En écrivant ces mots, Salomon songeait peut-être à l’amitié qui avait uni son père David et Yonathân (1 Sam. 18:1). Le roi Saül souhaitait que son fils Yonathân hérite du trône d’Israël. Yonathân, lui, acceptait le fait que Jéhovah avait destiné David à cette fonction. À la différence de Saül, Yonathân n’était pas jaloux de David. Il ne s’irritait pas des louanges dont David était l’objet. Il n’a pas non plus cru les calomnies que Saül répandait au sujet de David (1 Sam. 20:24-34). Sommes-nous comme Yonathân ? Quand un de nos amis se voit confier des responsabilités, sommes-nous contents pour lui ? Quand il traverse des épreuves, lui apportons-nous réconfort et soutien ? Si nous entendons des propos malveillants à son sujet, sommes-nous prompts à les croire ? Ou bien, comme Yonathân, prenons-nous fidèlement sa défense ? w09 15/10 4:11.
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