Cinquante Israéliens refusent de faire l'armée pour protester contre "l'occupation" des territoires palestiniens
Ils ont publié une lettre ouverte au Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Ils ne cautionnent pas "l'occupation des territoires palestiniens". Un groupe de 50 jeunes Israéliens a publié une lettre ouverte au Premier ministre Benjamin Netanyahu, expliquant qu'ils refusaient d'effectuer leur service militaire, obligatoire en Israël, sous peine de prison ferme.
"Notre opposition à l'occupation des territoires palestiniens par l'armée israélienne constitue la principale raison de notre refus de servir", indique la lettre, publiée samedi 8 mars, sur la page Facebook de l'organisation pacifiste d'extrême-gauche "Yesh Gvul" [il y a une limite en hébreu].
Les signataires dénoncent "les violations des droits de l'Homme" en Cisjordanie, les "exécutions, la construction de colonies, les détentions administratives [de Palestiniens], la torture, les punitions collectives et une répartition injuste de l'eau et de l'électricité". Et d'expliciter : "Tout service militaire perpétue la situation actuelle, et de ce fait nous ne pouvons prendre part à un système qui se livre à de tels actes."
Ils ont publié une lettre ouverte au Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Ils ne cautionnent pas "l'occupation des territoires palestiniens". Un groupe de 50 jeunes Israéliens a publié une lettre ouverte au Premier ministre Benjamin Netanyahu, expliquant qu'ils refusaient d'effectuer leur service militaire, obligatoire en Israël, sous peine de prison ferme.
"Notre opposition à l'occupation des territoires palestiniens par l'armée israélienne constitue la principale raison de notre refus de servir", indique la lettre, publiée samedi 8 mars, sur la page Facebook de l'organisation pacifiste d'extrême-gauche "Yesh Gvul" [il y a une limite en hébreu].
Les signataires dénoncent "les violations des droits de l'Homme" en Cisjordanie, les "exécutions, la construction de colonies, les détentions administratives [de Palestiniens], la torture, les punitions collectives et une répartition injuste de l'eau et de l'électricité". Et d'expliciter : "Tout service militaire perpétue la situation actuelle, et de ce fait nous ne pouvons prendre part à un système qui se livre à de tels actes."