Jeudi 1er juin
La langue douce peut briser un os (Prov. 25:15).
Même si on nous dit quelque chose de blessant, répondre avec des paroles agréables peut produire des résultats positifs (Prov. 15:1). Par exemple, une mère élevait seule son enfant adolescent. Celui-ci menait une double vie. Une chrétienne bien intentionnée a un jour dit à la mère : « Dommage que tu aies raté l’éducation de ton fils. » La mère a réfléchi quelques instants et a répondu : « Pour le moment, les choses ne se passent pas bien, c’est vrai. Mais l’éducation de mon fils est un travail en cours. On en reparlera après Har-Maguédôn. Là, on sera fixé. » Cette réponse douce a permis de préserver la paix entre les deux sœurs et a encouragé le fils, qui avait entendu la conversation. Il a compris que sa mère n’avait pas perdu espoir le concernant. Cela l’a incité à mettre un terme à ses mauvaises fréquentations. Plus tard, il s’est fait baptiser et, par la suite, est devenu béthélite. Que nous soyons avec nos frères, notre famille ou des inconnus, nos paroles devraient toujours être « accompagnée[s] de charme, assaisonnée[s] de sel » (Col. 4:6). w15 15/12 3:15, 17.
La langue douce peut briser un os (Prov. 25:15).
Même si on nous dit quelque chose de blessant, répondre avec des paroles agréables peut produire des résultats positifs (Prov. 15:1). Par exemple, une mère élevait seule son enfant adolescent. Celui-ci menait une double vie. Une chrétienne bien intentionnée a un jour dit à la mère : « Dommage que tu aies raté l’éducation de ton fils. » La mère a réfléchi quelques instants et a répondu : « Pour le moment, les choses ne se passent pas bien, c’est vrai. Mais l’éducation de mon fils est un travail en cours. On en reparlera après Har-Maguédôn. Là, on sera fixé. » Cette réponse douce a permis de préserver la paix entre les deux sœurs et a encouragé le fils, qui avait entendu la conversation. Il a compris que sa mère n’avait pas perdu espoir le concernant. Cela l’a incité à mettre un terme à ses mauvaises fréquentations. Plus tard, il s’est fait baptiser et, par la suite, est devenu béthélite. Que nous soyons avec nos frères, notre famille ou des inconnus, nos paroles devraient toujours être « accompagnée[s] de charme, assaisonnée[s] de sel » (Col. 4:6). w15 15/12 3:15, 17.