Mardi 31 janvier Dieu […] vous donne à la fois le désir et la force d’agir (Phil. 2:13).

JÉHOVAH NOUS DONNE CE QU’IL NOUS FAUT.

 (Lire b.) Jéhovah peut nous donner le désir d’agir. Quels moyens utilise-​t-​il pour cela ? Nous pourrions entendre parler d’un besoin particulier dans notre assemblée. Ou il peut arriver que les anciens de notre assemblée nous lisent une lettre de la filiale nous informant que d’autres assemblées ont besoin de soutien. Nous pourrions alors nous dire : « Comment est-​ce que je peux apporter mon aide ? » Ou bien on nous a demandé d’accomplir une tâche difficile ou on nous a proposé une nouvelle affectation et, même si nous avons un peu peur de ne pas être à la hauteur, nous réfléchissons à la possibilité de l’accepter. Ou encore, après avoir lu une portion de la Bible, nous nous demandons : « Comment est-​ce que je peux appliquer ce passage pour aider d’autres personnes ? » Jéhovah ne nous forcera pas à faire quoi que ce soit. Mais s’il constate que nous sommes prêts à analyser notre situation pour voir ce que nous pouvons faire, il peut nous donner le désir de passer à l’action.



 Jéhovah peut aussi nous donner la force d’agir (). Il peut améliorer nos capacités naturelles au moyen de son esprit saint (). Il peut aussi utiliser son organisation pour nous enseigner à accomplir certaines tâches. Si tu ne sais pas exactement comment effectuer une tâche qui t’a été confiée, n’hésite pas à te faire aider. Sens-​toi également libre de demander à notre généreux Père céleste la « puissance qui dépasse la normale » (). La Bible contient de nombreux exemples d’hommes et de femmes que Jéhovah a rendus capables d’accomplir sa volonté en leur donnant le désir et la force d’agir.

(Lire b.) Jéhovah peut nous donner le désir d’agir. Quels moyens utilise-​t-​il pour cela ? Nous pourrions entendre parler d’un besoin particulier dans notre assemblée. Ou il peut arriver que les anciens de notre assemblée nous lisent une lettre de la filiale nous informant que d’autres assemblées ont besoin de soutien. Nous pourrions alors nous dire : « Comment est-​ce que je peux apporter mon aide ? » Ou bien on nous a demandé d’accomplir une tâche difficile ou on nous a proposé une nouvelle affectation et, même si nous avons un peu peur de ne pas être à la hauteur, nous réfléchissons à la possibilité de l’accepter. Ou encore, après avoir lu une portion de la Bible, nous nous demandons : « Comment est-​ce que je peux appliquer ce passage pour aider d’autres personnes ? » Jéhovah ne nous forcera pas à faire quoi que ce soit. Mais s’il constate que nous sommes prêts à analyser notre situation pour voir ce que nous pouvons faire, il peut nous donner le désir de passer à l’action.


Jéhovah peut aussi nous donner la force d’agir (). Il peut améliorer nos capacités naturelles au moyen de son esprit saint (). Il peut aussi utiliser son organisation pour nous enseigner à accomplir certaines tâches. Si tu ne sais pas exactement comment effectuer une tâche qui t’a été confiée, n’hésite pas à te faire aider. Sens-​toi également libre de demander à notre généreux Père céleste la « puissance qui dépasse la normale » (). La Bible contient de nombreux exemples d’hommes et de femmes que Jéhovah a rendus capables d’accomplir sa volonté en leur donnant le désir et la force d’agir.

Les vérités de la Bible sont un vrai trésor. C’est pourquoi la Bible nous dit : « Achète la vérité et ne la vends jamais » (Proverbes 23:23). Quand on réfléchit à la valeur d’un tel trésor, on est déterminé à continuer d’étudier la Bible, même s’il y a des obstacles (lire Proverbes 2:4, 5).

Quel intérêt présente pour nous la lecture de ce livre ? A chaque page, nous trouverons la conviction que le peuple croyant ne doit pas avoir d’autre ambition que de faire la volonté de Dieu : les autres succès seront comme des cadeaux. D’autre part, ce livre nous rappelle que le peuple du Christ, bien qu’il soit aujourd’hui sans frontières visibles, et bien qu’il ne soit pas isolé des autres peuples, ne peut pas perdre son originalité en s’assimilant purement et simplement à eux. Les croyants ne ressembleront jamais tout à fait à ceux qui ne croient pas et ils ne penseront pas non plus de la même manière. Ils ont leur propre mission et ils se préoccupent de l’unité visible de l’assemblée autour de ceux que Dieu a choisis du milieu d’eux pour être ses représentants.

Arrêtons-nous sur ces paroles de l’apôtre Paul : “ Par conséquent, mes bien-aimés, [...] menez à bien votre propre salut avec crainte et tremblement ; car c’est Dieu qui, pour son bon plaisir, est en train d’agir en vous afin que tout à la fois vous vouliez et agissiez. ” (Philippiens 2:12, 13). Le terme grec traduit ici par ‘ mener à bien ’ signifie mener quelque chose à terme, à bonne fin. Aucun d’entre nous n’est donc condamné à échouer ou à renoncer. Si Jéhovah Dieu n’était pas sûr que nous sommes capables d’achever l’œuvre qu’il nous a confiée — celle qui mène à notre salut — il n’aurait pas inspiré cette déclaration. Mais comment y arriver ? Certainement pas en comptant sur nos propres forces. Si nous étions suffisamment forts de nous-mêmes, nous n’aurions pas besoin de ‘ craindre et de trembler ’. En fait, c’est Jéhovah qui ‘ agit en nous ’ : son esprit saint est à l’œuvre dans notre esprit et dans notre cœur, il nous aide à ‘ vouloir et à agir ’. Forts de cette aide bienveillante, quelle raison avons-nous de ne pas faire les bons choix et de ne pas nous y tenir ? Aucune ! — Luc 11:13.

Ceux qui se sont fait baptiser à l’époque ont à coup sûr été agréés par Jéhovah, car il les a oints d’esprit saint, les adoptant ainsi comme fils spirituels. L’apôtre Paul écrit: “Il nous a destinés d’avance à être adoptés pour lui comme fils, grâce à Jésus Christ, selon le bon plaisir [eudokian] de sa volonté.” (Éphésiens 1:5). Ainsi, au Ier siècle, la prédiction faite par les anges à la naissance de Jésus a commencé à se révéler véridique: “Paix parmi les hommes de la bienveillance [ou, les hommes que Dieu agrée]!” — Luc 2:14.

Que faisons nous lorsque nous n'avons pas envie d'obéir?
Dieu ne nous a pas laissés seuls face au défi de sa volonté, il est avec nous et en nous pour nous aider.
Alors faisons lui confiance.

Pour préserver cette paix, ces “hommes de la bienveillance” devaient ‘continuer à travailler à leur salut avec crainte et tremblement’. (Philippiens 2:12.) Ce n’était pas là chose facile, car ils étaient toujours imparfaits. Il leur fallait résister à des tentations et à des incitations visant à leur faire commettre le mal. S’ils se laissaient aller à pécher, ils perdraient l’approbation de Dieu. Avec amour, Jéhovah a donc nommé des bergers spirituels, à la fois pour aider et pour protéger les congrégations. — 1 Pierre 5:2, 3.