Vendredi 26 septembre
Quiconque divorce d’avec sa femme — sauf pour motif de fornication— et se marie avec une autre, commet l’adultère (Mat. 19:9).
Quelqu’un qui n’est pas heureux en ménage pourrait se dire : « Vaut-il vraiment la peine de sauver mon couple ? Si seulement je pouvais revenir en arrière et refaire ma vie avec quelqu’un d’autre... » Certains rêvent d’en finir avec leur mariage. « J’aimerais tant retrouver ma liberté ! soupirent-ils. Et si je divorçais ? Même si je n’ai aucun motif biblique de divorce, je pourrais me séparer de lui (ou d’elle) et revivre enfin ! » Au lieu de raisonner ainsi ou de fantasmer sur ce qu’aurait pu être sa vie, le chrétien devrait tirer le meilleur parti de sa situation présente, rechercher la direction de Dieu et la suivre. Ce n’est pas parce qu’un chrétien obtient le divorce que, du point de vue des Écritures, il est libre de se remarier. Il est capital que celui qui envisage le divorce alors que ni lui ni son conjoint ne sont coupables d’immoralité sexuelle analyse ses mobiles dans la prière. w12 15/5 2:5, 6.