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Projet de loi sur les associations en Algérie.

+3
Yacoub
samuel
larose
7 participants

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larose



http://www.elwatan.com/actualite/projet-de-loi-sur-les-associations-amnesty-interpelle-les-deputes-29-11-2011-149092_109.php

Projet de loi sur les associations : Amnesty interpelle les députés
Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte

le 29.11.11

En débat à l’APN, le projet de loi sur les associations n’a cessé de susciter le mécontentement des associations. S’inscrivant dans cette optique, Amnesty International a exhorté les députés à s’assurer que les dispositions de la loi relative aux associations soient conformes aux obligations internationales de l’Algérie et que les modifications nécessaires soient apportées lors de l’examen par les députés de ce projet.

«En votre qualité de représentants des aspirations du peuple, nous vous interpellons solennellement pour lever cette équivoque et amender ces dispositions anachroniques, en en vue d’assurer notamment que les articles 23,24,30,31,40,41,44,61,67 et 70 soient conformes aux obligations internationales de l’Algérie et aux recommandations des organes des Nations Unies », peut on lire dans une lettre adressée par Amnesty au député à la veille de l’ouverture du débat sur ce texte dimanche le 27 novembre.

Selon cette ONG « les dispositions du projet de loi, contredisent les intentions affichées et impliquent, si elles venaient à être adoptées telles quelles, l’anéantissement de l’autonomie des associations et la remise en cause pure et simple du principe universel de la liberté d’association, consacré dans les instruments internationaux que l’Algérie a ratifié ».

La lecture faite par Amnesty et qui a été communiquée dans le détail aux députés passe en revue les points noirs de ce texte. La coopération avec les associations étrangères, l’activité de ces dernières, les ressources financières et les conditions de suspension et de dissolution sont les principaux volets à avoir contenu une dégradation par rapport à la précédente loi.

Ainsi, le projet de loi précise que les ressources des associations sont notamment constituées par les subventions «consenties» par l’État, la wilaya ou la commune. La loi 90-31, actuellement en vigueur, stipule par contre que les associations peuvent recevoir, après autorisation préalable des pouvoirs publics, des dons et legs d’associations étrangères.

Aussi, l’article 70 dispose que «les associations régulièrement constituées sous l’empire de la loi 90-31 sont tenues de se conformer à la loi par le dépôt de nouveaux statuts conformes à la loi», remettant ainsi en cause toutes les associations créées en application de la loi 90-31.

Plus encore, cette décision vient contredire, les recommandations de la Rapporteuse spéciale des Nations Unies sur les défenseurs des droits de l’Homme, dans son rapport sur la liberté d’association établi en 2009, selon lesquelles, « en cas d’adoption d’une nouvelle loi, toutes les ONG enregistrées auparavant devraient être considérées comme poursuivant leur fonctionnement au regard de la loi et il faudrait leur prévoir des procédures accélérées pour mettre à jour leur enregistrement. », note Amnesty.


Mina Adel

samuel

samuel
Administrateur

merci.

Yacoub

Yacoub
surveillant
surveillant

http://www.letempsdz.com/index.php/132-actualite/170495-le-harc%C3%A8lement-sexuel-prend-de-l-ampleur-la-rue-interdite-aux-alg%C3%A9riennes#.VkROfMUWM_8.facebook
Le harcèlement sexuel prend de l'ampleur : La rue interdite aux Algériennes !

Projet de loi sur les associations en Algérie. Stop

Des menaces, des insultes, des remarques salaces ou des gestes
obscènes…! Dans la rue, les femmes algériennes en subissent souvent,
et sans réagir, de peur d'être montrées du doigt ou d'être «mises sous
contrôle strict» par… la famille.

Ce phénomène prend des proportions alarmantes en Algérie.
Aujourd'hui, les femmes risquent même de se faire tuer en plein jour.
Comme cela a été le cas, cette semaine, de Razika Chérif, une femme de
40 ans, qui a été écrasée par un automobiliste qui la harcelait en
plein centre de la commune de Magra (M'sila). Après l'avoir poursuivie
pendant un long moment et devant son refus de céder, le «fou-frustré»
fonce avec son véhicule utilitaire délibérément et heurte mortellement
la victime.

La scène est bouleversante. L'automobiliste de 33 ans est passé «à
deux reprises au moins» sur le corps de la victime, la tuant sur le
coup. Les témoins oculaires n'ont rien pu faire pour sauver
l'infortunée Razika Chérif, dont le seul tort est d'avoir refusé de
céder aux avances de son agresseur.
Ayant pris la fuite, le monstre humain a été arrêté lundi par les
services de sécurité. Mais ces derniers refusent d'admettre les
raisons et les circonstances de ce crime abject. Face à ce silence,
les associations civiles s'indignent : «La mort de Razika ne doit pas
passer sous silence. Il est urgent d'enclencher un véritable débat
national au sujet du harcèlement sexuel qui menace la dignité et
l'intégrité des Algériennes dans les rues», appelle la coordinatrice
du réseau Wassila d'aide aux femmes victime, Mme Dalila Iamarène.

Avec ce nouveau drame, estime notre interlocutrice, la coupe est
pleine. «Cette malheureuse femme a payé l'absence et le laxisme des
autorités face à ce fléau qui gangrène la société», s'est-elle
indignée. Pour elle, il est plus qu'urgent de lancer un réel débat
national sur comment arrêter ce «terrorisme» contre les femmes. Mme
Iamarène a exprimé sa colère contre les sénateurs qui sont «grassement
payés», mais ils ne font pas leur travail. «Il y a des milliers de
femmes qui attendent l'adoption de la nouvelle loi sur la protection
des femmes, mais celle-ci reste bloquée au Conseil de la nation
(Sénat) alors qu'elle a été adoptée à l'unanimité par le Parlement en
mars», a-t-elle dénoncé.

Des lacunes dans le projet de loi

Selon la militante, le Sénat traîne ses pas, parce qu'il est attentif
aux conservateurs qui ne veulent pas reconnaître la citoyenneté de la
femme. «Cette loi dérange les religieux qui nous considèrent comme des
objets. Les violence et les crimes commis à notre égard ne vont jamais
cesser si les coupables demeurent impunis.»

Elle a signalé par ailleurs des insuffisances dans le projet en
question. «Dans ce texte, il n'y a pas de poursuite judiciaire dans le
cas ou les femmes pardonneraient à leurs agresseurs, alors qu'on sait
que la plupart d'entre elles retirent leur plainte par peur», a-t-elle
relevé, ajoutant «bien sûr qu'elle ne va pas engager des poursuites,
c'est elle qui est violentée et menacée de mort». Dans ce sens, Mme
Iamarène appelle à la mise en place de mécanismes pour l'application
de cette loi. Elle cite à titre d'exemple la loi sur la pension
alimentaire.

«Les femmes divorcées n'arrivent pas à obtenir la pension alimentaire
de leur ex-mari car les mesures d'application de cette loi manquent.
Elles se trouvent obligées de passer par une longue procédure
judiciaire pour obtenir leur droit. Faute de moyens, celles-ci
finissent par abandonner», a-t-elle expliqué.

http://apostats-de-lislam.xooit.org/index.php

Josué

Josué
Administrateur

C'est le grand saut en arriére pour les femmes .

samuel

samuel
Administrateur

Aux infos se soir il était question que les femmes se font agressé dans la rue et les transports et c'est en France que celà se passe.

jc21



Comme aux jours de Noé, la violence s'accroît, la moralité se dégrade, les hommes sont amis des plaisirs, amis de l'argent, du pouvoir etc... Les signes sont là, nous vivons bien les derniers jours.

2 Timothée 3 : Mais sache ceci : que dans les derniers jours+ des temps critiques, difficiles à supporter*, seront là+. 2 Car les hommes seront amis d’eux-mêmes, amis de l’argent, arrogants, orgueilleux*, blasphémateurs*, désobéissants à l’égard de [leurs] parents+, ingrats, sans fidélité+, 3 sans affection naturelle+, sans esprit d’entente*+, calomniateurs*+, sans maîtrise de soi, cruels*+, sans amour du bien+, 4 traîtres+, entêtés, gonflés [d’orgueil]+, amis des plaisirs plutôt qu’amis de Dieu+,

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Mais l'Algérie n'est pas une démocratie, rien n'a changé. Seule la Tunisie par qui le printemps arabe avait commencé, est dans une très fragile démocratie...
Tous les autres pays musulmans SUNNITES ont basculé dans la violence accrue contre les femmes. Donc rien ne change.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Les Etats-Unis pointent les restrictions dont sont victimes les minorités religieuses au Maroc

Les chiites, chrétiens et bahaistes marocains sont obligés de pratiquer leur religion dans le « secret », selon le secrétariat d’Etat américain.

Le secrétariat d’Etat américain a publié le 11 août son rapport sur les libertés religieuses pour l’année 2015. Dans ce rapport, la diplomatie américaine se penche sur le traitement reçu par les Marocains ne suivant pas le rite malékite de la religion musulmane. « Le gouvernement aurait arrêté, détenu et interrogé des chrétiens marocains sur leurs croyances et leur contact avec d’autres chrétiens », note le rapport.

Le rapport revient également sur l’arrestation, en janvier 2016 à Fès, d’un Marocain possession d’une Bible. Agé de 22 ans, il avait été était interrogé pendant dix heures sur ses croyances et sur ses contacts avec d’autres chrétiens marocains. Dans son rapport la diplomatie américaine évoque également la situation des chiites marocains et indique que « le gouvernement n’a pas donné l’autorisation à un groupe de chiites marocains pour se constituer en association. Selon des représentants de la communauté chiite marocaine, le gouvernement ne leur pas donné l’autorisation sous prétexte que ce serait un précédent et que cela donnerait la possibilité à d’autres minorités religieuses de se mettre en place ». Plus de 10 000 personnes de confession chiite vivent au Maroc.

Telquel

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