Redressez les mains qui pendent et les genoux.

Samedi 10 décembre
Redressez les mains qui pendent et les genoux affaiblis, et continuez à faire des sentiers droits pour vos pieds (Héb. 12:12, 13).
Lors de l’installation de la prêtrise d’Israël, le sang d’un bélier a été appliqué sur l’oreille, le pouce et le gros orteil droits d’Aaron et de ses fils (Lév. 8:22-24). Cet emploi du sang signifiait qu’avec obéissance, les prêtres feraient de leur mieux pour s’acquitter de leurs fonctions. À cet égard, le Grand Prêtre Jésus a laissé un exemple parfait aux oints et aux autres brebis. Son oreille a été attentive à la direction divine. Ses mains ont servi à accomplir la volonté de Jéhovah et ses pieds n’ont jamais dévié du chemin de la sainteté (Jean 4:31-34). Les chrétiens oints et les autres brebis de Jésus doivent, comme leur Grand Prêtre, marcher sur la voie de l’intégrité. Tous les adorateurs de Jéhovah doivent suivre avec obéissance les directives contenues dans sa Parole, ce qui leur évitera d’attrister son esprit (Éph. 4:30). Ils doivent « faire des sentiers droits pour [leurs] pieds ». w14 15/11 2:7, 8.

Spyqrs serait interesser de voir ce lien ainsi que le lien ou referent la TG ...

Pourquoi nous devons etre saint?

http://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/2014843#h=15:0-17:0

12:13-15. Nous ne devrions permettre à “ aucune racine vénéneuse ”, ou à quiconque dans la congrégation trouvant à redire à son fonctionnement, de nous empêcher de “ faire des sentiers droits pour [n]os pieds ”.

Les destinataires de la lettre doivent, en conséquence, rejeter le découragement et affronter la vie en chrétiens avec courage et confiance (verset 12). Car s’ils ne s’entraident pas pour aller de l’avant, ceux qui faiblissent dans leur engagement courent le danger imminent d’abandonner complètement le chemin de la foi (verset 13). Qu’ils cherchent donc dans le soutien mutuel à promouvoir entre eux la vraie sainteté et la paix (verset 14). Qu’ils restent sur leurs gardes de peur que l’un d’entre eux ne se détourne de la voie du salut par la grâce de Dieu ; mais aussi qu’on ne tolère point au sein de l’assemblée celui qui deviendrait une influence pernicieuse contaminant toute la communauté (verset 15). Car il faut reconnaître cette forme d’abandon comme une marque d’impiété et d’apostasie. Elle revient à agir comme Ésaü, et à renoncer honteusement à l’héritage accordé par Dieu au profit de quelque avantage matériel dérisoire (verset 16). Pire encore, l’aventure d’Ésaü montre que, une fois l’héritage de Dieu délibérément rejeté, il ne se présente pas d’autre occasion de le récupérer. L’homme qui agit ainsi est définitivement condamné (verset 17).