un effet de protection et de réduction du déclin cognitif notamment. Un seul aliment peut à lui seul inverser très positivement les paramètres de santé. Ainsi, une cuillère à soupe par jour de graines de lin moulues permet de baisser de 50 % les marqueurs moléculaires de l’inflammation, ceci en seulement un à deux mois.

Maladies cardiovasculaires, cancer, diabète de type 2, maladie d’Alzheimer : en quoi ces maladies seraient causées par l’alimentation ?

Elles ont comme dénominateur commun l’inflammation chronique qui crée un environnement propice à leur développement. Notre alimentation est devenue pro-inflammatoire en modifiant les équilibres entre oméga 6 et oméga 3 : aujourd’hui, on compte six fois plus d’oméga 6 dans nos assiettes que d’oméga 3 alors que leurs apports devraient être équivalents. Le sirop de maïs et l’huile de maïs largement utilisés par les industriels contribuent à cette prévalence des oméga 6 pro-inflammatoires. Pour comprendre l’impact sur le cancer, je donne souvent l’image d’une graine : conservée au frigo, elle ne pousse pas, mise en terre à la lumière avec de l’eau, elle grandit. C’est pareil pour les gènes du cancer : l’inflammation leur permet de s’exprimer. De manière simpliste il faut comprendre que lorsqu’on est gras, on est « inflammé » via les adipocytes notamment. Or, l’obésité, l’hypertension et le cholestérol – des maladies liées à l’excès de mauvaises graisses – augmentent de 600 % le risque de maladie d’Alzheimer et de déclin cognitif.

Vous appelez finalement chacun à prendre en main sa santé...

Chacun d’entre nous est responsable de sa santé et de celle de ses enfants. Arrêtons de penser que nos maux ne sont dus qu’à la malchance, à la pollution ou à la génétique ! C’est notre alimentation et notre façon de vivre qui modulent nos prédispositions et la majorité des centenaires doivent leur longévité à leur mode de vie plus qu’à la chance ou à l’hérédité. Pour preuve, les enfants adoptés ont les mêmes taux de cancer que leurs parents adoptifs ! Enfin, bien ou mal manger n’est pas qu’une question de revenus mais surtout le fait de la désinformation et des campagnes de publicité massives des industriels qui dépensent chaque année des milliards en publicité et lobbying.

Josué

Josué
Administrateur

Avocat : 7 bonnes raisons de ne plus s’en passer !
Avec du citron, du saumon, des crevettes ou encore en guacamole, l’avocat s’invite facilement dans notre quotidien. Et c’est tant mieux puisque c’est un fruit bon marché plein de vertus ! Constipation, cholestérol, peau sèche, cataracte… 7 raisons de ne plus s’en passer !
Un coupe-faim naturel

Plus la peine de supprimer l’avocat de votre alimentation parce que vous surveillez votre ligne ! Même si on sait qu’il est gras, l’avocat contient des fibres naturelles qui permettent d’être rassasié* plus rapidement. Il est également riche en acide oléique, un corps gras qui active l’impression de satiété dans le cerveau. Bref, un vrai aliment minceur !

En pratique : "Quand on suit un régime, on peut manger un demi avocat par jour avec un filet de jus de citron, sans ajouter de matières grasses (mayonnaise ou vinaigrette)" conseille Gwénola Lestrohan nutritionniste. Par ailleurs, comme un demi avocat apporte l'équivalent d'une bonne cuillère à soupe d'huile , il est conseillé de se limiter à 1 cuillère à soupe d'huile dans la journée.

chico.

chico.

Quand les enseignes trichent sur la composition des produits en rayon
Publié par La rédaction le Mercredi 07 Mai 2014 à 09h42
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Selon Food Watch, les emballages de certains produits seraient volontairement mensongers pour induire les clients en erreur. Une pétition récoltant plus de 35.000 signatures a été lancée à l'encontre d'une grande enseigne française.





Food Watch, une ONG allemande spécialisée dans la fraude alimentaire, pointe 5 produits aux étiquettes mensongères dans le cadre d’une pétition lancée en France à l’encontre de l’enseigne Leclerc. Selon les affirmations de l’association, plusieurs étiquetages induiraient les clients en erreur.

Une liste de produits ciblée

L’ONG prend pour exemple les filets de dinde "à l'étouffée" de chez Leclerc. La barquette contiendrait en effet "100% de filet" alors que l’organisation affirme qu’il n’y aurait que "84% de viande, le reste c'est de l'eau, des additifs et du sel".

Pour l’ONG, cela s’assimile à de l’arnaque dans la mesure où "le consommateur paye six tranches de dinde" alors qu'"en réalité le paquet n'en compte réellement que cinq". Suite à cette constatation, une pétition intitulée "Cessez de nous vendre de la dinde à l'eau !" adressée au propriétaire de l’enseigne a été ainsi été lancée. Celle-ci compte à ce jour plus de 35.000 signatures.

D’autres produits sont également pointés par Food Watch. Ainsi, la soupe Maggi en sachet "au bœuf et aux carottes" contiendrait en réalité "0% de bœuf". La ruse de l’enseigne est d’ajouter "1,1% de jus de cuisson" permettant de faire figurer le mot "bœuf" sur l’emballage. Autre surprise, les yaourts de la marque Vrai "bio aux fruits rouges" ne contiendraient en fait pas un seul gramme de fruits. Le yaourt comporte "seulement des arômes pas bio du tout" selon l’ONG. Enfin les raviolis Lustucru "au jambon cru et parmesan" sont composés d’une farce qui ne compte que 24% de jambon…

Des consommateurs de plus en plus méfiants

Dans ce contexte, il n’est pas très étonnant de constater que les consommateurs sont de plus en plus méfiants. Selon un sondage réalisé par 60 millions de consommateurs, les Français sont 66% à s'estimer plus méfiants dans leur "vie de consommateur" par rapport à 2009.

Si cette étude prend en compte tout un ensemble de biens (banque, immobilier, téléphonie, Internet etc.) le constat établi par l’association de consommateurs fait état d’une prudence à la hausse de la part des Français.

Josué

Josué
Administrateur

Comment réduire son appétit ?

Vous avez tout le temps faim ? Votre ventre gargouille deux heures à peine après avoir mangé ? Voici les solutions de Medisite et Annie Roques, diététicienne, pour réduire votre appétit et réussir à perdre du poids.
Pourquoi avez-vous faim ?

Estomac vide ou simple gourmandise ? Le résultat est le même : on a envie de manger ! Pourtant, les conséquences, elles, sont différentes. Manger alors que son estomac n'est pas vide c'est prendre le risque de l'agrandir. En revanche, s'il est vide, c'est un besoin énergétique. "Dès que l'estomac est vide, il envoie un message au cerveau ce qui créé la sensation de faim", explique Annie Roques, diététicienne.
En pratique : Pour vérifier si c'est une vraie faim il faut boire de l'eau car c'est un excellent coupe-faim. "Si ça gargouille toujours après, c'est que l'estomac est vide et qu'il y a un vrai manque énergétique" indique notre interlocutrice. En clair : vous n’avez pas mangé assez ou correctement au dernier repas.

samuel

samuel
Administrateur

Les bienfaits santé du melon
Son goût sucré et rafraîchissant nous régale en été ! Plus qu'un aliment plaisir, le melon est un véritable réflexe santé. Détails de ses vertus avec le Dr Arnaud Cocaul, nutritionniste.


Melon : un allié de notre ligne

"Son goût est très sucré, mais comme il est composé à presque 90% d'eau, le melon est en réalité un des fruits les moins caloriques", indique le Dr Arnaud Cocaul, médecin nutritionniste. Il affiche seulement 30 à 50 kcal aux 100 g (selon les variétés) et un taux de sucre d’environ 10 à 12 %.
A noter : Les melons charentais ou Cantaloup, les plus courants en France, sont deux variétés bien sucrées. Pour être bon, ils doivent être bien mûrs et avoir bénéficié d'un maximum d'ensoleillement.

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