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38% des bébés américains jouent sur des tablettes

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samuel
Josué
6 participants

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Josué

Josué
Administrateur

38% des bébés américains jouent sur des tablettes
De plus en plus de bébés jouent sur des appareils mobiles aux Etats-Unis: 38% des moins de deux ans se sont déjà servis d’une tablette ou d’un smartphone, contre 10% en 2011, selon un sondage publié par Common Sense Media.

les moins de 8 ans sont désormais 72%, contre 38% en 2011, à utiliser des appareils mobiles, et le temps moyen d’utilisation a triplé, passant de 5 à 15 minutes par jour, selon l’étude.

Les moins de huit ans passent toujours plus de temps devant des écrans «traditionnels» comme la télévision (qui représente toujours la moitié du temps passé devant un écran), les DVD, les ordinateurs et les jeux vidéo. Les choses sont toutefois en train d’évoluer, car parallèlement à l’augmentation de l’usage mobile, la durée globale passée devant un écran --mobile et fixe-- est en baisse de 21 minutes comparé à 2011.

«C’est une évolution assez extraordinaire pour nos jeunes enfants», estime James Steyer, le patron-fondateur de Common Sense Media. «Dans le passé, nous pouvions mesurer et contrôler exactement où, quand, et comment ils utilisaient des écrans. Maintenant les appareils mobiles les suivent de pièce en pièce.»

«Les médias que les enfants consomment peuvent avoir un effet profond sur leur apprentissage, leur développement social et leur comportement, et le seul moyen de maximiser l’effet positif --et de minimiser le négatif-- est d’avoir une compréhension exacte du rôle que cela joue dans leur vie. Ces enfants sont véritablement nés dans le numérique», souligne M. Steyer.

Les jeux constituent l’activité mobile la plus répandue chez les enfants de moins de huit ans: ils sont cités par 63% des parents, qui sont aussi 30% à évoquer la lecture.

L’étude se base sur un sondage réalisé entre le 20 mai et le 12 juin auprès de 1.463 parents d’enfants de 8 ans et moins, avec une surreprésentation de parents afro-américains et latino-américains.

AFP

samuel

samuel
Administrateur

Ils sont précoce aux USA !

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

samuel a écrit:Ils sont précoce aux USA !
quel va être le prix a payer dans quelques années cette façon de faire ?

Josué

Josué
Administrateur

Tablettes pour enfants : la mauvaise idée de cadeau de Noël
Le Point.fr - Publié le 21/11/2013 à 10:55 - Modifié le 21/11/2013 à 11:11
La liste de l'impact négatif des écrans tactiles sur la santé a beau s'allonger, ceux-ci sont désormais en bonne place dans les catalogues de jouets.
l y a fort à parier que cette année encore, les tablettes numériques figureront en bonne place sur la lettre au Père Noël de nombreux enfants. D'autant qu'elles ont désormais leur rubrique dédiée dans les catalogues de jouets et que dès 18 mois, bébé peut avoir son propre mini-écran ! Et pourtant : s'ils sont présentés comme éducatifs, ces jouets nouvelle génération ne font pas l'unanimité et bon nombre de professionnels ou d'associations s'inquiètent de leur introduction trop précoce dans la vie du jeune enfant.

Impact sur le développement moteur des mains

C'est d'abord le temps d'exposition qui est incriminé. Plus les enfants passent de temps devant les écrans (tous types confondus), plus le risque de développer des maladies à l'âge adulte augmente (hypertension, diabète, maladies cardiaques, surpoids...), en raison d'une sédentarité très mal adaptée pour leur âge. Les mauvaises postures sont également pointées du doigt : des chercheurs de Harvard ont ainsi mis en garde sur les risques de torticolis et de douleurs musculaires que les tablettes peuvent engendrer, du fait de leur manipulation. Pour limiter les dégâts, ils recommandent d'utiliser ces écrans sur une table à bonne hauteur.

Tout récemment, d'autres chercheurs américains ont commencé à s'alerter des effets du tactile sur le développement moteur des mains et des doigts des enfants : ces derniers n'utiliseraient plus suffisamment les muscles nécessaires à l'apprentissage de l'écriture. Enfin, des troubles du sommeil sont également à craindre (comme pour les adultes d'ailleurs) : outre l'excitation ou l'énervement que les tablettes peuvent induire, la lumière bleue qu'elles émettent affecterait la mélatonine, l'hormone du sommeil. Deux heures d'exposition entraîneraient une chute de plus de 20 % de la précieuse hormone. Les professionnels conseillent donc d'éviter une utilisation en fin de journée, quand le corps commence à se préparer pour la nuit (plusieurs heures avant le coucher).

Échec à une pensée organisée et logique

Les répercussions psychologiques sont aussi démontrées. Il y a quelques mois, l'Académie des sciences émettait un avis complet sur l'utilisation des écrans pour les enfants. Si l'institution reconnaissait leurs avantages pédagogiques, elle mettait néanmoins en garde sur leur irruption trop précoce dans la vie des mineurs. Le psychiatre Serge Tisseron, coauteur de cette étude, explique qu'avant six ans il faut éviter toute tablette personnelle (ou console) car l'enfant doit d'abord mettre en place ses repères réels dans l'espace et dans le temps avant de pouvoir plonger dans le virtuel. Cela passe surtout par l'intégration des sens : voir, entendre, toucher et bouger.

"À cet âge, le jeune enfant a besoin en priorité d'autres choses que d'écrans, explique le Dr Tisseron. Si ceux-ci prennent trop tôt la place des activités traditionnelles, l'enfant risque d'être fragilisé et d'échouer à construire une pensée organisée et logique. Le meilleur apprentissage reste l'histoire du soir". À partir de quatre ans, une initiation occasionnelle en présence des parents peut être éventuellement envisagée, mais il faudra attendre six ans avant de laisser l'enfant jouer seul (et ponctuellement), car, avant cet âge, le jeu peut devenir rapidement compulsif.

Rayonnement électromagnétique

Mais le plus inquiétant demeure l'impact des ondes sur la santé. D'autant que si les téléphones portables ont l'obligation d'indiquer leur niveau d'exposition (DAS), ce n'est pas le cas des tablettes. On arrive ainsi à une situation paradoxale : alors que les publicités pour les téléphones portables sont interdites auprès des moins de 14 ans, promouvoir des tablettes pour les 3-4 ans est tout à fait légal !

Une situation jugée scandaleuse par l'association Robin des toits qui milite pour la sécurité sanitaire des technologies sans fil depuis de nombreuses années. "Ces objets exposent les enfants à un rayonnement électromagnétique préjudiciable à leur santé. L'épaisseur réduite de leurs tissus, qui favorise une pénétration plus profonde des ondes, la durée accrue de leur exposition au cours de leur vie font que les risques, mis en évidence pour les adultes de manière établie, sont encore plus importants dans leur cas", explique l'association dans une lettre adressée à Marisol Touraine le 13 novembre dernier, lui enjoignant de prendre un arrêté pour interdire les tablettes Internet pour enfants et autres jouets connectés. Forts de toutes ces mises en garde, les parents réfractaires vont devoir s'armer de courage et faire preuve d'ingéniosité pour négocier la liste au Père Noël !

Josué

Josué
Administrateur

38% des bébés américains jouent sur des tablettes Enfant10

chico.

chico.

Belles paroles.

chico.

chico.

Les applications simulant des jeux d’argent sur smartphones et autres appareils électroniques sont très populaires parmi les enfants. Certaines imitent de vrais jeux de casino, mais avec de plus grandes chances de gagner. Un rapport du gouvernement fait cette mise en garde : les enfants risquent de penser qu’il n’y a rien de mal à jouer de l’argent et « pourraient devenir des adultes dépendants ».

Josué

Josué
Administrateur

Smartphones : plus on est accro, moins on réussit ses études
Le Point.fr - Publié le 09/12/2013 à 12:12 - Modifié le 09/12/2013 à 12:39
Utiliser modérément son téléphone mobile pourrait bien être la clé pour réussir ses études. Tout en étant plus heureux et moins anxieux.
Comme leurs aînés, les étudiants ont toujours leur smartphone en main. Et, sans surprise, cette habitude n'est pas sans conséquence néfaste. Un groupe de scientifiques de l'université de Kent, aux États-Unis, a décortiqué auprès de 500 étudiants âgés en moyenne de 20 ans les liens entre la durée d'utilisation de leur portable et leurs résultats scolaires, ainsi que leur niveau d'anxiété et de satisfaction dans la vie. Les résultats révèlent clairement que les jeunes qui utilisent le plus leur mobile, y compris ceux qui se limitent aux textos, ont de moins bons résultats et sont aussi plus anxieux que les autres. Deux paramètres qui les conduisent à être moins satisfaits de leur vie en général, ou en d'autres termes moins heureux.

Comportement multitâche

À la différence des ordinateurs classiques, les mobiles sont toujours à portée de main et permettent de se connecter à un ensemble de services et de réseaux (Facebook , partage de vidéos, jeux...) quasiment partout et tout le temps. Une ultra-connexion qui s'avère finalement délétère pour les plus gros utilisateurs. Les chercheurs de l'université de Kent avaient déjà constaté, lors d'une précédente étude, que ces derniers étaient en moins bonne forme que les autres, tout simplement parce que les mobiles incitent à être plus sédentaire et moins actif physiquement.

Mais les smartphones peuvent également détourner les jeunes de leurs études et aussi les rendre plus anxieux. Plusieurs d'entre eux avouent en effet qu'ils utilisent leur mobile durant les cours ou lorsqu'ils étudient, ou sont censés étudier. Un étudiant explique ainsi : "Je vais généralement sur mon mobile quand j'en ai marre d'être assis en classe ou, durant mes devoirs à la maison, je prends quelques pauses en tweetant." Une distraction qui peut prendre le pas sur les activités universitaires et, pour les utilisateurs les plus excessifs, entraîner de mauvais résultats scolaires. En cause aussi le comportement multitâche entraîné par l'utilisation des smartphones.

Un "monde d'obligations"

Concernant l'anxiété ressentie, les chercheurs estiment qu'elle naît du sentiment d'être obligé de rester connecté aux différents réseaux sociaux. En laissant ouvert en permanence son cellulaire, impossible de retrouver un minimum de calme et de solitude, pourtant nécessaires pour échapper aux pressions de la vie quotidienne. "Je me sens parfois comme attaché à mon téléphone à cause des réseaux sociaux, explique un étudiant. Comme si j'avais une obligation supplémentaire dans ma vie. Parfois, mon mobile me donne l'impression d'avoir tout un monde d'obligations parce que n'importe qui peut me contacter à tout moment. Cela peut me rendre nerveux."

Cette étude menée sur des étudiants mériterait d'être élargie à d'autres populations, commentent les auteurs. En effet, aujourd'hui, les mobiles et smartphones se sont désormais généralisés aux populations plus jeunes, souvent dès 10 ans. En France, ils sont théoriquement interdits à l'école primaire et au collège, mais dans la pratique, les établissements avouent leur impuissance à faire respecter cette règle qui serait pourtant bénéfique pour tout le monde : les élèves, les professeurs et les parents.

Psalmiste

Psalmiste

Moi à mon époque on avait pas de tablette, et on jouait avec des lego, des playmobiles, des cubes, des billes, et je trouve que c'était bien mieux !

En parlant de lego, vous savez que les évangeliques ontfait 1 bible sous forme de bande dessinée, avec des personnages de lego ?

Personnellement je trouve que c'est pas mal comme idée, car ca permet à l'enfant de repriduire les scènes bibliques avec ces propres lego !

chico.

chico.

Tout comme la calculette qui n'existait pas.les jeunes ne savent plus compter maintenant.même les caissières ,car ours rendre la moi n'aie tout se fait par la caisse automatique.

chico.

chico.

Impossible de passer à côté des tablettes pour enfants et touts petits cette année. A l’approche de Noël, ces gadgets technologiques sont bien en vue sur les étalages et dans les catalogues de jouets.
Mais les écrans tactiles ne sont pas forcément les bienvenus dans la chambre d’enfant, comme le fabricant de jouets Fisher-Price est en train de l’apprendre… à ses dépens.
La marque a lancé il y a quelques semaines un transat pour bébés qui suscite une forte vague de critiques sur internet. Spécialité de l’«Apptivitiy Seat»? Un support permet de fixer un iPad à quelques centimètres du visage de bébé.
Et pour l’occuper, on trouve une foule d’applications estampillées Fisher-Price sur l’App Strore.
Problème: les spécialistes de la petite enfance s’accordent pour dire que l’exposition précoce aux écrans a des conséquences négatives sur le développement physique et mental de l’enfant.
Une pétition circule en ligne pour demander à Fisher-Price de retirer son produit.

Josué

Josué
Administrateur

c'est du n'importe quoi.bientôt la tablettes va remplacée les parents.

Psalmiste

Psalmiste

Josué a écrit:c'est du n'importe quoi.bientôt la tablettes va remplacée les parents.

Avant les parents mettaient les enfants devant la télé pour être tranquille, et maintenant ils les placent devant la tablette Sad

Josué

Josué
Administrateur

VIDEO. Une tablette numérique pour nouveau-né fait polémique aux Etats-Unis
Avant même de savoir marcher, bébé peut désormais tapoter sur son écran. Créé par le fabricant de jouets Fisher-Price, ce produit suscite de nombreuses critiques.
http://www.francetvinfo.fr/decouverte/noel/video-une-tablette-numerique-pour-nouveau-ne-fait-polemique-aux-etats-unis_489832.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20131224-[lestitres-coldroite/titre6]-[]

Psalmiste

Psalmiste

C'est n'importe quoi !

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

ça devient grave cette mode.

chico.

chico.

De plus en plus d'accros aux jeux sur mobile
Mis à jour à 00:13
Les joueurs prêts à débourser de l'argent pour prendre de l'avance sur les autres font exploser le marché des jeux sur mobile.

[center]


Les accros aux jeux qui sont prêts à débourser de l'argent pour prendre de l'avance sur les autres, comme dans le jeu à succès «Candy Crush» du britannique King ou «Angry Birds», font exploser le marché des jeux sur mobiles, évalué à plusieurs milliards de dollars.
L'idée est la suivante: les jeux sont téléchargeables gratuitement sur mobiles et tablettes, mais, une fois accros, des millions de joueurs impatients sont prêts à payer immédiatement pour obtenir des avantages, gagner de «nouvelles vies», éviter de prendre du retard et accéder aux niveaux supérieurs.
Demande d'introduction en Bourse
Les sommes peuvent être minimes (de 1 jusqu'à 60 dollars), mais le modèle repose sur le nombre très important de joueurs prêts à payer, rendant le marché lucratif, à tel point que le groupe britannique King Digital Entertainment, père du fameux jeu «Candy Crush» qui a annoncé mardi avoir déposé une demande d'introduction en Bourse auprès de la SEC, espère lever au maximum 500 millions de dollars en vue d'être coté à Wall Street.
«Vous téléchargez l'application gratuitement ou pour un prix modique. Après, elle vous harponne», selon Brian Blau, analyste spécialisé dans la technologie et la consommation chez Gartner, qui estime qu'en moyenne les joueurs dépensent de 40 à 60 dollars par jeu.
Croissance annuelle à deux chiffres
Ce type de phénomène, appelé «freemium», a fait progresser le marché des jeux sur smartphones, principalement via l'achat de ce type d'applications, de plus de 60% à 16,5 milliards de dollars en 2013, selon l'institut de recherche IHS.
Une croissance annuelle à deux chiffres est attendue dans les «trois à cinq prochaines années».«La façon dont les jeux sont configurés, c'est qu'il n'y a aucune vraie limite à la somme que le joueur dépensera sur un jeu», a déclaré Jack Kent, analyste britannique d'IHS.
«Vous êtes encouragés à revenir dans le jeu et dépenser plus», explique-t-il en amont du Congrès mondial du mobile de Barcelone, qui se tiendra du 23 au 27 février. Ce congrès rassemble les principaux acteurs du marché du mobile et fait figure de référence pour le secteur.
40% de tous les téléchargements d'applications
Bien que les jeux représentent environ 40% de tous les téléchargements d'applications sur les mobiles, ils représentent environ 80% des revenus, a dit l'analyste. Il ajoute que le marché des jeux sur smartphones et tablettes est maintenant deux fois plus important que celui des consoles portables comme les Sony PSP ou Nintendo DS.
Selon l'institut de recherche technologique Gartner, le chiffre d'affaires du marché global des jeux sur mobiles va bondir de 13,2 milliards de dollars en 2013 à 17 milliards en 2014 et 22 milliards en 2015.
Difficile de se démarquer
Il y a maintenant plus d'un million d'applications sur mobiles disponibles, ce qui rend plus difficile de se démarquer, voire même d'être repéré. Selon Lawrence Lundy, analyste chez Frost et Sullivan, désormais les opérateurs de messagerie en Asie s'associent avec des développeurs pour offrir des jeux directement à leurs utilisateurs.
Le japonais LINE ou le sud-coréen KakaoTalk sont ainsi devenus des plate-formes de jeux, selon les analystes. Mais la dimension addictive peut être problématique pour certains.
Le succès de son jeu a détruit sa vie
Le créateur vietnamien du jeu «Flappy Bird», Nguyen Ha Dong a expliqué ce mois-ci au magazine Forbes que le succès de son jeu avait tout simplement détruit sa vie, à tel point qu'il l'a retiré de la vente.
Le jeu, qui consiste à diriger un oiseau au milieu d'obstacles, a rencontré un tel succès qu'il rapporte environ 50'000 dollars par jour, mais est «un produit addictif», qui provoque une dépendance, selon lui. La dépendance reste marginale pour Brian Blau: «il y a là-dedans une part d'addiction psychologique, mais la plupart des gens veulent simplement jouer au jeu, ils l'apprécient».

Karlnar2



j'aimerais trop voir le jour ou pour une raison ou une autre tout ne fonctionnera plus. Qu'est-ce qu'il vont faire a ce moment-la?

samuel

samuel
Administrateur

Il feront comme nos grands parents.ils se parleront un peu plus.

chico.

chico.


COMPRÉHENSION
Mieux vaut prendre ses notes au stylo qu'à l'ordinateur
Par Christine Talos | Mis à jour il y a 41 minutes
A l'heure où bon nombre d'étudiants potassent en vue des prochains examens, une étude révèle que le stylo serait plus efficace que l'ordinateur pour retenir ses cours ou ses notes.

Pour les chercheurs, un étudiant écrit plus rapidement sur son ordinateur mais il écrit de façon moins intelligente. (Photo: Keystone)
L'ordinateur ou les tablettes se taillent des places toujours plus grandes dans la panoplie des étudiants pour prendre des notes, que ce soit à la maison ou dans les amphithéâtres. Pourtant, même si ces instruments sont bien pratiques, ils desserviraient leurs utilisateurs, selon une étude de Psychological Science. Celle-ci révèle en effet que la prise de notes manuscrites permettrait de mieux retenir ses cours.

Selon les auteurs de l'étude, des chercheurs de l'Université de Princeton aux USA, les nouvelles technologies ont un inconvénient majeur: ils déconcentrent les étudiants qui en profitent souvent pour naviguer sur les différents réseaux sociaux plutôt que d'écouter les cours, voire carrément à s'offrir un petit jeu pour passer le temps.

Cours moins bien compris

Voilà pour l'aspect ludique. Mais la prise de note sur ordinateur, si elle est plus rapide qu'à la main, n'incite pas non plus à la bonne compréhension du cours. En revanche, écrire ses notes à la main permet de faire le tri dans sa tête, et donc de mieux engranger les informations importantes.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont testé trois groupes d'étudiants. Leurs résultats ont montré clairement que ceux qui écrivaient à la main avaient été les plus attentifs et pouvaient répondre le plus précisément aux questions sur le cours suivi. Contrairement à ceux qui avaient transcrit leurs cours sur ordinateur. Leurs notes étaient mieux faites et plus longues. Mais ils avaient retenu nettement moins d'infos.

Pour le scientifique Daniel Oppenheimer, un étudiant écrit donc plus rapidement sur son ordinateur mais il écrit de façon moins intelligente. «Taper à la vitesse de la lumière encourage à transcrire ce que l’on entend, sans faire vraiment attention à ce qui est dit».

(Tribune de Genève)

samuel

samuel
Administrateur

Rien ne remplace vraiment le livre pour que ça reste dans notre mémoire.

samuel

samuel
Administrateur

L'addiction aux smartphones inquiète les spécialistes
Mis à jour le 15.06.14
Des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique à Singapour.
1 commentaire

Singapour et Hong Kong détiennent le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant. (Photo: AFP)
Êtes-vous facilement distrait par votre smartphone? Difficile de vous en séparer? Êtes-vous constamment en train de le consulter sans raison particulière? Il y a des risques que vous soyez accro et même que vous ayez besoin de l'aide d'un psychologue.

A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique. Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène.

Singapour et Hong Kong détiennent le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen. 87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis. Ils passent en moyenne 38 minutes par session sur Facebook, soit presque deux fois plus que les Américains, selon la société Experian.

Nouveau trouble mental

L'addiction à l'internet devrait être classée dans les troubles mentaux, estime Adrien Wang, psychiatre au centre médical de Gleneagles. «Les patients viennent pour des troubles liés au stress et à l'anxiété, mais je me rends compte que leur mécanisme de survie est de se connecter en ligne et d'aller naviguer sur les réseaux sociaux», explique Adrien Wang, psychiatre au centre médical de Gleneagles.

Le médecin évoque le cas d'un étudiant de 18 ans dont les symptômes étaient extrêmes.«Il n'était pas rasé, maigre, les cheveux longs, ne s'était pas douché depuis plusieurs jours. Il avait l'air d'un sans abri», dans un des pays au niveau de vie parmi les plus élevés du monde, explique M. Wang à l'AFP.

L'adolescent en est même venu aux mains avec son père lorsque celui-ci a voulu lui confisquer son ordinateur portable. Et quand le père a coupé l'accès internet de la maison, le fils au désespoir a erré dans le quartier pour tenter de capter les connexions sans fil des voisins. Finalement il a dû se faire hospitaliser, a été mis sous antidépresseurs et suivi une psychothérapie avant d'aller mieux.

Pas dans les manuels

Tan Hwee Sim, psychiatre à la clinique Rezilienz Mind de Singapour, a vu les symptômes de ses jeunes patients évoluer au fil des années. Alors qu'autrefois elle traitait des sujets presque essentiellement dépendants aux jeux vidéos, elle accueille désormais en consultation des jeunes tout aussi accros aux réseaux sociaux et aux vidéos en ligne. «L'addiction numérique comme maladie n'est même pas mentionnée dans nos manuels psychiatriques les plus récents, c'est uniquement signalé dans l'annexe comme un trouble nécessitant des recherches plus approfondies», déplore-t-elle.

Sur le plan physique, de plus en plus de gens sont atteints de «text-neck» et l'«iNeck», qui désignent par exemple des douleurs à la nuque dues à une mauvaise position lors de l'utilisation de terminaux mobiles, indique Tan Kian Hian du Singapore General Hospital. En Asie, plusieurs pays ont déjà ouvert des centres de traitement pour les jeunes «addicts» à l'internet, notamment en Corée du Sud, en Chine et à Taïwan.

Ados accros

En 2013, une étude indiquait que 7% des 50 millions de Sud-Coréens présentent «un risque élevé» d'addiction à l'internet. Le pourcentage grimpait à près de 20% chez les adolescents. La Chine compte environ 300 centres de traitement alors qu'une étude estimait à 24 millions le nombre de jeunes chinois accros à l'internet, selon un reportage de la télévision publique CCTV.

Trisha Lin, professeur assistante en communication à l'Université technologique de Nayang, met en garde contre une utilisation à un âge précoce des nouvelles technologies, qui décuple le risque de développer une dépendance, de s'isoler et de «décrocher» à l'école. Les symptômes de l'addiction: l'incapacité à s'empêcher de surfer, l'anxiété lorsqu'on n'a pas son smartphone sur soi, la perte d'efficacité au travail ou dans les études, et le besoin de toujours vérifier son téléphone.

Prévention chez les petits

Les parents doivent impérativement s'abstenir de mettre un smartphone ou une tablette dans les mains de leurs jeunes enfants pour les occuper ou les faire taire, prévient-elle. «C'est comme la télévision dans le passé avec la baby-sitter, en pire, parce que si la télévision était seulement à la maison, maintenant vous avez des écrans avec vous partout».

Ce problème est tellement envahissant à Singapour qu'un programme de sensibilisation pour les enfants de maternelle et leurs parents, baptisé «cyber bien-être», va être lancé d'ici fin 2014.«Nous voulons prévenir les parents pour qu'ils ne donnent pas ces gadgets trop tôt à leurs enfants et sachent les leur retirer», explique Chong Ee Jay, qui lance ce programme.

Un groupe d'étudiants de l'Université technologique de Nanyang de Singapour a lancé l'an dernier une campagne encourageant les jeunes à poser leur smartphone, écran caché, en présence de leurs proches.

(afp)

Josué

Josué
Administrateur

38% des bébés américains jouent sur des tablettes Portab10

samuel

samuel
Administrateur

Les jeux vidéo violents liés au risque de délinquance et d'alcool
Mis à jour le 4.08.14
Selon une étude américaine, les jeux vidéos violents glorifiant des personnages antisociaux accroîtraient le risque de délinquance et de tabagisme et la consommation d'alcool chez les ados.



38% des bébés américains jouent sur des tablettes Image_big_ipad_http___files2.newsnetz.ch_story_1_8_4_18473061_15_topelement
Selon des chercheurs du Darmouth College, une université située dans le New Hampshire, les jeux violents destinés à des adultes paraissent affecter l'idée que les adolescents se font d'eux-même.
L'impact de ces divertissements violents peut influer potentiellement sur leur ego dans le monde réel, précisent les professeurs.
Leurs travaux paraissent dansPersonality and Psychology,la revue de l'Association américaine de psychologie.
Une précédente recherche menée dans cette même université publiée en 2012 montrait déjà que de tels jeux vidéo pouvaient inciter des adolescents à se montrer imprudents en voiture.
Comportements violents
Mais «jusqu'alors les études conduites sur l'influence des jeux vidéos sur la jeunesse se concentraient principalement sur leurs effets relatifs à l'agressivité et aux comportements violents», explique James Sargent, professeur de pédiatrie au Dartmouth College, co-auteur de cette recherche.
Selon lui, «cette étude est importante car elle suggère pour la première fois que les jeux vidéos violents pourraient non seulement inciter les adolescents à avoir des comportements violents, mais les encourager aussi à la consommation d'alcool et de tabac ainsi qu'à avoir des comportements risqués sexuellement ou au volant».
En fait, les jeunes qui jouent à ces jeux vidéo risquent de s'identifier aux protagonistes asociaux qui y sont représentés, relève Jay Hull, du département de psychologie et d'études du cerveau du Darmouth College, le principal auteur de ces travaux.
«Nous sommes ce que nous prétendons être et de ce fait nous devons faire attention à ce que nous prétendons être», dit-il.
Changements de personnalité
Pour cette recherche, les auteurs ont effectué une étude avec plus de 5000 adolescents américains sélectionnés au hasard, qui ont répondu à une série de questions par téléphone sur une période de quatre ans.
Ils ont examiné un certains nombre de facteurs, dont le fait de jouer à trois jeux violents glorifiant le risque. Il s'agit notamment de «Grand Theft Auto», «Manhunt» et «Spiderman».
Ces chercheurs ont constaté que de tels jeux étaient liés à un large éventail de comportements risqués chez les jeunes. Selon eux cela s'expliquerait en partie par des changements de personnalité, d'attitudes et de valeurs liées à ces jeux qui rendent ces adolescents plus rebelles et plus prompts à rechercher le risque.
Ces effets ont été similaires chez les garçons et les filles et étaient plus prononcés parmi ceux qui passaient plus de temps à jouer à ces jeux vidéos, particulièrement ceux avec des protagonistes asociaux.
Extrait du jeu vidéo «Spiderman»:

Josué

Josué
Administrateur

38% des bébés américains jouent sur des tablettes Doudo10

samuel

samuel
Administrateur

Ces smartphones qui nous rendent malades
Par Myriam Amara | Mis à jour à 13:37
Elles ont des noms amusants comme «text neck» ou «whatsappitis». Il n’empêche que les maladies provoquées par les smartphones ne sont pas à prendre à la légère.

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38% des bébés américains jouent sur des tablettes 1x1
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Le smartphone repose dans la main, la tête est penchée en avant: les utilisateurs peuvent rester dans cette position des heures durant. Or cela impose une très lourde charge à la colonne vertébrale, a démontré une étude publiée dans le magazine Surgical Technology International. Conséquences: tensions, usure prématurée des disques vertébraux et maux de tête. Image: Wikipedia
En Suisse, de plus en plus d’accidents de la route sont dus au fait que les usagers se laissent déconcentrer par leurs smartphones. Mais il n’y a pas qu’au sein du trafic que ces appareils sont dangereux: en effet, ils sont à l’origine de tout un tas d’effets indésirables, plus ou moins graves.
Maux de tête, problèmes psychiques, pouces douloureux, yeux rouges ou encore grippe… Le Blick les a recensés dans son édition du mardi 25 novembre et vous les retrouverez en exhaustivité dans la galerie ci-dessus.
(Tribune de Genève)

samuel

samuel
Administrateur

Les smartphones privent les enfants de sommeil
Mis à jour à 06:47
Les enfants qui ont accès à des tablettes ou des smartphones dans leur chambre bénéficient de moins de sommeil que ceux qui n'en n'ont pas, pointe une étude américaine publiée lundi.

38% des bébés américains jouent sur des tablettes PlaceholderImage


Les enfants qui ont accès à des tablettes et des smartphones dorment moins (Photo: DR)
Sur 2000 collégiens étudiés, ceux qui disposent de tablettes et de smartphones dans leur chambre la nuit dorment en moyenne 21 minutes de moins que leurs camarades qui n'en sont pas dotés, selon cette recherche publiée dans la revue américaine Pediatrics.
En outre, les enfants qui ont une télévision au pied de leur lit voient leur sommeil amputé de 18 minutes par rapport à ceux qui n'ont pas de télécommande à portée de main.
"Ces résultats doivent servir de mise en garde contre un accès illimité à des écrans dans les chambres d'enfants", soulignent les auteurs de l'étude emmenés par Jennifer Falbe de l'institut de Santé publique à l'Université de Californie.
L'étude a été menée sur 2.048 enfants entre 10 et 13 ans, scolarisés dans le Massachusetts (nord-est des États-Unis).
(afp)

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