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persécutions subies par une minorité musulmane

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Birmanie : HWR dénonce les persécutions subies par une minorité musulmane
L’organisation non-gouvernementale Human Rights Watch (HWR) s’inquiète du sort de certaines minorités en Birmanie, notamment la communauté musulmane des Rohingyas, dans l’ouest du pays. HWR a publié ce mercedi un rapport qui décrit les violences de ces dernières semaines : des affrontements entre minorité musulmane et bouddhiste, qui ont fait au moins 80 morts, selon un bilan officiel. Le tout, sans que le gouvernement n’intervienne.

“Ce qu’il y a de récurrent dans ce rapport, explique Phil Robertson, directeur adjoint pour l’Asie de HRW, c’est l’absence d’intervention de la part du gouvernement. Dans chacun des deux camps, les gens se sont donc procurés des armes pour se défendre eux-mêmes. Au final, le fait que le gouvernement ne protège aucune communauté, cela a encouragé les uns et les autres à mener des attaques coordonnées les uns contre les autres. En d’autres termes, cela a contribué à rendre la situation encore plus chaotique”.

Dans son rapport, Human Rights Watch déplore également l’attitude de la communauté internationale, qui “semble être aveuglée par une vision romantique des changements en Birmanie alors que des abus persistent”.

Plus d'actualités sur : Droits de l’Homme, Droits des minorités, Myanmar
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Josué

Josué
Administrateur

Une étude sur la discrimination des musulmans resurgit
publié le 12/12/2012

Publiée en 2010, elle refait brutalement surface suite à la publication erronée d’une dépêche. Symptôme d’une montée des tensions ?
© Fred de Noyelle / GODONG

« Les recruteurs préfèrent les chrétiens aux musulmans » : c’est le titre choc d’un article du Figaro, publié le 7 décembre, sur la discrimination à l’embauche. Une étude de l’Université de Stanford montre en effet que les chrétiens reçoivent 100 réponses après avoir envoyé un CV, contre 38 pour les musulmans. Pour établir ce résultat, les chercheurs ont envoyé des candidatures quasiment identiques, à compétences égales en tous cas. Seule différence : « Marie Diouf » est chrétienne, scout de France et collabore au Secours catholique ; « Khadija Diouf » est scout musulmane et aide au Secours islamique. Avec ou sans photo, le résultat est sans appel.

Publiée le 26 novembre sur le site d’actualité de l’université, l’information est immédiatement reprise sous forme de dépêche sur alarabiya.net — un site communautaire à dimension internationale. En France, des sites analogues y consacrent un article deux jours après, comme islamtoday.net et mooslym.com. Oumma.com embraye le 9 décembre, juste après la publication du billet sur Le Figaro. Seul hic : cette information n’a rien d’une nouvelle, l’étude ayant été publiée… il y a deux ans ! Mise en ligne le 22 novembre 2010 sur le site de l’université, elle est reprise par l’AFP le jour même et aura été abondamment commentée dans les médias français.

Pourquoi ressurgit-elle maintenant ? Sur le site de l’université de Stanford, c’est peut-être une erreur : l’information est rediffusée dans le canal réservé aux actualités alors qu’elle n’en est pas une… Par la suite, c’est clairement un choix. Al Arabiya reprend des citations d’une interview de l’époque, sans préciser que deux ans se sont écoulés. Islamtoday.net et mooslym.com indiquent, eux, que l’étude a été « menée en 2010 », ils estiment cependant qu’elle « reste d’actualité ». En revanche, Le Figaro.fr et Oumma.com ne semblent pas s’être aperçus de l’erreur — le second évoque « une nouvelle étude franco-américaine »… En tout cas, cette étonnante réactivité semble confirmer que la tension monte et que la discrimination de l’islam préoccupe au premier chef. De fait, l’opinion publique se radicalise en France.

Josué

Josué
Administrateur

Pakistan: les chiites victimes aussi
Natalia Trouiller - publié le 15/01/2013
Toutes les minorités religieuses du Pakistan sont menacées dans le pays, même si l'on parle essentiellement des chrétiens: les chiites, les hindous et les ahmadis sont également victimes du terrorisme islamiste sunnite.

Les funérailles des victimes de Quetta hier. ©Arshad Butt/AP/SIPA
Entre 1990 et 2007, ce sont plus de 4.000 chiites qui sont morts dans des violences interreligieuses au Pakistan. Pour ce qui est des ahmadis, une autre secte islamique, ils tiennent le décompte de leurs morts sur un site internet qui égrenne les attentats auxquels ils font face - le dernier meurtre remonte à une semaine. Si les chrétiens demeurent la minorité la plus persécutée du Pakistan, les autres minorités religieuses, en particulier celles issues de l'islam hétérodoxe, souffrent également.
> Minoritaires partout, sauf en Iran et en Irak, les chiites n'ont pas bonne presse auprès des sunnites, qui les considèrent comme des hérétiques. Vu d'Occident, les différences entre les deux ne sautent guère aux yeux: mais pour les musulmans, c'est autre chose. Mystique, imprégné de gnose et d'ésotérisme, le chiisme a fort peu en commun avec le sunnisme, et l'ahmadisme encore moins: pour cette secte étrange, en effet, le prophète Mohammed n'est pas le dernier des prophètes.
> Or, dans un Pakistan profondément sunnite, les minorités musulmanes sont dans une situation paradoxale: elles se considèrent comme musulmanes mais les autorités musulmanes du pays ne les reconnaissent pas comme telles. C'est pourquoi l'Etat pakistanais fait preuve de la même pusanimillité avec eux qu'avec les minrités chrétiennes et hindoues: au mieux, une indifférence coupable.
> C'est pourquoi la protestation entamée par les chiites du Balouchistan, que signale la journaliste Sylvie Lasserre sur son blog, est capitale. Ce jeudi, dans la ville de Quetta au Balouchistan, deux attentats ont fait plus de 90 morts dans la communauté chiite. Une tragédie qui couronne une série d'attentats et d'exécutions de plus en plus fréquentes. Comme l'écrit la reporter, "Trop c'est trop. Devant l'absence de réaction du gouvernement, les chiites de Quetta ont décidé de ne pas enterrer leurs 96 morts de jeudi tant que le gouvernement ne prendrait pas de mesures, réclamant l'intervention de l'armée au Baloutchistan pour les protéger." Un symbole extrêmement fort, qui en dit long sur l'exaspération de la population: en effet, les funérailles en islam doivent avoir lieu le plus tôt possible, le jour même si le défunt est mort dans la matinée. En agissant ainsi, les chiites espéraient attirer l'attention. C'est chose faite: le gouvernement fédéral a limogé hier le gouvernement du Balouchistan.

Josué

Josué
Administrateur

Les nazôréens ou nazaréens (en grec, au singulier : ναζωραῖος, nazôraios) sont un groupe religieux judéo-chrétien mal connu, attesté de manière indirecte à partir du ive siècle. Ce mouvement interne au christianisme primitif a la particularité de reconnaître la messianité de Jésus de Nazareth ainsi que sa divinité1, tout en continuant à pratiquer la Loi juive.
Ces judéo-chrétiens qui refusaient de renoncer aux préceptes juifs vivaient sans doute à l'écart du reste de la chrétienté. Pendant longtemps, ils ont été considérés comme des chrétiens irréprochables, mais Épiphane de Salamine, qui ne sait pas grand-chose d’eux, les classe parmi les « hérétiques ». Les raisons de ce jugement ne sont pas claires, car le principal reproche qu'il leur adresse est de « judaïser ».
En raison du nombre de mouvements judéo-chrétiens à cette époque, il est difficile de les distinguer d'autres courants.
Ils ont probablement été absorbés au cours du ve siècle, en partie par le judaïsme et en partie par le christianisme.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Réfugiés
[size=33]Rohingyas : la spirale de la violence s’accélère au Bangladesh[/size]
Article réservé aux abonnés
Au moins sept personnes ont été tuées dans une école religieuse par un gang ce vendredi matin. A Cox’s Bazar, le plus grand camp de réfugiés au monde, les actes criminels se multiplient et s’intensifient.[/size]

persécutions subies par une minorité musulmane WP2YAIW6PBGB3KNXZXC23SGOLQ

A Cox's Bazar, camp de réfugiés du Bangladesh, le 25 mars. (Munir Uz zaman/AFP)

par Laurence Defranoux
il y a 9 min




Du sang au sol, des cris de douleur, des vidéos macabres partagées sur les réseaux sociaux… A l’aube, ce vendredi, la terreur s’est de nouveau abattue à Balukhali, dans l’extrême sud du Bangladesh, dans l’immense camp de Cox’s Bazar où sont réfugiés environ un million de Rohingyas, un peuple persécuté et chassé de Birmanie. Des assaillants masqués et brandissant des armes à feu et des couteaux ont fait irruption dans les fragiles locaux d’une madrasa du camp 18 en tirant et en poignardant les personnes rassemblées pour une session d’études coraniques.

Sept personnes sont mortes. La police bangladaise n’a pas mentionné le nombre de blessés, qui pourrait monter à une vingtaine, et dit avoir arrêté un des assaillants, sans préciser son identité.



Guerre des gangs


Ce massacre survient trois semaines après l’assassinat de Mohib Ullah, un instituteur de 48 ans qui militait pour le rapatriement pacifique des Rohingyas en Birmanie, qui avait été invité à l’ONU en 2019 pour porter la voix de son peuple déraciné.



Son rejet de la lutte armée lui avait valu de nombreuses menaces de mort de la part des extrémistes rohingyas, et le 29 septembre, il a été tué par une vingtaine d’hommes qui ont fait irruption dans le bureau de sa petite association.

La famille et les proches de Mohib Ullah ont dénoncé une action de l’…

https://www.liberation.fr/international/asie-pacifique/rohingyas-la-spirale-de-la-violence-saccelere-au-bangladesh-20211022_IUJNFMUULVA65FYXFBTCJ4KTTA/?xtor=CS8-60

Lechercheur



La justice allemande a condamné un jihadiste irakien pour "génocide" de la minorité yazidie, une première au monde saluée par la Prix Nobel de la Paix, Nadia Murad, comme "une victoire" pour la reconnaissance des exactions commises par l'organisation État islamique (EI).
C'est la première fois qu'un tribunal juge que ces massacres perpétrés contre la communauté kurdophone dans le nord-ouest de l'Irak relèvent du "génocide", déjà reconnu comme tel par des enquêteurs de l'ONU.
Les juges de la Haute Cour régionale de Francfort ont condamné à la perpétuité Taha Al-Jumailly, 29 ans, pour "génocide, crime contre l'humanité ayant entraîné la mort, crimes de guerre et complicité de crimes de guerre" notamment.
"Ce verdict est une victoire pour les survivants du génocide, les survivants de violences sexuelles et l'ensemble de la communauté yazidie", a affirmé Nadia Murad, ancienne esclave sexuelle de l'EI, et figure mondialement connue des Yazidis.
La lecture du verdict a été brièvement interrompue après que le condamné, qui a suivi les débats avec un interprète, eut perdu connaissance.
Taha Al-Jumailly, 29 ans, qui avait rejoint les rangs de l'EI en 2013, a été reconnu coupable d'avoir durant l'été 2015 à Falloujah, en Irak, laissé mourir de soif une fillette yazidie de cinq ans qu'il avait avec sa mère réduit en esclavage.
Pour ce forfait, son ex-épouse Jennifer Wenisch, 30 ans, a déjà été condamnée à dix années de prison le mois dernier à Munich. 
- 'Jour historique ' - 
Nora B., la mère de la victime, qui bénéficie d'un programme de protection des témoins, s'est dite "soulagée", selon l'une de ses avocates Natalie von Wistinghausen, dans une déclaration à l'AFP.
"C'est dans les crimes commis contre elle et sa fille que se matérialise l'idéologie de l'EI dont l'un des objectifs était la destruction de la religion et de la communauté yazidie", a ajouté l'avocate.
Ce verdict était très attendu par la communauté aujourd'hui décimée. C'est "un jour historique pour l'humanité. Le génocide des Yazidis entre enfin dans l'histoire du droit pénal international", a également indiqué à l'AFP Natia Navrouzov, avocate et membre de l'ONG Yazda qui rassemble les preuves de ces crimes. 
L'avocate libano-britannique Amal Clooney, à la tête avec Nadia Murad d'une campagne pour faire reconnaître ces exactions comme un génocide, a également vu dans ce jugement "le moment que les Yazidis attendaient".
La mère de la petite fille a raconté à la barre le calvaire enduré par son enfant, "attachée à une fenêtre" à l'extérieur de la maison par des températures "allant jusqu'à 51° à l'ombre", selon le verdict.
Taha Al-Jumailly entendait punir la fillette pour avoir uriné sur un matelas.
- Multiples viols -
La mère a témoigné avoir été violée à de multiples reprises par des jihadistes de l'EI après qu'ils eurent envahi son village des monts Sinjar, dans le nord-ouest de l'Irak, en août 2014.
La minorité ethno-religieuse yazidie a été particulièrement persécutée par l'EI, qui a réduit ses femmes à l'esclavage sexuel et tué des hommes par centaines.
Pour juger cet Irakien, arrêté en Grèce en 2019, l'Allemagne applique le principe de la "compétence universelle" qui permet à un État de poursuivre les auteurs d'infractions les plus graves même quand elles ont été commises hors du territoire national.
Ce procès envoie donc "un message clair: peu importe où les crimes ont été commis et peu importe où se trouvent les auteurs, grâce à la compétence universelle, ils ne peuvent pas se cacher", souligne Natia Navrouzov.
L'Allemagne, où vit une importante diaspora yazidie, est l'un des rares pays à s'être saisi judiciairement des exactions commises par l'EI contre cette minorité.
La justice allemande a prononcé à ce jour six condamnations pour crimes contre l'humanité ou complicité de crimes contre l'humanité pour des faits en lien avec les Yazidis.
Fin janvier, une "revenante" de l'EI, partie en Syrie à l'âge de 15 ans, doit également comparaître en Allemagne pour notamment s'être rendue complice de "l'achat" d'une Yazidie.
Une équipe d'enquête spéciale de l'ONU avait annoncé en mai avoir recueilli la "preuve claire et convaincante" qu'un génocide a été commis par les jihadistes contre les Yazidis.

Josué

Josué
Administrateur

[size=47]En Inde, les actes et discours violents à l'égard des musulmans se multiplient[/size]

persécutions subies par une minorité musulmane Png;base64,iVBORw0KGgoAAAANSUhEUgAAAAEAAAABCAQAAAC1HAwCAAAAC0lEQVR42mNkYAAAAAYAAjCB0C8AAAAASUVORK5CYII=persécutions subies par une minorité musulmane AAWhOiU:copyright: AP - Mahesh Kumar A Procession religieuse hindoue pour marquer le jour de la naissance du dieu-singe Hanuman, à Hyderabad, ce samedi 16 avril 2022.
C'est un nouveau virus, celui de la haine, a dénoncé ce samedi 16 avril la présidente du Parti du Congrès Sonia Gandhi dans une tribune. Elle y dénonce la montée des actes et discours violents contre les musulmans. Cela fait suite à une alarme de Washington sur les attaques contre les minorités en Inde. Le parti BJP au pouvoir nie le phénomène.

Avec notre correspondant à New Delhi, Côme Bastin

Le climat d'oppression contre les musulmans en Inde n'est pas nouveau, mais il s'est encore accentué ces derniers mois. Une loi bannissant le port du voile a conduit à des affrontements entre étudiants hindous et musulmans. Des vendeurs musulmans ont été violemment écartés des abords de temples hindous.




Les récentes processions hindoues de Ram Navami ont été marquées par des provocations, des morts et la destruction de maisons et de commerces musulmans. Le tout avec le silence, voire la participation des gouvernements BJP au pouvoir dans plusieurs États.

Dans une tribune publiée dans The Indian Express, Sonia Gandhi est montée au créneau. « Qu'il s'agisse de vêtements, de nourriture, de foi, de fête ou de langue, les Indiens sont opposés aux Indiens et les forces de la discorde reçoivent tous les encouragements », a jugé la présidente du Parti du Congrès.

Ce samedi, le secrétaire général du BJP a répondu que c'était le parti du Congrès qui prêchait la haine contre les Hindous. Plus tôt dans la semaine, New Delhi a répliqué sèchement au secrétaire d'État américain Antony Blinken, inquiet des violations des droits de l'homme en Inde. « Nous aussi sommes inquiets de la situation des Indiens aux États-Unis », a affirmé le ministre indien des Affaires étrangères.

►À relire : En Inde, des violences en marge de processions traditionnelles hindoues

Lechercheur



Religion. L’avenir incertain des imams made in Germany
Les tout premiers imams formés dans une école reconnue par l’État allemand arrivent sur le marché du travail, rapporte la presse d’outre-Rhin. Mais sans le soutien des principales organisations musulmanes du pays, leurs perspectives professionnelles ne semblent pas assurées.

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Réservé aux abonnés Publié aujourd’hui à 17h01 Lecture 2 min.
Bülent Ucar, directeur du Collège islamique allemand (à gauche), remet son diplôme à l’un des étudiants de son établissement, le 30 septembre 2023, à Osnabrück. Bülent Ucar, directeur du Collège islamique allemand (à gauche), remet son diplôme à l’un des étudiants de son établissement, le 30 septembre 2023, à Osnabrück. PHOTO FRISO GENTSCH/DPA PICTURE-ALLIANCE/AFP

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