Mardi 1er août - - Père, pardonne-​leur (Luc 23:34).

réfléchissons à l’amour que Jésus a montré même quand on lui faisait du mal (1 Pierre 2:21, 23). C’est particulièrement utile quand nous nous sentons blessés ou traités injustement. Demandons-nous alors : « Que ferait Jésus à ma place ? » Se poser cette question a aidé une sœur du nom de Leigh à réfléchir avant d’agir. Elle raconte : « Un jour, une collègue de travail a envoyé à d’autres collègues un e-mail dans lequel elle me critiquait, moi et ma façon de travailler. Ça m’a profondément blessée. Mais je me suis demandé : “Comment imiter Jésus dans ma manière de réagir ?” J’ai alors décidé de passer sur l’affaire plutôt que d’en faire toute une histoire. Plus tard, j’ai appris que la collègue en question avait un grave problème de santé qui la stressait beaucoup. J’en ai conclu qu’elle ne pensait sans doute pas vraiment ce qu’elle avait écrit. Réfléchir à l’amour que Jésus manifestait même quand on lui faisait du mal m’a aidée à montrer le même genre d’amour à ma collègue. » Oui, si nous imitons Jésus, nous agirons toujours avec amour.

« Continuez à vous supporter les uns les autres et à vous pardonner volontiers les uns aux autres » (Col. 3:12-14). Te souviens-tu des deux pionnières qui se disputaient ? Un ancien les a gentiment aidées à réfléchir à des questions comme celles-ci : « Avons-nous le droit de mettre les autres mal à l’aise en raison de notre désaccord ? Avons-nous vraiment une bonne raison qui nous empêche de nous supporter l’une l’autre et de servir Jéhovah dans la paix ? » Elles ont accepté les conseils de l’ancien et les ont mis en pratique. Maintenant, elles passent de bons moments ensemble en prédication.
Si quelqu’un te blesse, essaie d’abord de mettre en pratique le conseil de Colossiens 3:12-14, mentionné ci-dessus. Beaucoup ont constaté qu’ils pouvaient, avec humilité, tout simplement pardonner et oublier. Mais si malgré tes efforts, tu n’arrives pas à pardonner, le principe de Matthieu 18:15 pourrait-il t’être utile ? Même si, dans ce verset, Jésus parle avant tout d’une situation où un péché grave a été commis, la démarche qu’il recommande est peut-être celle qu’il te faut entreprendre. Va voir ton frère et, avec humilité et gentillesse, essaie de régler le problème avec lui.

Leur designe ses tortionnaires aussi bien juifs que romain, comparer avec Actes 7:60.

Bien sûr, la Bible donne d’autres suggestions pratiques. Pour les suivre, il te faudra généralement manifester « le fruit de l’esprit », qui est « amour, joie, paix, patience, bienveillance, bonté, foi, douceur, maîtrise de soi » (Gal. 5:22, 23). Tout comme l’huile lubrifie une machine, ces qualités divines favorisent des relations harmonieuses, paisibles.

Il faut apprendre à pardonner , car pour certains ce n'est pas inné ,cette qualité .

Le pardon est renvoyé libre, ceci peut nous aider à comprendre, pardonner c'est renvoyer libre de culpabilité, ne pas laisser l'autre dans cet esprit, mais pour y parvenir il est indispensable de ressentir que ce sentiment nous est destiné par celui qui nous à tant aimé .
Cela nous rend bienveillant envers nous même, le pardon commence par l'acceptation de nos fragilité cette paix procure la réconciliation avec notre père, ol peut alors sans que l'on puisse s'en glorifié nois soulagé et si il le veut nous guerri à l'instant, sur le chemin comme les 10 lépreux, ou à la fin. Quoi qu'il en soit c'est lui notre juge, donc nous sommes rassurés.

Le mot hébreu nasaʼ, quelquefois rendu par “ pardonner ”, est également utilisé dans les Écritures au sens de “ lever ”, “ installer (au sens de “ mettre sur, charger ”) ”, “ soulever ” (Gn 45:19 ; Ex 6:8 ; 2R 2:16), “ prendre ” (Gn 27:3), “ enlever ”. (Nb 16:15.) Toutefois, un sens fondamental de ce mot est “ porter, transporter ”. (Gn 47:30 ; 1R 2:26 ; Éz 44:12, 13.) Une allusion à ce sens demeure dans les cas où, tout à fait correctement, nasaʼ est traduit par “ pardonner ”. Les Écritures disent que le bouc pour Azazel emportait le péché, et il était prédit que le Messie porterait la faute du peuple (Lv 16:8, 10, 22 ; Is 53:12). C’est parce que ce dernier porte la faute des autres que le pardon est rendu possible pour eux. 
Tandis que le mot nasaʼ peut s’employer pour le pardon accordé par Dieu ou par des humains (Gn 18:24, 26 ; 50:17), salaḥ (pardonner) se dit exclusivement du pardon de Dieu, de l’action grâce à laquelle un pécheur retrouve la faveur divine en réponse à sa demande sincère de pardon ou à la prière d’intercession de quelqu’un d’autre. — Nb 14:19, 20 ; 1R 8:30.

Juste une petite précision.
Est que Dieu a besoin qu'on lui demande pardon avant de nous pardonner, où est ce que parceque nous sommes acceptés par lui comme nous sommes nous pouvons lui exprimer nos regrets ?
Est ce que l'autre qui est en face doit être pardonné quand il nous aura demandé pardon.
Ou viendra il nous exprimer ces regrets quand il verra qu'ont ne le condamne pas ?

Même pour de bons amis, le pardon demande parfois des efforts. Il arrive que de longues amitiés se brisent parce que les intéressés ne réussissent pas à pardonner. Jéhovah n’est pas ainsi. La Bible invite toutes les personnes sincères à lui demander pardon, « car il pardonnera largement » (Is. 55:6, 7).

Tu as raison dans la pratique mais parceque aujourd'hui nous avons limité le pardon de Dieu au jour du jugement. Donc nous avons fixé une limite à notre pardon.
Mais si nous comprenons que le jugement est en réalité la limite que l'homme c'est fixé au pardon de Dieu et non la réalité de son pardon. Noi4s devenons comme Pierre, nous ne regardons pas a nos péchés et ceux des autres mais a la bienveillance et l'acceptation de Dieu.
Ou bien nous seront des Juda qui limite le pardon de Dieu ce qui enclanche l'autodestruction ou la colère, ou la justification en rendant des pièces par exemple. Mais le regard bienveillant est oublier.
Les juste ne seront pas jugé car il save qu'ils sont acceptés, les dits (méchants) se condamneront eux même. Et la grace c'est ce qui leur est dû s'est un cadeau normal comme donner du pain a son fils quand il a fain. Pas besoin de le mérité.

*** Rbi8 Psaume 25-25:19 ***
ר [Résh]
18 Vois mon affliction et mon malheur,
et pardonne tous mes péchés.
19 Vois comme ils sont devenus nombreux, mes ennemis ;
oui, ils me haïssent d’une haine violente.