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Les homosexuels bientôt autorisés à donner leur sang

5 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Les homosexuels bientôt autorisés à donner leur sang en Franceavec
Le 14/06/2012 à 14:40 - AFP

©AFP / Miguel Medina

PARIS (AFP) © 2012 AFP

Les homosexuels hommes devraient bientôt être autorisés à donner leur sang en France alors qu'ils en sont, jusqu'à présent, exclus en raison d'un risque, considéré comme accru, de contamination par le virus du sida (VIH), a annoncé mercredi la ministre de la Santé.

"On peut et on doit revoir cette politique (...). La sécurité doit être assurée, il n'est pas question de prendre le moindre risque en terme de transfusion mais le critère ne peut pas être (...) l'inclination sexuelle", a déclaré Marisol Touraine à l'occasion de la Journée mondiale des donneurs de sang.

"Le critère de l'orientation sexuelle n'est pas en soi un risque. En revanche la multiplicité des relations et des partenaires constituent un facteur de risque quelle que soit l'orientation sexuelle et le genre de la personne", a souligné la ministre.

"Nous sommes en train de travailler sur cette question et je pense que, dans les mois qui viennent, nous serons en mesure de faire évoluer cette situation", a encore indiqué Mme Touraine après avoir donné son sang dans un centre parisien de l'Etablissement français du sang (EFS), organisme public chargé de la collecte et du stockage du sang.

Plusieurs organisations gay ont d'ailleurs profité de la Journée mondiale du don du sang pour dénoncer cette situation.

"Il existe au moins 25.000 donneurs masculins exclus à cause leur orientation sexuelle", a critiqué dans un appel le collectif d'associations gay "25.000 donneurs".

"Nous exigeons notre réintégration immédiate dans le circuit transfusionnel", a réclamé le collectif.

"La sécurité transfusionnelle doit être fondée sur les pratiques réelles de chaque donneur potentiel et non sur leur orientation sexuelle", a-t-il ajouté, appelant le président Hollande à "prendre des décisions concrètes" après s'être déclaré pour la fin de cette "discrimination".

"D'autres avant lui, dont l'ancien ministre de la Santé Xavier Bertrand, étaient favorables à notre cause, sans pour autant parvenir à modifier l'arrêté du 12 janvier 2009 nous excluant" selon ce collectif.

Psalmiste

Psalmiste

Et le nouveau gouvernement est pour le mariage gay, et l'adoption des enfants !

armentieres

armentieres

Je ne suis pas pour que les gays donnent leurs sangs. Pour cause..se renseigner sur le taux de seropositifs et sur le pourcentage de personnes gay qui ont le HIV declaré rien qu en RP. Je ne me souviens pas trop des chiffres mais c est assez consequent si mes souvenirs sont exacts.
Sans parler de tout ces gens qui s adonnent au culte du sexe pratiquement tout les jours et sans preservatifs dans leurs lieux consacrés rien que pour eux..c est l hecatombe. L industrie du sida..a la chaine.
C est un garcon qui m avait explique un peu pourquoi le sida etait tres eleve chez les gays. Ils ne se protegent pas. Alors faire don du sang...laissez moi rire. On va nous refaire le coup du sang contaminé?

piopio

piopio


nous semons ,nous récolterons !! Embarassed mon voisin est homosexuel il donne son sang depuis toujours , donc cette histoire que la Loi autorise cela ma fait bondir ,car cela a toujours existé , sauf pour ceux qui le disent ; mais nombreux cachent leur homosexualité ............ Suspect

Josué

Josué
Administrateur

Le projet de loi ouvrant le mariage aux couples homosexuels leur permettra d'adopter "dans les mêmes conditions que les hétérosexuels", mais ne prévoit pas d'élargir l'accès à la procréation médicalement assistée, précise Christiane Taubira dans un entretien à paraître mardi dans La Croix.

"Le projet de loi va étendre aux personnes de même sexe les dispositions actuelles du mariage, de la filiation et de la parenté", déclare la ministre de la Justice, chargée d'élaborer le texte. "Nous ouvrirons donc l'adoption aux couples homosexuels, et cela, dans un cadre identique à celui actuellement en vigueur", ajoute Christiane Taubira. "Ils pourront, comme les autres, adopter de façon individuelle ou conjointe (de façon simple ou plénière)", précise-t-elle. L'adoption plénière entraîne la rupture définitive des liens de filiation avec les parents biologiques, alors que celle-ci demeure en cas d'adoption simple.

Pas de PMA pour les couples de femmes

"Ainsi, les personnes homosexuelles désireuses de devenir parent de l'enfant biologique de leur conjoint pourront accéder à la procédure d'adoption dans les mêmes conditions que les hétérosexuels", souligne la garde des Sceaux. "À l'heure actuelle, la procédure d'adoption est sérieuse, elle sera appliquée de la même façon pour les couples de même sexe", poursuit-elle, assurant que "l'intérêt de l'enfant est une préoccupation majeure du gouvernement".

Interrogée sur une ouverture de l'aide médicale à la procréation (AMP) aux couples de femmes, la ministre répond que ce projet de loi "ne prévoit pas d'élargir l'accès à la procréation médicalement assistée". "L'accès à la PMA ne rentre pas dans son périmètre", ajoute-t-elle. "Quant à la gestation pour autrui, elle ne sera pas légalisée. Le président de la République a toujours été très clair sur ce sujet lors de la campagne", précise Christiane Taubira.
http://www.lepoint.fr/societe/taubira-les-homosexuels-et-les-heterosexuels-auront-les-memes-conditions-d-adoption-11-09-2012-1504783_23.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20120911

Josué

Josué
Administrateur

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Don du sang : la fin de l'interdiction pour les homosexuels ?
Le Point.fr - Publié le 17/07/2013 à 12:19
Un rapport remis à la ministre de la Santé préconise la réorganisation de la filière du sang autour d'un Haut Conseil chargé d'établir les grandes orientations.
La filière du sang souffre d'un manque de pilotage et doit être revue autour d'un Haut Conseil de la filière du sang (HCFS), selon un rapport remis mardi à la ministre de la Santé, qui recommande également de mettre fin à l'éviction des homosexuels du don du sang. "Nous avons fait le constat qu'il n'y avait pas de pilote dans l'avion, pas de vision d'ensemble", explique Olivier Véran, le député PS de l'Isère chargé par le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, de se prononcer sur la filière du sang.

Réorganisée en 1993 après l'affaire du sang contaminé, la filière actuelle repose sur quatre acteurs principaux - qui ne communiquent pas toujours bien entre eux -, alors même qu'elle doit faire face à de "nouveaux enjeux" et notamment assurer sa compétitivité tant au niveau national qu'international. Pour y remédier, le député, qui est aussi neurologue au CHU de Grenoble, préconise une "mise à jour de l'organisation actuelle qui tienne compte des expériences acquises". Il propose notamment le rassemblement de "toutes les parties prenantes" au sein d'un Haut Conseil de la filière du sang (HCFS) qui serait appelé à se prononcer sur les grandes orientations, mais également sur des questions comme l'éviction de certaines catégories de personnes, comme les homosexuels, du don du sang.

Compétitivité

Plutôt que de se focaliser sur "l'orientation sexuelle" du donneur, le rapport suggère de faire évoluer le questionnaire appliqué aux donneurs "vers le niveau de risque individuel du donneur". En décembre, la ministre Marisol Touraine avait estimé que les conditions n'étaient pas réunies pour cesser d'exclure les homosexuels du don du sang. Le député recommande également de revoir la question de l'éviction à vie des personnes transfusées qui n'a plus de raison d'être, compte tenu des données scientifiques existantes.

Parmi les sujets de préoccupation du rapport, figure en bonne place le problème de la compétitivité de la filière française qui souffre d'"un excès de contraintes" non réévaluées au fil des années. Il cite le cas des rappels de lots pour cause de détection de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, une maladie sporadique qui survient vers la soixantaine, alors que tous les autres pays ont arrêté de le faire, des études ayant montré que cette précaution était inutile. L'ouverture des marchés et le système d'autorisations de mise sur le marché accordées au niveau européen se sont traduits par un afflux de médicaments issus de sang rémunéré, alors même que la filière française continue à insister sur le principe d'"autosuffisance" et d'"éthique" du don de sang, qui doit rester anonyme et gratuit.

Création d'un label éthique

40 % des médicaments issus de produits du sang utilisés dans les hôpitaux français proviendraient dès à présent de sang rémunéré (comme c'est pratiqué aux États-Unis et partiellement en Allemagne et Autriche), selon une estimation citée par Olivier Véran, qui préconise la création d'un label éthique pour "identifier clairement" les produits issus de plasma non rémunéré. Il propose également la création d'une contribution sur les médicaments issus de plasma rémunéré, dédié à la promotion du don éthique. La filière actuelle du sang repose sur l'Établissement français du sang (EFS) qui a le monopole de la collecte de sang, de plasma et de plaquettes auprès des 1,7 million de donneurs bénévoles que compte la France, ainsi que le monopole de la commercialisation des produits sanguins labiles (globules et plasma frais) aux établissements de santé.

À ses côtés, on trouve le Laboratoire français du fractionnement et des biotechnologies (LFB), dont l'État est l'unique actionnaire et qui fractionne le plasma acheté à l'EFS et commercialise des médicaments dérivés du sang (facteurs de coagulation, albumine et immunoglobulines) sur un marché concurrentiel où les laboratoires étrangers sont déjà très présents. Les deux autres acteurs de la filière sont l'Agence de sécurité sanitaire du médicament (ANSM) et l'INTS, un institut de recherche dédié à la transfusion sanguine, que le rapport préconise de transférer dans une structure hospitalo-universitaire en l'espace de 5 ans.

samuel

samuel
Administrateur

Les gays pourraient donner leur sang aux États-Unis
Mis à jour à 08:40
Les États-Unis veulent lever l'interdiction à vie imposée depuis 1983 aux homosexuels et bi-sexuels masculins de donner leur sang. A une condition toutefois: ils devraient ne pas avoir eu de rapport depuis un an.

Les homosexuels bientôt autorisés à donner leur sang PlaceholderImage


Les gays pourront donner leur sang aux Etats-Unis, mais sous condition (Photo: Keystone)
L'Agence des médicaments (FDA) américaine «va prendre les mesures nécessaires pour recommander un changement de l'interdiction actuelle faite aux hommes ayant des relations sexuelles avec d'autres hommes de donner leur sang si leur dernier rapport remonte à un an», a indiqué mardi sa directrice, la Dr Margaret Hamburg, dans un communiqué.

A cette fin, la Food and Drug Administration va publier début 2015 un projet de recommandation pour ce changement de politique, qui sera ensuite soumis aux commentaires des parties prenantes avant sa finalisation.
Peter Marks, un responsable de la FDA a dit lors d'une conférence de presse téléphonique ne pas pouvoir indiquer à ce stade si cette nouvelle réglementation pourrait entrer en vigueur l'an prochain.
La FDA précise avoir «soigneusement examiné ces dernières années, en collaboration avec d'autres agences fédérales, les données scientifiques disponibles dont les résultats de plusieurs études récentes ainsi que les recommandations de comités consultatifs d'experts indépendants du ministère de la Santé et de la FDA».
Une décision qui reste «discriminatoire»
Cette initiative intervient après la multiplication des appels émanant des milieux médicaux, de groupes gays et même d'élus du Congrès américain contre cette interdiction jugée discriminatoire et sans fondement scientifique.
Des organisations gays ont estimé que la décision de la FDA, bien qu'allant dans le bon sens, restait discriminatoire pour les homosexuels.
«Certains pourraient penser qu'il s'agit d'un progrès mais en réalité exiger l'abstinence pendant un an revient de facto à une interdiction à vie» de donner son sang, estime Gay Men's Health Crisis (GMHC), une association new-yorkaise d'aide aux homosexuels dans un communiqué publié sur son site internet.
GMHC demande à la FDA d'appliquer un système «basé sur le risque présenté par le donneur de sang, quels que soient son orientation sexuelle ou son sexe, et de cesser de perpétuer la stigmatisation et la discrimination des gays alimentée par l'épidémie du sida».
Un avis partagé par le Dr Raymond Martins, responsable médical de Whitman-Walker Health, un centre de soins et d'aide aux gays et lesbiennes de Washington.
L'assouplissement de cette interdiction «va encore empêcher un grand nombre d'homosexuels de donner leur sang», dit-il dans un communiqué ajoutant qu'«une année d'attente n'est pas scientifiquement justifiée».
Une grande victoire pour les droits des gays«»
«C'est une grande victoire pour les droits civiques des gays», a réagi Glenn Cohen, un professeur de droit à l'Université de Harvard, spécialisé en bioéthique. «Nous abandonnons l'ancienne croyance selon laquelle tous les homosexuels sont une source potentielle d'infection».
Dans un éditorial publié précédemment par le Journal of the American Medical Association (JAMA), il avait estimé que les États-Unis étaient en retard sur cette question par rapport à beaucoup d'autres pays, qui ont déjà abandonné l'interdiction faite aux homosexuels de donner leur sang.
Il citait notamment l'Australie, le Japon et le Royaume-Uni qui ont adopté une disposition imposant une période de douze mois sans relations sexuelles. L'Afrique du Sud impose une période d'abstinence similaire à tous les donneurs de sang potentiels, quelle que soit leur orientation sexuelle.
La période durant laquelle les analyses ne peuvent pas détecter la présence du VIH est plutôt courte, mais les scientifiques s'accordent à estimer qu'une durée d'un an est amplement suffisante pour s'assurer qu'une personne n'est pas infectée.
Les avancées scientifiques permettent de réaliser rapidement des analyses de sang pour détecter la présence du virus du sida ainsi que d'autres agents pathogènes.
Les opposants à tout assouplissement de cette interdiction font valoir qu'on ne peut pas, à ce stade, garantir l'absence totale de risque de contamination.
«Il ne faut pas modifier la politique actuelle»
«A moins de prouver scientifiquement qu'un assouplissement en matière de dons de sang n'entraînera aucun risque, il ne faut pas modifier la politique actuelle, car même un léger accroissement du risque est inacceptable», avait dit Peter Sprigg, de l'organisation conservatrice Family Research Council, lors du dernier comité d'experts de la FDA.
Selon une étude publiée en 2010 par l'université de Californie à Los Angeles, une levée complète de cette interdiction n'accroîtrait la quantité totale de sang collecté aux États-Unis que de 2 à 4%.
(afp)

samuel

samuel
Administrateur

autorisés à donner leur sang en 2016
Marisol Touraine a annoncé la levée "par étape" de l'interdit qui frappait les homosexuels depuis 1983 en raison des risques de transmission du sida.
SOURCE AFP
Publié le 04/11/2015 à 11:02 - Modifié le 04/11/2015 à 12:23 | Le Point.fr

Les homosexuels vont pouvoir donner leur sang à partir du printemps 2016, a annoncé mercredi la ministre de la Santé, Marisol Touraine, précisant que ce changement se ferait « par étape », dans « le respect absolu de la sécurité des patients ». L'exclusion permanente des dons du sang des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes avait été instituée en 1983 en raison des risques de transmission du sida. « Donner son sang est un acte de générosité, de citoyenneté, qui ne peut être conditionné à une orientation sexuelle. Dans le respect de la sécurité absolue des patients, c'est aujourd'hui un tabou, une discrimination qui sont levés », a déclaré la ministre en présentant mercredi aux associations concernées les mesures destinées à mettre fin à cette exclusion. Marisol Touraine s'était engagée dès 2012 à revenir sur cette interdiction, conformément à la promesse faite par François Hollande avant la présidentielle. Pour garantir la sécurité des receveurs, cette « ouverture » se fera « par étape », a indiqué la ministre.
La première, au printemps 2016, marquera la fin de l'exclusion permanente du don. À partir de cette date, le « don de sang total » – la forme de don la plus courante où toutes les composantes du sang (cellules et plasma) sont prélevées – sera ouvert aux hommes qui n'auront pas eu de relations homosexuelles depuis douze mois, après un questionnaire et un entretien. Deuxième possibilité, toujours à partir du printemps 2016 : les hommes qui au cours des quatre derniers mois n'ont pas eu de relation homosexuelle ou ont eu un seul partenaire pourront donner leur plasma (partie liquide du sang), grâce à la création d'une filière sécurisée où il sera mis en quarantaine pendant deux mois et demi environ pour s'assurer de son innocuité. Cette filière sécurisée va, en outre, permettre aux autorités sanitaires de mener une étude sur le terrain sur ces nouveaux donneurs. Si cette étude démontre qu'il n'y a pas de risques, les règles du don de sang pour les homosexuels (ou les hommes ayant eu au moins un rapport avec un autre homme), se rapprocheront des règles générales appliquées aux autres donneurs. Cette deuxième étape interviendrait en 2017, précise le ministère.

Invité


Invité

D'ici 5-10 ans la médecine ne fera plus de transfusion sanguine, ils reconnaissent eux même que cette méthode n'est pas la bonne, que souvent quand il y a des complication c'est du a cause de la transfusion sanguine ...

Ils ne reconnaissent peut etres pas la valeur de la vie au yeux de Dieu, mais ils reconnaissent que d'autres méthode sont meilleur pour soigner le patient, (j'ai pas les terme médical) la technique de prendre le sang du patient lui même, de le faire circuler dans une machine extérieur, et le redonner au patient en cas d'emoragie, ils redonnent le propre sang du patient ...

Moi je vais devoir regarder cette technique de plus proche car si le systeme de chose present continue encore un bout de temps, je devrais avoir mon opération a coeur ouvert, alors il faudrais bien que je m'y mette à apprendre tout comment ça fonctionne ...

Mon probleme est une bicuspidie aortique avec une anévrisme a l'aorte ascendant ...

Bha, c'est un peu plus long mon affaire mais je sais pas tout par coeur ... Hahahaha!
Je sais que le Royaume de Dieu peu guérir encore mieux mon defaut de fabrication à ma naissance ...

Le coeur a 4 valves, moi j'en ai une de briser à ma naissance ...
La grande veine qui apporte le sang au coeur, l'aorte, il y a une faiblesse dans cette veine, et ça fait une bulle quand la pression monte, si ca éclate alors c'est l'emoragie interne, je me viderais de mon sang en quelques secondes a l'intérieur de moi meme ...

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Don du sang: L'Assemblée maintient le statut quo pour les donneurs homosexuels[/size]

DISCRIMINATION Depuis juillet 2016, les homosexuels peuvent théoriquement donner leur sang, mais cette possibilité est soumise à différentes conditions, notamment l’abstinence d’un an…

N.Sa avec AFP
 
Publié le 12/10/18 à 03h59 — Mis à jour le 12/10/18 à 03h59



Les homosexuels bientôt autorisés à donner leur sang 310x190_personne-donnant-sang-illustration
Une personne donnant son sang (Illustration). — Lucile Gourdon/SIPA
L’abstinence ou l’illégalité, le dilemme des donneurs de sang homosexuels. L’Assemblée nationale a maintenu le statu quo concernant une différence de traitement dans le don du sang touchant les homosexuels, vote qui a divisé jusque dans les rangs de la majorité LREM-MoDem, à l’occasion de l’examen d’une proposition de loi LR.
Cette mesure alignait pour le don la durée d’abstinence des homosexuels sur celle s’appliquant aux hétérosexuels (quatre mois d’absence de relations avec plusieurs partenaires). Elle avait été ajoutée au texte en commission via un amendement des socialistes, Hervé Saulignac en tête.

Des conditions discriminatoires


Jeudi soir, elle a été rejetée par 29 voix contre 23. Des groupes d’opposition, de gauche comme de droite, ont soutenu ce texte ainsi que le MoDem, dénonçant « une discrimination ». « Le critère d’exclusion doit être celui des comportements à risque et non de l’orientation sexuelle », a estimé le député MoDem Jean-Luc Lagleize. « Stoppons ces hypocrisies », a affirmé Xavier Paluszkiewicz, l’un des deux « marcheurs » à avoir voté pour le texte alors que son groupe s’est prononcé contre.
Depuis juillet 2016, les homosexuels peuvent théoriquement donner leur sang, geste qui leur était interdit depuis 1983 en raison des risques de transmission du sida. Mais cette possibilité est soumise à des conditions fixées par un arrêté du 5 avril 2016, notamment l’abstinence d’un an, qui doit être déclarée lors d’un entretien préalable.

« Une erreur politique » du gouvernement


« L’abstinence de 12 mois n’a aucun fondement ni juridique ni scientifique », a estimé Hervé Saulignac en fustigeant « une erreur politique » du gouvernement. La ministre de la Santé Agnès Buzyn avait déposé un amendement pour supprimer la mesure, avant de le retirer pour ne pas donner l’impression de s’opposer « sur le fond ». Elle a néanmoins appelé au « bon sens » des députés avant le scrutin.
« Comme vous, je me suis étonnée, pour ne pas dire émue, du critère d’abstinence de un an (…) Mais n’inscrivons pas dans la loi des critères de sélection qui nous feraient prendre un risque un jour par rapport à un nouvel agent pathogène ou un risque d’épidémie », a dit Agnès Buzyn en soulignant que ces critères relèvent davantage du règlement que de la loi.

Le don du sang autorisé dès l’âge de 17 ans


Dans cette proposition de loi « visant à la consolidation du modèle français du don du sang », portée par Damien Abad (LR), les députés par ailleurs ont voté l’abaissement de l’âge légal ouvrant droit au don du sang de 18 à 17 ans, âge fixé en commission pour s’aligner sur le droit européen.
Le texte entendait en outre inciter davantage les dons en entreprise par les salariés, rappeler dans la loi les principes de sécurité, d’éthique et de gratuité du don du sang, et aussi de pouvoir inscrire sur la carte d’identité les éléments sur le groupe sanguin de la personne. Mais l’Assemblée a rejeté toutes ces autres mesures.

Josué

Josué
Administrateur

donneurs homosexuels
Par  Le Figaro.fr avec AFP   Mis à jour le 11/10/2018 à 22:14

L'Assemblée nationale a maintenu le statu quo concernant une différence de traitement dans le don du sang touchant les homosexuels, vote qui a divisé jusque dans les rangs de la majorité LREM-MoDem, à l'occasion de l'examen d'une proposition de loi LR. Cette mesure alignait pour le don la durée d'abstinence des homosexuels sur celle s'appliquant aux hétérosexuels (quatre mois d'absence de relations avec plusieurs partenaires). Elle avait été ajoutée au texte en commission via un amendement des socialistes, Hervé Saulignac en tête.

Jeudi soir, elle a été rejetée par 29 voix contre 23. Des groupes d'opposition, de gauche comme de droite, ont soutenu ce texte ainsi que le MoDem, dénonçant "une discrimination". "Le critère d'exclusion doit être celui des comportements à risque et non de l'orientation sexuelle", a estimé le député MoDem Jean-Luc Lagleize. "Stoppons ces hypocrisies", a affirmé Xavier Paluszkiewicz, l'un des deux "marcheurs" à avoir voté pour le texte alors que son groupe s'est prononcé contre. Depuis juillet 2016, les homosexuels peuvent théoriquement donner leur sang, geste qui leur était interdit depuis 1983 en raison des risques de transmission du sida. Mais cette possibilité est soumise à des conditions fixées par un arrêté du 5 avril 2016, notamment l'abstinence d'un an, qui doit être déclarée lors d'un entretien préalable.

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