Bernard-Henri Lévy foudroyé par la conversion de sa soeur Véronique au Catholicisme
Bernard-Henri Lévy, souvent surnommé BHL, est un écrivain français né le 5 novembre 1948 à Béni Saf (alors en Algérie française). Personnalité médiatique, son rôle en tant que philosophe est discuté au titre plus général des controverses sur les nouveaux philosophes.
BHL est présenté par certains journalistes comme un imposteur intellectuel. Ses détracteurs estiment que sa réussite ne serait due qu'à un réseau de connaissances bien organisé.
Pascal Boniface est critique vis-à-vis de BHL. Dans un article intitulé « BHL n'est pas seulement ridicule, il est aussi dangereux », il écrit : « Il est de bon ton, dans de nombreux milieux, de se gausser de Bernard-Henri Lévy et d'affecter à son égard, une indifférence ironique. L'affaire Botul – dont BHL a le culot de s'estimer victime – n'est ni sa première, ni sa dernière escroquerie intellectuelle.
La carrière de BHL est faite d'affabulations et de ratés monumentaux, qu'il veuille créer un journal, faire un film, écrire une pièce de théâtre ou un livre. Il y a un écart grandissant entre l'écho médiatique qui lui est donné et la désaffection du public, qui n'est pas dupe. » Dans l'ouvrage Les Intellectuels faussaires (éditions JC Gawsewitch, mai 2011) : « En tête de liste, il y a l'influent Bernard-Henri Lévy, alias BHL le « seigneur et maître des faussaires », dont le « moralisme se mue en Maccarthysme », redoutable dans l'art d'exercer le « terrorisme intellectuel », alors même que ses fiascos retentissants disqualifieraient sur-le-champ bien moins omnipotent que lui.»
Après avoir violemment critiqué la Fédération de Russie et ses dirigeants dans une tribune du Point.fr, le site d'information franco-russe, ProRussia.tv le dépeint comme un "vampire des carpettes", une' "imposture mortifère" dans un reportage qui revient sur toutes les polémiques qui entoure la vie de BHL.
Bernard-Henri Lévy foudroyé par la conversion de sa soeur Véronique au Catholicisme
Script
J-P E - Pour la première fois vous confiez des histoires de famille : votre sœur Véronique - est-ce que j’ai le droit d’en parler - s’est convertie au christianisme…
B-H L. - Vous le faites, vous prenez le droit apparemment !
Vous avez été surpris ?
Oui, j’ai été surpris, oui !
Vous ne pouvez rien faire contre son choix, vous l’avez accompagnée, le Christ…
Attendez, c’est une toute petite sœur, elle est beaucoup beaucoup plus jeune que moi mais enfin elle est tout de même majeure, elle fait ce qu’elle croit devoir faire ! Le seul point par lequel cela me concerne, c’est, d’abord moi je suis juif et très profondément juif et mon judaïsme c’est une manière d’être fidèle à une certaine transmission.
Universalité aussi,
Oui mais transmission ! Universalité ça va de soi,
D’accord, d’accord, transmission.
Donc je ne peux pas m’empêcher de penser qu’en faisant ça elle rompt une chaîne de transmission, peut-être, elle contribue à la rompre, et puis il se trouve que ça correspond avec le moment où je suis en train de me débattre, cette petite sœur s’appelle Véronique. C’est ma sœur, fille de mon père et de ma mère. Elle s’appelle Véronique. Et j’apprends sa conversion au moment où je suis en train de courir les musées de France et d’Europe, à la recherche de portraits de Véronique,
Des Véronique
les Véronique c’est-à dire ces jeunes juives présentes à la sixième station du calvaire du Christ, lui tendant un linge et lui essuyant le visage, et voyant le visage christique s’imprimer sur ce linge. Pour moi cette affaire-là est capitale parce que c’est le moment où l’image de diabolique qu’elle avait tendance à être devient sainte, c’est le moment où de démoniaque qu’on la considérait elle devient bonne, et puis j’apprends cette nouvelle, en effet personnelle, qui me tombe dessus un petit peu comme la foudre !
Véronique Lévy comprend mieux peut-être aujourd’hui le judaïsme et les Juifs.
Bernard-Henri Lévy, souvent surnommé BHL, est un écrivain français né le 5 novembre 1948 à Béni Saf (alors en Algérie française). Personnalité médiatique, son rôle en tant que philosophe est discuté au titre plus général des controverses sur les nouveaux philosophes.
BHL est présenté par certains journalistes comme un imposteur intellectuel. Ses détracteurs estiment que sa réussite ne serait due qu'à un réseau de connaissances bien organisé.
Pascal Boniface est critique vis-à-vis de BHL. Dans un article intitulé « BHL n'est pas seulement ridicule, il est aussi dangereux », il écrit : « Il est de bon ton, dans de nombreux milieux, de se gausser de Bernard-Henri Lévy et d'affecter à son égard, une indifférence ironique. L'affaire Botul – dont BHL a le culot de s'estimer victime – n'est ni sa première, ni sa dernière escroquerie intellectuelle.
La carrière de BHL est faite d'affabulations et de ratés monumentaux, qu'il veuille créer un journal, faire un film, écrire une pièce de théâtre ou un livre. Il y a un écart grandissant entre l'écho médiatique qui lui est donné et la désaffection du public, qui n'est pas dupe. » Dans l'ouvrage Les Intellectuels faussaires (éditions JC Gawsewitch, mai 2011) : « En tête de liste, il y a l'influent Bernard-Henri Lévy, alias BHL le « seigneur et maître des faussaires », dont le « moralisme se mue en Maccarthysme », redoutable dans l'art d'exercer le « terrorisme intellectuel », alors même que ses fiascos retentissants disqualifieraient sur-le-champ bien moins omnipotent que lui.»
Après avoir violemment critiqué la Fédération de Russie et ses dirigeants dans une tribune du Point.fr, le site d'information franco-russe, ProRussia.tv le dépeint comme un "vampire des carpettes", une' "imposture mortifère" dans un reportage qui revient sur toutes les polémiques qui entoure la vie de BHL.
Bernard-Henri Lévy foudroyé par la conversion de sa soeur Véronique au Catholicisme
Script
J-P E - Pour la première fois vous confiez des histoires de famille : votre sœur Véronique - est-ce que j’ai le droit d’en parler - s’est convertie au christianisme…
B-H L. - Vous le faites, vous prenez le droit apparemment !
Vous avez été surpris ?
Oui, j’ai été surpris, oui !
Vous ne pouvez rien faire contre son choix, vous l’avez accompagnée, le Christ…
Attendez, c’est une toute petite sœur, elle est beaucoup beaucoup plus jeune que moi mais enfin elle est tout de même majeure, elle fait ce qu’elle croit devoir faire ! Le seul point par lequel cela me concerne, c’est, d’abord moi je suis juif et très profondément juif et mon judaïsme c’est une manière d’être fidèle à une certaine transmission.
Universalité aussi,
Oui mais transmission ! Universalité ça va de soi,
D’accord, d’accord, transmission.
Donc je ne peux pas m’empêcher de penser qu’en faisant ça elle rompt une chaîne de transmission, peut-être, elle contribue à la rompre, et puis il se trouve que ça correspond avec le moment où je suis en train de me débattre, cette petite sœur s’appelle Véronique. C’est ma sœur, fille de mon père et de ma mère. Elle s’appelle Véronique. Et j’apprends sa conversion au moment où je suis en train de courir les musées de France et d’Europe, à la recherche de portraits de Véronique,
Des Véronique
les Véronique c’est-à dire ces jeunes juives présentes à la sixième station du calvaire du Christ, lui tendant un linge et lui essuyant le visage, et voyant le visage christique s’imprimer sur ce linge. Pour moi cette affaire-là est capitale parce que c’est le moment où l’image de diabolique qu’elle avait tendance à être devient sainte, c’est le moment où de démoniaque qu’on la considérait elle devient bonne, et puis j’apprends cette nouvelle, en effet personnelle, qui me tombe dessus un petit peu comme la foudre !
Véronique Lévy comprend mieux peut-être aujourd’hui le judaïsme et les Juifs.