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Dans les Églises et dans la Congrégation : dogme(s) ou doctrine(s) ?

+2
papy
EnsembleJesus
6 participants

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EnsembleJesus



DOGME(S) OU DOCTRINE(S)
dans les Églises et dans la Congrégation.

D'accord pour se lancer ce nouveau sujet ?

Un vrai défi ; je dois dire que ce ne sera pas forcément facile de ne pas faire de message hors-sujet.

papy

papy

ET de quel dogme vas tu parler ?

EnsembleJesus



Puisque vous posez la question, je vais poser la question que voici :

DOCTRINE ou DOGME, ou peut-être simplement un PRÉCEPTE, la décision de ne pas accorder le droit aux Emblèmes de la Sainte Cène aux personnes qui croient "seulement" à la résurrection éternelle sur la terre ?

papy

papy

Dit moi la différence entre un dogme et un précepte ?

EnsembleJesus



papy a écrit:Dit moi la différence entre un dogme et un précepte ?

Ça semble signifier que, Papy, vous n'en voyez pas ;
donc, pour vous, c'est pareil ?

Je vais chercher les deux définitions. A` tout de suite, sinon par une édition au moins dans un message suivant.

EnsembleJesus



DOGME :
[[[ Google --- CNRTL - CNRS - ATILF - ORTOLANG : Outils et Ressources pour un Traitement Optimisé de la LANGue ]]]

Proposition théorique établie comme vérité indiscutable par l'autorité qui régit une certaine communauté.
Un dogme moral, métaphysique : le dogme du fatalisme.
À mesure que les peuples croiront moins, soit à un dogme, soit à une idée, ils mourront moins volontiers et moins noblement (Lamart., Voy. Orient,t. 1, 1835, p. 154):
1. Hélas! à quels docteurs faut-il que je me fie? La leçon des Anciens, dogme ou philosophie, Ne m'a rien enseigné que la crainte et l'orgueil; Ne m'abandonne pas, toi, qui seule, ô science, Sais forger dans la preuve une ancre à la croyance! Le doute est douloureux à traîner, comme un deuil. Sully Prudhomme, La Justice,Veille 2, 1878, p. 108.

A.− RELIG. Point de doctrine contenu dans la révélation divine, proposé dans et par l'Église, soit par l'enseignement du magistère ordinaire et universel (dogme de foi), soit par le magistère extraordinaire (dogme de foi définie) et auquel les membres de l'Église sont tenus d'adhérer. Dogme de la Communion des Saints, de l'enfer, de l'Eucharistie. Synon. article de foi :
2. De même que les dogmes spéculatifs de l'existence de Dieu, de la Trinité, de la Création, de la diversité substantielle de la matière et de l'esprit, de la vocation de l'homme à la perfection et à la béatitude, conduisent au dogme pratique de la distinction du bien et du mal ; de même, les dogmes spéculatifs du panthéisme, du dualisme, du matérialisme, du scepticisme, conduisent au dogme pratique de la confusion du bien avec le mal, ... Lacordaire, Conf. de Notre-Dame,1848, p. 194.
3. ... « en la personne de Pierre, des autres apôtres et de leurs successeurs, l'Église a reçu directement de Dieu, par Notre-Seigneur Jésus-Christ, la mission de conduire les âmes, à la lumière du dogme révélé et de la morale chrétienne, vers la vie de l'éternité. » Maritain, Primauté du spirituel,1927, p. 22.
SYNT. Dogme de l'immortalité, de la présence réelle, de la Providence, de la Rédemption, du péché originel, de la Trinité, de l'Immaculée Conception, de l'infaillibilité pontificale ; dogme exprimé, dogme révélé.
− Au sing. Le dogme. L'ensemble des dogmes. La lettre, l'esprit du dogme ; établir le dogme, admettre le dogme attaquer le dogme, croire au dogme, enseigner le dogme ; la formation du dogme, un professeur de dogme. Synon. la doctrine.Si jamais le christianisme n'avait été attaqué, jamais il n'aurait écrit pour fixer le dogme ; mais jamais aussi le dogme n'a été fixé par écrit que parce qu'il existait antérieurement dans son état naturel, qui est celui de « parole » (J. de Maistre, Constit.,1810, p. 35).

− Par analogie, et souvent avec une nuance péjorative :
Affirmation, thèse, opinion émise sur le ton de la certitude absolue et imposée comme une vérité indiscutable. L'infaillibilité du suffrage universel est prête à devenir un dogme qui va succéder à celui de l'infaillibilité du pape (Flaub., Corresp.,1852, p. 415).La souveraineté du peuple, qui était le dogme régnant parmi les puritains et les indépendants d'Angleterre (Cousin, Hist. philos. XVIIIes.,t. 1, 1829, p. 83). L'économie productive faisait de grands progrès et ces progrès étaient tels que vers 1780 tout le monde croyait au dogme du progrès indéfini de l'homme (Sorel, Réfl. violence,1908, p. 125) :
4. ... la peinture, ou, si on préfère, la syntaxe de la peinture, ses préceptes et ses méthodes, ses lois, ses canons, ses rubriques, ses dogmes, sa liturgie, sa tradition, ... Bloy, La Femme pauvre,1897, p. 145.

B.− PHILOS. et IDÉOL. Thèse admise dans une école philosophique particulière (supra ex. 2). Les dogmes stoïciens, platoniciens :
5. Il [Platon] a bien mérité, à cet égard, le témoignage que les Anciens lui ont unanimement rendu, d'avoir été le plus zélé défenseur et le plus fidèle croyant du dogme métaphysique de l'immortalité et du dogme moral des récompenses d'une autre vie. P. Leroux, De l'Humanité, de son principe et de son avenir,t. 2, 1840, p. 360.
− Au sing. Ensemble des points de doctrine d'un système de pensée. Car tout comme celle au catholicisme, la conversion au communisme implique une abdication du libre examen, une soumission à un dogme, la reconnaissance d'une orthodoxie. Or toutes les orthodoxies me sont suspectes (Gide, Journal,1933, p. 1175).

Prononc. et Orth. : [dɔgm̥]. Enq. : /dogm/. Ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1570 (Gentian Hervet, Cité de Dieu, I, 258 ds R. Hist. litt. Fr., t. 10, p. 334). Empr. au lat. class.dogma « doctrine, thèse » spéc. en lat. chrét. « croyance orthodoxe, croyance catholique », gr. δ ο ́ γ μ α « opinion, croyance ». Fréq. abs. littér. : 1 742. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 3 637, b) 2 373; xxes. : a) 2 367, b) 1 608.



Dernière édition par EnsembleJesus le Lun 20 Fév - 11:08, édité 1 fois (Raison : Quelques espaces pour aérer le texte, tout en le lisant.)

EnsembleJesus



EnsembleJesus a écrit:
papy a écrit:Dit moi la différence entre un dogme et un précepte ?

Ça semble signifier que, Papy, vous n'en voyez pas ;
donc, pour vous, c'est pareil ?

Je vais chercher les deux définitions. A` tout de suite, sinon par une édition au moins dans un message suivant.

J'ai donc commencé par DOGME ;
j'y ai trouvé deux synonymes : ARTICLE DE FOI et DOCTRINE ;
sachons tout de même que SYNONYME ne signifie pas
ABSOLUE ÉGALITÉ DE SENS ; en effet, il y a souvent des variations entre des synonymes, heureusement !

EnsembleJesus



DOCTRINE :
[[[ mêmes références que pour DOGME, un peu plus haut ]]]

A.− Ensemble de principes, d'énoncés, érigés ou non en système, traduisant une certaine conception de l'univers, de l'existence humaine, de la société, etc., et s'accompagnant volontiers, pour le domaine envisagé, de la formulation de modèles de pensée, de règles de conduite.

1. En gén. Vous voulez dénoncer tous les dogmatismes, tous les systèmes, toutes les doctrines, rendre leurs éléments libres pour de nouvelles combinaisons doctrinales (Barrès, Cahiers,t. 10, 1913, p. 134).Il [le moderne] a vu, en quelques dizaines d'années, régner successivement, et même simultanément, des thèses contradictoires également fécondes, des doctrines et des méthodes dont les principes et les exigences théoriques s'opposaient et s'annulaient (Valéry, Variété III,1936, p. 164).Ce qui vagit et fourmille en nous toujours un peu sommaire, inexplicable, flou, ils le traduisent en statistiques, en dogmes stricts, en doctrines puissamment assises sur le vide (Arnoux, Roy. ombres,1954, p. 42):
1. Si une doctrine est vraie, il ne faut pas la craindre; si elle est fausse, encore moins, car elle tombera d'elle-même. Ceux qui parlent de doctrines dangereuses devraient toujours ajouter dangereuses pour moi. Renan, L'Avenir de la sc.,1890, pp. 445-446.
SYNT. Doctrine commune, générale, moderne, traditionnelle ; bonne, nouvelle, pure, saine doctrine ; point(s) de doctrine ; au nom d'une doctrine ; exposer, prêcher, professer une doctrine.
2. Domaine relig., moral. Doctrine catholique, évangélique, spirituelle, théologique ; doctrine de l'Église.
On était frappé de la contradiction de leurs dogmes [des prêtres], de leurs maximes, de leur conduite, avec ces mêmes évangiles, premier fondement de leur doctrine comme de leur morale (Condorcet, Esq. tabl. hist.,1794, p. 104). Toute doctrine religieuse est ferment et règle de vie religieuse (Bremond, Hist. sent. relig.,t. 4, 1920, p. 414). Dans le Dieu fashionable qu'on m'enseigna, je ne reconnus pas celui qu'attendait mon âme (...) je servais sans chaleur l'idole pharisienne et la doctrine officielle me dégoûtait de chercher ma propre foi (Sartre, Mots,1964, p. 79) :
2. Certaines théories qui se disent scientifiques (...) construisent, mais n'observent pas. Elles voient dans la morale, non un ensemble de faits acquis qu'il faut étudier, mais une sorte de législation toujours révocable que chaque penseur institue à nouveau. La morale réellement pratiquée par les hommes n'est alors considérée que comme une collection d'habitudes, de préjugés qui n'ont de valeur que s'ils sont conformes à la doctrine ; et comme cette doctrine est dérivée d'un principe qui n'est pas induit de l'observation des faits moraux, mais emprunté à des sciences étrangères, il est inévitable qu'elle contredise sur plus d'un point l'ordre moral existant. Durkheim, De la Division du travail soc.,1893, p. xli.
3. Des lectures comme l'Imitation, qu'il n'eut pas comprises autrefois, le transportaient. Jadis, une telle doctrine d'ascétisme et d'humilité lui eût fait hausser les épaules, lui qui, aveugle envers lui-même, envers sa femme et les siens, avait fait son idéal de la conquête de l'argent... Van der Meersch, Invasion 14,1935, p. 296.
− P. méton., HIST. RELIG. Doctrine chrétienne. Congrégation religieuse vouée à l'enseignement. Revêtu de sa première culotte, il avait été traîné par la tante à l'école des sœurs de la Doctrine (Theuriet, Mais. deux barbeaux,1879, p. 144). Noviciat chez les frères de la Doctrine chrétienne. Pendant quarante ans, appris à lire et à écrire aux enfants de neuvième (Bloy, Journal,1905, p. 275). Les écoles primaires sont avant tout diocésaines, les maîtres, choisis par l'évêque sont, en grand nombre des laïcs, souvent des frères de la doctrine chrétienne (Encyclop. éduc.,1960, p. 86).
3. Domaine philos., idéol.Doctrine métaphysique. On dirait, à entendre certains professeurs de philosophie, que le système de l'harmonie des nomades fut un produit bizarre de l'esprit de Leibniz. (...) Le seul défaut de la doctrine de Leibniz consiste dans l'hypothèse du préétablissement de l'harmonie, d'où résulte une solution apparente du problème qu'on ne fait pourtant que reculer (Renouvier, Essais crit. gén.,3eessai, 1864, p. 18). Une doctrine philosophique peut évoluer ; elle est composée de pensées humaines qui sont groupées dans un ordre arbitraire et, par nature, provisoire (Martin du G., J. Barois,1913, p. 443). La sagesse antique ne séparait point la pensée de la vie. Et leur doctrine la plus constante visait à gouverner le corps afin de régler les passions (Alain, Beaux-Arts,1920, p. 233).Cf. aussi cohérent ex. 1 :
4. ... toute doctrine philosophique suppose une suite d'émotions qui l'accompagne. On peut considérer, par exemple, que la foi spiritualiste dans le Dieu personnel, le mérite et l'immortalité, enveloppe en elle des trésors de joie lucide et de vaillance, tandis que la foi panthéiste dans la communion de l'âme et de la nature produit, elle aussi, une joie profonde, mais enivrée et comme extatique. Tout au contraire, la conception de l'irrévocable écoulement de toutes choses roule dans ses replis d'étranges germes de tristesse... Bourget, Nouv. Essais de psychol. contemp.,1885, p. 120.
5. Le jeu favori, pour les philosophes du Parc, était non point de mettre axiomes et doctrines à l'épreuve des événements, de vivifier les dogmes par l'observation et l'expérience, mais, au contraire, d'inscrire à toute force les matériaux de la vie dans les gabarits d'une idéologie vétilleuse et d'écarter avec dédain ce qui ne semblait pas se prêter à cette pratique. Duhamel, Chronique des Pasquier,Cécile parmi nous, 1938, p. 58.
4. Domaine pol., social. Doctrine économique, libérale, politique. Les paris sur structures nouvelles qui caractérisent la politique économique de tout état traduisent un mercantilisme inéliminable sans doctrine et sans rationalité (Perroux, Écon. XXes.,1964, p. 325). Doctrines marxistes qui continuent d'inspirer le raisonnement et la tactique des partis communistes (Lesourd, Gérard, Hist. écon.,1968, p. 168) :
6. ... la masse de l'armée, longtemps maintenue dans un monde défensif, n'avait ni doctrine ni instruction. Incertaine de la voie à suivre, elle ne formait point un outil capable d'appliquer la rude doctrine de l'offensive ; (...) c'est dans ce cadre qu'une jeune opinion ardente, croyant s'être bâti un corps de doctrine conforme aux traditions de la guerre, se laissait entraîner par son enthousiasme et sa foi jusqu'à des exagérations dangereuses. Joffre, Mémoires,t. 1, 1931, pp. 33-34.
7. Nous trouvons déjà la contradiction du régime stalinien aux prises avec sa philosophie officielle. Ou bien ce régime a réalisé la société socialiste sans classes et le maintien d'un formidable appareil de répression ne se justifie pas en termes marxistes. Ou il ne l'a pas réalisée, la preuve est faite alors que la doctrine marxiste est erronée et qu'en particulier la socialisation des moyens de production ne signifie pas la disparition des classes. En face de sa doctrine officielle, le régime est contraint de choisir : elle est fausse ou il l'a trahie. Camus, L'Homme révolté,1951, p. 284.
5. Domaine sc. Méthode naturelle d'éducation physique, virile et morale, de G. Hébert, (...) cette doctrine est extrêmement simple et peut se résumer ainsi : « Retour systématique et raisonné aux conditions naturelles de vie (...) » (R. Vuillemin, Éduc. phys.,1941, p. 24). Il n'est pas question, dans la conception classique des mathématiques, de s'écarter de l'étude des nombres et des figures ; mais cette doctrine officielle (...) ne laisse pas de constituer peu à peu une gêne intolérable, à mesure que s'accumulent les idées nouvelles (Bourbaki, Hist. math.,1960, p. 30):
8. Le système ou la doctrine ne sont rien autre chose qu'une idée théorique dont on ne vérifie plus les déductions logiques. Alors cette idée théorique n'est plus une vérité relative, mais une vérité absolue. (...) Le système ne diffère de la doctrine qu'en ce que le système est un ensemble clos de connaissances déduites de la théorie, tandis que la doctrine est plutôt déduite de la pratique. La doctrine représente plutôt un ensemble d'opinions qu'un ensemble d'idées. Cependant, on dit presque indistinctement : des systèmes de médecine ou des doctrines médicales. C. Bernard, Principes de méd. exp.,1878, p. 115.
6. Domaine littér., artistique.Doctrine littéraire. Poe montrait une voie, il enseignait une doctrine très séduisante et très rigoureuse, dans laquelle une sorte de mathématique et une sorte de mystique s'unissaient (Valéry, Variété II,1929, p. 149). Au moment où Pierre Corneille achève d'organiser en doctrine l'absolutisme de son art, l'absolutisme royal est prêt (Brasillach, Corneille,1938, p. 379). C'est toute la doctrine du surréalisme : l'esprit sans la raison, la raison étant caractérisée par une identité, du moins temporaire, de la pensée avec elle-même (Benda, Fr. byz.,1945, p. 187).

B.− En particulier, prise de position ponctuelle, nettement et publiquement définie, d'une école de pensée ou d'un individu sur un problème spécial, généralement délicat et sujet à controverses ; opinion bien arrêtée sur un point précis, interprétation, thèse. Doctrines contraires, opposées ; se faire une doctrine, faire sienne la doctrine de. La véritable doctrine de l'immortalité : c'est le dogme même de l'humanité, considérée comme formant un seul être collectif, dogme qui se trouve expressément dans la bible (P. Leroux, Humanité,t. 2, 1840, p. 504). Pascal avec la doctrine du moi haïssable (Du Bos, Journal,1924, p. 145). Les doctrines de saint Thomas et de Duns Scot sur l'efficace des causes secondes et le redressement qu'ils ont fait subir à la doctrine augustinienne sur les problèmes des raisons séminales et de l'illumination sont exactement dans l'axe de la tradition chrétienne (Gilson, Esprit philos. médiéval, 1931, p. 151). Ceux-là, comme Vialleton, acceptent la doctrine de l'évolution en ce sens qu'ils admettent une succession de changements dans le monde organique, mais ils rejettent le transformisme en tant qu'explication de ces changements par le seul jeu des forces matérielles (J. Rostand, La Vie et ses problèmes,1939, p. 176):
9. Par sa doctrine de la nature et de la grâce, et de la subordination des fins, il [saint Thomas d'Aquin] nous fait comprendre la primauté des fins spirituelles sur les fins politiques, et du domaine universel de la grâce sur toutes les partialités de la nature. Par sa doctrine de la vie humaine et des vertus, il met en lumière le primat de la contemplation infuse, propre aux esprits élevés par la grâce au partage de la vie divine, sur l'action au dehors... Maritain, Primauté du spirituel,1927, pp. 121-122.
− Spéc., DR. Interprétation(s), opinion(s) propre(s) à tel(s) jurisconsulte(s) sur un point de droit. La substance de la chose est, pour ainsi dire, convertie en la personne du propriétaire, toujours présent sous les espèces ou apparences de ladite chose. Ceci est la pure doctrine des jurisconsultes. « La propriété, dit Toullier, est une qualité morale inhérente à la chose » (Proudhon, Propriété,1840, p. 245):
10. Après qu'un jurisconsulte a analysé avec le plus grand soin une question controversée, après qu'il a mis les principes de solution dans l'évidence la plus satisfaisante pour la raison, il ne peut pas, comme le géomètre, fournir au besoin la preuve expérimentale de la justesse de ses raisonnements et de l'exactitude de ses déductions. Il y a, entre la doctrine du jurisconsulte et celle du géomètre, une autre différence, bien importante aussi, provenant de ce que celle-ci a pour objet des idées et des rapports très simples, celle-là des idées et des rapports très complexes... Cournot, Essai sur les fondements de nos connaissances,1851, p. 397.
Remarque : Littré signale un sens particulier dans le domaine politique : ,,Sous la Restauration, la doctrine, système politique qui, voulant concilier la monarchie avec la liberté, cherchait à y parvenir par un ensemble de dogmes politiques. L'ensemble des personnages politiques qui adhéraient à ce système.`` Chez Barbey d'Aurevilly, on rencontre un substantif féminin : "doctrinaille" qui semble employé dans cette dernière acception, avec la valeur supplémentaire du suffixe péjoratif -aille. Lu la « Revue de Paris », un article sur la doctrinaille, ces pédants empesés qui ont la raideur des principes, sans les principes eux-mêmes. L'article vrai, au fond, mais écrit par un valet ministériel (Mémor. 2, 1838, p. 278).

Prononc. et Orth. : [dɔktʀin]. Ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. 1. Ca 1165 « enseignement, avertissement » (G. d'Angleterre, éd. M. Wilmotte, 2699); 2. ca 1175 « ensemble de connaissances que l'on possède » (B. de Ste-Maure, Ducs Normandie, éd. C. Fahlin, 2132); 1190 « ensemble de notions proposées comme fondement d'une religion, d'un système philosophique » (Herman, Bible ds Bartsch, Lang. et litt. fr., 108, Cool; 1680 spéc. doctrine Crétienne (Rich.); 1690 (Fur. : Les Peres de la Doctrine Chrétienne); 1840 'dr. (Proudhon, loc. cit.). Empr. au lat. class.doctrina « enseignement » et « théorie, méthode », lat. chrét. « enseignement religieux; enseignement de Dieu ». Fréq. abs. littér. : 4 830. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 9 219, b) 5 215; xxes. : a) 5 152, b) 6 781. Bbg. Quem. 2es. t. 2 1971 (s.v. doctrinaille). − Ricken (U.). Zur Entwicklung des französischen Intellektualwortschatzes. Halle, 1963, t. 12, pp. 993-999. − Ritter E.. Les Quatre dict. fr. B. de l'Inst. nat. genevois. 1905, t. 36, p. 403.

_-_-_-_-_
Voilà pour DOCTRINE ;
tout en lisant ce long article, je l'ai aéré un peu par quelques espaces.

J'y ai relevé l'expression DOCTRINE DE L'ÉVOLUTION


En avant pour PRÉCEPTE >>> dans le prochain article

EnsembleJesus



PRÉCEPTE :
{{{ mêmes références que pour DOGME et DOCTRINE

A. − Proposition, prescription énonçant un enseignement, une conduite à suivre, une règle (ou un ensemble de règles) à observer, généralement formulée par une autorité incontestée dans un domaine précis (science, arts, lettres, philosophie, etc.). Synonymes : leçon, loi, maxime, principe, règle. Précepte éthique, moral ; précepte(s) de l'art, de la philosophie ; précepte de conduite, de sagesse, de théorie ; donner, pratiquer des préceptes ; les préceptes de Descartes, de Pythagore.
Les préceptes sont comme des hypothèses dont nous avons à vérifier la vérité ; et l'obscure clarté de la conscience est destinée à devenir (...) la pleine lumière de la science (Blondel, Action,1893, p.420). Jusqu'au XIIème siècle la peinture est réglée par des préceptes fixes destinés à maintenir l'orthodoxie de toutes ses significations (Barlet, Lejay, Art de demain,1897, p.53):
1. Méthodes, poétiques bien définies, canons et proportions, règles de l'harmonie, préceptes de composition, formes fixes, ne sont pas (...) des formules de création restreinte. Leur objet profond est d'appeler l'homme complet et organisé (...) à s'imposer dans la production des ouvrages de l'esprit. Valéry, Variété V,1944, p.87.
Remarque : On trouve souvent l'association précepte/exemple, d'où les expressions suivantes : Doué d'un grand génie pour les sciences, il [Descartes] joignit l'exemple au précepte, en donnant la méthode de trouver, de reconnaître la vérité (Condorcet, Esq. tabl. hist., 1794, p.144). Donner l'exemple et le précepte (Delacroix, Journal, 1874, p.279).
− RELIGION
1. Commandement de Dieu ou de l'Église, généralement contenu dans les Écritures saintes, auquel chaque fidèle est tenu de se conformer strictement. Précepte chrétien, divin, évangélique, religieux ; précepte de charité, de l'Église, du christianisme ; les préceptes du Décalogue. [Le] Christ qui a résumé sa doctrine dans ces deux préceptes: «Aimez-vous les uns les autres!» −«Croissez et multipliez!» (Romains, Copains, 1913, p.232). Ce sont les préceptes de l'Évangile (...) qui m'ont inculqué le doute de ma valeur propre, le respect d'autrui, de sa pensée, de sa valeur (Gide, Journal,1933, p.1176):
2. ... le christianisme, universel par ses dogmes, par son culte, par ses préceptes, c'est-à-dire comme loi d'ordre et de vérité, est encore par la constitution divine de l'Église, l'institution sociale universelle. Lamennais, Religion, 1826, p.196.
Remarque : S'oppose à conseil, qui, en matière de religion ne constitue pas une obligation mais seulement une recommandation (v. conseil I B 3): L'un [Grégoire VII] insiste sur l'observation des préceptes, l'autre [Bérulle] ne parle guère que des conseils (Bremond, Hist. sent. relig., t.3, 1921, p.158).
♦ [En mauvaise part] Comment osez-vous (...) parler de morale, vous dont le chef a pratiqué la licence et prêché le scandale ? Vous dont le premier précepte est l'homicide et la guerre ? (Volney, Ruines,1791, p.320).
2. Règle monastique particulière à un ordre religieux. Elles aussi [les Bénédictines], se lèvent à deux heures pour chanter matines ; c'est un ordre de réparation qui suit les préceptes de saint Benoît dans leur rigueur la plus stricte (Huysmans, Oblat,t.2, 1903, p.50).
♦ Précepte formel : ,,Précepte plus solennel fait par un supérieur religieux à l'un de ses religieux, selon une forme canonique déterminée, et obligeant immédiatement et gravement le sujet en vertu de son vœu`` (Foi t.1 1968). Le précepte formel donne seulement au précepte une plus grande netteté et clarté, et une fermeté sans ambages (Foit. 11968).

B. − Conseil, recommandation dicté(e) par la sagesse et l'expérience. Précepte familial ; précepte dicté par la sagesse, la raison ; donner, suivre un précepte ; les préceptes (de quelqu'un). J'avancerai, comme un précepte appuyé d'une longue expérience, que, pour se plaire dans cet état de la vie [la vieillesse], il ne faut pas y arriver tout neuf (Jouy, Hermite,t.3, 1813, p.217). C'est ainsi que de l'épreuve de la vie sortent des maximes, des préceptes empiriques, des «moralités» populaires qui semblent résumer la sagesse des siècles et des nations (Blondel, Action, 1893 p.282):
3. Fabrice suivant le sage précepte de son amie la vivandière qui, la veille au matin, lui disait qu'il fallait piquer et non sabrer, abaisse la pointe de son grand sabre droit et fait mine d'en porter un coup à celui qui veut forcer la consigne. Stendhal, Chartreuse,1839, p.65.
REM.
Préception, subst. fém., hist. (sous les Francs). Lettre ou édit royal permettant aux juges d'enfreindre les lois ou les coutumes en vigueur. En l'année 582, une préception royale (...) ordonnait que tous les Juifs domiciliés à Paris fussent baptisés (Thierry, Récits mérov.,t.2, 1840, p.325).

Prononc. et Orth.: [pʀesεpt]. Ac. 1694, 1718: precepte; dep. 1740: pré-. Étymol. et Hist.1. 1119 «commandement, ordre» precept (Philippe de Thaon, Comput, éd. E. Mall, 519); 2. 1546 «enseignement, règle de conduite» (Est.); 1665 préceptes moraux (La Fontaine, Ballades et Rondeaux, éd. Ad. Regnier, IX, 23); 3. 1688 «principes, fondement de quelque langue» (Rich. t.2). Empr. au lat. praeceptum «leçon, règle; commandement, prescription», dér. de praecipio «prendre le premier; recommander, prescrire». Fréq. abs. littér.: 795. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 1888, b) 817; xxes.: a) 954, b) 757. Bbg. Gohin 1903, p.261 (s.v. préception).

_-_-_-_-_
Voilà donc, plus haut et ci-dessus, les trois définitions de
DOGME DOCTRINE PRÉCEPTE.
Comme pour les 2 premiers, j'ai lu et aéré l'article.
*** J'ai été surpris de trouver, dans le "paragraphe" - RELIGION, dans son n°1 << [Le] Christ qui a résumé sa doctrine dans ces deux préceptes : "Aimez-vous les uns les autres !" - "Croissez et multipliez !" ; pas vous ?
*** Je dirais que "RECOMMANDATION" pourrait être synonyme de "PRÉCEPTE".

BenFis

BenFis

Un dogme est une doctrine catholique indiscutable.

EnsembleJesus



BenFis a écrit:Un dogme est une doctrine catholique indiscutable.

C'est une toute petite partie de la définition.

Votre façon de faire, BenFis, est
[[[. peut-être que je me trompe .]]]
au moins aussi pire que votre propre façon de dire que vous avez du respect pour quelqu'éventuelle doctrine de votre Congrégation Internationale des Chrétiens Témoins de Jéhovah.

Oh oui, j'espère ne pas me jeter moi-même dans le feu de l'enfer !
HOSANNA ! ==>> Pitié Seigneur, je Te prie !

Hosanna ! Hosanna ! Hosanna !
pour moi et toutes les personnes de l'humanité toute entière !

BenFis

BenFis

EnsembleJesus a écrit:
BenFis a écrit:Un dogme est une doctrine catholique indiscutable.

C'est une toute petite partie de la définition.

C'est un résumé, je n'ai pas pu faire plus court. Very Happy


Votre façon de faire, BenFis, est
[[[. peut-être que je me trompe   .]]]
au moins aussi pire que votre propre façon de dire que vous avez du respect pour quelqu'éventuelle doctrine de votre Congrégation Internationale des Chrétiens Témoins de Jéhovah.

Oh oui, j'espère ne pas me jeter moi-même dans le feu de l'enfer !
HOSANNA ! ==>> Pitié Seigneur, je Te prie !

Hosanna ! Hosanna ! Hosanna !
pour moi et toutes les personnes de l'humanité toute entière !

Je n'appartiens à aucune religion.

EnsembleJesus



Hello BenFis !

Vous n'êtes pas non plus Chrétien Témoin de Jéhovah ?

Moi non plus, je n'appartiens à aucune religion ; je suis Chrétien de confession catholique, marial et œcuménique ; je suis d'accord avec vous : ce n'est pas pareil.

Josué

Josué
Administrateur

EnsembleJesus a écrit:
papy a écrit:Dit moi la différence entre un dogme et un précepte ?

Ça semble signifier que, Papy, vous n'en voyez pas ;
donc, pour vous, c'est pareil ?

Je vais chercher les deux définitions. A` tout de suite, sinon par une édition au moins dans un message suivant.
Tu ne serais pas jésuite par hasard ?

EnsembleJesus



BenFis a écrit:
EnsembleJesus a écrit:
BenFis a écrit:Un dogme est une doctrine catholique indiscutable.

C'est une toute petite partie de la définition.

C'est un résumé, je n'ai pas pu faire plus court. Very Happy

.

Non, ça ne s'appelle plus un résumé ;
un raccourci, à la rigueur.



Et puisque le mot catholique est utilisé, cela m'ouvre le droit de poser la question :

Quelle (s) doctrine (s) est ou sont discutables lors des assemblées de votre Congrégation ( *" dans les Salles du Royaume *" ou lors de toute autre rencontre, locale, nationale, francophone ou plus large ) ? Qui m'aidera à connaître la réponse ?

EnsembleJesus



Ci-dessous, je cite une partie du message n°9 ; j'ai ajouté de l'aération :

EnsembleJesus a écrit:
....... ......... ....... ...
........ ; les préceptes du Décalogue. [Le] Christ qui a résumé sa doctrine dans ces deux préceptes:

«Aimez-vous les uns les autres!» −«Croissez et multipliez!» (Romains, Copains, 1913, p.232).

Ce sont les préceptes de l'Évangile (...) qui m'ont inculqué le doute de ma valeur propre, le respect d'autrui, de sa pensée, de sa valeur (Gide, Journal,1933, p.1176)

........ ........ .......


_-_-_-_-_


Voilà donc, plus haut et ci-dessus, les trois définitions de
DOGME   DOCTRINE   PRÉCEPTE.
Comme pour les 2 premiers, j'ai lu et aéré l'article.


*** J'ai été surpris de trouver, dans le "paragraphe" - RELIGION, dans son n°1 << [Le] Christ qui a résumé sa doctrine dans ces deux préceptes : "Aimez-vous les uns les autres !" - "Croissez et multipliez !" ; pas vous ?
*** Je dirais que "RECOMMANDATION" pourrait être synonyme de "PRÉCEPTE".



Voilà ; j'ai réussi à laisser quelques parties, en particulier celle dont je voudrais que nous puissions causer :

Les 2 préceptes que Jésus a utilisés pour résumer sa doctrine [[ [Le] Christ qui a résumé sa doctrine dans ces deux préceptes : "Aimez-vous les uns les autres !" - "Croisez et multipliez !". ]]

Qu'en pensez-vous ?

Voici ce que moi j'en pense :

Il n'est plus question de multiplier le nombre d'habitants sur la planète Terre ;
il est possible qu'il soit question de multiplier le nombre de croyants en Christ Jésus ;
la multiplication n'est plus d'ordre physique, tout en sachant que Jésus n'empêche nullement la procréation ;
la multiplication est d'ordre spirituel : par l'amour que nous devons porter à tous les humains, nous les considérons comme des frères et sœurs en Christ Jésus !

BenFis

BenFis

EnsembleJesus a écrit:Ci-dessous, je cite une partie du message n°9 ; j'ai ajouté de l'aération :

EnsembleJesus a écrit:
....... .........      .......     ...
........    ; les préceptes du Décalogue. [Le] Christ qui a résumé sa doctrine dans ces deux préceptes:  

«Aimez-vous les uns les autres!» −«Croissez et multipliez!» (Romains, Copains, 1913, p.232).

Ce sont les préceptes de l'Évangile (...) qui m'ont inculqué le doute de ma valeur propre, le respect d'autrui, de sa pensée, de sa valeur (Gide, Journal,1933, p.1176)

........ ........ .......


_-_-_-_-_


Voilà donc, plus haut et ci-dessus, les trois définitions de
DOGME   DOCTRINE   PRÉCEPTE.
Comme pour les 2 premiers, j'ai lu et aéré l'article.


*** J'ai été surpris de trouver, dans le "paragraphe" - RELIGION, dans son n°1 << [Le] Christ qui a résumé sa doctrine dans ces deux préceptes : "Aimez-vous les uns les autres !" - "Croissez et multipliez !" ; pas vous ?
*** Je dirais que "RECOMMANDATION" pourrait être synonyme de "PRÉCEPTE".



Voilà ; j'ai réussi à laisser quelques parties, en particulier celle dont je voudrais que nous puissions causer :

Les 2 préceptes que Jésus a utilisés pour résumer sa doctrine [[ [Le] Christ qui a résumé sa doctrine dans ces deux préceptes : "Aimez-vous les uns les autres !"  - "Croisez et multipliez !". ]]

Qu'en pensez-vous ?

Voici ce que moi j'en pense :

Il n'est plus question de multiplier le nombre d'habitants sur la planète Terre ;
il est possible qu'il soit question de multiplier le nombre de croyants en Christ Jésus ;
la multiplication n'est plus d'ordre physique, tout en sachant que Jésus n'empêche nullement la procréation ;
la multiplication est d'ordre spirituel : par l'amour que nous devons porter à tous les humains, nous les considérons comme des frères et sœurs en Christ Jésus !

A mon avis, les dogmes et doctrines appartiennent aux religions. Et il n'y a pas une grande différence entre ces 2 termes. Ce sont des interprétations religieuses figées, donc plus ou moins gravées dans le marbre, et qui ne supportent aucune contradiction de la part des fidèles.

La Bible quant à elle, énonce des lois, des directives, des recommandations, des principes, etc, qui sont interprétables ; notamment en prenant ex. sur J-C.

BenFis

BenFis

EnsembleJesus a écrit:Ci-dessous, je cite une partie du message n°9 ; j'ai ajouté de l'aération :

EnsembleJesus a écrit:
....... .........      .......     ...
........    ; les préceptes du Décalogue. [Le] Christ qui a résumé sa doctrine dans ces deux préceptes:  

«Aimez-vous les uns les autres!» −«Croissez et multipliez!» (Romains, Copains, 1913, p.232).

Ce sont les préceptes de l'Évangile (...) qui m'ont inculqué le doute de ma valeur propre, le respect d'autrui, de sa pensée, de sa valeur (Gide, Journal,1933, p.1176)

........ ........ .......


_-_-_-_-_


Voilà donc, plus haut et ci-dessus, les trois définitions de
DOGME   DOCTRINE   PRÉCEPTE.
Comme pour les 2 premiers, j'ai lu et aéré l'article.


*** J'ai été surpris de trouver, dans le "paragraphe" - RELIGION, dans son n°1 << [Le] Christ qui a résumé sa doctrine dans ces deux préceptes : "Aimez-vous les uns les autres !" - "Croissez et multipliez !" ; pas vous ?
*** Je dirais que "RECOMMANDATION" pourrait être synonyme de "PRÉCEPTE".



Voilà ; j'ai réussi à laisser quelques parties, en particulier celle dont je voudrais que nous puissions causer :

Les 2 préceptes que Jésus a utilisés pour résumer sa doctrine [[ [Le] Christ qui a résumé sa doctrine dans ces deux préceptes : "Aimez-vous les uns les autres !"  - "Croisez et multipliez !". ]]

Qu'en pensez-vous ?

Voici ce que moi j'en pense :

Il n'est plus question de multiplier le nombre d'habitants sur la planète Terre ;
il est possible qu'il soit question de multiplier le nombre de croyants en Christ Jésus ;
la multiplication n'est plus d'ordre physique, tout en sachant que Jésus n'empêche nullement la procréation ;
la multiplication est d'ordre spirituel : par l'amour que nous devons porter à tous les humains, nous les considérons comme des frères et sœurs en Christ Jésus !

Où dans les évangiles Jésus a-t-il dit "Croissez et multipliez !" ?

EnsembleJesus



Où dans les Évangiles Jésus a-t-il dit "Croissez et multipliez !"

Je ne sais pas non plus ;
mais Jésus n'ayant rien annulé des Écritures, c'est compatible.

BenFis

BenFis

EnsembleJesus a écrit:Où dans les Évangiles Jésus a-t-il dit "Croissez et multipliez !"

Je ne sais pas non plus ;
mais Jésus n'ayant rien annulé des Écritures, c'est compatible.
Le "croissez et multipliez" était un ordre qui émanait de Dieu et concernait la reproduction humaine.

Or Jésus lui-même ne s'est pas reproduit, à ce que l'on sache.

Josué

Josué
Administrateur

C'est du n'importe quoi ce sujet et sans ni queue ni tête.

EnsembleJesus



BenFis a écrit:
EnsembleJesus a écrit:Où dans les Évangiles Jésus a-t-il dit "Croissez et multipliez !"

Je ne sais pas non plus ;
mais Jésus n'ayant rien annulé des Écritures, c'est compatible.
Le "croissez et multipliez" était un ordre qui émanait de Dieu et concernait la reproduction humaine.

Or Jésus lui-même ne s'est pas reproduit, à ce que l'on sache.

Alors quand quelqu'un raisonne comme vous, ça ne marche pas non plus ;
qu'est-ce que vous attendez de ce FORUM ?

Que quiconque en franchit le seuil devienne Témoin de Jéhovah ?
Si oui, alors c'est juste un piège.

EnsembleJesus



Je sens que je vais être à nouveau mis au vert.

Si vous pensez que c'est dans la volonté de Jéhovah-Vérité_Jéhovah-Dieu, faites-le.

samuel

samuel
Administrateur

Tu parles de la congrégation des Jésuites?

BenFis

BenFis

EnsembleJesus a écrit:
BenFis a écrit:
EnsembleJesus a écrit:Où dans les Évangiles Jésus a-t-il dit "Croissez et multipliez !"

Je ne sais pas non plus ;
mais Jésus n'ayant rien annulé des Écritures, c'est compatible.
Le "croissez et multipliez" était un ordre qui émanait de Dieu et concernait la reproduction humaine.

Or Jésus lui-même ne s'est pas reproduit, à ce que l'on sache.

Alors quand quelqu'un raisonne comme vous, ça ne marche pas non plus ;
qu'est-ce que vous attendez de ce FORUM ?

Que quiconque en franchit le seuil devienne Témoin de Jéhovah ?
Si oui, alors c'est juste un piège.

Loin de moi cette idée.
Je ne souhaite à personne de devenir TJ, ni catholique non plus.

J'essaye seulement d'être cohérent avec moi-même et avec ce que j'avance dans d'autres sujet. Je ne peux pas cautionner l'idée biblique du "croissez et multipliez", qui appliqué sans fin est un non-sens écologique.

Lechercheur



Manque de respect envers les églises : Olivier Lepick, maire de Carnac (Morbihan), dénonce “une violence passive assez incroyable” de la part des jeunes catholiques qui “récitaient des psaumes sous le porche” (VIDÉO)
[size=35]Manque de respect envers les églises : Olivier Lepick, maire de Carnac (Morbihan), dénonce “une violence passive assez incroyable” de la part des jeunes catholiques qui “récitaient des psaumes sous le porche” (VIDÉO)[/size]

https://www.ndf.fr/politique/17-05-2023/manque-de-respect-envers-les-eglises-olivier-lepick-maire-de-carnac-morbihan-denonce-une-violence-passive-assez-incroyable-de-la-part-des-jeunes-catholiques-qui-recitaient-des-psaumes-sous/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=manque-de-respect-envers-les-eglises-olivier-lepick-maire-de-carnac-morbihan-denonce-une-violence-passive-assez-incroyable-de-la-part-des-jeunes-catholiques-qui-recitaient-des-psaumes-sous&mc_cid=b486f3f4c9&mc_eid=f2e564f7d3

Lechercheur




La Sélection Du Jour
09 SEPTEMBRE 2023 - N°1979
SPIRITUALITÉ
Les « miracles eucharistiques » : légendes pieuses ou réalité ?

Image : hostie, Lanciano, Italie. Crédit photo : AFC photo / Wikimedia Commons
Périodiquement, la relation entre science et religion devient un sujet de débat public, comme l'ont montré les diverses réactions au livre à succès récent Dieu, la science, les preuves. Pour certains, croyants ou non, juxtaposer les mots « preuve » et « Dieu » est une contradiction logique. Pour un athée convaincu, l'idée d'une preuve d'un être inexistant serait risible, tandis que certains croyants affirment que la foi et les « preuves de l'existence de Dieu » sont des concepts irréconciliables, dans le sens où le second écraserait le premier. Selon cet argument, un Créateur qui obligerait les gens à croire par des preuves irréfutables de son existence ôterait toute liberté religieuse à ses créatures. Pour d'autres, cependant, une religion qui ne s'appuie sur aucune preuve vérifiable appartient aux « croyances » (comme l'affirmation de l'existence des fées) et bascule dans l'irrationnel pur. Dans ce contexte, la question des « miracles » comme signes de l'action divine est particulièrement épineuse, surtout lorsque la science est appelée à se prononcer sur les faits. C'est précisément ce qui s'est passé récemment au Honduras, où l'Église a demandé à deux laboratoires de tester un « miracle eucharistique » survenu en 2022 dans le petit village d'El Espinal.

Pour l'Église catholique, ces « miracles » (dont plus de 130 ont été officiellement approuvés) confirment que le pain (l'hostie) et le vin consacrés au cours de la messe deviennent réellement le corps et le sang du Christ. Dans certains cas, il s'agit d'hosties consacrées laissées mystérieusement intactes par le feu (comme à Faverney en 1608) ou échappant au processus normal de décomposition (Sienne, 1730). Dans d'autres cas, on découvre du sang humain sur une hostie ou sur du matériel en contact avec elle. Un des plus célèbres événements de ce type a eu lieu à Lanciano, en Italie, au 8e siècle, où un moine sceptique aurait vu le pain et le vin changés en chair et en sang. Ce n'est toutefois qu'à notre époque, grâce aux avancées de la recherche médico-légale, que la science a pu tester la tradition religieuse. À Lanciano, le professeur Linoli d'Arezzo a examiné en 1970-71 un échantillon vénéré comme miraculeux par les franciscains locaux. Au départ, ces derniers craignaient qu'un tel test rigoureux ne déconstruise leur tradition ancestrale, mais l'étude de Linoli confirma que ce qu'on présentait comme la chair du Christ était effectivement du tissu musculaire cardiaque d'un être humain du groupe sanguin AB (un groupe parmi les plus rares). Une conclusion étonnante qui s'est reproduite dans d'autres cas décrits dans un livre récent du cardiologue Francesco Serafini, dont celui de Buenos Aires (1992-1996), testé par le Dr Frederick Zugibe (Columbia University) sans savoir la provenance de l'échantillon concerné.

En juillet 2023, plus de 1200 ans après l'événement à Lanciano, l'évêque hondurien Mgr Walter Guillén Soto a ratifié des faits analogues à El Espinal. Le 9 juillet 2022, José Elmer Benitez, un laïc catholique chargé de distribuer des hosties déjà consacrées pour une communauté sans prêtre, a découvert un linge d'autel taché d'un liquide rouge dans le tabernacle où les hosties étaient conservées. Le linge a été envoyé à l'évêque Soto, qui l'a transféré au centre médical de Santa Rosa de Copan pour évaluer les niveaux d'oxydation et de dilution du « sang ». D'autres tests plus approfondis ont ensuite été effectués au centre de toxicologie de Tegucigalpa. La conclusion a été que les taches étaient bien du sang humain, type AB - le groupe sanguin trouvé non seulement à Lanciano, mais aussi dans tous les cas de miracles eucharistiques approuvés, ainsi que sur le suaire de Turin. L'évêque a déclaré qu'il ne doutait pas de la crédibilité des tests ni des rapports des témoins oculaires, parlant du « signe extraordinaire, tangible, sensible, vérifiable de cette manifestation du sang du Seigneur ».

Les « miracles eucharistiques » devraient-ils être considérés comme des « preuves » de la vérité de la foi chrétienne, et plus spécifiquement de la doctrine catholique concernant l'Eucharistie ? Tout dépend de la définition du mot « preuve ». Si on se limite aux démonstrations mathématiques, aux déductions logiques imparables ou aux phénomènes reproductibles en laboratoire, alors non. En revanche, si par « preuve » on veut dire « indices suffisants pour arriver à des conclusions raisonnables », le mot paraît plus utilisable. Dans des cas comme Lanciano et El Espinal, la science se heurte à ses propres limites face à des questions auxquelles la recherche empirique seule ne saurait répondre. Pourquoi ces phénomènes mystérieux sont-ils presque identiques à travers le temps et l'espace , jusque dans les moindres détails, révélés par la science moderne, dont ceux qui y ont cru dans le passé (dans le cas de Lanciano) ne soupçonnaient même pas l'existence ? Et quand assisterons-nous à un vrai débat ouvert et sans a priori entre croyants et sceptiques à ce sujet ?



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