Je considère même que toutes choses sont une perte à cause de la valeur éminente de la connaissance de Christ Jésus mon Seigneur. À cause de lui, j’ai accepté la perte de toutes choses et je les considère comme un tas de déchets. —Phil. 3:8.
Avant d’être chrétien, l’apôtre Paul recevait une formation pour réussir dans le système de choses juif. Il n’avait probablement pas plus de 13 ans quand il a quitté Tarse, sa ville natale, et s’est rendu à Jérusalem pour suivre les cours de Gamaliel, enseignant de la Loi très respecté (Actes 22:3). Il s’est peu à peu distingué parmi ses contemporains et, s’il avait continué dans cette voie, il serait sans doute devenu une sommité du judaïsme (Gal. 1:13, 14).
Lorsqu’il a accepté la bonne nouvelle et s’est engagé dans l’œuvre de prédication, il a abandonné tout cela. A-t-il regretté ce choix ? Non, comme le montre le texte de ce jour. À l’exemple de Paul, des chrétiens aujourd’hui consentent à des sacrifices à cause de la bonne nouvelle. — Marc 10:29, 30.
w09 15/9 4:13, 14.