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Plongez les regards dans la loi parfaite, celle de la liberté (Jacq. 1:25).
Nous vivons une époque de plus en plus marquée par l’avidité, le non-respect des lois et la violence (2 Tim. 3:1-5). Pour y faire face, les autorités publiques multiplient les lois, renforcent les effectifs de la police et installent des systèmes électroniques de surveillance. Dans certains pays, pour assurer leur sécurité, des particuliers équipent leur propriété de systèmes d’alarme, de nombreuses serrures, voire de clôtures électriques. Beaucoup ne sortent plus le soir et interdisent à leurs enfants de jouer dehors seuls — même en pleine journée. À l’évidence, la liberté est plus que jamais menacée, et la tendance ne semble pas près de s’inverser. Plus les humains enfreignent les limites morales et spirituelles établies par Dieu, plus la société dans son ensemble en pâtit. Nous qui servons Jéhovah, nous en subissons également les conséquences. Mais nous avons l’espérance de voir le jour où l’humanité ne sera plus esclave du péché et de la corruption, et où nous savourerons « la liberté glorieuse des enfants de Dieu », pour reprendre l’expression biblique (Rom. 8:21). w12 15/7 1:1, 2.
D’autre part, cet exemple de Jésus laissait entendre que l’apostasie donnerait pleinement son fruit de méchanceté durant “ l’achèvement du système de choses ” dominé par Satan. Logiquement donc, à cette époque-là, les conditions devant marquer les “ derniers jours ” et détaillées par les rédacteurs des Écritures grecques chrétiennes seraient visibles sur une grande échelle parmi les prétendus chrétiens. On verrait augmenter l’illégalité et la désobéissance aux parents. Les gens seraient “ amis des plaisirs plutôt qu’amis de Dieu, ayant une forme d’attachement à Dieu, mais trahissant sa puissance ”. (2Tm 3:2-5.) Il y aurait aussi “ des moqueurs avec leur moquerie, allant selon leurs propres désirs et disant : ‘ Où est sa présence promise ? Oui, depuis le jour où nos ancêtres se sont endormis dans la mort, toutes choses demeurent exactement comme depuis le commencement de la création. ’ ” — 2P 3:3, 4.
Nous vivons une époque de plus en plus marquée par l’avidité, le non-respect des lois et la violence (2 Tim. 3:1-5). Pour y faire face, les autorités publiques multiplient les lois, renforcent les effectifs de la police et installent des systèmes électroniques de surveillance. Dans certains pays, pour assurer leur sécurité, des particuliers équipent leur propriété de systèmes d’alarme, de nombreuses serrures, voire de clôtures électriques. Beaucoup ne sortent plus le soir et interdisent à leurs enfants de jouer dehors seuls — même en pleine journée. À l’évidence, la liberté est plus que jamais menacée, et la tendance ne semble pas près de s’inverser. Plus les humains enfreignent les limites morales et spirituelles établies par Dieu, plus la société dans son ensemble en pâtit. Nous qui servons Jéhovah, nous en subissons également les conséquences. Mais nous avons l’espérance de voir le jour où l’humanité ne sera plus esclave du péché et de la corruption, et où nous savourerons « la liberté glorieuse des enfants de Dieu », pour reprendre l’expression biblique (Rom. 8:21). w12 15/7 1:1, 2.
D’autre part, cet exemple de Jésus laissait entendre que l’apostasie donnerait pleinement son fruit de méchanceté durant “ l’achèvement du système de choses ” dominé par Satan. Logiquement donc, à cette époque-là, les conditions devant marquer les “ derniers jours ” et détaillées par les rédacteurs des Écritures grecques chrétiennes seraient visibles sur une grande échelle parmi les prétendus chrétiens. On verrait augmenter l’illégalité et la désobéissance aux parents. Les gens seraient “ amis des plaisirs plutôt qu’amis de Dieu, ayant une forme d’attachement à Dieu, mais trahissant sa puissance ”. (2Tm 3:2-5.) Il y aurait aussi “ des moqueurs avec leur moquerie, allant selon leurs propres désirs et disant : ‘ Où est sa présence promise ? Oui, depuis le jour où nos ancêtres se sont endormis dans la mort, toutes choses demeurent exactement comme depuis le commencement de la création. ’ ” — 2P 3:3, 4.