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28 sept. Lecture de la Bible : 2 Rois 23-25

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Josué

Josué
Administrateur

28 sept. Lecture de la Bible : 2 Rois 23-25
On a des raisons de penser que Baal et les autres dieux et déesses du panthéon cananéen étaient associés dans l’esprit de leurs adorateurs à certains corps célestes. Par exemple, un texte de Ras Shamra mentionne une offrande à la “ reine Shapash (le soleil) et aux étoiles ” ; un autre parle de “ l’armée du soleil et de la multitude du jour ”.
On notera donc avec intérêt que la Bible établit à plusieurs reprises un rapport entre les corps célestes et le culte de Baal. Parlant de la rébellion du royaume d’Israël, le récit des Écritures déclare : “ Ils abandonnaient tous les commandements de Jéhovah [...] puis ils se sont prosternés devant toute l’armée des cieux et ont servi Baal. ” (2R 17:16). À propos du royaume de Juda, on lit que même dans le temple de Jéhovah il finit par y avoir des “ ustensiles qui avaient été faits pour Baal, pour le poteau sacré et pour toute l’armée des cieux ”. En outre, dans tout Juda, les habitants faisaient “ de la fumée sacrificielle pour Baal, pour le soleil, pour la lune, pour les constellations du zodiaque et pour toute l’armée des cieux ”. — 2R 23:4, 5 ; 2Ch 33:3 ; voir aussi Tse 1:4, 5.
Chaque localité avait son Baal, et le Baal local recevait souvent un nom indiquant qu’il était lié à un lieu particulier. Par exemple, le Baal de Péor (Baal-Péor), adoré par les Moabites et les Madianites, tirait son nom du mont Péor (Nb 25:1-3, 6). Plus tard, on finit par donner aux localités elles-mêmes, par un procédé de langage appelé métonymie, le nom des Baals locaux ; citons, entre autres, Baal-Hermôn, Baal-Hatsor, Baal-Tsephôn, Bamoth-Baal. Néanmoins, bien qu’il y eût quantité de Baals locaux, officiellement il était entendu chez les Cananéens qu’il n’y avait qu’un dieu Baal

Josué

Josué
Administrateur

IL Y avait jadis hors de l’enceinte de Jérusalem un lieu appelé Topheth. Là, des Israélites apostats, dont les rois Achaz et Manassé, avaient l’horrible coutume de sacrifier des enfants. Finalement, Josias, roi fidèle, fit cesser cette pratique en rendant Topheth impropre aux cérémonies religieuses. — 2 Rois 23:10; 2 Chroniques 28:1-4; 33:1, 6.
Pourquoi ce nom de Topheth? L’origine du nom est contestée, mais on peut remarquer avec intérêt les propos de l’exégète David Kimḥi (env. 1160-env. 1235) au sujet de ce lieu. Dans un commentaire sur 2 Rois 23:10, où apparaît le nom Topheth, il écrivit: “Nom du lieu où ils faisaient passer leurs fils [par le feu] pour Molech. On appelait ce lieu Topheth parce que, disait-on, la cérémonie comprenait des danses au son des tambourins [hébreu touppim], qui couvrait les cris de l’enfant passé par le feu, afin que son père ne les entende pas et que, bouleversé, il n’aille pas reprendre son enfant. Topheth était une vallée qui appartenait à un certain Hinnom, et on l’appelait ‘Vallée de Hinnom’ ou ‘Vallée des fils de Hinnom’. (...) Josias profana ce lieu et en fit un lieu impur où l’on jetait les cadavres et toutes sortes de déchets, afin qu’il ne revienne jamais dans le cœur d’un homme de faire passer son fils et sa fille par le feu pour Molech.”

Josué

Josué
Administrateur

Après que le roi d’Assyrie eut emmené en exil les habitants du royaume des dix tribus, les hauts lieux subsistèrent pendant quelque temps, car les étrangers que le monarque assyrien transféra dans le territoire de la Samarie continuèrent de les employer dans leur culte (2R 17:24, 29-32). Environ 100 ans plus tard, Yoshiya, fidèle roi de Juda, abattit l’autel et le haut lieu de Béthel, et il profana l’autel en brûlant dessus des ossements humains. Il enleva aussi toutes les maisons des hauts lieux qui étaient dans les villes de Samarie, sacrifia (tua) tous les prêtres des hauts lieux et brûla des ossements humains sur les autels (2R 23:15-20). Ainsi se réalisa une prophétie énoncée plus de 300 ans auparavant par un “ homme de Dieu ” dont on ne sait pas le nom. — 1R 13:1, 2.

Josué

Josué
Administrateur

Fils de Mikaïa et fonctionnaire de cour en qui le roi Yoshiya avait toute confiance (2R 22:12). Il est appelé “ Abdôn le fils de Mika ” en 2 Chroniques 34:20. Lorsque, à la lecture de l’ancien livre de la Loi qu’on venait de découvrir, Yoshiya apprit que la colère de Jéhovah brûlait, il envoya Akbor dans un comité de cinq membres demander à la prophétesse Houlda ce qu’il convenait de faire (2R 22:8-14). Akbor était le père d’Elnathân, prince à la cour du roi Yehoïaqim et très probablement arrière-grand-père du roi Yehoïakîn. — Jr 26:22 ; 36:12 ; 2R 24:8.

Josué

Josué
Administrateur

Yehoïakîn devint roi à l’âge de 18 ans et il imita les mauvaises pratiques de son père (2R 24:8, 9 ; 2Ch 36:9, note). Le père de Yehoïakîn, Yehoïaqim, avait été le vassal du roi de Babylone Neboukadnetsar, mais il s’était rebellé dans la troisième année de sa sujétion (618 av. n. è.) (2R 24:1). En conséquence, Jérusalem fut assiégée. L’expression “ durant ce temps-là ” (2R 24:10) peut se rapporter, non pas au bref règne de Yehoïakîn, mais à la période générale dans laquelle il s’insère, ce qui permet de faire commencer le siège pendant le règne de son père, Yehoïaqim, comme paraît l’indiquer Daniel 1:1, 2. Il semble que Yehoïaqim soit mort durant ce siège, et que Yehoïakîn soit monté sur le trône de Juda. Toutefois, son règne prit fin seulement trois mois et dix jours plus tard, quand il se rendit à Neboukadnetsar en 617 av. n. è. (au mois d’Adar, selon une chronique babylonienne) (2R 24:11, 12 ; 2Ch 36:9 ; Chroniques mésopotamiennes, par J.-J. Glassner, Paris, 1993, p. 200.) Conformément à la parole de Jéhovah transmise par Jérémie, il fut emmené en exil à Babylone (Jr 22:24-27 ; 24:1 ; 27:19, 20 ; 29:1, 2). D’autres membres de la maisonnée royale, des fonctionnaires de cour, des artisans et des guerriers furent aussi exilés. — 2R 24:14-16

Josué

Josué
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L’un des assiégés, le prophète Jérémie, en fit le récit suivant: “Sédécias commença à se rebeller contre le roi de Babylone. Et il advint, en la neuvième année de sa royauté, au dixième mois [tébeth], le dixième jour du mois, que Nébucadnezzar, roi de Babylone, arriva, oui, lui et toutes ses forces militaires, contre Jérusalem, et il commença à camper contre elle et à bâtir contre elle un mur de siège tout autour. Et la ville se trouva en état de siège jusqu’à la onzième année du roi Sédécias.” (II Rois 24:20 à 25:2; Jérémie 52:1-5). Le siège fut momentanément levé lorsque les Babyloniens (Chaldéens) se retirèrent pour repousser les Égyptiens à qui le roi Sédécias avait fait appel. Mais après avoir écarté le danger égyptien, les Babyloniens revinrent et recommencèrent le siège, comme le prophète Jérémie l’avait annoncé (Jérémie 37:5-11). Ce n’était donc pas en vain que Jéhovah avait donné un “signe” par le moyen d’Ézéchiel.
Pourquoi la ville à laquelle le nom de Jéhovah était attaché à cause du temple devait-elle subir ce siège catastrophique? Cela peut paraître étrange, mais en fait la destruction de Jérusalem était un châtiment infligé par la main de Jéhovah lui-même parce que le peuple de son alliance s’était rebellé contre lui

Josué

Josué
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Le terme hébreu gan et le terme grec kêpos désignent un terrain cultivé, souvent irrigué. Aux temps bibliques, les jardins étaient en principe entourés d’une haie d’épines ou d’un mur de pierres ou de terre le long duquel il y avait peut-être des épines. — Ct 4:12.
D’une manière générale, les jardins dont parle la Bible étaient très différents de ceux qu’on trouve habituellement en Occident. Nombre d’entre eux avaient plutôt l’aspect de parcs plantés d’arbres divers, comprenant des arbres fruitiers (Ec 2:5 ; Am 9:14 ; Ct 6:11), ainsi que des aromates et des fleurs (Ct 6:2). Ils étaient bien arrosés par des cours d’eau ou des systèmes d’irrigation, et ils étaient souvent traversés par des sentiers sinueux. Des familles cultivaient peut-être des jardins plus petits. Le roi Ahab voulut la vigne de Naboth pour, disait-il, en faire un jardin potager. — 1R 21:2.
Ces jardins-là, ces parcs, se trouvaient le plus souvent à l’extérieur des villes, à l’exception de ceux des rois ou des personnages très riches. Le Jardin du Roi, près de l’endroit où Tsidqiya et ses hommes tentèrent de s’enfuir de Jérusalem assiégée par les Chaldéens, était probablement situé à l’extérieur de la ville, au pied de la muraille sud-est (2R 25:4 ; Ne 3:15). Josèphe parle également d’un endroit nommé Êtan, qu’il situe entre 13 et 16 km de Jérusalem, “ auquel ses jardins et ses cours d’eau donnaient beaucoup d’agrément et de magnificence ” et où Salomon, affirme-t-il, avait l’habitude de venir en char (Antiquités judaïques, VIII, 186 [VII, 3]). Le jardin où le roi Assuérus donna un grand banquet de sept jours à Suse, dans la troisième année de son règne, était certainement vaste et très beau. — Est 1:1-5.

Josué

Josué
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En l’an 607 avant notre ère, Tsidqiya est dans sa 11e année de règne. Voilà 18 mois que le roi de Babylone, Neboukadnetsar, assiège Jérusalem. Dans la 19e année du règne de Neboukadnetsar, au cinquième mois, le septième jour, Nebouzaradân, le chef de la garde personnelle du roi, arrive à Jérusalem (2 Rois 25:Cool. De son camp faisant face aux murailles de la ville, peut-être Nebouzaradân étudie-t-il la situation et met-il au point un plan d’attaque ; quoi qu’il en soit, trois jours plus tard, le dix du mois, il entre dans Jérusalem et l’incendie. — Jérémie 52:12, 13.

Josué

Josué
Administrateur

Le sanctuaire, son service et son trésor étaient sous la surveillance du grand prêtre (2R 12:7-16 ; 22:4). Il semble qu’un prêtre en second, son principal adjoint, l’aidait à assumer cette responsabilité (2R 25:18). Par la suite, cet adjoint, appelé “ Sagan ”, officiait à la place du grand prêtre quand celui-ci était frappé d’incapacité pour une raison quelconque (The Temple, par A. Edersheim, 1874, p. 75). Une surveillance particulière fut confiée à Éléazar, fils d’Aaron. — Nb 4:16.
Le grand prêtre était aussi le principal responsable de l’instruction religieuse de la nation. — Lv 10:8-11 ; Dt 17:9-11.

Josué

Josué
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Bien que Deux Rois couvre le déclin et la chute des royaumes d’Israël et de Juda, ce livre est émaillé d’exemples illustrant que la bénédiction de Jéhovah repose sur les hommes qui montrent leur amour pour lui et pour ses principes justes. Comme la veuve de Tsarphath avant elle, la Shounammite a été abondamment bénie pour avoir exercé l’hospitalité à l’égard du prophète de Dieu (4:8-17, 32-37). Jéhovah démontra son aptitude à répondre sans cesse aux besoins humains quand Élisha nourrit cent hommes avec 20 pains, tout comme Jésus qui opéra plus tard des miracles semblables (2 Rois 4:42-44 ; Mat. 14:16-21 ; Marc 8:1-9). Notons la bénédiction accordée à Yehonadab que Yéhou invita à monter sur son char pour assister à la destruction des adorateurs de Baal. Et pour quelle raison ? Parce qu’il a agi en allant au-devant de l’ardent Yéhou (2 Rois 10:15, 16). Enfin, citons les exemples remarquables de Hizqiya et de Yoshiya, des hommes humbles qui avaient le respect voulu pour le nom et la Loi de Jéhovah (19:14-19 ; 22:11-13). Ce sont là de très beaux modèles dont nous pouvons nous inspirer.

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