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Mercredi 22 mars Il commença à leur enseigner beaucoup de choses (Marc 6:34).

5 participants

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golias

golias

Mercredi 22 mars


Il commença à leur enseigner beaucoup de choses ().


Réfléchis à la réaction que Jésus a eue quand une foule est venue à sa rencontre sur le versant d’une montagne. Il venait de passer toute une nuit à prier et devait donc être très fatigué. Mais il a eu pitié des pauvres et des malades qui se trouvaient dans la foule. C’est pourquoi il a non seulement opéré des guérisons, mais aussi fait un des discours publics les plus stimulants de tous les temps : le Sermon sur la montagne (). Jésus était aussi généreux de son temps. Peux-​tu imaginer ce qu’il a ressenti quand il a appris que son ami Jean le Baptiseur avait été décapité ? La Bible dit : « En entendant cela [la nouvelle de la mort de Jean], Jésus partit de là en bateau vers un endroit isolé, pour être seul » (). Mais une foule immense est arrivée avant lui là où il se rendait (). Il a vu que ces gens avaient désespérément besoin de réconfort spirituel et il s’est empressé de combler ce besoin (). 

w22.02 21 § 4, 6.

papy

papy

Jésus avait faim et soif et était épuisé quand il s’assit à la fontaine de Jacob, près de Sychar, ville de Samarie. Pourtant, quand une Samaritaine vint pour puiser de l’eau, il profita de l’occasion pour faire ce qui était bien. Il oublia sa fatigue et sa faim et trouva la joie et la force d’accomplir l’œuvre de son Père en aidant cette femme à apprendre ce qu’était le culte agréé par Dieu (Jean 4:6-34). Oui, pour Jésus faire la volonté de son Père était une nourriture. Son objectif principal était d’apporter une aide spirituelle aux hommes. Ses besoins matériels passaient au second plan. Sa vie était en parfaite harmonie avec cette exhortation qu’il adressa à ses auditeurs : “Ne vous inquiétez pas, en disant : ‘Qu’allons-nous manger ?’ ou : ‘Qu’allons-nous boire ?’ ou : ‘De quoi allons-nous nous vêtir ?’ Ce sont là, en effet, toutes les choses que les nations recherchent avidement. Car votre Père céleste sait que vous avez besoin de toutes ces choses. Continuez donc à chercher d’abord le royaume et Sa justice, et toutes ces autres choses vous seront ajoutées.” — Mat. 6:31-33.

golias

golias

Jésus voit plus qu’une foule anonyme. Il voit des individus qui ont des besoins spirituels, des hommes et des femmes qui ressemblent à des brebis errantes, livrées à elles-​mêmes, sans berger pour les mener vers des prés verdoyants et les protéger. Jésus sait que les chefs religieux au cœur sec ne sont pas les bergers attentionnés qu’ils devraient être. En fait, ils n’ont que mépris pour les gens du peuple, dont ils négligent les besoins spirituels (Ézékiel 34:2-4 ; Jean 7:47-49). Ce n’est pas ainsi que Jésus va traiter les personnes qu’il a devant lui ; il va au contraire leur faire le plus de bien possible. Il se met donc à les enseigner à propos du Royaume de Dieu.

papy

papy

LES douze apôtres ont fait le tour de la Galilée et ont pris un grand plaisir à y prêcher la bonne nouvelle. Maintenant, peu après l’exécution de Jean, ils reviennent vers Jésus et lui racontent les moments merveilleux qu’ils ont vécus. Voyant qu’ils sont fatigués et qu’ils n’ont même pas le temps de manger à cause du va-et-vient de la foule, Jésus leur dit: ‘Retirons-nous en un endroit solitaire où vous pourrez vous reposer.’
Ils montent donc dans leur bateau, probablement près de Capernaüm, et font voile vers un endroit à l’écart, semble-t-il à l’est du Jourdain, au delà de Bethsaïda. Mais certains les ont vus partir, et d’autres l’apprennent. Tous courent donc le long de la rive et sont là lorsque la barque accoste.
En descendant du bateau, Jésus est ému de pitié devant tous ces gens, parce qu’ils sont comme des brebis sans berger. Il guérit alors les malades parmi eux et commence à leur enseigner beaucoup de choses.
Le temps passe vite, si bien que les disciples de Jésus s’approchent de lui et lui disent: “L’endroit est désert et l’heure est déjà très avancée. Renvoie-les, pour qu’ils s’en aillent dans les campagnes et les villages à la ronde s’acheter de quoi manger.”
Toutefois, Jésus leur répond: “Donnez-leur vous-mêmes à manger.” Ensuite, puisqu’il sait déjà ce qu’il va faire, c’est pour l’éprouver qu’il demande à Philippe: “Où achèterons-nous des pains pour que ceux-ci aient à manger?”
Aux yeux de Philippe il n’est pas possible de faire grand-chose. En effet, il y a déjà 5 000 hommes rassemblés, soit probablement plus de 10 000 personnes si l’on compte également les femmes et les enfants! Aussi répond-il à Jésus: “Deux cents deniers de pain [un denier étant alors le salaire d’une journée de travail], ce n’est pas assez pour eux, pour que chacun en reçoive un peu.”
Peut-être pour prouver qu’il est impossible de nourrir une foule aussi nombreuse, André intervient: “Il y a ici un petit garçon qui a cinq pains d’orge et deux petits poissons”, et il ajoute: “Mais qu’est-ce que cela pour tant de monde?”
Comme on est au printemps, juste avant la Pâque de l’an 32, l’herbe est abondante. Aussi, à la demande de Jésus, les disciples invitent les gens à s’étendre sur l’herbe par groupes de 50 et de 100. Jésus prend ensuite les cinq pains et les deux poissons, lève les yeux vers le ciel et prononce une bénédiction, puis il commence à rompre les pains et à partager les poissons. Il donne cette nourriture à ses disciples qui, à leur tour, la distribuent au peuple. Chose étonnante, tout le monde mange jusqu’à satiété!

samuel

samuel
Administrateur

Les journées de Jesus étaient bien remplis, mais il prenait toujours le temps de réconforter les gens.

Josué

Josué
Administrateur

Prenons un autre exemple, celui de Joseph en Égypte. La deuxième fois que ses dix demi-frères descendirent dans ce pays pour y acheter des vivres, ils étaient accompagnés de Benjamin, son seul frère germain (du même sein [rèḥèm] que Joseph). À sa vue et après tant d’années de séparation, les “entrailles [pluriel de raḥam] de Joseph étaient émues” pour son jeune frère, et il quitta la chambre pour pleurer. S’agissait-il ici, selon un sens du mot miséricorde, de ‘traiter avec compassion un offenseur ou un adversaire’ ? Non, car bien que les demi-frères de Joseph fussent coupables envers lui, Benjamin ne l’était pas. C’était à cause de l’affection profonde et de l’intérêt miséricordieux qu’il portait à son frère que Joseph réagit ainsi. Cet exemple n’enrichit-il pas le mot hébreu qui est ainsi utilisé pour désigner la miséricorde divine ? — Gen. 43:30 ; 37:12-28 ; voir I Rois 3:25-27.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Jésus savait être disponible en tout temps.

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