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Violence à l’école : dialectique de l’islam et de l’arc-en-ciel

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Violence à l’école : dialectique de l’islam et de l’arc-en-ciel
9 avril 2024 16 h 49 min
violence école Islam Arc-en-ciel


Deux jeunes issus de l’immigration et liés à l’islam viennent d’être victimes de la violence à l’école. A Montpellier, la petite Samara, 14 ans, est sortie du coma après son lynchage, mais à Viry-Châtillon, le petit Shemseddine, 15 ans, ne s’est pas relevé de son tabassage : il est mort. Face à ce « fait de société » que les médias font mine de découvrir, le système prend officiellement conscience de l’état de déshérence où a sombré la jeunesse de France et de l’incapacité de l’institution scolaire à rétablir l’autorité pour la reprendre en main, témoin la réaction du premier ministre préconisant des « conseils de discipline dans le primaire ». Derrière cette proposition qui aurait paru ridicule voilà encore peu d’années, c’est à la fois l’effondrement des illusions post-soixante-huitardes qui se dessine, et, sous couleur de fermeté, l’utilisation dialectique du chaos par le pouvoir au bénéfice de la révolution arc-en-ciel – comme on le voit par la nouvelle apparition d’une affaire vieille de quatre ans, l’affaire Mila.



Le vivre ensemble à l’école, c’est la violence
Le vivre ensemble à l’école ne marche pas. Ni l’uniforme expérimental, ni le jambon de poulet à la cantine n’y feront rien. Ce que les gens de terrain, journalistes indépendants, professeurs, instituteurs, surveillants, ou simples mères de famille, savent depuis longtemps se dit aujourd’hui dans les milieux autorisés et les médias officiels. La violence est partout à l’école, à la sortie de l’école, dans n’importe quelle ville et n’importe quel quartier, elle touche aussi bien les élèves que les enseignants, dès le collège, dès le primaire, où le gouvernement veut porter le fer. Hier, il était interdit d’interdire, aujourd’hui, les écoles se barricadent, se bardent de caméras de surveillance, et l’on envisage sérieusement des conseils de discipline pour des enfants de huit ans. A quand la légion étrangère en maternelle ? Le pire est que le ridicule n’empêche pas de tuer. Des professeurs comme Samuel Paty et des collégiens comme Shemseddine.



L’école des pédagogues gauchistes et de l’immigration
La chose est devenue si criante qu’il n’est plus possible de la cacher. Ce n’est pas en criant sur l’air des lampions que l’immigration est une chance pour la France qu’on en fait disparaître ipso facto les conséquences désastreuses, qu’il s’agisse d’incidence négative sur l’économie, coût social, chômage, endettement, ou, ici, insécurité. Sans doute l’immigration n’est-elle pas la seule cause du délabrement de l’école et de la chute de l’autorité qui a ouvert la porte à la violence. Il ne faut certes pas oublier les principes de désordre mis en œuvre depuis près de soixante ans à travers les réformes successives, dont les premières (loi d’orientation, collège unique) ne furent pas les moins nocives, mais l’immigration sans contrôle a tout aggravé par son caractère massif et anarchique. Alors que l’école minée par les pédagogues gauchistes devenait incapable d’intégrer les nouveaux arrivants, le flot torrentiel des mentalités étrangères a emporté ce qui subsistait de faculté de symbiose heureuse, et cela a donné le vivre ensemble dans le chaos.



L’islam au centre des affaires Shemseddine et Samara
Bien sûr l’islam ajoute à ce chaos de manière significative. Dans l’affaire de Viry-Châtillon, trois adolescents et un majeur (trois ont des antécédents judiciaires) ont été écroués, soupçonnés de « crime d’honneur » comme il en foisonne au Pakistan. Une jeune fille de 15 ans, sœur de deux d’entre eux, est au centre de l’affaire : craignant pour sa réputation et celle de leur famille, ils avaient enjoint à plusieurs garçons de ne plus lui parler, et ils ont « corrigé » Shemseddine pour cela. Quant à Samara, sa mère, dans sa première réaction, avouait « ne pas comprendre » qu’on l’ait tabassée, ses agresseurs l’ayant traité de « mécréante, alors qu’elle est une bonne musulmane, qui fait bien ses 5 prières par jour… ». Sancta Simplicitas. C’est avouer deux choses. D’abord que l’agression contre Samara a pour motif l’islam, ou au moins une certaine façon de concevoir l’islam. Ensuite, que la mère de Samara considère la chose comme allant de soi : si elle avait été une kouffar, il aurait été naturel de la corriger !



L’arc-en ciel interdit de parler d’islam ou d’immigration
On le lui a fait remarquer et, dans un second temps, elle a parlé de la couleur des cheveux de sa fille. Elle a d’ailleurs souligné qu’elle ne voulait pas que l’agression de celle-ci soit « récupérée par l’extrême droite », ce qui est le signe classique d’une prise en main par les influenceurs du politiquement correct arc-en-ciel, qu’ils soient associatifs ou journalistes. Il ne faut pas en effet que l’islam soit mis en cause, même indirectement. Cela saute aux yeux dans l’affaire de la jeune Mila : en janvier 2020, cette adolescente de seize ans refuse les avances d’un internaute musulman et reçoit de sa part des insultes misogynes et « lesbophobes », elle réplique par une critique « très crue » de l’islam, l’affaire s’envenime à un tel point (appels à la violence, au viol et au meurtre) qu’elle doit être retirée de son école et placée sous la protection de la police à son domicile. Elle a depuis reconnu un « blasphème » contre l’islam.



Qui est le professeur de dialectique de Mila ?
Invitée par Yann Barthès à l’émission Quotidien, elle a également regretté la façon « vulgaire » dont elle s’était exprimée et s’est « excusée » auprès des fidèles pacifiques de l’islam. Mais aujourd’hui, invitée par Apolline de Malherbe sur BFM, elle assure avoir subi un « briefing » : « Quand tu vas arriver, tu vas regarder Yann Barthès droit dans les yeux, tu vas lui dire, mot pour mot à peu près : Je suis désolée. » Et elle ajoute : « Mais je ne suis pas désolée du tout. Je n’ai jamais été désolée. J’ai la rage. » A Quotidien, Julien Bellver a répondu assez longuement avant de conclure : « Le On dont parle Mila sur BFM ce n’était pas nous. Sa parole était libre sur le plateau. » Alors, qui était ce « On » ? Son avocat, Richard Malka ? Ou Caroline Fourrest, qui avait essayé de récupérer l’affaire pour l’extrême gauche féministe lesbienne arc-en-ciel ?

chico.

chico.

Tout cela devient vraiment inquètant.

Josué

Josué
Administrateur

Pourquoi autant de violence chez les jeunes ?
Fréquemment il s'agit d'un sentiment de frustration, d'impuissance face à la société indifférente, d'une jalousie sociale, ou encore d'une anxiété bouleversante, comme parfois aussi d'une forte dépression face à un échec ou un deuil…

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