Dieu m'a montré que je ne devais appeler aucun souillé .

L’apôtre Pierre n’avait aucun doute là-dessus. En témoignent les paroles qu’il a adressées à un officier romain et à sa maisonnée : “ Vraiment, je me rends compte que Dieu n’est pas partial, mais qu’en toute nation l’homme qui le craint et pratique la justice est agréé de lui. ” (Actes 10:34, 35). Il venait, en l’occurrence, de constater comment Dieu avait fait en sorte qu’une famille de Gentils — personnes auparavant jugées impures et non agréées — ait désormais son approbation. Nous avons, nous aussi, tout lieu d’être convaincus de l’impartialité et de la justice de Dieu, car nous voyons de nos yeux “ une grande foule ”, forte de six millions d’individus, issus de 230 pays et territoires, qui ont abandonné leur ancien mode de vie pour marcher sur le sentier de la justice. — Révélation 7:9 ; Isaïe 2:2-4.

Chacun doit y mettre du sien et aller vers l'autre pour nouer de bonnes relations.

Pierre discernait maintenant que sa vision avait eu pour but de lui enseigner une leçon qui ne se limitait pas aux aliments autorisés. Il ne devait “ appeler aucun homme pas même un Gentil souillé ”.