Lundi 1er janvier Je vous envoie Timothée, car il est mon enfant bien-aimé et fidèle dans le Seigneur (1 Cor. 4:17).

Timothée était jeune et pourtant bien mûr, la preuve ,Paul lui donne une mission importante à accomplir.

Nous sommes conseillés de suivre son bon exemple.
Et de ne pas nous crioirent supérieur aux autres.

Cinq ans après avoir demandé à Timothée de se rendre à Thessalonique pour y fortifier les frères, Paul, se trouvant à Éphèse, écrivit aux Corinthiens: “Devenez mes imitateurs. C’est pourquoi je vous envoie Timothée (...); et il vous rappellera ce que sont mes méthodes pour ce qui est de Christ Jésus, tout comme j’enseigne partout dans chaque congrégation.” (I Corinthiens 4:16, 17). Pour avoir déjà collaboré cinq ans avec Paul, le jeune Timothée connaissait bien les méthodes d’enseignement de celui-ci. Il savait comment Paul avait présenté le message aux Éphésiens, y compris comment il les avait enseignés “publiquement et de maison en maison”. (Actes 20:20, 21.) Étant bien familiarisé avec de telles méthodes de prédication, Timothée pouvait à coup sûr apporter une aide remarquable aux congrégations.

, le sage rédacteur des Proverbes a fait cette observation: “Les blessures que fait celui qui aime sont fidèles, mais les baisers de celui qui hait, il faut les quémander.” (Proverbes 27:6). Que doit-on entendre par là?
Si un ami vous inflige une blessure, figurément parlant, il le fait d’une manière fidèle. S’il vous donne un conseil, c’est parce qu’il vous aime sincèrement et qu’il veut votre bien. Vous n’avez pas à quémander cette aide, voire des réprimandes, si c’est nécessaire, à ce véritable ami. Par ailleurs, vous faites preuve d’une grande sagesse si vous acceptez de bonne grâce ses conseils, ses critiques constructives ou les réprimandes dont vous avez besoin.
Par contre, si vous voulez qu’une personne qui vous hait fasse le bien envers vous, vous devez le lui quémander. Pour quelle raison? Parce que, à cause de la haine qu’elle a pour vous, elle n’est pas naturellement portée à vous donner des baisers, mais plutôt à vous traiter avec cruauté. Si tant est que vous obteniez sa bienveillance, ce ne sera qu’à grand mal et après la lui avoir quémandée.