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La justice l’emporte en Ukraine

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samuel
Josué
6 participants

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Josué

Josué
Administrateur

La justice l’emporte en Ukraine


Le 26 septembre 2012, la Cour suprême d’Ukraine a coupé net à la tentative illégale de saisie qui visait une grande partie du terrain où se trouve le siège national des Témoins de Jéhovah.

Alors qu’en 1998 les Témoins avaient acquis ce terrain en toute légalité, en 2008 l’ex-propriétaire l’a vendu — une seconde fois — au Centre de développement sportif LLC (CDS). C’est ce qu’on appelle en Ukraine un « raid immobilier ».

Le tribunal de commerce local a estimé que le contrat de vente conclu avec le CDS était légal, et les appels des Témoins ont été rejetés.

Toutefois, la justice l’a emporté. En décembre 2011, le tribunal supérieur de commerce s’est prononcé en faveur des Témoins, et en avril 2012, il a débouté le CDS de son appel. Cette décision a confirmé que le terrain appartenait de plein droit aux Témoins de Jéhovah. Trois mois plus tard, la cour d’appel de commerce de Lviv a cassé le jugement abusif du tribunal local qui avait reconnu au CDS la propriété du terrain.

Dans une dernière tentative pour revendiquer la propriété, le CDS a fait appel de la décision d’avril devant la Cour suprême d’Ukraine. Le 26 septembre, la Cour a rejeté l’appel vite fait, bien fait : la question était enfin réglée.

Si la tentative de saisie avait abouti, les Témoins de Jéhovah auraient perdu leur bâtiment administratif et une grande partie de leur terrain. On imagine le coup de frein que cela aurait donné aux activités de leur siège en Ukraine...

samuel

samuel
Administrateur

on ne dirait pas que ce pays a subit le communisme car il emplois les même méthodes.

Yirmeyah Jérémie

Yirmeyah Jérémie

Si on avait perdu les terrains, on aurait eu à peine un petit choc et tout aurait continué à tourner aussi rond après quelques temps. C'est des tempêtes dans un verre d'eau. Mais Jéhovah laisserait-il vraiment faire ça avant la grande tribulation ? Ce serait étonnant.

http://communautetjfrancoph.forum-canada.com/

chico.

chico.

samuel a écrit:on ne dirait pas que ce pays a subit le communisme car il emplois les même méthodes.
chassé le naturel il revient au galop.l'esprit dictatorial est resté malgré un semblent
de démocratie.

samuel

samuel
Administrateur

L’inaction des autorités ukrainiennes conduit à l’impunité et à toujours plus de préjudices

« Parce qu’une mauvaise action n’est pas vite sanctionnée, les hommes sont portés à faire beaucoup de mal. » Ce proverbe se vérifie en Ukraine, où un nombre croissant de Témoins de Jéhovah est victime de crimes haineux. Les Témoins de Jéhovah apprécient que l’État ukrainien garantisse la liberté de culte. Cependant, ils sont vivement préoccupés : les crimes haineux à leur encontre se multiplient et les autorités laissent les agresseurs agir en toute impunité.
L’escalade de la violence
Depuis 2008, on a dénombré en Ukraine 64 agressions physiques contre des Témoins de Jéhovah pendant ou juste après une de leurs activités religieuses. Pour 16 de ces attaques, les auteurs étaient des prêtres orthodoxes.
De 2008 à 2013, on a enregistré 190 actes de vandalisme contre des Salles du Royaume (lieux de culte des Témoins), dont 13 tentatives d’incendie criminel. Les actes de vandalisme commis contre des Salles du Royaume entre 2012 et 2013 ont doublé par rapport aux quatre années précédentes.
Les attaques sont aussi de plus en plus graves. En 2012, dans la région de Donetsk, deux Salles du Royaume ont été complètement brûlées. En 2013, deux agressions physiques ont entraîné l’hospitalisation prolongée des victimes, étant donné la gravité de leurs blessures.

Attaques contre les Témoins de Jéhovah en Ukraine

Ce graphique montre l’augmentation des attaques visant les Témoins de Jéhovah et leurs Salles du Royaume en Ukraine.
La justice l’emporte en Ukraine 802014504_univ_cnt_1_lg

[1] Actes de vandalisme ; [2] Agressions physiques



Les Témoins ont cherché protection auprès des autorités, mais n’ont trouvé aucun soutien. En effet, celles-ci n’ont pas mené d’enquêtes rapides et efficaces, ou n’ont pas fait le nécessaire pour punir correctement les agresseurs.
L’inaction des autorités
La justice l’emporte en Ukraine 802014504_univ_cnt_2_sm

5 juin 2014 : salle du Royaume d’Horlivka (région de Donetsk) incendiée et vandalisée.


Vandalisme. Quand un incident est signalé, la police ne fait rien ou est lente à réagir. Généralement, si une plainte est déposée, les autorités se refusent à entamer des poursuites ou tardent à le faire. Et même lorsqu’une action en justice est engagée, soit les procureurs ne donnent pas suite, soit l’auteur de l’incident écope d’une peine symbolique. De 2008 à 2012, les autorités n’ont retenu aucune charge contre les auteurs des 111 actes de vandalisme.
Agressions physiques. Souvent, la police n’enquête pas convenablement ou ne cherche pas à identifier les agresseurs. Quand des poursuites sont engagées, elles aboutissent rarement à une condamnation ou à une punition. Et lorsqu’effectivement c’est le cas, les peines ne sont pas proportionnées aux actes commis, car ces attaques ne sont pas qualifiées de crimes haineux.
L’impunité encourage les auteurs de crimes et délits à s’enfoncer dans la violence.
Le passage à tabac d’Oleksandr Tretiak
La justice l’emporte en Ukraine 802014504_univ_cnt_3_sm

Oleksandr Tretiak.


Une agression particulièrement odieuse a eu lieu le 26 novembre 2013. Oleksandr Tretiak, un Témoin de 41 ans, rentrait chez lui après avoir participé à une activité religieuse. Trois hommes l’ont alors sauvagement battu pendant une vingtaine de minutes. Il a identifié ses agresseurs : Ruslan Ivanov, Anatoliy Dovhan, lieutenant-colonel de la police à la retraite, et Evheniy Ihlinskiy, agent de la circulation et gendre de Dovhan. M. Tretiak a réussi à s’échapper et il a été conduit d’urgence à l’hôpital en raison de ses blessures graves, notamment de multiples coupures et contusions, un traumatisme crânien et le nez cassé.
Malgré l’état de M. Tretiak, l’enquêteur a qualifié ce crime de préjudice corporel « mineur » causé par trois individus « non-identifiés ». Au bout de deux semaines, on a fait sortir prématurément M. Tretiak de l’hôpital : une hospitalisation plus longue aurait obligé les autorités à redéfinir la gravité du préjudice... À cause de ses blessures, il a dû être de nouveau admis à l’hôpital le lendemain. Au total, il y a passé 23 jours.
Récemment, une action en justice a été intentée contre Ruslan Ivanov, l’un des agresseurs, mais seulement après qu’il a pris la fuite. M. Tretiak craint d’être encore la cible des trois hommes. Il confie : « Je suis convaincu qu’ils étaient poussés par la haine religieuse contre les Témoins de Jéhovah, et qu’ils voulaient me tuer. »
Les autorités vont-elles réagir ?
En Ukraine, plus de 150 000 Témoins de Jéhovah bénéficient depuis des années de la liberté de culte, et les autorités les ont bien aidés dans le passé. Les Témoins espèrent qu’aujourd’hui, elles vont correctement enquêter sur les crimes et délits, et poursuivre les auteurs de ces actes pour qu’ils n’agissent plus en toute impunité.

samuel

samuel
Administrateur

[size=32]infos : Les Témoins de Jéhovah d’Ukraine organisent les secours en faveur de milliers de déplacés[/size]

LVIV, Ukraine. Les Témoins de Jéhovah continuent de porter assistance à leurs coreligionnaires déplacés à cause de la guerre qui sévit dans l’est de l’Ukraine.
Sur les 7 500 Témoins qui ont fui la zone de conflit, 4 000 sont pris en charge par sept comités de secours mis en place par le siège national des Témoins de Jéhovah de Lviv. Les autres déplacés sont hébergés par des parents ou des coreligionnaires en Ukraine et en Russie. Six comités de secours supplémentaires s’occupent des plus de 17 500 Témoins qui vivent toujours dans la zone de conflit.
La justice l’emporte en Ukraine 702014133_univ_cnt_01_sm

Des bombes ont détruit plusieurs domiciles de Témoins, y compris cette maison à Semenivka, dans la région de Donetsk.


Le siège national a confirmé que six Témoins sont morts depuis le début de la guerre. Le 17 juin 2014, un Témoin a été tué à Kramatorsk, quand une bombe a explosé près de la voiture dans laquelle il se trouvait. Des bombes ont provoqué la mort de cinq autres Témoins qui habitaient les villes de Donetsk, de Sloviansk, de Rozkishne et de Luhansk.
Dans le cadre de ces opérations de secours, le siège national coordonne également la reconstruction de plusieurs lieux de culte et domiciles de Témoins.
La justice l’emporte en Ukraine 702014133_univ_cnt_02_lg

Des Témoins réparent le toit d’une maison endommagée, dans la ville de Sloviansk.


Contacts presse :
International : J. Brown, service d’information, tél. : [url=tel:+1%C2%A0718%C2%A0560%C2%A05000]+1 718 560 5000[/url]

samuel

samuel
Administrateur

[size=32]Des édifices religieux saisis dans l’est de l’Ukraine[/size]

En janvier 2015, des groupes armés ont saisi par la force 14 Salles du Royaume (lieux de culte) appartenant aux Témoins de Jéhovah d’Ukraine. Ces édifices sont situés dans les régions de Donetsk et de Louhansk, à l’est du pays, où de violents troubles sévissent depuis des mois. Les hommes armés s’en sont pris aux Témoins de Jéhovah en raison de préjugés et au mépris de la liberté de religion et d’association des Témoins.
Depuis plus de 20 ans, les Témoins d’Ukraine exercent leur culte librement. Vasyl Kobel, du siège national des Témoins de Jéhovah de Lviv, a déclaré : « Nous avons toujours eu l’habitude de nous rassembler dans nos lieux de culte pour prier et lire la Bible. Nous nous sommes également toujours efforcés d’avoir une bonne influence sur les personnes qui nous entourent. Mais ces derniers mois, les Ukrainiens subissent les conséquences de la crise qui frappe l’est du pays. Les Témoins de Jéhovah ne font pas exception : nous sommes aussi victimes des troubles. »
M. Kobel parlait au nom des 150 000 Témoins de Jéhovah qui vivent en Ukraine. Récemment, des milliers d’entre eux ont fui la zone de combat. Néanmoins, les quelque 17 500 Témoins qui restent dans les régions de Donetsk et de Louhansk essaient de poursuivre leurs activités quotidiennes au milieu du conflit. Puisque leurs Salles du Royaume ont été saisies, des milliers de Témoins n’ont plus de lieux de culte, et ils sont obligés de se réunir en s’entassant dans leurs domiciles. D’autres doivent désormais faire des trajets aller-retour qui peuvent prendre jusqu’à quatre heures pour se rendre à leurs offices religieux.

Saisie des Salles du Royaume : un acte de haine religieuse

Les saisies des Salles du Royaume ne sont pas des actes gratuits mais des attaques discriminatoires contre les Témoins et leurs croyances religieuses. L’officier d’un groupe d’hommes a affirmé qu’il voulait « se débarrasser de tous les Témoins de Jéhovah », parce que d’après lui, l’Église orthodoxe est la seule religion autorisée dans la région. Un autre officier a dit : « C’est fini pour les Témoins de Jéhovah. » Malgré ces menaces, les Témoins sont résolus à poursuivre leur activité dans toute l’Ukraine.

chico.

chico.

C'est pas facile pour les témoins de vivre leur foi dans se pays.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Cour constitutionnelle d’Ukraine renforce le droit de se rassembler paisiblement

Le 8 septembre 2016, la Cour constitutionnelle d’Ukraine a réaffirmé le droit de se rassembler paisiblement sans ingérence de l’État. Elle a invalidé une partie de la loi ukrainienne de 1991 relative à la liberté de conscience et aux organisations religieuses (ou loi sur les religions) qui impose aux organisations religieuses l’obtention d’une « autorisation » de l’État pour pouvoir se réunir dans des installations louées. La Cour constitutionnelle a jugé que cette clause restrictive violait les garanties qu’offre la constitution du pays en matière de liberté de réunion pacifique. Les Témoins de Jéhovah d’Ukraine, qui avaient du mal à louer des bâtiments pour y tenir des offices religieux, se sont réjouis de cette décision.

Les autorités refusent d’accorder l’autorisation de tenir des offices religieux

Depuis son adoption, la loi sur les religions a été utilisée par des fonctionnaires partiaux pour justifier à leur guise l’annulation de contrats de location signés par des Témoins pour tenir leurs offices. Ce fut le cas durant l’été 2012, alors que des milliers de Témoins de Jéhovah du nord-est de l’Ukraine attendaient impatiemment le grand rassemblement de trois jours organisé dans la ville de Soumy. Un contrat de location du stade municipal avait été signé et les préparatifs étaient bien avancés. Comme l’exige la constitution, les Témoins avaient informé les autorités de la tenue d’un rassemblement. C’est alors que, un mois seulement avant la session d’ouverture, le conseil municipal de Soumy a décidé, sur la base de leur interprétation de la loi sur les religions, qu’une simple notification n’était pas suffisante. Selon lui, l’utilisation du stade par les Témoins était soumise à une autorisation, qu’il a refusé d’accorder.

Les Témoins de Jéhovah ont dû prendre des dispositions dans les plus brefs délais pour organiser le rassemblement dans la ville de Kharkiv située à quelque 200 kilomètres de Soumy. Ce changement de lieu a forcé plus de 3 500 Témoins à modifier rapidement leurs projets. En raison de leur âge ou de leur santé, beaucoup d’entre eux ne pouvaient pas effectuer le voyage jusqu’à Kharkiv pour assister à cet événement important. D’autres n’avaient pas obtenu de congé de la part de leur employeur ou n’avaient pas les moyens de financer leur déplacement jusqu’à Karkhiv. L’année suivante, le conseil municipal de Soumy a de nouveau invoqué la loi sur les religions pour refuser d’accorder aux Témoins l’autorisation de tenir leur rassemblement dans le stade.

Illia Kobel, membre du siège national des Témoins de Jéhovah à Lviv, explique : « Les annulations des rassemblements devant se tenir à Soumy n’étaient pas des incidents isolés. Nous avons eu des difficultés à louer des bâtiments pour nos offices religieux dans d’autres occasions. » Par exemple, en mars 2012, les autorités de la ville de Vinnytsia n’ont pas permis aux Témoins d’organiser un office religieux dans une salle louée, ce qui les a obligés à prendre d’autres dispositions à la dernière minute. Quelques mois plus tard, les autorités ont refusé d’accorder à l’assemblée de fidèles de Mohyliv-Podilskyi la permission de tenir chaque semaine des offices religieux dans un bâtiment loué, alors qu’ils l’utilisaient à cette fin depuis trois ans. Ne disposant pas d’autre lieu approprié, les Témoins de cette assemblée de fidèles ont dû se réunir chez des particuliers, dans des conditions pénibles.

Récemment encore, en février 2015, les autorités de la région de Vinnytsia ont soutenu que les Témoins de Jéhovah avaient violé la loi à de nombreuses reprises. De quelle façon ? Selon elles, en ne demandant pas l’autorisation de tenir des offices religieux dans des bâtiments autres que leurs lieux de culte. Une simple notification n’était pas suffisante.

Les Témoins cherchent à résoudre un conflit de lois

Ces dernières années, les Témoins de Jéhovah ont généralement pu se réunir librement dans leurs lieux de culte sans ingérence de l’État. Cependant, pour organiser des évènements spéciaux ou des grands rassemblements, ils doivent souvent louer des installations permettant d’accueillir plus de monde. La constitution de l’Ukraine autorise une organisation religieuse à se réunir paisiblement dans des locaux loués à la seule condition d’informer à l’avance les autorités. « Les problèmes que nous avons rencontrés ont pour origine la loi sur les religions, dont les dispositions les plus restrictives contrastent avec la constitution qui n’impose pas l’obtention d’une autorisation auprès des autorités, affirme M. Kobel. Afin de résoudre ce problème, nous avons soumis la question au Commissaire aux droits de l’homme du Parlement ukrainien, aussi appelé ombudsman. »

Le rôle de l’ombudsman est de veiller à ce que tous les citoyens de l’Ukraine bénéficient des droits garantis par la constitution et la législation du pays. Après avoir examiné les difficultés rencontrées par les Témoins de Jéhovah, l’ombudsman a convenu qu’il existait un conflit entre la constitution et la loi sur les religions. La constitution garantit le droit de se rassembler à la seule condition d’adresser aux autorités une notification pour tenir un office religieux dans un local loué. En revanche, la loi sur les religions interdit tout office religieux dans des locaux loués, à moins que le groupe religieux n’ait obtenu au moins dix jours à l’avance une autorisation de la part des autorités.

Le 26 octobre 2015, le bureau de l’ombudsman a présenté à la Cour constitutionnelle ukrainienne une requête dénonçant le caractère anticonstitutionnel de l’article en litige de la loi sur les religions. La requête expliquait que le droit de se rassembler paisiblement était une liberté fondamentale garantie à tous les citoyens. À propos de ce droit, l’ombudsman ajoutait : « Les États doivent s’abstenir de prendre des mesures arbitraires susceptibles de restreindre le droit de se réunir librement. » Afin d’appuyer la position de l’ombudsman, les Témoins de Jéhovah d’Ukraine ont soumis à l’examen de la Cour constitutionnelle un dossier expliquant les difficultés qu’ils rencontraient pour louer des locaux en vue d’y tenir des offices religieux.

La Cour constitutionnelle invalide la loi contradictoire

Dans son arrêt du 8 septembre 2016, la Cour constitutionnelle a confirmé qu’aucune loi ne saurait contredire le droit constitutionnel de se rassembler paisiblement sur simple notification aux autorités publiques. Dans une analyse dépassant la législation nationale, elle a reconnu l’article 9 de la Convention européenne des droits de l’homme, qui garantit la liberté de religion, ainsi que l’article 11, qui garantit la liberté de réunion pacifique sans intervention non justifiée de l’État. La Cour a déclaré contraire à la constitution le point 5 de l’article 1 de la loi sur les religions de 1991, qui impose à un groupe religieux d’obtenir une autorisation des autorités avant de pouvoir organiser un office religieux dans des locaux loués.

Une résolution réjouissante

L’organisation d’offices religieux dans des locaux loués ne dépend donc plus de la bonne volonté des autorités publiques qui pouvaient décider de ne pas donner leur permission. Comme le garantit la constitution, du moment que les Témoins informent à l’avance les autorités de leur intention de louer des locaux pour y tenir un office religieux, leur demande ne peut pas être refusée.


S’exprimant au nom des plus de 140 000 Témoins de Jéhovah d’Ukraine, M. Kobel a déclaré : « Cette décision récente de la Cour constitutionnelle a renforcé le droit de se rassembler paisiblement. Nous nous réjouissons de ne plus rencontrer d’obstacles administratifs quand nous louons des locaux pour nos offices. »

papy

papy

Le Témoin de Jéhovah en Crimée 'a ordonné de renoncer à la foi pour être rédigé dans l'armée russe'
175 000 adorateurs criminalisés lorsque les juges russes ont jugé leur religion ont violé la loi anti-extrémisme en avril

Les témoins de Jéhovah auraient été pressés dans le service militaire Getty
Les autorités de Crimée ont violé les lois internationales en ordonnant à un témoin de Jéhovah de prouver qu'il a abandonné sa foi avant d'être recruté dans l'armée russe occupante, selon un surveillant des droits de l'homme.

Les membres de la dénomination chrétienne, qui est profondément opposée au service militaire, ont précédemment été autorisés à s'inscrire à un service civil alternatif en Russie, où les hommes doivent compléter un tirage d'une année dans l'armée entre 18-27 ans.

Mais il y a eu plusieurs rapports des Témoins de Jéhovah qui se sont vu refuser le droit de servir de civils après que la Cour suprême du pays ait interdit la religion en avril.

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Protestations anti-Poutine : la police russe arrête des centaines de milliers de personnes contre la corruption du Kremlin
175 000 adorateurs ont été criminalisés lorsque les juges ont jugé que leur religion avait violé une loi anti-extrémisme, ouvrant la voie à la fermeture de 395 chapitres locaux.

Des responsables militaires russes en Crimée ont depuis déclaré à un témoin de Jéhovah de fournir des preuves qu'il a changé sa foi avant d'être autorisé à se joindre à leurs rangs, selon les Témoins de Jéhovah en Russie .

La paperasserie a été publiée par un centre militaire dans la région, selon laquelle les Témoins de Jéhovah pourraient commencer un service civil "seulement sous réserve de renoncer à leurs croyances religieuses".
http://www.independent.co.uk/news/world/jehovahs-witnesses-russia-vladimir-putin-crimea-ukraine-supreme-court-geneva-convention-human-rights-a7806611.html

papy

papy

Scandale continue de Crimée: les recrues militaires d'enrôlement menace procès pour contrefaçon de l'ordre du jour
AUTEUR
Anton Chivchalov
Selon les rapports des médias, le bureau d'enrôlement militaire de district Bakhchisaray de Crimée a demandé au jeune homme de 18 ans conscrit - témoin de Jéhovah par la foi - par écrit à renoncer à sa foi. Intronisé a reçu un avis à l'exigence « de fournir des documents sur le changement de la foi. » Dans ce cas, il aurait le droit à un service civil de remplacement (ACS) au lieu de l'armée et par ailleurs - le tribunal et la prison.

Les médias russes et ukrainiens ont fait irruption grave scandale. Deux jours de l'incident rapporté par des dizaines de publications. Ensuite , le commissaire militaire Pavel Vrublevsky se hâta de se dissocier de l'histoire, en disant que l'inscription à l'ordre du jour du faux et écrit par « personne non identifiée », puis écrit une plainte pour une raison quelconque dans le FSB. Par coïncidence ironique, que le FSB est le cerveau derrière la persécution des Témoins de Jéhovah, comme précédemment, à l'époque soviétique, le KGB était engagé. Dans le village de Kugesi (Tchouvachie) FSB est engagé dans un test d'un autre intronisé de la même religion.

Puis convoqué conscrit et commissaire des témoins, sous l'enregistreur a exigé des excuses pour diffamation. Le croyant doit aussi admettre qu'il est entré dans le commissariat militaire inscription compromettante de « changement de la foi. » Dans le cas contraire, il fait face à une action en justice pour la compensation de la diffamation pour préjudice moral.

Je l' ai vu l' ordre du jour des images. Deux d'entre eux, pas seulement un. Ils ont tous les numéros nécessaires, les dates, les signatures et les phoques. Le texte est plus grand que dans la capture d' écran, les médias publiés: le haut a un nom et l' adresse de la recrue, entièrement écrit de la même écriture, que le reste du texte écrit à la main. Ceci confirmera tout examen graphologique. Dans les médias, cette partie est coupée pour des raisons de confidentialité.

Le croyant n'a pas l' intention de reconnaître la falsification. Selon lui, il a été l' ordre du jour complètement rempli personnellement des mains de l'employé par le nom de Marina Alexandrovna dans le numéro du bureau 10. Je me demande si Marina Alexandrovna continue de travailler dans l'armée, parce que le commissaire militaire a déclaré qu'aucun de ses employés n'a pas signé.

Ainsi, la position du bureau d'enrôlement militaire est la suivante: la recrue se tenir ordre du jour vide vide, rempli à l'intérieur et à l' extérieur, en quelque sorte le bureau de recrutement estampillé et signé inexplicablement le commissaire militaire et a commencé à le calomnier. Ou même option plus fantastique: Il a trouvé un formulaire vierge, mais avec le cachet et la signature, puis rempli. Et il l' a fait deux fois, remplir deux formes légèrement différentes, avec des dates différentes et des chiffres.

Cet ordre du jour - pas la seule source d'information sur l'incident. Selon la recrue, et il a eu une conversation verbale avec les employés du bureau de recrutement, qui lui a dit la même chose: aller AGS, ne peut pas comme témoin de Jéhovah. Tout d' abord, vous avez besoin de changer leur foi.

Bien sûr, il est plus probable une explication différente: le bureau de recrutement région Bahchisarajsky juste fait la même chose se passe dans les différentes régions de la Russie. Des bureaux de recrutement ont interdit les jeunes Témoins de Jéhovah droit à un service civil de remplacement, ces cas ont été enregistrés dans Tchouvachie et Tatarstan. Et partout en même temps signifiait que le conscrit est de changer de religion et le problème ne sera pas.

Moi confiance - ou l'armée

L'histoire désastreuse caractérise le niveau de conscience juridique de certains militaires. Selon l'article 59 de la Constitution, le service civil de remplacement peut être prévu pour recruter, si « ses convictions ou croyances religieuses contraires au service militaire. » Comme vous pouvez le voir, même les recrues soient nécessairement un croyant, il est seulement nécessaire d'avoir une « croyance ». Il peut être, par exemple, un athée pacifiste. Aucune adhésion formelle au sein des organisations, aussi, n'est pas nécessaire. Une personne peut (ou pourrait) être quelle que soit l'organisation, mais la présence de certaines croyances est un critère pour le passage de l'ACS.

Oui, la Cour suprême le 20 Avril éliminé les entités juridiques des Témoins de Jéhovah. Certains projets de conseils ont interprété de telle sorte que les croyances des Témoins de Jéhovah deviendront automatiquement criminels. Ceci est une autre erreur - la décision du tribunal applique uniquement aux personnes morales et n'a aucun rapport avec les opinions et les croyances des individus. Le tribunal n'a pas estimé les croyances des citoyens russes. Rien de tout cela à la Cour suprême, comme on le voit facilement, si vous lisez juste. Dans les bureaux d'enrôlement militaire, apparemment, lire les décisions de justice ne sont pas prises.

Si un citoyen russe d'une certaine façon de comprendre la Bible et la religion, il ne peut pas être la raison de sa violation des droits. Dans le cas de conscrit de Crimée , nous avons un exemple classique de discrimination pour des motifs religieux, et la discrimination au goût exotique du Moyen Age. Cave conscience inquisitoire réveillé et affirmer vigoureusement leurs droits étonnés journalistes et penseurs.

Cet incident est remarquable pour une autre raison. Dans d' autres bureaux d'enrôlement militaire déni de passage de l'ACS a été motivée par l' extrémisme soi - disant recrues. L'apparition mystérieuse d'extrémistes qui refusent de prendre les armes - un sujet pour une autre conversation. Tout aussi surprenant est que les bureaux d'enrôlement militaire tentent d'envoyer une armée de gens qui sont considérés comme des extrémistes.

Mais nous pouvons voir clairement à Bahchisarae: l' extrémisme ne se préoccupe pas du bureau de recrutement. De la recrue ne nécessite pas renoncer à des idées extrémistes ou cesser de pratiquer l' extrémisme. Que actes extrémistes conscrits. Non, le projet de carte ne sont intéressés que ce qu'il croit. bureau Enrôlement veut devenir le ministère des Affaires religieuses.

Soit dit en passant, ce que la religion veut voir les conscrits de la conscription militaire? Bien que l'ordre du jour du croyant de Bahchisaraja ne dit rien à ce sujet, je me permets de suggérer: qui permet de prendre une arme et aller tuer des gens au premier ordre. Voici une religion, apparemment, aura un feu vert, l'approbation et les applaudissements de tout recrutement.
http://echo.msk.ru/blog/antorix/2004362-echo/

chico.

chico.

Les officiels assistent à la Maison libre à la succursale des Témoins de Jéhovah en Ukraine

LVIV, Ukraine-La succursale d'Ukraine des Témoins de Jéhovah a accueilli le public pour une ouverture spéciale le 2 mai 2017. L'événement d'une journée a permis aux fonctionnaires, aux universitaires et aux propriétaires d'entreprises de l'Etat et des Locaux de voir les opérations de la succursale, ainsi que Voisins de la ville de Lviv.


La maison ouverte comprenait des écrans pour enfants.
La branche a créé des expositions spéciales pour la maison ouverte, y compris des écrans et une vidéo sur les opérations de la succursale, un musée historique et une zone conçue pour les enfants. Ivan Riher, porte-parole des Témoins de Jéhovah en Ukraine, déclare: "C'est la première fois depuis 2001 que notre succursale a occupé une journée portes ouvertes. Nous sommes bien connus ici en Ukraine pour notre travail d'éducation biblique porte-à-porte , mais nous étions ravis d'inviter nos voisins à voir comment notre succursale fonctionne et contribue à la communauté ".


Les participants ont appris la longue histoire des Témoins de Jéhovah en Ukraine dans le musée historique.

Andriy Yurash, directeur du Département des affaires religieuses et des nationalités.
Andriy Yurash, directeur du département des affaires religieuses et des nationalités, un ministère du ministère de la Culture de l'Ukraine, a donné ses impressions sur l'opération de la branche: "C'est l'exemple de l'organisation religieuse des Témoins de Jéhovah, en dépeignant ce qui peut être fait Pour harmoniser les relations au sein de la communauté, entre ses membres et d'autres personnes en général ".

Cette année, les Témoins ont également accueilli des maisons ouvertes dans leur succursale au Cameroun, ainsi que dans leur siège mondial situé à Warwick, à New York.

Contacts avec les médias:

International: David A. Semonian, Bureau de l'information publique, + 1-845-524-3000
https://www.jw.org/en/news/releases/by-region/ukraine/officials-attend-open-house-branch-office-jehovahs-witnesses/

Josué

Josué
Administrateur

[size=32]La liberté religieuse est menacée dans l’est de l’Ukraine[/size]

Le conflit qui touche certaines zones des régions de Lougansk et de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine, est dans sa quatrième année. Les conditions de vie des habitants se détériorent grandement et la situation est très difficile pour la plupart d’entre eux. Pour les Témoins de Jéhovah de ces régions, cette situation pénible est aggravée par l’intolérance religieuse grandissante. Les autorités locales se laissent apparemment influencer par les décisions récentes des tribunaux russes visant à interdire le culte des Témoins de Jéhovah. À l’instar de la Russie, elles utilisent des moyens illégaux pour porter des accusations contre les Témoins qui vivent dans leur juridiction, menaçant ainsi leur liberté de culte.

Des preuves fabriquées de toutes pièces

Imitant les manœuvres des procureurs russes, les autorités de ces régions en sont venues à fabriquer des pièces à conviction afin de porter des accusations contre les Témoins de Jéhovah.

  • En juillet 2017, la Cour suprême de la République populaire de Donetsk a ajouté deux articles d’anciens numéros de revues religieuses publiées par les Témoins de Jéhovah à la liste républicaine des ouvrages extrémistes. Les Témoins n’ont pas été informés de la procédure judiciaire et ils n’ont pas pu obtenir un exemplaire de la décision, qui a pris effet sur-le-champ. Ils n’ont donc pas pu faire appel.
  • En août 2017, les bureaux des procureurs de Novoazovsk et de Debaltsevo ont envoyé aux Témoins locaux des lettres d’avertissement leur ordonnant de ne pas distribuer leurs revues La Tour de Garde et Réveillez-vous ! sans avoir obtenu d’autorisation préalable. Les autorités empêchent ainsi même la diffusion d’ouvrages religieux qui ne sont pas déclarés extrémistes, et elles menacent de tenir pour responsables les ministres du culte des assemblées de fidèles de toute diffusion d’écrits religieux publiés par les Témoins. Une mise en garde similaire a été adressée plus tard aux Témoins de la ville de Makiivka.
  • Le 4 août 2017, des unités spéciales antiterroristes, ainsi que des militaires et des policiers, ont interrompu des offices religieux des Témoins de Jéhovah à Altchevsk et à Lougansk, soi-disant en raison d’une alerte à la bombe. Après avoir fait évacuer les bâtiments, les agents ont contrôlé les papiers de tous les assistants *.

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Descente de police pendant un office religieux à Altchevsk.


À Altchevsk, les agents ont filmé leur inspection des lieux, prétextant qu’ils cherchaient une bombe. Les recherches ont révélé la présence de quelques écrits religieux publiés par les Témoins et ont permis la « découverte » de tracts de propagande anti-RPL * que les agents avaient eux-mêmes introduits et dissimulés dans les locaux.

Des accusations infondées servent à faire obstacle aux activités religieuses des Témoins

Quelques semaines après ces descentes dans des lieux de culte (appelés Salles du Royaume), les autorités de Lougansk ont arbitrairement rangé les Témoins de Jéhovah parmi les ennemis de l’État. Le 28 août 2017, Alexander Basov, sous-ministre chargé de la sécurité de l’État sur le territoire de Lougansk, a diffamé les Témoins de Jéhovah dans une déclaration officielle. Il a soutenu que les Témoins apportaient leur soutien à des groupes considérés comme terroristes sur le territoire de Lougansk, et pour le prouver, il s’est référé aux écrits de propagande dissimulés et « découverts » dans la Salle du Royaume d’Altchevsk.
Le porte-parole des Témoins de Jéhovah d’Ukraine, Ivan Riher, a déclaré : « Tout écrit du genre de ceux qui ont été “découverts” dans la Salle du Royaume — pour reprendre les paroles de M. le sous-ministre Basov —, a de toute évidence été dissimulé par les personnes mêmes qui l’ont trouvé. Des écrits de ce genre ont peut-être été diffusés à Altchevsk, comme on le prétend, mais certainement pas par les Témoins de Jéhovah. Ils sont neutres, comme l’atteste le fait que des centaines de Témoins de différents pays sont actuellement emprisonnéspour objection de conscience au service militaire. Aucun Témoin de Jéhovah n’a combattu pour l’un des camps du conflit en Ukraine *. »

Les Témoins de Jéhovah subissent des pressions toujours plus fortes

Plusieurs Témoins de Jéhovah rapportent que les autorités locales leur ont ordonné d’arrêter de parler de leurs croyances à leurs semblables et les ont avertis de ne pas continuer, bien qu’aucun d’entre eux n’ait encore été inculpé par la police. Beaucoup de Témoins disent également avoir été convoqués par les agents des services de sécurité. Pendant les entretiens, ils ont été interrogés, soumis à des intimidations et on a fait pression sur eux pour qu’ils dévoilent les noms de ceux qui organisent leurs activités religieuses. Les autorités locales ont également fait des descentes au cours d’offices religieux et ont empêché leur bon déroulement.
La discrimination religieuse croissante et les pressions que subissent les Témoins de Jéhovah dans certains territoires des régions de Lougansk et de Donetsk sont plus que du harcèlement. Il s’agit de persécutions religieuses et d’une menace pour la liberté de religion. Les Témoins de Jéhovah se montrent de plus en plus prudents et recherchent des solutions légales afin de pouvoir poursuivre leurs activités religieuses paisibles.

Les Témoins de Jéhovah sont victimes de persécutions dans certains territoires de Donetsk et de Lougansk :


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  • Enlèvements et torture. En juillet 2015, les Témoins de Jéhovah ont signalé que des groupes armés présents dans l’est de l’Ukraine avaient enlevé et maltraité 26 d’entre euxdepuis août 2014. Ils ont également indiqué que 15 Témoins, dont des personnes âgées, avaient été enlevés et torturés en 2016. Au moment de leur libération, on leur a formellement interdit de poursuivre leurs activités religieuses et on les a menacés d’arrestation et d’amendes.
  • Discrimination religieuse. Le 8 septembre 2015, le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme a publié son 11rapport sur la situation relative aux droits de l’homme en Ukraine. Sous le titre « Liberté de religion ou de croyances », on pouvait lire : « Dans une déclaration faite le 20 mai, le chef de la République populaire de Donetsk a menacé de “combattre les sectes avec brutalité” et a dit ne reconnaître aucune autre religion que la religion orthodoxe, le catholicisme, l’islam et le judaïsme. » Le rapport ajoutait : « Les Témoins de Jéhovah semblent être particulièrement visés. »
  • Confiscation de lieux de culte. Courant 2014 et début 2015, des hommes armés ont saisi 17 lieux de culte appartenant aux Témoins de Jéhovah. Certains de ces bâtiments ont été rendus par la suite aux Témoins. Actuellement, il y a encore 12 lieux de culte confisqués : 7 dans la région de Donetsk (dans les villes de Donetsk, de Telmanove, de Yenakiyeve et de Kirovsk, et 3 dans la ville de Horlivka) et 5 dans la région de Lougansk (dans les villes de Lougansk, d’Altchevsk, de Brianka, de Perevalsk et de Krasnyi Luch).

papy

papy

Cette région de l'Ukraine est sous l'influence Russe ce qui explique bien des choses.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

[size=33]Assemblée spéciale en Ukraine : l’hospitalité et l’unité en action ![/size]

À l’occasion de l’assemblée spéciale tenue à Lviv du 6 au 8 juillet 2018, les Témoins de Jéhovah d’Ukraine ont accueilli des milliers de leurs frères et sœurs dans la foi. Plus de 3 300 délégués, venus de neuf pays, se sont rendus en Ukraine pour profiter du programme spirituel ayant pour thème « Soyez courageux ! ». Ils ont également beaucoup apprécié la belle hospitalité que leurs frères ukrainiens leur ont manifestée.
Les préparatifs de l’assemblée ont commencé en avril 2017. Pendant les 15 mois qui ont suivi, beaucoup de Témoins locaux se sont portés volontaires pour participer à la préparation des activités qui seraient proposées aux délégués et pour s’occuper d’eux durant leur séjour. Les délégués ont pu découvrir certains aspects exceptionnels de la culture ukrainienne, comme des danses et de la musique traditionnelles ainsi que des plats typiques. Des visites guidées ont été organisées dans un musée et dans de vieux châteaux, ainsi que dans les Carpates, une chaîne de montagnes spectaculaire. Et les délégués ont vécu un moment particulièrement fort en prêchant avec leurs frères et sœurs ukrainiens.
L’assemblée spéciale a eu lieu dans un grand stade de Lviv, avec une assistance maximale de plus de 25 000 personnes. Des parties clés du programme ont été retransmises dans 15 autres stades et dans de nombreuses Salles du Royaume à travers le pays. En tout, il y a eu plus de 125 000 assistants et 1 420 baptêmes.
Ivan Riher, un représentant du siège des Témoins de Jéhovah d’Ukraine, a déclaré : « Nous étions impatients d’accueillir nos frères et sœurs d’autres pays pour cet évènement spécial. Nous avons beaucoup apprécié de pouvoir manifester l’hospitalité ukrainienne à nos visiteurs. Cela a renforcé l’unité et le courage de notre famille chrétienne internationale » (Psaume 133:1).




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L’assistance maximale dans le stade de Lviv a été de 25 489 personnes.
1 sur 7



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Josué

Josué
Administrateur

C'est une très bonne nouvelle pour nos frères d'Ukraine.

samuel

samuel
Administrateur

C'est une bonne initiative envers ceux qui s'interrensent à la bible.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

[size=33]Ukraine : Les Témoins de Jéhovah organisent des expositions sur la Bible[/size]

Les Témoins de Jéhovah d’Ukraine ont organisé des expositions exceptionnelles sur la Bible pour attirer l’attention sur la parution des Écritures grecques chrétiennes. Traduction du monde nouveau en langue des signes russe. Cette parution marque une étape importante dans notre travail de traduction. L’exposition a été présentée du 7 octobre 2018 au 7 juin 2019, la première fois à Lviv puis dans d’autres villes, parmi lesquelles Kharkiv, Kiev, Odessa et Dnipro.
Avant chaque exposition, les membres des assemblées locales de langue des signes ont diffusé des invitations auprès des sourds et des malentendants des régions où l’évènement devait avoir lieu. Le bureau d’information auprès des médias de la filiale d’Ukraine a aussi remis des invitations aux enseignants, aux journalistes et aux élus locaux.
Les visiteurs de la première exposition, qui s’est déroulée au Club des sourds de Lviv, ont découvert les différents outils numériques que les sourds peuvent utiliser pour étudier la Bible, comme par exemple l’application JW Library Sign Language[size=11]®
. Les visiteurs ont également vu les différentes formes sous lesquelles la Bible est parue au fil des siècles, du rouleau jusqu’au livre. L’une des pièces maîtresses de cette exposition était une édition de la Bible datant de 1927.
Nous nous réjouissons de la parution des Écritures grecques chrétiennes. Traduction du monde nouveau en langue des signes russe. Nous sommes persuadés que cela permettra à un plus grand nombre de personnes d’acquérir une connaissance exacte de la Bible (Matthieu 5:3).
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Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

[size=33]Une décision de la CEDH reconnaît aux Témoins de Jéhovah le droit de construire une Salle du Royaume en Ukraine[/size]

Le 3 septembre 2019, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a rendu une décision en faveur des Témoins de Jéhovah de Kryvyï Rih, en Ukraine. La cour a jugé le conseil municipal de Kryvyï Rih coupable d’avoir délibérément refusé aux Témoins l’autorisation de construire une Salle du Royaume.
D’après cette décision, la municipalité doit verser 7 000 euros de dommages et intérêts, ainsi que de frais de justice, aux deux assemblées locales à qui appartient la propriété. Elle a en effet été reconnue coupable d’avoir enfreint la loi internationale, à savoir l’article 9 (qui protège la liberté de pensée, de conscience et de religion) et l’article 1 du Protocole n[size=11]o 
1 (qui garantit le droit à la propriété) de la Convention européenne des droits de l’homme. Le gouvernement ukrainien a trois mois pour demander un renvoi de l’affaire devant la plus haute instance de la CEDH, la Grande Chambre.
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Quelques frères devant la propriété où il est prévu de construire une Salle du Royaume, à Kryvyï Rih, en Ukraine.


Cela fait plus de 15 ans que les deux assemblées de Kryvyï Rih ont déposé leur première demande de permis de construire pour cette Salle du Royaume. Le 9 août 2004, elles ont acheté un immeuble résidentiel situé sur un terrain géré par la ville. Elles ont ensuite fait une demande de permis de construire valable cinq ans. Le conseil municipal a donné son accord initial le 28 septembre 2005. Et il a rappelé aux Témoins que, pour obtenir l’accord définitif, ils devaient faire valider leur projet de construction par certains organismes publics.
Les plans ont été conçus, validés par tous les organismes publics concernés et soumis au conseil municipal pour accord définitif le 23 août 2006. Bien que dans l’obligation légale de rendre sa décision en l’espace d’un mois, le conseil municipal n’a jamais donné suite à la demande des Témoins. Même après qu’un tribunal régional a confirmé que le conseil municipal avait enfreint la loi, celui-ci a persisté dans son refus de donner l’accord définitif. Les Témoins ont tenté d’autres recours juridiques, mais sans succès. Le 13 avril 2010, ils ont donc porté plainte auprès de la CEDH.
Nous sommes heureux que la CEDH ait statué en faveur de nos frères de Kryvyï Rih. Nous prions pour que cette décision crée un précédent qui permettra à nos frères de construire des lieux de culte dans des pays où leurs libertés sont restreintes (Psaume 118:5-9).
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samuel

samuel
Administrateur

En espérant que l'injonction aura des résultats sur les autorités local.

Josué

Josué
Administrateur

20 NOVEMBRE 2020
UKRAINE
jw.org (fr)

La CEDH se prononce en faveur des Témoins de Jéhovah d’Ukraine

La Cour condamne l’Ukraine pour ne pas avoir puni des actes de haine religieuse

Le 12 novembre 2020, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a émis trois décisions en faveur des Témoins de Jéhovah d’Ukraine dans les affaires suivantes : Zagubnya et Tabachkova c. Ukraine,
Migoryanu et autres c. Ukraine, et Kornilova c. Ukraine. Les requêtes avaient été déposées en 2014 et 2015. Dans chacune des affaires, les forces de l’ordre n’ont pris aucune mesure à la suite des violentes
attaques qu’ont subies des Témoins de Jéhovah. La CEDH a estimé que les autorités ukrainiennes n’avaient pas entièrement protégé les droits de nos frères et elle les a condamnées à verser aux victimes
la somme de 14 700 euros.

Zagubnya et Tabachkova c. Ukraine : Le 20 avril 2009, sœur Zagubnya et sœur Tabachkova prêchaient de porte en porte dans le village de Novi Mlyny. Quand Mykola Lysenko, un prêtre de l’église de la Trinité
(l’église orthodoxe locale) les a aperçues, il les a battues brutalement sur la tête et dans le dos avec un bâton. L’agresseur n’a jamais été puni, même s’il a bel et bien avoué avoir voulu « intimider » les sœurs
et « arrêter leur activité ».

Migoryanu et autres c. Ukraine : Le 5 avril 2012, alors que 21 Témoins de Jéhovah et un certain nombre d’invités étaient réunis pour célébrer le Mémorial du sacrifice de Jésus Christ, une foule emmenée par
M. Greku, le prêtre orthodoxe local du Patriarcat de Moscou, a interrompu la réunion. La foule a crié des obscénités et a menacé les assistants, y compris des enfants et des femmes âgées.

Au fil du temps, ce prêtre et ses complices ont continué d’agresser les Témoins de Jéhovah : ils ont notamment roué de coups des frères, brûlé la voiture d’un autre frère et lancé un cocktail Molotov
dans une maison où dormaient des Témoins. Après ces actes de violence, les victimes ont déposé plusieurs plaintes auprès de la police en fournissant des preuves à l’appui de leurs accusations.
Dans certains cas, les auteurs de ces actes avaient été filmés. Mais la police a refusé de classer ces crimes comme des actes de haine religieuse et a affirmé que les coupables ne pouvaient pas être
identifiés dans les vidéos. Le prêtre et ses acolytes n’ont jamais été punis.

Kornilova c. Ukraine : Le 7 mars 2013, dans la ville de Noviska, sœur Kornilova et sœur Serdiuk étaient occupées à inviter leurs voisins à assister au Mémorial de la mort du Christ. Un homme s’est mis
à crier aux sœurs des obscénités et des insultes à caractère religieux. Il les a ensuite attaquées et a frappé sœur Kornilova au visage si fort qu’elle a subi une commotion cérébrale. Elle a passé 11 jours
à l’hôpital. La police a refusé d’admettre que l’agression était un acte de haine religieuse et a déclaré que notre sœur était victime d’une « animosité personnelle ». Le tribunal a condamné l’agresseur
à payer une amende d’un montant ridicule.


Des représentants de la filiale d’Ukraine ont organisé de nombreuses réunions de conciliation avec les autorités locales, nationales et internationales pour discuter de ces persécutions. Après avoir épuisé
tous les recours à leur disposition, les frères ont commencé à déposer des requêtes auprès de la CEDH en 2014. Fait intéressant, l’année précédente, une montée d’intolérance religieuse avait été signalée
en Ukraine. Dans un rapport de 2013, l’ombudsman, ou médiateur, d’Ukraine avait déclaré : « Quand les autorités négligent les enquêtes sur des actes motivés par la haine religieuse, les auteurs de ces
actes éprouvent un sentiment d’impunité. » De même, dans son rapport de 2013 sur l’Ukraine, le Comité des droits de l’homme de l’ONU avait exprimé sa préoccupation à propos du fait que les crimes de haine,
y compris ceux subis par les Témoins de Jéhovah, sont sanctionnés en Ukraine comme des petits délits. Le Comité avait conclu que le gouvernement ukrainien devrait « intensifier ses efforts pour faire en sorte
que les allégations de crimes de haine fassent l’objet d’enquêtes approfondies, que les responsables soient poursuivis [...] et, s’ils sont reconnus coupables, condamnés à des peines suffisantes, et que les victimes
soient dûment indemnisées ».

Ces dernières années, l’Ukraine a commencé à prendre des mesures pour améliorer la situation. Certes, les Témoins de Jéhovah bénéficient de la liberté de religion dans ce pays.
Mais nous espérons que ces trois décisions prises par la CEDH inciteront les forces de l’ordre en Ukraine et ailleurs à continuer de protéger le droit de nos frères et sœurs à pratiquer leur culte.
Nous attendons avec impatience le moment où Jéhovah, dont les « manières d’agir sont justes », mettra fin à la persécution que subissent ceux qui le servent (Deutéronome 32:4).

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

[size=33]La CEDH statue en faveur de frère Oleksandr Tretiak, battu en raison de sa foi[/size]

Jeudi 17 décembre 2020, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a statué en faveur de frère Oleksandr Tretiak dans l’affaire Tretiak c. Ukraine. Frère Tretiak avait été cruellement battu par trois hommes le 26 novembre 2013 alors qu’il revenait de prédication. La CEDH a déclaré que les autorités ukrainiennes n’avaient pas bien enquêté sur cette agression. Elle a accordé à notre frère 7 500 euros de dommages et intérêts.
Frère Tretiak a été si cruellement battu qu’il a dû passer presqu’un mois à l’hôpital. Les policiers ont laissé passer trois mois avant de se rendre sur le lieu de l’agression. Ils n’ont pas classé l’agression comme un crime de haine religieuse et ils n’ont pas reconnu la gravité des blessures de notre frère. Plus tard, ils ont requalifié cette agression en délit. En plus, ils n’ont mis en examen qu’un seul agresseur, et seulement après qu’il a fui le pays. Les deux autres agresseurs, dont un policier, ont été considérés comme étant de simples témoins de la scène. Personne n’a été condamné. Cette situation ainsi que d’autres erreurs judiciaires ont poussé frère Tretiak à porter l’affaire devant la CEDH.
Dans sa décision, la CEDH a conclu que « les autorités [ukrainiennes] n’avaient pas suffisamment enquêté sur l’agression subie par le requérant », ce qui constitue une violation de la Convention européenne des droits de l’homme.
Nous espérons que cette décision permettra de protéger la liberté de religion de nos frères et sœurs d’Ukraine et d’autres pays. Nous remercions aussi Jéhovah, qui nous accorde la justice (Lamentations 3:59).

Josué

Josué
Administrateur

28 DÉCEMBRE 2020
UKRAINE


[size=33]La CEDH statue en faveur de frère Oleksandr Tretiak, battu en raison de sa foi[/size]

Jeudi 17 décembre 2020, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a statué en faveur de frère Oleksandr Tretiak dans l’affaire Tretiak c. Ukraine. Frère Tretiak avait été cruellement battu par trois hommes le 26 novembre 2013 alors qu’il revenait de prédication. La CEDH a déclaré que les autorités ukrainiennes n’avaient pas bien enquêté sur cette agression. Elle a accordé à notre frère 7 500 euros de dommages et intérêts.
Frère Tretiak a été si cruellement battu qu’il a dû passer presqu’un mois à l’hôpital. Les policiers ont laissé passer trois mois avant de se rendre sur le lieu de l’agression. Ils n’ont pas classé l’agression comme un crime de haine religieuse et ils n’ont pas reconnu la gravité des blessures de notre frère. Plus tard, ils ont requalifié cette agression en délit. En plus, ils n’ont mis en examen qu’un seul agresseur, et seulement après qu’il a fui le pays. Les deux autres agresseurs, dont un policier, ont été considérés comme étant de simples témoins de la scène. Personne n’a été condamné. Cette situation ainsi que d’autres erreurs judiciaires ont poussé frère Tretiak à porter l’affaire devant la CEDH.
Dans sa décision, la CEDH a conclu que « les autorités [ukrainiennes] n’avaient pas suffisamment enquêté sur l’agression subie par le requérant », ce qui constitue une violation de la Convention européenne des droits de l’homme.
Nous espérons que cette décision permettra de protéger la liberté de religion de nos frères et sœurs d’Ukraine et d’autres pays. Nous remercions aussi Jéhovah, qui nous accorde la justice (Lamentations 3:59).

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