Mardi 16 mai
Remets-nous nos dettes (Mat. 6:12).
Pourquoi Jésus a-t-il employé le mot « dettes » et, plus tard, le mot « péchés » ? (Mat. 6:12 ; Luc 11:4). Note ce qu’on pouvait lire dans une édition de La Tour de Garde il y a plus de 60 ans : « Une transgression de la loi de Dieu (ou péché) nous charge d’une dette dont nous lui sommes redevables. [...] Pour notre péché, Dieu pourrait exiger notre vie [...]. Il pourrait nous retirer sa paix, rompre les relations paisibles qu’il entretient avec nous. [...] Nous lui devons l’amour qui s’exprime par l’obéissance ; quand nous péchons nous ne lui payons pas notre dette d’amour, car pécher, c’est ne pas faire preuve d’affection [ou d’amour] envers Dieu » (1 Jean 5:3). Notre besoin de pardon quotidien met en évidence le seul fondement légal sur lequel Dieu peut annuler nos péchés : le sacrifice rédempteur de Jésus. Bien que cette rançon ait été payée il y a environ 2 000 ans, nous devrions y attacher autant de prix qu’à un don reçu aujourd’hui. De plus, « le prix de rachat » de nos vies « est si précieux » qu’aucun humain imparfait, quoi qu’il fasse, ne pourrait en payer ne serait-ce qu’une infime partie (Ps. 49:7-9 ; 1 Pierre 1:18, 19). w15 15/6 5:9, 10.
Remets-nous nos dettes (Mat. 6:12).
Pourquoi Jésus a-t-il employé le mot « dettes » et, plus tard, le mot « péchés » ? (Mat. 6:12 ; Luc 11:4). Note ce qu’on pouvait lire dans une édition de La Tour de Garde il y a plus de 60 ans : « Une transgression de la loi de Dieu (ou péché) nous charge d’une dette dont nous lui sommes redevables. [...] Pour notre péché, Dieu pourrait exiger notre vie [...]. Il pourrait nous retirer sa paix, rompre les relations paisibles qu’il entretient avec nous. [...] Nous lui devons l’amour qui s’exprime par l’obéissance ; quand nous péchons nous ne lui payons pas notre dette d’amour, car pécher, c’est ne pas faire preuve d’affection [ou d’amour] envers Dieu » (1 Jean 5:3). Notre besoin de pardon quotidien met en évidence le seul fondement légal sur lequel Dieu peut annuler nos péchés : le sacrifice rédempteur de Jésus. Bien que cette rançon ait été payée il y a environ 2 000 ans, nous devrions y attacher autant de prix qu’à un don reçu aujourd’hui. De plus, « le prix de rachat » de nos vies « est si précieux » qu’aucun humain imparfait, quoi qu’il fasse, ne pourrait en payer ne serait-ce qu’une infime partie (Ps. 49:7-9 ; 1 Pierre 1:18, 19). w15 15/6 5:9, 10.