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Enterrement ou incinération ? Ce que dit l’Église.

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Lechercheur
Josué
6 participants

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Josué

Josué
Administrateur

[size=44]Enterrement ou incinération ? Ce que dit l’Église[/size]
[size=44]Enterrement ou incinération ? Ce que dit l’Église. Default_avatar_2 Abbé Dominique Blot | 24 octobre
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Au cimetière, le respect des morts : sans condamner la crémation, l’Église recommande l’inhumation des corps. "Pour les chrétiens, les morts sont avec les vivants, car tous vivent dans le Seigneur."

[size=44]En préparant les funérailles de leurs proches, beaucoup de Français choisissent l’incinération au lieu de l’enterrement. Les motivations de cette décision ne sont pas d’abord financières. Beaucoup plus complexes, elles s’expliquent par un affaiblissement de la foi en la résurrection des corps et la communion des saints.[/size]

Valoriser le corps

[size=44]La résurrection des corps est une conviction de la foi chrétienne. La conséquence en est le grand respect pour le corps terrestre que l’on ne peut pas faire disparaître instantanément au risque de le dévaloriser. Le corps de cette personne humaine dans lequel a été semée la grâce du baptême, représente toute une histoire familiale, sociale, religieuse. Ce corps a été un lieu de bonheur mais aussi d’épreuves, de péché et de miséricorde — « temple de l’Esprit-Saint », dit saint Paul. C’est le corps de ma mère, de mon grand-père, de mon ami.
Enterrement ou incinération ? Ce que dit l’Église. Web-keys-saint-pierre-fresco-perugino-domaine-public 
Lire aussi :
Les bonnes nouvelles à entendre le jour d’un enterrement
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Le « lieu de l’attente »

[size=44]À la résurrection, les corps rendus incorruptibles seront les corps de ces mêmes personnes que nous avons aimées. Leurs corps sont enterrés au « cimetière », vieux terme du haut Moyen-Âge, signifiant le « lieu de l’attente » : la résurrection des morts est intimement liée au retour définitif du Christ. Le monde chrétien se démarque du monde païen qui privilégiait la nécropole, la ville des morts, séparée de la ville des vivants, la Cité. Pour les chrétiens, les morts sont avec les vivants, car tous vivent dans le Seigneur. Les cimetières étaient souvent dans nos villages. Avec le Christ, la vie est partout, surtout chez « nos morts », beaucoup plus que nous le pensons malheureusement car notre foi en la promesse de Jésus de notre propre résurrection est bien trop faible.
Comment imaginer le paradis, la résurrection de la chair et la vie éternelle ?

Pensons aux jeunes qui assistent à ces crémations. Quels sentiments peuvent agiter leur esprit ? Il est permis de douter que la crémation soit la meilleure manière de leur transmettre notre foi en la Résurrection des corps et l’espérance chrétienne qui devrait nous habiter.
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La communion des saints

[size=44]La communion des saints affirme que les liens spirituels vont bien au-delà des apparences. Elle est une communion entre le monde invisible et visible. Cependant, nos relations humaines passent par le corps. Jusque dans la mort, les femmes ne se détachent pas de Jésus et vont au tombeau pour embaumer son corps. Elles pensent que c’est le dernier hommage qu’elles pourront lui donner. Elles se trompent. Elles verront encore pendant quarante jours le Ressuscité ! Le chrétien est dans l’espérance que l’hommage qu’il rend au corps de celui ou celle qu’il a aimé(e) ne sera pas le dernier mais qu’il pourra continuer dans la Vie Éternelle à l’aimer corps et âme. Au contraire, la violence de la crémation est le symbole que « tout serait fini » avec la mort.
Dans un acte de foi dans le Christ et sa Résurrection, l’Église invite à laisser de côté des raisons humaines plus ou moins légitimes en faveur de la crémation et à choisir l’enterrement du corps pour croire en la promesse que Jésus nous fait : il redonnera vie à notre corps et à celui de nos proches.
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Enterrement ou incinération ? Ce que dit l’Église. Default_avatar_2 Abbé Dominique Blot | 24 octobre 2018



Au cimetière, le respect des morts : sans condamner la crémation, l’Église recommande l’inhumation des corps. "Pour les chrétiens, les morts sont avec les vivants, car tous vivent dans le Seigneur."


En préparant les funérailles de leurs proches, beaucoup de Français choisissent l’incinération au lieu de l’enterrement. Les motivations de cette décision ne sont pas d’abord financières. Beaucoup plus complexes, elles s’expliquent par un affaiblissement de la foi en la résurrection des corps et la communion des saints.

Valoriser le corps


La résurrection des corps est une conviction de la foi chrétienne. La conséquence en est le grand respect pour le corps terrestre que l’on ne peut pas faire disparaître instantanément au risque de le dévaloriser. Le corps de cette personne humaine dans lequel a été semée la grâce du baptême, représente toute une histoire familiale, sociale, religieuse. Ce corps a été un lieu de bonheur mais aussi d’épreuves, de péché et de miséricorde — « temple de l’Esprit-Saint », dit saint Paul. C’est le corps de ma mère, de mon grand-père, de mon ami.
Enterrement ou incinération ? Ce que dit l’Église. Web-keys-saint-pierre-fresco-perugino-domaine-public 
Lire aussi :
Les bonnes nouvelles à entendre le jour d’un enterrement

Le « lieu de l’attente »


À la résurrection, les corps rendus incorruptibles seront les corps de ces mêmes personnes que nous avons aimées. Leurs corps sont enterrés au « cimetière », vieux terme du haut Moyen-Âge, signifiant le « lieu de l’attente » : la résurrection des morts est intimement liée au retour définitif du Christ. Le monde chrétien se démarque du monde païen qui privilégiait la nécropole, la ville des morts, séparée de la ville des vivants, la Cité. Pour les chrétiens, les morts sont avec les vivants, car tous vivent dans le Seigneur. Les cimetières étaient souvent dans nos villages. Avec le Christ, la vie est partout, surtout chez « nos morts », beaucoup plus que nous le pensons malheureusement car notre foi en la promesse de Jésus de notre propre résurrection est bien trop faible.
Enterrement ou incinération ? Ce que dit l’Église. Web-clouds-light-pink-paradise-imagination-anton-watmanshutterstock-ai 
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Comment imaginer le paradis, la résurrection de la chair et la vie éternelle ?
Pensons aux jeunes qui assistent à ces crémations. Quels sentiments peuvent agiter leur esprit ? Il est permis de douter que la crémation soit la meilleure manière de leur transmettre notre foi en la Résurrection des corps et l’espérance chrétienne qui devrait nous habiter.

La communion des saints


La communion des saints affirme que les liens spirituels vont bien au-delà des apparences. Elle est une communion entre le monde invisible et visible. Cependant, nos relations humaines passent par le corps. Jusque dans la mort, les femmes ne se détachent pas de Jésus et vont au tombeau pour embaumer son corps. Elles pensent que c’est le dernier hommage qu’elles pourront lui donner. Elles se trompent. Elles verront encore pendant quarante jours le Ressuscité ! Le chrétien est dans l’espérance que l’hommage qu’il rend au corps de celui ou celle qu’il a aimé(e) ne sera pas le dernier mais qu’il pourra continuer dans la Vie Éternelle à l’aimer corps et âme. Au contraire, la violence de la crémation est le symbole que « tout serait fini » avec la mort.
Dans un acte de foi dans le Christ et sa Résurrection, l’Église invite à laisser de côté des raisons humaines plus ou moins légitimes en faveur de la crémation et à choisir l’enterrement du corps pour croire en la promesse que Jésus nous fait : il redonnera vie à notre corps et à celui de nos proches.

Lechercheur



Moralité l'église  n'est pas vraiment pour l'incinération.

samuel

samuel
Administrateur

L'Inquisition faisait brûler les hérétiques pour qu'ils ne soient pas ressusciter .

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

En fait l'église n'est pas pour mais toléré la crémation pas la force des choses.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Mikael a écrit:En fait l'église n'est pas pour mais toléré la crémation pas la force des choses.
Cela ne dépend que de chaque curé catholique. Donc vous pouvez tomber sur un curé qui vous dira la vérité du catéchisme identique depuis 2000 ans, savoir que l'incinération est un reniement envers Dieu et la résurrection, et allez vous faire enterrer ailleurs.

Ou bien, vous pouvez tomber sur un curé conciliaire, qui a perdu la foi catholique, et qui vous acceptera. Mais attention avec le curé qui viendra après lui, en succession, il peut déclarer de droit cette inhumation illégale et l'annuler.

Vous irez déposer les cendres ailleurs... Essayez chez les musulmans ou les juifs pour voir ! Impossible !

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Ce que fut et doit rester l’inhumation par rapport à l’incinération


Enterrement ou incinération ? Ce que dit l’Église. Non-incin-555ac99
Déjà, dans la loi de Moïse, c’était un devoir sacré que d’ensevelir les morts, même les condamnés ou les ennemis.
L’Ancien Testament en parle clairement avec Tobie qui, au péril de sa vie, prenait soin d’enterrer, la nuit, les morts qu’il avait cachés dans sa maison pendant le jour.

Aucun texte, par contre, n’encourage la crémation des cadavres.
Le Nouveau Testament, de même, parle uniquement d’inhumation et parfois, d’embaumement en signe supplémentaire de respect pour les corps, devenus, par le baptême, temples de la Sainte Trinité en attendant leur résurrection. D’où le respect de l’Eglise qui bénit plusieurs fois le corps pendant les obsèques, puis le caveau où il reposera.

Aucune allusion n’est faite à la crémation.
Dans le passé, la législation de l’Eglise a toujours condamné la pratique de l’incinération, sauf dans les cas extrêmes d’épidémie ou de peste, ce qui ne correspond plus à une nécessité de nos jours où l’on invoque des motifs futiles : plus économique, plus de cercueil ni de caveau d’où moins d’encombrement des cimetières avec des cendres dans une petite urne, plus hygiénique, dit-on, pour cette pratique barbare dans laquelle on peut retrouver le mépris de notre société où l’avortement détruit la promesse de vie, l’euthanasie élimine les gêneurs et enfin, l’incinération détruisant l’œuvre de Dieu dans ses phases successives.

L’actuelle position de l’Eglise est là-dessus comme sur d’autres points importants, contraire à l’enseignement précis qui était le sien, laissant la porte ouverte à tous les abus et scandales dus à la propagande maçonnique ou rosicrucienne entre autres, et il est bon de savoir que les dirigeants des associations crématistes qui en répandent la pratique, sont inspirés d’idées anti-chrétiennes et le plus souvent maçonniques.

Il est moralement interdit à un chrétien de demander à être incinéré
Il est moralement interdit à un chrétien de demander à être incinéré et nul n’est tenu de respecter cette volonté d’un défunt catholique car, selon le droit canonique de 1917 [Titre 12 - De la sépulture ecclésiatique : 1203 à 1242] :

- « les corps des fidèles défunts doivent être ensevelis, leur crémation étant réprouvée. »
- « sont privés de la sépulture ecclésiastique ceux qui ont ordonné que leur corps soit livré à la crémation . »


L’Eglise tient cet acte comme gravement peccamineux, comparable au péché public, à l’apostasie, à l’excommunication et au suicide. Même si la loi de 1888 permet en France, la crémation des cadavres, moralement, cette pratique était, est et restera toujours condamnable. Les lois humaines qui permettent le divorce, l’avortement et l’euthanasie, ne sont pas non plus la loi de Dieu.

Ce qui est dit pour le corps, l’est pour chaque organe particulier et pour les fœtus dans les avortements qui se terminent le plus souvent par l’incinération.

La crémation est officiellement un "rite barbare, impie et scandaleux, illicite".
Le pape Pie XI écrit en 1926 que "la crémation est un rite barbare, impie et scandaleux, gravement illicite."

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Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Ne partez pas en fumée !


Enterrement ou incinération ? Ce que dit l’Église. Incineration_1611-555ac95
Pourquoi l'Eglise s'oppose depuis toujours à l’incinération ?
Il est nécessaire de remettre cette pratique dans son contexte historique. Il fallut attendre en effet la révolution dite française pour qu’un rapport en faveur de la crémation fût présenté à la chambre des Cinq-Cents (novembre 1796). Rapport qui d’ailleurs resta lettre morte! Mais l’idée continua de faire son chemin parmi les révolutionnaires. Ce sont les sociétés maçonniques qui finirent par obtenir de certains gouvernement cette pratique de l’incinération. On est à la fin du XIX° siècle. Les premières pratiques furent exécutées en Italie dans les années 1870. En France un amendement est publié en 1886. Puis cette pratique s’étendit à travers l’Europe. Or toutes ces sociétés ont promu l’incinération pour s’opposer à la pratique de l’Eglise, et par là indirectement mais sournoisement et réellement aux dogmes des fins dernières. Voilà pourquoi l’Eglise s’est dressé très vivement contre ces sectateurs anti-chrétiens.

En quoi donc l’inhumation est-elle préférable ?
D’abord elle est la pratique constante de l’Eglise, et ce fait n’est pas négligeable. La sagesse de l’Eglise s’exprime particulièrement dans cette constance à travers le temps. Cette constante tient au fait que l’inhumation signifie le mieux les dogmes des fins dernières. Toute la liturgie des défunts parle de repos éternel et de sommeil en attendant la résurrection des morts. Cette attente est bien signifiée par l’ensevelissement. L’Eglise a aussi toujours respecté et honoré les corps de ses fidèles. La liturgie prévoit dans la cérémonie de l’absoute l’aspersion et l’encensement du corps. En effet, le corps a été marqué des onctions saintes, il a été sur terre le temple de Saint-Esprit, a participé aux bonnes oeuvres et a été finalement l’instrument du salut. C’est ce même corps qui a reçu l’eucharistie, semence d’éternité. Il serait inconvenant et irrespectueux de traiter brutalement le corps par l’incinération. Enfin, la pratique de l’inhumation est davantage un motif de consolation et d’espérance pour ceux qui restent. On voit mal comment un corps qui a fait l’objet d’affection, de piété ou d’amitié puisse être traité par la crémation qui est une destruction hâtive et brutale.

C’est pour toute ces raisons que l’Eglise, mère et maitresse de vie, a légiféré en la matière. Léon XIII tout d’abord s’est élevé avec beaucoup de force contre la crémation. Saint Pie X ensuite, dans le code de droit canonique a réprouvé ce rite allant même jusqu’à porter des peines contre les catholiques qui auraient demandé l’incinération.

Est-il possible que l’Eglise puisse changer sa discipline en la matière ?
Il est toujours possible à l’Eglise de changer certaines pratiques. Mais les arguments de convenance que nous avons donnés en faveur de l’inhumation ainsi que le contexte bien précis et anti-chrétien lié à l’expansion de l’incinération sont des arguments de poids pour l’Eglise à demeurer dans sa tradition inchangée.

Depuis vingt siècle L’Eglise a toujours défendu l’inhumation, et elle a encore plus d’intérêt à le faire aujourd’hui, à une époque où les mentalités sont de plus en plus changeantes, où la foi s’amenuise sur la terre, où les conceptions erronées des dogmes vont bon train dans le monde entier. Face à un monde de plus en plus hostile au christianisme, l’Eglise, en permettant l’incinération, fruit des loges maçonniques, se ferait la complice de ces mêmes loges et trahirait sa mission de préserver ses fidèles de la contagion du péché et de l’erreur.

Pour résumer en une phrase célèbre, on pourrait dire qu’à force de ne plus vivre comme on pense, on finit par penser comme on vit. Ainsi, à force d’estomper les vérités des fins dernières par la pratique de l’incinération, on finit par les nier.

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chico.

chico.

Marmhonie a écrit:
Mikael a écrit:En fait l'église n'est pas pour mais toléré la crémation pas la force des choses.
Cela ne dépend que de chaque curé catholique. Donc vous pouvez tomber sur un curé qui vous dira la vérité du catéchisme identique depuis 2000 ans, savoir que l'incinération est un reniement envers Dieu et la résurrection, et allez vous faire enterrer ailleurs.

Ou bien, vous pouvez tomber sur un curé conciliaire, qui a perdu la foi catholique, et qui vous acceptera. Mais attention avec le curé qui viendra après lui, en succession, il peut déclarer de droit cette inhumation illégale et l'annuler.

Vous irez déposer les cendres ailleurs... Essayez chez les musulmans ou les juifs pour voir ! Impossible !
Mais dans les faits l'église le permet.

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

chico. a écrit:Mais dans les faits l'église le permet.
L'Eglise catholique l'interdit, c'est une légende urbaine construite que de diffuser le contraire et une fake news.

L'Eglise a seule autorité.

Attention de ne pas confondre l'Eglise avec les églises, quand des curés border line s'accommode avec leur conscience et font un peu n'importe quoi.

C'est clair et c'est répété, beaucoup de curés vont en Enfer actuellement.
Enterrement ou incinération ? Ce que dit l’Église. Pretres-enfer-555cbfb

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