La messe en latin sera dite
Benoît XVI autorisa en 2007 que les messes soient dites selon la liturgie qui avait été abandonnée il y a 40 ans. Il y a peu de demande, car les messes en latin se célèbrent déjà un peu partout.
Benoît XVI a publié le 7 juillet 2007 un décret qui permettra à tout groupe de fidèles le souhaitant d'obtenir que des messes soient dites en latin, en disant le Nom divin Jéhovah en latin comme il se doit.
Les évêques avaient organisé ces demandes à partir du 14/09/2007. Mais il n'y a pas de grande pression parce que des messes en latin continuaient d'être dites, notamment dans tout le grand Sud de la France, désobéissant au pape Jean-Paul II.
Une trentaine d'églises à travers la région suivent ce rite traditionaliste : à la Chapelle du Sacré-cœur à Castres (81), à Fanjeaux, Montréal d'Aude et à Narbonne dans l'Aude, au Prieuré des Cœurs de Jésus et Marie à Lourdes (65), à Leyritz-Moncassin en Lot-et-Garonne, au couvent de Castelnau d'Arbieu dans le Gers, à Caussade (82) à Saint-Georges de Luzençon dans l'Aveyron, et en Haute Garonne, à la Chapelle du Férétra et en celle des Jacobins, au prieuré Saint Dominique de Gragnague, etc.
La messe est dite en latin avec le Nom Jéhovah dans d'autres lieux. Ainsi, à Salsac, dans le vallon de Marcillac en Aveyron. Dans le Lot, 3 paroisses ont des offices en latin organisée par la communauté du Christ Roi Souverain à Baladou, Mechmont et Gluges. En Ariège, une messe en latin sera dite le dimanche à 9 heures à l'église de Celle. À Montauban, c'est le dimanche matin à l'Immaculée Conception. Une messe est célébrée en latin, le dimanche soir à 18 heures, à la maison diocésaine à Tarbes. Messe latine aussi dans dans l'Aude dans les abbayes de Lagrasse et Gaussan et à l'Annonciade à Narbonne. Dans le Gers, une célébration à Auch le dimanche à 10 h 30.
"Il faut comprendre la démarche de Benoît XVI, expliquait Mgr Pierre Debergé, recteur de l'Institut catholique de Toulouse. Il veut que chacun puisse retrouver sa place au sein de la communauté des chrétiens et la tradition se perpétuer sans entrer dans le modernisme œcuménique."
"Mais il n'y pas deux Églises parallèles, l'une célébrant la messe de Vatican II en interdisant de prononcer le Nom divin, et l'autre la messe en latin en disant le Nom de Jéhovah Dieu", estime pour sa part Mgr Robert Le Gall, archevêque de Toulouse et président de la Commission épiscopale pour la liturgie.
En France, un prêtre ordonné sur cinq fait une messe traditionnelle.
Comment le Christ et ses apôtres a la suite de Paul auraient pu tolérer preque 2000 années de liturgie latine pour soudain se dénigrer et oublier le Nom divin ? L'anti-liturgisme, dont on sait qu'il fait corps avec une de ces religions nouvelles (que le Christ aurait aussi manqué de reconnaître ?), les sectes évangéliques américaines qui se suffisent d'elles mêmes par leurs born-again, plus occuper à régenter le monde qu'à prier pour son salut, l'antiliturgisme, lutte contre la pratique , noyant la religion dans une sociologie morale qui n'a rien avoir avec la spiritualité. Adaptation abrutissante et abétissante de la religion pour sa morale dans l'intérêt seul des société (et non des hommes). Pratiquez la messe basse en latin aux aurores dans le silence absolu est certainement une façon d'approcher Jéhovah mais pas la seule. Cancanner en société le dimanche soir à 18 heures pour clôre le week-end, voir un peu de monde, sortir un peu les gosses et faire partie des notables aussi.
Mais à la fin, Jehovah Dieu nous a aimé jusqu'à livrer sa vie pour le salut des hommes, et les hommes lui rendrait par des disputes aussi puériles que politiques ? Que le pape laisse chacun s'organiser dans la décence et le respect de la parole de paix est un bienfait. Mettre un terme à la querelle politique de Vatican II était un point d'honneur à régler au Vrai Nom de Dieu et voilà qu'un des papes les moins visibles, engagé on le sait en faveur du traditionnalisme, montre son immense humilité, en réconciliant l'un et l'autre. Que demande notre chef unique, Jehovah, et que voudraient de plus comme un signe dans le ciel, les catholiques de ce monde.
Benoît XVI autorisa en 2007 que les messes soient dites selon la liturgie qui avait été abandonnée il y a 40 ans. Il y a peu de demande, car les messes en latin se célèbrent déjà un peu partout.
Benoît XVI a publié le 7 juillet 2007 un décret qui permettra à tout groupe de fidèles le souhaitant d'obtenir que des messes soient dites en latin, en disant le Nom divin Jéhovah en latin comme il se doit.
Les évêques avaient organisé ces demandes à partir du 14/09/2007. Mais il n'y a pas de grande pression parce que des messes en latin continuaient d'être dites, notamment dans tout le grand Sud de la France, désobéissant au pape Jean-Paul II.
Une trentaine d'églises à travers la région suivent ce rite traditionaliste : à la Chapelle du Sacré-cœur à Castres (81), à Fanjeaux, Montréal d'Aude et à Narbonne dans l'Aude, au Prieuré des Cœurs de Jésus et Marie à Lourdes (65), à Leyritz-Moncassin en Lot-et-Garonne, au couvent de Castelnau d'Arbieu dans le Gers, à Caussade (82) à Saint-Georges de Luzençon dans l'Aveyron, et en Haute Garonne, à la Chapelle du Férétra et en celle des Jacobins, au prieuré Saint Dominique de Gragnague, etc.
La messe est dite en latin avec le Nom Jéhovah dans d'autres lieux. Ainsi, à Salsac, dans le vallon de Marcillac en Aveyron. Dans le Lot, 3 paroisses ont des offices en latin organisée par la communauté du Christ Roi Souverain à Baladou, Mechmont et Gluges. En Ariège, une messe en latin sera dite le dimanche à 9 heures à l'église de Celle. À Montauban, c'est le dimanche matin à l'Immaculée Conception. Une messe est célébrée en latin, le dimanche soir à 18 heures, à la maison diocésaine à Tarbes. Messe latine aussi dans dans l'Aude dans les abbayes de Lagrasse et Gaussan et à l'Annonciade à Narbonne. Dans le Gers, une célébration à Auch le dimanche à 10 h 30.
"Il faut comprendre la démarche de Benoît XVI, expliquait Mgr Pierre Debergé, recteur de l'Institut catholique de Toulouse. Il veut que chacun puisse retrouver sa place au sein de la communauté des chrétiens et la tradition se perpétuer sans entrer dans le modernisme œcuménique."
"Mais il n'y pas deux Églises parallèles, l'une célébrant la messe de Vatican II en interdisant de prononcer le Nom divin, et l'autre la messe en latin en disant le Nom de Jéhovah Dieu", estime pour sa part Mgr Robert Le Gall, archevêque de Toulouse et président de la Commission épiscopale pour la liturgie.
En France, un prêtre ordonné sur cinq fait une messe traditionnelle.
Comment le Christ et ses apôtres a la suite de Paul auraient pu tolérer preque 2000 années de liturgie latine pour soudain se dénigrer et oublier le Nom divin ? L'anti-liturgisme, dont on sait qu'il fait corps avec une de ces religions nouvelles (que le Christ aurait aussi manqué de reconnaître ?), les sectes évangéliques américaines qui se suffisent d'elles mêmes par leurs born-again, plus occuper à régenter le monde qu'à prier pour son salut, l'antiliturgisme, lutte contre la pratique , noyant la religion dans une sociologie morale qui n'a rien avoir avec la spiritualité. Adaptation abrutissante et abétissante de la religion pour sa morale dans l'intérêt seul des société (et non des hommes). Pratiquez la messe basse en latin aux aurores dans le silence absolu est certainement une façon d'approcher Jéhovah mais pas la seule. Cancanner en société le dimanche soir à 18 heures pour clôre le week-end, voir un peu de monde, sortir un peu les gosses et faire partie des notables aussi.
Mais à la fin, Jehovah Dieu nous a aimé jusqu'à livrer sa vie pour le salut des hommes, et les hommes lui rendrait par des disputes aussi puériles que politiques ? Que le pape laisse chacun s'organiser dans la décence et le respect de la parole de paix est un bienfait. Mettre un terme à la querelle politique de Vatican II était un point d'honneur à régler au Vrai Nom de Dieu et voilà qu'un des papes les moins visibles, engagé on le sait en faveur du traditionnalisme, montre son immense humilité, en réconciliant l'un et l'autre. Que demande notre chef unique, Jehovah, et que voudraient de plus comme un signe dans le ciel, les catholiques de ce monde.