Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le Deal du moment :
TCL C74 Series 55C743 – TV 55” 4K QLED 144 ...
Voir le deal
499 €
Le Deal du moment : -34%
-34% LG OLED55B3 – TV OLED 4K 55″ 2023 ...
Voir le deal
919 €

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Abeilles zombies:

+2
chico.
Josué
6 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

1Abeilles zombies: Empty Abeilles zombies: Mer 4 Jan - 18:32

Josué

Josué
Administrateur

Abeilles zombies: un parasite de mouche sur le banc des accusés
BIODIVERSITE - Un nouveau suspect dans le phénomène de disparition des abeilles...

Des chercheurs ont détecté un parasite de mouche qui conduit les abeilles domestiques à quitter leur ruche, les désoriente et provoque leur mort, selon une recherche publiée mardi. Ce nouveau problème a été observé pour la première fois sur le campus de l'Université d'Etat de San Francisco. Selon ces entomologistes, ce parasite pourrait aider à avancer dans les recherches pour déterminer la ou les causes de la disparition massive des abeilles, appelé en anglais «colony collapse disorder» ou CCD.

Ce phénomène mystérieux apparu en 2006 a décimé les populations d'abeilles domestiques aux Etats-Unis qui jouent un rôle essentiel pour préserver les récoltes qui en dépendent pour leur pollinisation. Ces productions, surtout les fruits et certains légumes, représentant des ventes de 15 milliards de dollars par an et comptent pour un tiers de l'alimentation humaine.

Un parasite en pleine émergence?

Jusqu'à présent, ce parasite de la mouche Apocephalus borealis, n'a été trouvé que dans des abeilles domestiques en Californie et dans le Dakota du Sud, précise John Hafernik, professeur de biologie à l'Université d'Etat de San Francisco, un des auteurs de cette communication parue dans la revue PLoS ONE datée du 3 janvier. Mais ajoute ce chercheur, le risque qu'il s'agisse d'un parasite en pleine émergence «pourrait menacer des ruches sur l'ensemble de l'Amérique du Nord surtout en raison du grand nombre d'Etats que traversent les apiculteurs professionnels avec leur ruches pour aller polliniser les récoltes».

L'infestation d'une ruche commence quand une mouche dépose ses oeufs dans l'abdomen d'une abeille. Une fois infectées par ces parasites, les abeilles abandonnent leurs ruches pour se rassembler près de sources de lumière. «Nous avons observé que les abeilles infectées tournaient en rond, sans aucun sens de l'orientation», explique Andrew Core, un chercheur de l'Université d'Etat de San Francisco, principal auteur de cette communication.

© 2012 AFP

2Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Ven 6 Jan - 10:15

chico.

chico.

Il en a été question aux informations de se problème.

3Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Dim 8 Jan - 10:49

Invité


Invité

Merci Josué. Tout se dégrade.

4Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Lun 9 Jan - 13:16

chico.

chico.

pschitt a écrit:Merci Josué. Tout se dégrade.
tout fou le camp.

Josué

Josué
Administrateur


Les abeilles déboussolées par un pesticide courant
Le Point.fr - Publié le 30/03/2012 à 07:14 - Modifié le 30/03/2012 à 13:05
Deux études scientifiques apportent des réponses sur les causes du déclin des insectes pollinisateurs. Le Cruiser OSR est mis en cause.




Paris envisage d'interdire le Cruiser OSR
Les apiculteurs veulent une interdiction rapide
Syngenta conteste les conclusions de l'étude
À ne pas manquer

Par Raphaël Beaugrand et Jacques Duplessy
Un pesticide très utilisé dans le monde depuis les années 1990 est nuisible aux bourdons et aux abeilles, des pollinisateurs de cultures importantes pour l'alimentation humaine, révèlent deux études - française et britannique - publiées dans la revue américaine Science datée du 30 mars. Ces insectes connaissent depuis quelques années une importante dépopulation, notamment en Europe et aux États-Unis, et les entomologistes avancent différentes hypothèses, dont celle des pesticides, pour expliquer le phénomène.

L'équipe française, menée par Mickaël Henry de l'Institut national pour la recherche agronomique (Inra) à Avignon, a placé une puce électronique sur des abeilles afin de suivre leurs allées et venues. Elle a ensuite donné à certaines d'entre elles une dose de thiamethoxam (famille des néonicotinoïde) et constaté qu'elles avaient du mal à retrouver leur ruche - le pesticide interférant avec leur système cérébral de géolocalisation -, ce qui a entraîné la mort d'un grand nombre d'entre elles.

Une fois cette mortalité prise en compte, un modèle mathématique a prédit que les populations d'abeilles exposées au pesticide chutaient à un niveau ne permettant plus leur rétablissement.

Moins de reines, moins de colonies

Dans le cadre de la recherche britannique, menée par Penelope Whitehorn de l'université de Stirling, des colonies de jeunes bourdons ont été exposées à de faibles taux d'un pesticide néonicotinoïde appelé imidaclopride. Ces doses étaient comparables à celles auxquelles elles sont exposées dans la nature. Les chercheurs ont placé les colonies dans un terrain clos où les bourdons ont pu s'alimenter pendant six semaines dans des conditions normales. Au début et à la fin de l'expérience, les nids ont été pesés. Les chercheurs ont constaté que les colonies exposées à l'imidaclopride avaient pris moins de poids comparé aux colonies de contrôle, laissant penser que ces bourdons s'étaient moins nourris.

À la fin de l'expérience, ces colonies étaient de huit à douze pour cent plus petites en moyenne que celles non exposées au pesticide et avaient produit 85 % de reines en moins, soit autant de colonies de moins l'année suivante.

6Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Lun 2 Avr - 16:13

samuel

samuel
Administrateur

sans les abeilles plus de plante = plus de vie.

7Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Sam 21 Avr - 15:39

Josué

Josué
Administrateur

le pesticide coupable à été trouvé c'est le Cruiser.il devrait être retiré prochainement.

8Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Lun 11 Juin - 14:53

Josué

Josué
Administrateur

[img]Abeilles zombies: 803527pic970x641780129 [/img]

9Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Dim 30 Sep - 16:58

Josué

Josué
Administrateur

Abeilles zombies: Abeill10

10Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Dim 7 Oct - 15:12

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

plus d'abeille plus de vie .

11Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Mer 11 Fév - 18:53

samuel

samuel
Administrateur

Les insecticides ou parasites qui affectent les abeilles adultes forcent les plus jeunes à aller butiner trop précocement, ce qui provoque la mort d'un grand nombre d'entre elles. Ce serait un facteur majeur de la disparition soudaine des populations des ruches.
Selon de nouveaux travaux sur ce phénomène encore mystérieux, le fait que les jeunes abeilles soient obligées d'aller butiner de manière trop précoce pour pallier l'insuffisance du nombre d'insectes adultes pourrait entraîner un effondrement de la structure sociale des ruches, expliquent les chercheurs.
Leur étude paraît lundi dans les Comptes rendus de l'académie américaine des sciences (PNAS) datés du 9 au 13 février.
Morts prématurées
De précédentes recherches avaient déjà montré que de telles situations, avec des insectes adultes victimes d'insecticides ou de parasites, contraignaient les jeunes abeilles à aller butiner plus tôt que la normale. Cette nouvelle étude visait à en déterminer les effets physiologiques sur ces insectes et les conséquences sur les colonies.
Normalement, les abeilles commencent à butiner à deux ou trois semaines. Mais quand les ruches sont affaiblies par des maladies, un manque de nourriture ou d'autres facteurs qui tuent les abeilles adultes, les jeunes doivent prendre le relais plus tôt.
Ces chercheurs ont attaché des émetteurs-radio qui ont permis de suivre les mouvements de milliers d'abeilles durant toute leur vie. Ils ont constaté que celles commençant à butiner très jeunes mouraient plus souvent que les autres lors de leurs premiers vols hors de la ruche.
Equilibre compromis
«Le fait que les jeunes abeilles quittent la ruche plus tôt pour aller chercher du nectar et du pollen est probablement une adaptation à la réduction du nombre d'abeilles butineuses plus vieilles.
Et si le taux de mortalité accru persiste trop longtemps, l'équilibre de la population de la ruche peut être compromis avec une accélération du nombre d'abeilles qui périssent et ce avec des conséquences catastrophiques», explique Clint Perry, de la faculté de biologie et de chimie de l'Université Queen Mary à Londres, l'un des principaux co-auteurs de cette étude.
«Nos résultats, basés sur un modèle mathématique, suggèrent que de traquer l'âge des abeilles quand elles commencent à butiner pourrait être un bon indicateur de la santé de toute la ruche», ajoute-t-il.
Selon ce scientifique, «ces travaux apportent un éclairage sur les raisons de l'effondrement soudain de certaines colonies d'abeilles, ce qui pourrait aider dans la recherche de moyens pour empêcher ce phénomène», ajoute-t-il.
Cultures dépendantes des pollinisateurs
Le syndrome d'effondrement soudain des colonies frappe depuis le début des années 2000 de nombreuses ruches surtout en Europe et aux Etats-Unis, avec dans ce pays des pertes de populations de 30% à 90%.
Les abeilles domestiques et sauvages ainsi que les autres pollinisateurs, qui permettent d'assurer la reproduction de 70 à 80% des plantes à fleurs, sont essentiels pour l'alimentation humaine.
Plus de 70% des cultures, dont quasiment tous les fruits, légumes, oléagineux et protéagineux, épices, café et cacao, en dépendent très fortement.

12Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Lun 23 Fév - 18:19

Josué

Josué
Administrateur

Abeilles zombies: Abeill13

13Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Ven 13 Mar - 11:37

Josué

Josué
Administrateur

En ouvrant les ruches après l'hiver, certains apiculteurs de la moitié sud de la France ont eu une très mauvaise surprise. Lydie, apicultrice à côté de Montauban (Tarn-et-Garonne), fait part de son désarroi à francetv info. "On a perdu 70% du cheptel. On n'a pas touché aux ruches durant tout l'hiver. Là, on vient de découvrir que certaines étaient désertes, et dans d'autres, les abeilles sont mortes à l'intérieur alors qu'elles avaient encore de la nourriture !" Selon les apiculteurs, le taux de mortalité habituel se situe plutôt aux alentours de 5%.

Même constat pour Marie-Paule Douat, présidente de la Fédération apicole de Charente-Maritime. "C'est affolant. J'ai eu un appel hier, l'apiculteur était en pleurs. Sur neuf colonies, il lui en reste deux vivantes. Un autre a perdu 500 ruches sur les 2 000 qu'il possédait."

L'Unaf, l'union nationale d'apiculture, confirme : "On a entendu parler de l'intoxication de certaines ruches, en particulier en Aquitaine. Pour l'instant, la saison n'a démarré que dans le Sud, parce que le printemps y est plus précoce, mais on en est au tout début. On ne connaît pas encore l'ampleur du phénomène."

"A cause des pesticides, un milieu pollué tout le temps"
Si de nombreux apiculteurs n'ont aucune explication, pour Marie-Paule Douat, le constat est clair : "Les abeilles ne meurent pas de faim puisqu'elles ont encore de quoi manger dans les ruches. Elles meurent empoisonnées." En cause, les pesticides utilisés dans les cultures industrielles, qui contaminent le pollen. "Les abeilles font des provisions qu'elles consomment tout l'hiver, et c'est comme cela qu'elles s'empoisonnent petit à petit."

Affectés par les pesticides, ces insectes perdent le sens de l'orientation, ne retrouvent plus la ruche et se fatiguent, comme l'ont déjà prouvé plusieurs études. Pour celles qui parviennent à la ruche, la partie n'est pas gagnée. "Le problème, c'est que les pesticides s'accrochent particulièrement au gras, et donc à la cire de l'abeille, qui constitue son habitat, explique Danielle, apicultrice en Charente-Maritime depuis plus de quarante ans. Elle vit donc dans un milieu pollué tout le temps."

"Si la colonie est affaiblie par intoxication, elle n'en est que plus vulnérable aux parasites, aux virus... et ainsi, toutes les pathologies opportunistes peuvent s'installer", affirmait dès 2009, à Sciences et Avenir, Jean-Marc Bonmatin, chargé de recherche au CNRS, spécialiste des neurotoxiques chez les insectes.

"2014, la production de miel la plus faible de notre histoire"
Le phénomène ne date donc pas de cette année. "Pour nous, ça a commencé il y a une vingtaine d'années, avec l'apparition des pesticides néonicotinoïdes, se souvient Danielle. Aujourd'hui, on produit deux fois moins de miel qu'avant cette période." Selon l'Unaf, la production entre 1995 et 2014 est passée de 32 000 à 10 000 tonnes. Le syndicat souligne que l'année dernière, "la production nationale a été la plus faible de notre histoire".

Si la mortalité des abeilles semble si élevée en 2015, Danielle et son mari pensent que c'est à cause des conditions climatiques, qui ont poussé les agriculteurs à traiter très tardivement leurs cultures.

"Est-ce à cause du traitement sur les vignes ou sur le blé d'hiver, s'interroge Marie-Paule Douat. Il faudrait faire des analyses mais ça coûte très cher. Je suis actuellement en train de faire un bilan sur le département, mais c'est aux politiques de prendre ça en main." Pour toute la filière apicole, c'est l'heure du bilan.

Pour vérifier le lien qu'ils établissent entre pesticides et mortalité, Danielle et son mari ont installé des ruchers d'expérimentation à différents endroits du département. Un à côté de La Rochelle, un perdu dans la campagne, à côté des champs, un autre dans le sud, une zone plus sauvage. Résultat : "Une aberration ! Les abeilles en milieu urbain se portent beaucoup mieux que celles à la campagne. Là-bas, nous n'arrivons pas à garder nos colonies, elles meurent. Dans le sud, elles sont en excellente santé."

"Beaucoup de paramètres peuvent éradiquer une colonie"
Les disparités sur le territoire sont notables : tous les apiculteurs contactés par francetv info ne dressent pas le même constat. "Chez moi, il n'y a pas plus de mortalité que les autres années", remarque Jean-Marie, apiculteur en Charente.

"Il y a tellement de paramètres qui peuvent faire disparaître une colonie", soupire Luc, passionné depuis 40 ans et très actif. Lui élève des abeilles locales, et pratique une apiculture raisonnée, "dégagée des contraintes de rendement à tout prix", comme Danielle et son mari. Il pointe du doigt les pratiques de certains professionnels qui ont développé une apiculture intensive. "Nourissement intensif pour stimuler la ponte, traitement des colonies avec des produits non homologués parce que moins chers...", énumère Luc.

"Certains apiculteurs achètent des reines productivistes qui font beaucoup d'abeilles et sont présentes dès les premières floraisons", témoigne Danielle. Des reines fabriquées artificiellement à partir de caractéristiques de différentes races, explique-t-elle. Ces nouvelles reines sont mal adaptées à notre environnement et plus fragiles.

Luc critique aussi les "amateurs sans expérience". "L'apiculture, même de loisir, ne peut plus se pratiquer comme autrefois", en laissant la ruche vivre d'elle-même. "Elle nécessite suivi et connaissances." "Les amateurs ne s'informent pas suffisamment, confirme Danielle. Parfois, ils perdent beaucoup d'abeilles et ne savent pas pourquoi."

14Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Dim 3 Avr - 22:50

Josué

Josué
Administrateur


Actuellement, plusieurs dizaines d’espèces d’animaux sont en voie de disparition, c’est-à-dire que ces animaux sont de moins en moins nombreux et que si l’on ne fait rien, dans quelques années, ils auront disparu de la surface de la Terre !

Voyons d’abord quelles sont les espèces menacées :

Sur tous les continents, il y a des animaux qui disparaissent petit à petit. Il s’agit pour la plupart d’espèces que nous connaissons tous, mais il y en a aussi des plus rares !

Voici une liste (malheureusement trop longue) pour vous donner une idée, des principaux animaux qui sont actuellement en voie de disparition :
http://www.aidemoi.net/animaux_en_danger.html

15Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Dim 29 Mai - 13:45

Josué

Josué
Administrateur

Insecticides «anti-abeilles», le gouvernement et les députés en désaccord
Emmanuelle Réju, le 27/05/2016 à 16h29 Envoyer par email
Les députés souhaitent une interdiction totale des insecticides toxiques pour les abeilles au 1er septembre 2018. La position du gouvernement est plus nuancée.
Qui aura le dernier mot ? Après avoir divisé le sénat et l’Assemblée nationale, l’interdiction des néonicotinoïdes risque d’opposer le gouvernement et les députés, à l’occasion du réexamen du texte à l’Assemblée nationale prévue courant juin.

On en sera alors à la troisième lecture du texte, députés et sénateurs n’ayant pas réussi à se mettre d’accord en commission mixte paritaire le 25 mai. Sur la question précise des néonicotinoïdes – ces insecticides utilisés en agriculture et qui perturbent les abeilles –, l’assemblée nationale avait adopté en deuxième lecture le principe d’une interdiction générale à compter du 1er septembre 2018. Les sénateurs s’étaient pour leur part refusés à fixer une date limite pour une telle interdiction, ce qui la rendait de facto très théorique.

La position variable du gouvernement

Le ministère de l’écologie n’était pas à l’initiative de cette disposition du texte visant les néonicotinoïdes, qui a été introduite par voie d’amendement par des députés socialistes et écologistes. La position du gouvernement a varié tout au long des débats, marqués notamment par la démarche du ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll, qui a demandé aux députés de ne pas voter une interdiction générale et rapide de cette famille d’insecticides.

Une interdiction par étapes

Un amendement gouvernemental précise désormais la position du gouvernement à ce sujet. Très progressif, il prévoit une interdiction en plusieurs étapes. Au plus tard le 1er juillet 2018, l’usage des néonicotinoïdes sera interdit dans les cas où existent des alternatives (méthodes de culture ou produits) « dont le bilan bénéfice-risque » est jugé meilleur. C’est l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) qui aura la lourde tâche de procéder à cette évaluation qui s’annonce délicate.

> À lire : Des abeilles et des hommes

À partir du 1er juillet 2018, de nouvelles interdictions pourront être prononcées, dès que l’Anses aura eu connaissance d’une solution de substitution plus satisfaisante. L’interdiction généralisée n’interviendra, selon cet amendement, qu’au 1er juillet 2020.

Un vote incertain

Le mercredi 25 mai, le président de la commission du développement durable de l’assemblée nationale, Jean-Paul Chanteguet, a réaffirmé qu’il était, à titre personnel, favorable à une interdiction dès le 1er septembre 2018, telle que votée en deuxième lecture par les députés. La commission mixte paritaire ayant échoué, c’est l’assemblée nationale qui aura le dernier mot sur le texte. Mais rien ne dit que les députés confirmeront leur vote lors de la 3e lecture du texte, se démarquant ainsi de la position du gouvernement. « La dernière fois, l’amendement n’est passé qu’à deux voix près », rappelle la rapporteure du texte Geneviève Gaillard (PS).

Réponse courant juin

« Si les 214 députés qui ont signé en 2015 la pétition sur l’interdiction totale des néonicotinoïdes sont présents en séance et confirment leur vote, cela pourrait passer largement », a lancé Jean-Paul Chanteguet le 25 mai dernier. Réponse dans le courant du mois de juin, la date précise pour le nouvel examen du texte en séance n’ayant pas encore éhttp://www.la-croix.com/France/Politique/Insecticides-anti-abeilles-le-gouvernement-et-les-deputes-en-desaccord-2016-05-27-1200763398?utm_source=Newsletter&utm_medium=e-mail&utm_campaign=welcome_media&utm_content=2016-05-29té fixée.

16Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Dim 29 Mai - 14:46

chico.

chico.

Le loby des producteurs et derrière cela.

17Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Jeu 23 Juin - 8:25

Josué

Josué
Administrateur

Les députés interdisent des insecticides considérés comme tueurs d'abeilles
Les insecticides de la famille des néonicotinoïdes devraient être interdits à partir de septembre 2018, mais avec des dérogations possibles jusqu'en 2020.
Au terme d'un débat de deux heures, les députés ont interdit, mercredi 22 juin, les insecticides de la famille des néonicotinoïdes, utilisés dans l'agriculture et considérés comme tueurs d'abeilles, à partir de septembre 2018, mais avec des dérogations possibles jusqu'en 2020, selon un amendement voté au projet de loi Biodiversité en troisième lecture.

36 députés ont approuvé cette date de 2018 avec dérogations contre 31 qui militaient pour une interdiction seulement en 2020. Le texte doit encore faire l'objet d'une navette avec le Sénat avant un ultime vote en juillet de l'Assemblée, qui a le dernier mot.

Des dérogations possibles

Cet amendement de la rapporteure Geneviève Gaillard (PS) maintient le principe d'une interdiction à compter du 1er septembre 2018, comme l'avait décidé l'Assemblée en seconde lecture. Mais il prévoit "que des dérogations à cette interdiction pourront être prises par un arrêté conjoint des ministres chargés de l'agriculture, de l'environnement et de la santé. Ces dérogations pourront être accordées jusqu'au 1er juillet 2020."

Les ministres chargés de définir ces dérogations pourront s'appuyer sur le travail de l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) qui "établira un bilan comparant les bénéfices et les risques" des néonicotinoïdes et des produits ou méthodes de substitution disponibles.

Une pétition à l'origine du texte

Une pétition ayant recueilli plus de 600 000 signatures pour demander l'interdiction des néonicotinoïdes, qui font l'objet d'un moratoire partiel en Europe depuis fin 2013, avait été remise le 16 juin par des ONG à Ségolène Royal alors que le gouvernement était divisé sur cette question entre ministères de l'Agriculture et de l'Environnement.

Depuis le milieu des années 1990, chaque année, 30% des colonies d'abeilles meurent. Avant 1995, date de l'apparition des néonicotinoïdes sur le marché français, "les mortalités avoisinaient seulement les 5%", selon ces ONG.

18Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Jeu 23 Juin - 10:15

chico.

chico.

D'ici 2020 beaucoup d'Abeilles seront décimée.

19Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Lun 29 Mai - 19:45

Josué

Josué
Administrateur

La France exporte un pesticide interdit vers les pays en développement
L’atrazine, herbicide puissant fabriqué par Syngenta, a été banni en Europe en 2004 car il polluait les nappes phréatiques.

Le Monde | 29.05.2017 à 06h36 • Mis à jour le 29.05.2017 à 11h21 |
Depuis le mois de janvier, la France a autorisé l’exportation de sept cargaisons d’atrazine vers la Chine, la Suisse, le Pakistan, le Soudan, l’Ukraine et l’Azerbaïdjan, selon les données de l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA). La quantité de produit exporté n’est pas publique. Mais cet herbicide, fabriqué majoritairement par la firme suisse Syngenta, est interdit en France depuis 2001 et en Europe depuis 2004 car il polluait les nappes phréatiques.

L’ONG helvétique Public Eye vient de lancer une campagne contre ces exportations, particulièrement celles à destination des Etats signataires de la convention de Bamako, qui applique en Afrique la convention de Bâle sur le transport des déchets dangereux. Ces pays en développement considèrent qu’ils ne devraient pas recevoir un produit si celui-ci est interdit dans son pays d’origine en raison de sa toxicité.

Depuis 2004, la France a autorisé 142 exportations d’atrazine au total, dont 33 vers des pays africains signataires de cette convention : le Soudan, le Mali, le Burkina Faso, l’Ethiopie, le Bénin et la Côte d’Ivoire. « Ces exportations constituent à nos yeux une violation de la convention de Bâle, estime Laurent Gaberell, spécialiste du dossier au sein de Public Eye. La France aurait dû interdire ces exportations. »

Sur le site de l’ECHA, le ministère de l’environnement est mentionné comme responsable de ces autorisations. Celui-ci n’a pas répondu aux questions du Monde. « Nous pointons du doigt la responsabilité des Etats qui permettent l’exportation de pesticides interdits, estime Laurent Gaberell. Mais les entreprises ont aussi un devoir de diligence. » La convention de Bâle ne prévoit pas de sanctions à l’égard des pays membres qui ne respectent pas leurs engagements, mais les soutient afin qu’ils modifient leurs pratiques.

« Très toxique »
La France n’est pas le seul Etat mis en cause par l’ONG helvétique. L’Italie
http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/05/29/la-france-exporte-un-pesticide-interdit-vers-les-pays-en-developpement_5135195_3244.html

20Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Dim 20 Mai - 11:06

chico.

chico.

[size=36]Heureux comme une abeille en Slovénie [/size]




Par Bojan KAVCIC
Il y a 19 heures 
Décorer les ruches, placer les abeilles locales sous protection du gouvernement et même, s'endormir à leurs côtés, les apiculteurs slovènes se mettent en quatre pour bichonner leurs butineuses, considérées depuis des siècles comme un trésor national.
Abeilles zombies: AAxuH2K© Fournis par AFP Des abeilles reviennent à leur ruche à Pernica en Slovénie, le 7 mai 2018
Leur dernière victoire: le 20 mai a été déclaré, sur initiative slovène, "journée mondiale des abeilles et des pollinisateurs" par les Nations Unies. La première édition de cette manifestation a lieu dimanche, avec l'objectif de sensibiliser le grand public à la cause des abeilles, touchées par une mortalité spectaculaire ces dernières années.

Consécration supplémentaire pour les apiculteurs slovènes, le 20 mai a été choisi en hommage à leur compatriote Anton Jansa (1734-1773), dont c'est la date de naissance. Considéré comme le père de l'apiculture moderne, ce fils de paysan fut le premier professeur d'apiculture de la cour d'Autriche, à l'époque où la Slovénie était une province de l'empire des Habsbourg.

Les héritiers de Jansa se comptent par milliers en Slovénie, l'un des plus petits pays de l'UE mais aussi celui qui compte le plus grand nombre d'apiculteurs rapporté à sa population, avec près de 5 propriétaires de ruches pour 1.000 habitants. C'est dix fois plus qu'en Espagne, premier producteur européen de miel.
Abeilles zombies: AAxuA2V© Fournis par AFP Des ruchers multicolores à Pernica en Slovénie, le 7 mai 2018
La production slovène de miel, de 1.298 tonnes en 2016, reste anecdotique au regard des quelque 250.000 tonnes produites en Europe mais là n'est pas l'essentiel, affirme Karl Vogrincic, apiculteur à Mocna (nord-est).

- "Ruchers-cabanes" -

"L'apiculture, ce n'est pas une question de business, ni de quantité de miel", affirme ce solide sexagénaire piqué d'abeilles depuis l'enfance. "C'est une addiction: quand vous vous levez, vous allez tout de suite voir vos ruches et vous ne savez pas pourquoi."

"Quand vous commencez à observer les abeilles, c'est comme une addiction", fait écho Bostjan Noc, patron de l'association des apiculteurs slovènes. "Je ne connais aucun apiculteur qui ait pu arrêter."
Abeilles zombies: AAxuCAb© Fournis par AFP Des ruches en Slovénie, le 7 mai 2018
Les professionnels slovènes aiment présenter leur savoir-faire comme un "style de vie" ancré dans la culture populaire. "L'apiculture est dans nos gênes", résume Bostjan Noc.

Elle est aussi ancrée dans le paysage de cette nation de deux millions d'habitants, à la nature préservée, où les ruches font partie du décor et dessinent un patchwork de taches colorées dans les jardins, les champs, les forêts et désormais en ville.

Car les ruchers slovènes traditionnels ont la particularité de se présenter sous la forme de petites maisons multicolores ou de grandes commodes rectangulaires, qui empilent les cadres de bois comme des tiroirs, sous un toit destiné à les protéger.

Il y a encore plus spectaculaire: l'âge d'or de l'apiculture slovène, aux 18e et 19e siècles, a fait naître un art de la peinture sur les frontons des ruches qui a produit des milliers de tableaux naïfs, dont beaucoup continuent d'être entretenus et restaurés. Cet art populaire représente des épisodes bibliques ou historiques, des événements de la vie quotidienne, comme cette paysanne ramenant à la maison un mari passant trop de temps au café.

- Export de reines -

21Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Mer 30 Mai - 17:29

Josué

Josué
Administrateur

[size=36]Protéger les abeilles en quelques gestes quotidiens [/size]




Aurélie Delmas 
 Abeilles zombies: AAxPmxu  ©️ HOLGER HOLLEMANN Une abeille pleine de pollen à Hannovre le 3 mai 2018.

La grande menace qui plane sur les populations des abeilles (et par ricochet une large partie de la biodiversité) est déjà largement documentée. On vous explique comment ne pas aggraver la situation.



Retrouvez régulièrement dans la chronique «Terre d’actions» l’actualité des initiatives écolos en France et dans le monde.
 Abeilles zombies: AAxP1qo  ©️ Fournis par Libération
Elles s’appellent Apis mellifera, xylocope, ou andrène… et ont de nombreux ennemis. Tout au long de cette chronique (puis après) vous êtes invité à vous mettre dans la peau du meilleur allié des abeilles, si précieuses pour le maintien de la biodiversité grâce à la pollinisation, et gravement menacées par les pesticides qu’elles ingèrent.


Plantez des fleurs



Première étape : il est indispensable de changer ses mauvaises habitudes en renonçant aux traitements chimiques de type pesticides, insecticides ou désherbants dans les jardins et sur les balconnières. Car «les abeilles sont particulièrement sensibles à ces produits, elles seront beaucoup plus rapidement tuées que les ravageurs visés», précise Bernard Vaissière, chercheur spécialiste de la pollinisation et l'écologie des abeilles à l’Inra d’Avignon. Et si le besoin d'épandre un insecticide est pressant, il vaut mieux le faire lorsque les plantes ne sont pas en fleurs, ou le soir, lorsque les abeilles sont moins actives.

Pour bien faire, prêtez aussi attention à ce que vous plantez ou semez : certaines espèces sont dites «mellifères» ou «nectarifères». «Soyons clairs, il y a plus de mille espèces d'abeilles en France. Les plus petites mesurent quelques millimètres et les plus grosses trois centimètres», précise Bernard Vaissière. Et tout le monde ne mange pas la même chose. En règle générale, disons que les abeilles apprécient la diversité et pas forcément les variétés horticoles modifiées pour leur aspect : myosotis, aubépine, bruyère, chèvrefeuille, clématite, bleuets, lavande, rhododendron, carotte, tournesol ou coquelicot… Quant aux aromatiques comme la sauge, le basilic, le thym, la menthe ou le romarin, il ne faut pas oublier de les laisser fleurir ! (Une liste plus complète de la flore mellifère est par exemple disponible sur le site du ministère de l’Agriculture.)

Dans les gazons, laissez-donc les pissenlits et autres trèfles blancs, riches en nectar et en pollens. «Le mieux est même de laisser un mètre carré en friche, car cela va devenir un petit refuge de biodiversité. Et si tout le monde le faisait, ça changerait la donne», ajoute Bernard Vaissière.


Invitez les abeilles à l'hôtel



Une fois que vous aurez attiré les abeilles, le défi sera de bien les accueillir : en installant un petit point d’eau peu profond ou recouvert d'un tissus mouillé comme une serpillère – pour que les insectes ne se noient pas – voire un «hôtel», à l'aide de rondins de bois ornés de trous de différents diamètres ou même de petits fagots de roseaux qui constituent des abris utiles. Autre réflexe à adopter : ne pas détruire les essaims mais les laisser en place, les butineuses devraient se trouver un nid plus douillet en un ou deux jours. Au besoin il est possible de contacter au plus tôt un apiculteur de votre région qui viendra peut-être le récupérer.

Enfin, vous pouvez aussi utiliser votre porte-monnaie en consommant du miel local. Depuis 2011, il existe aussi un label européen (Beefriendly) pour identifier les produits respectueux des pollinisateurs, notamment dans le domaine viticole, les fruits et légumes ou les produits laitiers.

Nul doute que ces petits gestes ne sont pas si anodins : «même dans des zones très urbanisées on a pu trouver des centaines d'espèces d'abeilles. La chaleur, les ressources, les fleurs et la réduction des produits chimiques contribuent bel et bien à la survie des populations d'abeilles. On peut avoir des espèces rares dans un jardin ou une zone urbanisée, il faut juste laisser la nature reprendre ses droits», encourage Bernard Vaissière. Si besoin d’une petite piqûre de rappel : selon l’ONU, 40% des pollinisateurs invertébrés – abeilles et papillons en particulier – sont menacés d’extinction à l’échelle mondiale.

22Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Dim 10 Juin - 19:16

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Les agriculteurs peuvent louer des abeilles pour polliniser les vergers[/size]

  • Par  Abeilles zombies: Svg+xml;base64,<?xml version="1.0" encoding="UTF-8" standalone="no"?>
<svg width="14px" height="14px" viewBox="0 0 14 14" version="1.1" xmlns="http://www.w3.org/2000/svg" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink">
    <!-- Generator: sketchtool 3.8.1 (29687) - http://www.bohemiancoding.com/sketch -->
    <title>9BA324DB-27A2-48A7-A016-AAC8D469325A</title>
    <desc>Created with sketchtool.</desc>
    <defs></defs>
    <g id="Article" stroke="none" stroke-width="1" fill="none" fill-rule="evenodd">
        <g id="ARTICLE" transform="translate(-230.000000, -490.000000)">
            <g id="auteur" transform="translate(230.000000, 488.000000)">
                <g id="icon-mini-figaro" transform="translate(0.000000, 2.000000)">
                    <g id="fplume">
                        <path d="M14,11.8996 C14,13.0595725 13.0592968,14 11.899576,14 L2.09994401,14 C0.940543258,14 0,13.0595725 0,11.8996 L0,0 L11.899576,0 C13.0592968,0 14,0.940267459 14,2.10024003 L14,11.8996" id="Fill-1" fill="#3775CA"></path>
                        <path d="M8.98235294,9 L8.96698292,8.99192957 C8.96375712,8.98826119 8.6540797,8.6334067 8.00910816,8.05918317 L8,8.02567865 L8.02144213,8.00440205 L8.12125237,8 L8.13529412,8.00538029 C8.48235294,8.31548056 8.64516129,8.51504035 8.87001898,8.79139154 C8.91081594,8.84030325 8.95294118,8.89214967 8.99867173,8.94741991 L9,8.98972854 L8.98235294,9 M8.62590975,8 L8,8 L8,8.29698734 C8.40101892,8.47364668 8.59505095,8.61857508 8.59679767,8.62000119 C8.60232897,8.62374473 9.24949054,9.04248618 9.78020378,9.63806524 C9.97016012,9.85073385 10.1053857,9.98336205 10.2247453,10.1004813 C10.4334789,10.3051281 10.6148472,10.4826787 11,11 C10.6812227,10.4775091 10.2355167,9.91134351 9.56870451,9.17547091 C9.26200873,8.8365916 8.91979622,8.41036306 8.62590975,8" id="Fill-2" fill="#999999"></path>
                        <path d="M10.6843328,9.55518041 C10.116149,9.08335013 9.40411254,8.48105221 8.93555881,8.00650071 L8.91938398,8 L8.77828444,8 L8.75918438,8.01103608 L8.76245376,8.03099174 C9.11640712,8.38777464 9.533167,8.76133844 9.90570421,9.05659141 C10.6939689,9.68065914 11.2208552,10.1608043 11.5976942,10.6039105 C11.1423901,10.1651885 10.9279876,10.014614 10.6812355,9.84106027 C10.5401359,9.74173554 10.3802805,9.62925821 10.1557257,9.44890143 C9.52834896,8.94381173 8.76331412,8.5886918 8.75677536,8.58551703 C8.75453842,8.5843076 8.51793857,8.45746825 8.02839198,8.30432373 L8.0087757,8.30689377 L8,8.32216287 L8,8.52126587 L8.01376581,8.53895384 C8.66299578,8.74485991 8.96240213,8.89377142 8.96532737,8.89528321 C8.97479136,8.89981858 9.93650521,9.37996372 10.637357,9.9716791 C11.2284264,10.4716287 11.3734836,10.6092018 11.5312742,10.7643116 C11.5431472,10.7715682 11.8291319,10.9467849 11.9722963,10.9986394 L11.9803837,11 L11.995354,10.9947087 L12,10.9742995 C11.997591,10.9693106 11.7391379,10.4299032 10.6843328,9.55518041" id="Fill-3" fill="#999999"></path>
                        <path d="M8.12125237,8 L8.02144213,8.00440205 L8,8.02567865 L8.00910816,8.05918317 C8.6540797,8.6334067 8.96375712,8.98826119 8.96698292,8.99192957 L8.98235294,9 L9,8.98972854 L8.99867173,8.94741991 C8.95294118,8.89214967 8.91081594,8.84030325 8.87001898,8.79139154 C8.64516129,8.51504035 8.48235294,8.31548056 8.13529412,8.00538029 L8.12125237,8" id="Fill-4" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,4 L12,4 L12,6.24902942 L10.0433531,6.24902942 L10.0433531,5.86683423 C10.0433531,5.66324813 9.90872142,5.49060838 9.6084674,5.49060838 L7.83657917,5.49060838 L7.83657917,6.75312493 L9.47705334,6.75312493 L9.47705334,8.11052265 L7.83657917,8.11052265 L7.83657917,9.12248379 C7.83657917,9.40100088 7.96629975,9.51567514 8.35800169,9.51567514 L8.97933954,9.51567514 L8.97933954,11 L4,11 L4,9.51567514 L4.65842506,9.51567514 C4.84843353,9.51567514 4.98154107,9.39644532 4.98154107,9.22019255 L4.98154107,5.85678059 C4.98154107,5.6453401 4.94360711,5.49060838 4.62980525,5.49060838 L4,5.49060838 L4,4" id="Fill-5" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M2.02794884,3 C2.0517922,3.66985421 2.26275067,4.39974918 2.26275067,4.39974918 C2.26022422,4.39849506 2.25785568,4.39724095 2.25548713,4.39598683 C2.2591189,4.40962533 2.26275067,4.4234206 2.26638244,4.43721586 L2.26054003,4.45634112 L2.24127586,4.46041699 C2.23669667,4.45884935 2.14227065,4.42577206 2,4.29738203 C2.01279015,4.34268694 2.0258961,4.38705126 2.03963366,4.43063176 C2.23211748,4.91675811 2.74988157,6.04499138 3.53750197,6.43580499 L3.54776567,6.45759523 L3.5286594,6.47233109 C3.51476393,6.47233109 3.22216959,6.46950933 2.94157587,6.35710926 C3.12916469,6.53582066 3.39807358,6.73099232 3.67250908,6.91189842 C3.96620875,7.09985891 4.36080846,7.32951873 4.88757303,7.59962377 L4.89799463,7.61765167 L4.88567819,7.63473899 C4.88330965,7.63583634 4.82220117,7.65982129 4.68829938,7.65982129 C4.59229433,7.65982129 4.48428865,7.64775043 4.36617717,7.62392224 C4.45018159,7.67847625 4.53292279,7.73052203 4.61408495,7.77990281 C4.72461709,7.84543032 4.85583452,7.92099075 5,8 L5,6.50932748 C5,6.29832262 4.96462972,6.1439097 4.67203537,6.1439097 L4.08479394,6.1439097 L4.08479394,5.71798087 C3.20085268,5.08825835 2.53118585,3.85765794 2.3315964,3.31133406 C2.19295752,3.1804358 2.09063635,3.07258191 2.02794884,3" id="Fill-6" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,5 L4,5.43381766 L4.69057935,5.43381766 C5.03466205,5.43381766 5.0762565,5.59109053 5.0762565,5.80600351 L5.0762565,7.32428549 C5.22926467,7.39693438 5.39471404,7.47229762 5.56629116,7.54558518 C6.04796979,7.74660706 6.43680366,7.86891266 6.68748453,7.93772952 C6.79555583,7.96423439 6.90028472,7.98547022 7,8 L6.99442931,5.77199425 C6.99442931,5.77199425 6.94355038,5.66549577 6.83473632,5.49992017 L6.83752166,5.53361009 L6.84792028,5.53281175 L6.97121812,6.76512853 L6.97827433,6.77295226 L6.98254518,6.78333067 L6.99034414,6.88727447 L6.97456053,6.90755229 L6.96769002,6.9085103 L6.94800693,6.89893023 C6.89322852,6.8214913 6.35435751,6.11512055 4.32495667,5.17547501 C4.21410002,5.12422162 4.10584303,5.06530417 4,5" id="Fill-7" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4,4 L4.0551116,4.46365693 C4.11766327,4.52060588 4.18476164,4.57755483 4.25558005,4.63371693 L4.1935795,4.12324186 L4.22747313,4.121078 L4.29319372,4.66371594 C4.35546983,4.71171437 4.42091485,4.75892594 4.48925324,4.80495721 L4.42022596,4.24038556 L4.45398181,4.2382217 L4.52645357,4.82944821 C4.58721411,4.86918462 4.65004133,4.90764237 4.71534858,4.94472312 L4.64425462,4.33451362 L4.67814825,4.33234976 L4.7519978,4.96577161 C4.7729402,4.97737779 4.79415817,4.98878725 4.81551392,5 L4.81551392,4.41880594 L5,4.41880594 C4.79195371,4.3546769 4.52672913,4.26094226 4.26646459,4.1356349 C4.17249931,4.08970198 4.08404519,4.04455592 4,4 M4,3 L3.98329545,3.63329764 C3.95795455,3.75321199 3.93017045,3.87633833 3.9,4 L3.92142045,3.208601 L3.91409091,3.20681656 C3.94414773,3.13650964 3.973125,3.06727338 4,3 M3,3 L2.99230769,3.43918919 C2.96600496,3.61193694 2.93523573,3.8018018 2.9,4 L2.91705955,3.24887387 C2.94646402,3.16283784 2.97419355,3.07995495 3,3 M3,3 C2.98052239,2.97811935 2.94738806,2.94307414 2.9,2.9 L2.90783582,2.96007233 C2.94141791,2.97417722 2.9719403,2.9874141 3,3" id="Fill-8" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,5 L6.96747851,6.66484899 C6.94159503,6.78041107 6.91905444,6.89282718 6.9,7 L6.92965616,5.4880453 L6.93190067,5.4840604 C6.94312321,5.39324664 6.96666667,5.21308725 7,5 M6,5 L5.96457462,6.7394551 C5.94146908,6.82724521 5.91994421,6.91402624 5.9,7 L5.93221757,5.37214934 C5.95178987,5.25247225 5.97447699,5.1271443 6,5 M4.21631664,4 L4,4 L4,4.84048076 C4.04862682,4.87191523 4.09854604,4.90235403 4.14927302,4.93193941 L4.06219709,4.00668516 L4.10177706,4.00398265 L4.19159935,4.9573999 C4.26268174,4.99736861 4.33570275,5.03491928 4.41050081,5.07062087 L4.32164782,4.12730247 L4.36155089,4.12445772 L4.45266559,5.09110305 L4.46946688,5.09906835 C4.5368336,5.12979162 4.60403877,5.16179504 4.67108239,5.19450964 L4.57576737,4.2126449 L4.61550889,4.20951568 L4.71308562,5.21541853 C4.78820679,5.25240026 4.8628433,5.29094659 4.9368336,5.3297774 L4.82084006,4.14010383 L4.86058158,4.13711685 L4.97899838,5.35225091 C5.053958,5.39264633 5.1276252,5.43417965 5.20048465,5.47571296 L5.0819063,4.25887206 L5.12164782,4.25588507 L5.24297254,5.50032003 C5.31793215,5.54412915 5.3914378,5.58822274 5.46300485,5.63288529 L5.34458805,4.4028163 L5.38449111,4.39968708 L5.50581583,5.66005263 C5.5812601,5.70770215 5.65541195,5.75577839 5.7266559,5.80442358 L5.60775444,4.5720788 L5.64781906,4.56937629 L5.76962843,5.8341512 C5.84943457,5.88948154 5.926979,5.94481189 6,6 L5.88029079,4.80605931 L5.91631664,4.8033568 C5.78756058,4.6736363 5.64071082,4.54548041 5.47495961,4.43837565 C4.95121163,4.1015575 4.74862682,4.02218903 4.68432956,4.00398265 L4.70710824,4.13569447 L4.70016155,4.15134059 L4.68174475,4.15503876 C4.67819063,4.1540431 4.48901454,4.10369106 4.21631664,4" id="Fill-9" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4.99426798,4 L4.9992333,3.99745426 L5,3.98647574 L4.98006572,3.9 L4.96020445,3.9 C4.9611172,3.91344471 4.96126323,3.9239459 4.95870756,3.9239459 C4.9584885,3.9239459 4.95823293,3.92386635 4.95797736,3.92370724 C4.94954363,3.91607001 4.94125593,3.90811456 4.93311428,3.9 L4.9,3.9 C4.95659,3.96690533 4.99364732,3.99936356 4.99426798,4 M2.1038496,2 L2.09191286,2.01590668 C2.0519248,2.49826205 2.23202029,3.198156 2.28155774,3.37946271 C2.17711131,3.30493696 2.0341689,3.11965359 2.0325276,3.11759161 L2.00999702,3.11243667 L2,3.13290916 C2.32363474,4.4712796 3.0601313,5.12860846 3.29036109,5.30638035 C3.17218741,5.27427242 2.95628171,5.20283964 2.80528201,5.15070107 L2.78439272,5.15718157 L2.78439272,5.17853776 C3.20173083,5.75721692 4.26126529,6.28523035 4.58012534,6.43516555 C4.38660101,6.41218923 4.06684572,6.34517497 4.06296628,6.34429127 L4.04267383,6.35460115 L4.04789615,6.3763992 C4.37033721,6.62707671 4.69516562,6.83268528 5,7 L5,6.86994816 C4.88287078,6.80617415 4.76111608,6.73650878 4.63533274,6.66036291 C4.53178156,6.5993873 4.44747836,6.54769059 4.38928678,6.5114587 C4.39316622,6.51219512 4.39719487,6.51307883 4.40107431,6.51381525 C4.34079379,6.47493225 4.27991644,6.43457641 4.21829305,6.39289502 C4.21829305,6.39289502 4.65070128,6.46668434 4.79886601,6.46668434 C4.79886601,6.46668434 4.2614145,6.18257335 3.74559833,5.84485095 C3.33407938,5.58283257 3.13264697,5.40682809 3.04461355,5.31948863 C3.04804536,5.32096147 3.05147717,5.32228703 3.05490898,5.32361258 C3.01387645,5.28487687 2.97702178,5.24702486 2.94509102,5.21035113 C2.94509102,5.21035113 3.22843927,5.33112407 3.55162638,5.37044892 C3.55162638,5.37044892 2.63040883,4.86865206 2.20262608,3.51363851 C2.18009549,3.45693413 2.16219039,3.40950866 2.14920919,3.37386591 C2.15458072,3.37887357 2.15995225,3.38373395 2.16517457,3.38844704 C2.15070128,3.33704489 2.13697404,3.28416991 2.12384363,3.23041122 C2.12384363,3.23041122 2.16621904,3.35236244 2.40659505,3.48108872 C2.21874067,2.75998586 2.17173978,2.29294804 2.16039988,2.13240839 C2.16935243,2.1434547 2.17964787,2.15582656 2.1915846,2.16952398 C2.19068935,2.14566396 2.19009251,2.12165665 2.18979409,2.09794391 C2.18979409,2.09794391 3.1753208,3.23011665 4.43330349,3.72572758 L4.62279916,3.72572758 C4.38973441,3.63441145 3.76962101,3.38196654 3.47508207,3.17179215 C2.92002387,2.77545069 2.13115488,2.01178273 2.12324679,2.00412395 L2.1038496,2" id="Fill-10" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6,7 L6,7.16815845 C6.54014327,7.78308894 6.97823053,7.9961912 6.98418458,7.99885736 L6.98678947,8 L6.99376686,7.99504856 L6.99832543,7.97695677 L7,7.83450771 L6.99023165,7.81089316 C6.98148665,7.808227 6.97274165,7.80537041 6.96381059,7.80232337 L6.96381059,7.81889164 C6.96381059,7.81889164 6.90771235,7.79394401 6.80723788,7.7280518 C6.62750023,7.62292897 6.42962136,7.4475338 6.24551121,7.26033137 C6.16820169,7.18358408 6.08605452,7.09693392 6,7 M4.90403155,4 L4.92932556,4 L4.92644278,3.9877 C4.93048797,3.9911 4.93537008,3.9952 4.94094964,4 L5,4 C4.96847548,3.9729 4.936393,3.9487 4.90389206,3.9278 C4.90352009,3.9276 4.90319461,3.9275 4.90286914,3.9275 C4.89812651,3.9275 4.90021885,3.9531 4.90235768,3.9788 C4.90296213,3.986 4.90356658,3.9933 4.90403155,4 M5.0866947,4 L5,4 C5.54836551,4.26608099 5.86331485,4.7443199 6,5 L5.99588989,4.94052307 L5.99436054,4.93527214 C5.93127509,4.81975159 5.70502772,4.42754721 5.44580386,4.2349793 C5.31179507,4.13581743 5.18744026,4.05776027 5.0866947,4" id="Fill-11" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4.99424706,5 C5.00124706,5 5.00084706,4.9868 4.99834706,4.9699 L4.92414706,4.9699 C4.94644706,4.9801 4.96914706,4.9901 4.99224706,4.9997 C4.99294706,4.9999 4.99364706,5 4.99424706,5 M2.9,5 C2.93017045,4.87633833 2.95795455,4.75321199 2.98329545,4.63329764 L3,4 C2.973125,4.06727338 2.94414773,4.13650964 2.91409091,4.20681656 L2.92142045,4.208601 L2.9,5 M2.9,5 C2.93523573,4.8018018 2.96600496,4.61193694 2.99230769,4.43918919 L3,4 C2.97419355,4.07995495 2.94646402,4.16283784 2.91705955,4.24887387 L2.9,5 M1.9,2.9 C1.94738806,2.94307414 1.98052239,2.97811935 2,3 C1.9719403,2.9874141 1.94141791,2.97417722 1.90783582,2.96007233 L1.9,2.9 M2,3 C2.00039904,3.02709829 2.00119713,3.05453321 2.00239425,3.08179982 C2.08160415,3.15972846 2.21089385,3.27552738 2.38607342,3.41606822 C2.63826816,4.00263689 3.48443735,5.32388914 4.60135674,6 L4.60135674,5.85474641 C4.57043097,5.8355588 4.53970471,5.81603456 4.50937749,5.7961737 L4.40243416,4.71224192 L4.35335196,4.71594479 L4.45630487,5.76015485 C4.36173184,5.69670108 4.2707502,5.63089093 4.18276137,5.56289273 L4.07781325,4.55116697 L4.02893057,4.55486984 L4.12889066,5.52098294 C4.02992817,5.44221275 3.93515563,5.3614228 3.84497207,5.27928636 L3.74980048,4.35070691 L3.70071828,4.35440978 L3.79050279,5.22795108 C3.68794892,5.1318447 3.59078212,5.03439183 3.50019952,4.93693896 L3.42039106,4.14351436 C3.54209896,4.21975987 3.67019154,4.29701526 3.80626496,4.37561715 C4.18316042,4.59004713 4.56723863,4.75044883 4.86851556,4.86018851 L5,4.86018851 C3.31783719,4.29381732 2,3 2,3" id="Fill-12" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6.9,7 C6.91905444,6.89282718 6.94159503,6.78041107 6.96747851,6.66484899 L7,5 C6.96666667,5.21308725 6.94312321,5.39324664 6.93190067,5.4840604 L6.92965616,5.4880453 L6.9,7 M5.9,7 C5.91994421,6.91402624 5.94146908,6.82724521 5.96457462,6.7394551 L6,5 C5.97447699,5.1271443 5.95178987,5.25247225 5.93221757,5.37214934 L5.9,7 M4.89493294,4 L4.75670641,4 C4.7585693,4.01073431 4.76099106,4.02242991 4.76341282,4.03396529 C4.77198212,4.07514019 4.78036513,4.11615487 4.76136364,4.11615487 C4.76005961,4.11615487 4.75875559,4.11599466 4.75726528,4.11567423 C4.62704918,4.08218959 4.49850969,4.04341789 4.37220566,4 L4.24944113,4 C4.56389717,4.11679573 4.78204173,4.17351135 4.78614009,4.17463284 L4.80737705,4.17046729 L4.81538748,4.15284379 L4.78912072,4.00448598 C4.86326379,4.02499332 5.09687034,4.11439252 5.70081967,4.49377837 C5.89195231,4.61441923 6.06128912,4.7587717 6.20976155,4.90488652 L6.16821908,4.90793057 L6.30625931,6.25276368 C6.22205663,6.1906008 6.13263785,6.1282777 6.04061103,6.06595461 L5.90014903,4.64133511 L5.85394933,4.64437917 L5.99105812,6.03246996 C5.90890462,5.9776769 5.82339791,5.9235247 5.73640089,5.86985314 L5.59649776,4.45020027 L5.55048435,4.45372497 L5.68703428,5.83925234 C5.6045082,5.78894526 5.51974665,5.73927904 5.43330849,5.68993324 L5.29340537,4.2882243 L5.24757824,4.29158879 L5.38431446,5.66221629 C5.30029806,5.61543391 5.21535022,5.56865154 5.12891207,5.52315087 L4.99236215,4.15444593 L4.94653502,4.15781041 L5.08029061,5.49783712 C4.99497019,5.4540988 4.90890462,5.41068091 4.82228018,5.36902537 L4.70976155,4.23599466 L4.66393443,4.23951936 L4.77384501,5.34547397 C4.69653502,5.30862483 4.61903875,5.27257677 4.54135618,5.23797063 L4.52198212,5.22899866 L4.41691505,4.14018692 L4.37090164,4.14339119 L4.47336066,5.2059279 C4.38710879,5.16571429 4.30290611,5.12341789 4.2209389,5.07839786 L4.11736215,4.00448598 L4.07172131,4.00753004 L4.17213115,5.04971963 C4.11363636,5.01639519 4.05607303,4.98210948 4,4.94670227 L4,5.08496662 C4.1061848,5.15049399 4.21479136,5.20961282 4.32600596,5.26104139 C6.36195976,6.20389853 6.90257079,6.91268358 6.95752608,6.99038718 L6.97727273,7 L6.98416542,6.99903872 L7,6.97869159 L6.99217586,6.87439252 L6.98789121,6.86397864 L6.98081222,6.85612817 L6.85711624,5.61959947 L6.84668405,5.62040053 L6.84388972,5.58659546 C6.57749627,5.18093458 5.96367362,4.42216288 4.89493294,4" id="Fill-13" fill="#999999"></path>
                        <path d="M5,8 C4.96550736,7.96366831 4.93211948,7.93042867 4.9,7.9 L4.9,7.90133521 C4.93735679,7.93675334 4.97135843,7.97062544 5,8 M4,7 C4.44543229,7.48061203 4.90954774,7.88492978 4.90954774,7.88492978 C4.78160031,7.88492978 4.40819482,7.77992035 4.40819482,7.77992035 C4.46140961,7.83923706 4.51398016,7.89666737 4.5660353,7.95200168 C4.66241464,7.98386083 4.75054761,8 4.82888803,8 C4.9381523,8 4.98801701,7.96793125 4.98994975,7.96646405 L5,7.94361769 L4.99149594,7.91951373 C4.56165443,7.55837351 4.23965984,7.25131 4,7 M2,4 C2.30017799,5.41277641 2.94660245,5.93596437 2.94660245,5.93596437 C2.71981991,5.89496314 2.52099257,5.76904177 2.52099257,5.76904177 C2.5433986,5.80727887 2.56925976,5.84674447 2.59805256,5.88713145 C2.78410638,5.99723587 2.97811747,6 2.98733117,6 L3,5.98556511 L2.99319443,5.9642199 C2.47094545,5.58138821 2.12763061,4.47619779 2,4 M2,4 C1.99551935,3.98272598 1.99083503,3.96573592 1.98589613,3.94921912 C1.94002037,3.91045906 1.9095723,3.90047326 1.90809572,3.9 L1.90188391,3.90123048 L1.9,3.90700426 C1.90117108,3.91116895 1.90234216,3.91533365 1.90351324,3.91945102 C1.98553971,3.96081401 2,4 2,4" id="Fill-14" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,9 C6.93582888,8.9654 6.9,8.9523 6.9,8.9523 L6.9,8.961 C6.93190731,8.9701 6.96541889,8.9834 7,9 M5,8 L5,7.99862915 C5.35051156,7.96190476 5.685108,7.92907648 6,7.9 C5.64986737,7.93311688 5.31223948,7.96717172 5,8" id="Fill-15" fill="#999999"></path>
                    </g>
                </g>
            </g>
        </g>
    </g>
</svg> Mathilde Golla 
     
  • Publié le 10/06/2018 à 06:00


FIGARO DEMAIN - Une start-up élève des abeilles sauvages qui ne produisent pas de miel mais sont plus efficaces que leurs homologues mellifères pour répandre le pollen. Si cette solution est compatible avec une agriculture biologique, elle démontre toutefois «que la nature n'est plus en mesure de vivre par elle-même», regrettent des apiculteurs.
Le constat est alarmant: les abeilles sont décimées, notamment en France, par divers facteurs. Les apiculteurs mettent clairement en cause l'utilisation de certains pesticides comme les désormais célèbres néonicotinoïdes. Résultat, certaines parcelles, notamment des vergers, ont toutes les peines du monde à produire d'importantes récoltes, faute de pollinisation suffisante. Contre ce fléau, la société Osmia élève des abeilles particulières, solitaires, qui ne produisent pas de miel mais sont de grandes pollinisatrices, plus efficaces que les abeilles mellifères.
» À écouter dans l'Esprit d'initiative sur France Inter
Ces abeilles appartiennent à une espèce d'abeille sauvage, appelée «abeille maçonne», car elles sont actives tôt au printemps et sont souvent associées à la pollinisation des arbres et arbustes fruitiers. Elles ne vivent pas en ruche, ne produisent pas de miel mais sont championnes de la pollinisation des cultures.
» LIRE AUSSI - Ils détectent du glyphosate dans le miel et portent plainte contre Bayer
La start-up assure que son seul apport est de «maîtriser un cycle naturel, de ne rien changer et de respecter la nature. Nous introduisons simplement les abeilles au moment opportun, dès les premières floraisons, pour que la pollinisation se fasse au mieux», indique Franck Mariambourg, cofondateur et président d'Osmia. Il ajoute que les abeilles avaient déjà été utilisées artisanalement par certains agriculteurs dans d'autres pays. «Nous sommes pionniers par notre capacité à les élever en quantité et à les apporter sur une parcelle au moment voulu».

600 hectares couverts


Pour maîtriser ce cycle, ils mettent en place sur les parcelles ciblées des boîtes, sortes d'abris pour que les abeilles s'y installent et pondent leurs œufs. Durant la saison, les abeilles se nourrissent, pollinisent les parcelles ciblées puis viennent pondre leurs larves dans les lieux dédiés. À la fin de la saison, après la floraison, la société récupère les cocons, les trie, sépare les mâles des femelles, les nettoie puis les conserve en chambre froide pendant l'hiver. Ensuite la start-up guette les premiers signes du retour des beaux jours ; c'est alors qu'elle réactive la transformation des larves en abeilles grâce à la chaleur. Puis elle les lâche sur les parcelles où elle a installé ses abris au préalable… Et ainsi de suite. Chaque année, elle récupère plus de larves et peut ainsi faire grossir son cheptel d'abeilles d'année en année.
» LIRE AUSSI - Soutenus par Hulot, les apiculteurs attendent un plan du gouvernement
Les agriculteurs commencent à se tourner vers cette solution. Cette année, la start-up intervient sur environ 600 hectares, en Rhône-Alpes et dans le Sud-Ouest, mais aussi pour la première fois dans les pommiers à cidre de Normandie. La technique permet d'améliorer les rendements des vergers et ces intrants sont complètement compatibles avec l'agriculture biologique. Les fondateurs du groupe assurent en outre que leur solution ne déséquilibre pas les écosystèmes.
Pour Gilles Lanio, président de l'UNAF, fédération des apiculteurs: «ça peut être une solution mais ce qui est grave c'est que cela prouve que la nature n'est plus en mesure de vivre par elle-même». Selon lui, il faut davantage agir à l'origine du problème et restaurer un environnement naturel et sain pour les abeilles.

23Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Mer 25 Juil - 19:27

Josué

Josué
Administrateur

À quoi ressembleraient nos supermarchés si les abeilles disparaissaient ?
Publié le 19 juin 2013 - Mis à jour le 30 octobre 2015





Abeilles zombies: Abeilles


Vous avez sans doute déjà entendu parler des répercussions que pourrait causer l'extinction des abeilles, dont la vertu pollinisatrice fait les beaux jours de notre environnement et de notre quotidien. Mais avez-vous déjà imaginé ce qu'un tel phénomène entrainerait concrètement du point de vue de notre alimentation ?  Pommes, carottes, citrons, pastèques… certains fruits et légumes pourraient tout bonnement disparaître…

Comme le rappelle la dernière campagne promotionnelle de l'entreprise américaine de produits biologiques Whole Foods Market, la situation des abeilles est de plus en plus alarmante : le syndrome de l'effondrement des colonies (CDD) est en effet jugé désastreux par les spécialistes, à l'heure où la population d'abeilles s'écroule.

D'après l'association des apiculteurs britanniques, plus d'un tiers des colonies ont tout bonnement disparu au cours de l'hiver dernier. Même phénomène aux États-Unis et en France, où pas moins de 30 % des colonies d'abeilles meurent tous les ans depuis 1995. Préoccupée par cette situation grave, la commission européenne a pris la décision de limiter temporairement l'usage d'une série de pesticides, considérés comme mortels pour les abeilles.

Dans le même temps, des chercheurs de l'université de Washington ont proposé la mise en place d'une banque de sperme d'abeille. Objectif : mettre au point une population d'abeilles plus résistante. Mais alors que les insectes ne cessent de disparaitre, le temps presse.

24Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Mar 31 Juil - 8:09

Josué

Josué
Administrateur

[size=46]Mortalité des abeilles : une aide de 3 millions d'euros débloquée pour les apiculteurs[/size]
L'augmentation de la mortalité des abeilles "a franchi un cap supplémentaire" cet hiver. 
Abeilles zombies: 15532199Une abeille en Allemagne, le 30 juillet 208. (INA FASSBENDER / DPA / AFP)

franceinfo avec AFPFrance Télévisions


Mis à jour le 30/07/2018 | 21:17
publié le 30/07/2018 | 21:17


Coup de pouce pour le miel. Le ministre de l'Agriculture Stéphane Travert a annoncé, lundi 30 juillet, une aide de 3 millions d'euros pour les apiculteurs touchés par la mortalité des abeilles, destinée au renouvellement des essaims. Ce "dispositif d'aide exceptionnel pour les apiculteurs" sera effectif d'ici fin septembre, et sera déversé sous forme d'aide à l'achat d'essaims. 
Afin de répondre au besoin de trésorerie des apiculteurs touchés, une avance sera versée rapidement dès la demande effectuée. Les apiculteurs auront ensuite jusqu'à la fin du printemps 2019 pour réaliser les achats d'essaims et transmettre les factures, selon le texte.
"Nous sommes très dubitatifs", a indiqué pour sa part Marie-France Roux, porte-parole de la Fédération française des apiculteurs professionnels (FFAF), faisant valoir que cette aide ne permettra pas de financer à 100% les rachats d'essaims et que les apiculteurs devront mettre de leur poche. Loïc Leray, vice-président de l'Union nationale de l'apiculture française (Unaf), a quant à lui estimé que les démarches pour toucher cette aide risquent d'être trop complexes.

Augmentation de la mortalité des abeilles 


Depuis plusieurs années, les apiculteurs français subissent des pertes moyennes de 30% de leurs cheptels en hiver, selon l'Union nationale de l'apiculture française (Unaf). Durant l'hiver 2017/2018 "on a franchi un cap supplémentaire", avec des taux de mortalité pouvant grimper à 40%, 50% voire 80%, avait indiqué en juin Gilles Lanio, président de l'Unaf.
L'enquête qualitative menée par la Direction Générale de l'Alimentation (DGAL) auprès des Directions Régionales de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt (DRAAF) sur les mortalités apicoles de l'hiver 2017/2018, a en effet "mis en lumière une augmentation par rapport aux hivers précédents en Bretagne, Nouvelle-Aquitaine, Provence-Alpes-Côte-D'azur et Bourgogne-Franche-Comté principalement", selon le ministère.
En complément de l'enquête qualitative, une enquête nationale quantitative réalisée par la plate-forme nationale d'épidémio-surveillance en santé animale est en cours auprès de plus de 50.000 apiculteurs, souligne le ministère
L'objectif de cette enquête est de recueillir les informations des apiculteurs quant au niveau de mortalité durant l'hiver 2017/2018 et leurs causes possibles. L'enquête en ligne reste ouverte jusqu'au mercredi 15 août inclus, en suivant ce lien.

25Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Mar 15 Jan - 9:52

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]VIDEO. Haute-Garonne: Des apiculteurs vous envoient des graines pour sauver les abeilles (et c'est gratuit)[/size]

ENVIRONNEMENT Une association d'apiculteurs bio propose d'envoyer gratuitement des graines de trèfle à tous ceux qui le demandent pour sauver les abeilles solitaires menacée par la pollution...

Helene Menal
 
Publié le 12/01/19 à 10h05 — Mis à jour le 12/01/19 à 10h05



Abeilles zombies: 310x190_abeille-butinant-trefle
Une abeille butinant un trèfle. — PixaBay


  • Inonder boîtes à lettres de graines de trèfles pour sauver les abeilles solitaires.
  • C’est l’opération originale et gratifiante lancée par un groupement d’apiculteurs bio de Haute-Garonne.
  • Pour recevoir votre sachet, il suffit de leur envoyer une enveloppe affranchie. Et de semer les graines évidemment.


C’est encore une histoire de cagnotte, mais une belle histoire dont on fait son miel. En mai 2018, Nicolas Puech, un apiculteur bio de la Haute-Garonne, perd ses ruches et deux millions de ses abeilles à cause d’un épandage de pesticide dans le champ voisin.
Son cas émeut bien au-delà de l’Hexagone et une cagnotte Leetchi est créée. « Nous avons récolté 4.000 euros, ils serviront à payer le procès qui doit avoir lieu l’année prochaine, explique le producteur de miel. Mais nous avons aussi acheté à une coopérative 60 kg de graines de trèfle », dont les abeilles sont friandes.

« Pollinisateurs solitaires »


Pour l'association Natur Miel, un groupement d’apiculteurs bio dont Nicolas Puech fait partie, il ne s’agit pas d’engraisser les butineuses maison, elles ont déjà tout ce qu’il leur faut, cajolées dans leurs ruches. « Nous voulons sauver les abeilles solitaires​, ces pollinisateurs qui vivent sous terre ou dans des hôtels à insectes, frappés de plein fouet par la pollution et qui disparaissent à vitesse grand V », explique le spécialiste.
L’idée est donc de distribuer les graines à qui veut, gratuitement, pour que des carrés de trèfle pullulent partout, en pot sur les balcons des villes, dans un coin de jardin, ou dans les cours d’école.







Pour participer à l’opération « Graines de Trèfles », il suffit d’envoyer une simple enveloppe affranchie et mentionnant votre adresse à : Natur Miel association/Opération Graines de Trèfle. 508 route des Termes, 31800 Saux et Pomarède. Les demandes sont reçues jusqu’au 17 mars, date à laquelle les apiculteurs ont prévu de répartir leur stock dans les enveloppes et de les expédier. Il y aura du trèfle classique, banc ou gris, mais aussi du trèfle incarnat, « qui fait de belles fleurs rouges ».
« Un simple semis printanier et bon arrosage au départ et le tour est joué », glisse Nicoas Puech. Avec ses amis, il songe déjà à poursuivre le plan de sauvetage l’année prochaine. Peut-être « avec de la luzerne ».

26Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Ven 18 Jan - 19:26

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Menacées en milieu rural, les abeilles se réfugient dans les villes[/size]

  • Par  Vincent Bordenave 
     

  • Publié le 15/01/2019 à 17:33


Les villes deviennent un refuge pour les pollinisateurs, les jardins privés et public offrant une variété de plantes précieuses.
Les abeilles vivent-elles mieux en ville qu'en milieu rural? La question peut sembler farfelue, mais selon une étude publiée ce lundi dans la revue Nature Ecology and Evolution , les villes sont de véritables refuges pour les pollinisateurs. Les travaux menés par des scientifiques britanniques ont évalué l'impact de l'utilisation des sols en milieu urbain et montrent que la diversité des jardins et des plantes disponibles favorise les abeilles et autres insectes pollinisateurs.
» LIRE AUSSI - Biodiversité: les animaux privés de lieu de vie
«En milieu rural, les abeilles sont fragilisées par l'appauvrissement de la flore liée à l'agriculture et à l'usage des pesticides», commente Isabelle Dajoz, professeur d'écologie à l'université Paris-Diderot. «C'est donc en fait assez logique, bien que triste, que les villes deviennent un lieu de refuge.»
L'étude britannique a été menée dans quatre villes du Royaume-Uni, Bristol, Reading, Leeds (Angleterre) et Edinburgh (Écosse), des villes assez éloignées les unes des autres, et qui pourtant présentent toutes des résultats assez similaires. Les chercheurs britanniques ont comptabilisé le nombre de pollinisateurs dans différents types d'espaces verts urbains, jardins publics, cimetières, lotissements… En tout ce sont 360 sites qui ont été passés à la cible.
Toutes ces lieux n'offrent pas les mêmes garanties aux insectes. «Les jardins individuels ou partagés sont les meilleurs habitats urbains pour les insectes pollinisateurs, car ils offrent une grande diversité de fleurs», constate Isabelle Dajoz. «Au-delà du constat qui était déjà connu, l'intérêt de ces travaux est de proposer des solutions pratiques pour aider les pollinisateurs à proliférer en ville.»

Des solutions pour aider les pollinisateurs


L'équipe britannique a en effet travaillé sur un modèle d'aménagement urbain pour favoriser les pollinisateurs, en transformant les espaces verts sans pour autant transformer les villes. Les jardins privés ne représentent que 1% des superficies urbaines. Pourtant, ce sont eux qui favorisent le plus la biodiversité. Le nombre d'abeilles y était 4 à 52 fois plus élevés. Augmenter leur superficie permettrait non seulement d'offrir à plus de monde le droit de cultiver son petit jardin mais favoriserait aussi les insectes.
Les espaces verts des bas-côtés des routes représentent au contraire un tiers des espaces verts des villes étudiées, mais sont moins visités par les pollinisateurs. C'est le même constat pour les jardins publics qui représentent près d'un quart de la superficie de ces espaces verts urbains. Les parcs publics régulièrement taillés ne sont pas les meilleurs abris. En fait, plus un terrain est laissé a lui-même, plus il abrite d'insectes. Les pissenlits, les ronces, et renoncules sont en effet plus appréciés des pollinisateurs que ne peuvent l'être les hortensias, les pâquerettes et les myosotis.

27Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Sam 16 Fév - 21:07

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Ï
[size=33]«Sauver les abeilles», la pétition qui ouvre la voie à un référendum en Allemagne[/size]

  • Par  Abeilles zombies: Svg+xml;base64,<?xml version="1.0" encoding="UTF-8" standalone="no"?>
<svg width="14px" height="14px" viewBox="0 0 14 14" version="1.1" xmlns="http://www.w3.org/2000/svg" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink">
    <!-- Generator: sketchtool 3.8.1 (29687) - http://www.bohemiancoding.com/sketch -->
    <title>9BA324DB-27A2-48A7-A016-AAC8D469325A</title>
    <desc>Created with sketchtool.</desc>
    <defs></defs>
    <g id="Article" stroke="none" stroke-width="1" fill="none" fill-rule="evenodd">
        <g id="ARTICLE" transform="translate(-230.000000, -490.000000)">
            <g id="auteur" transform="translate(230.000000, 488.000000)">
                <g id="icon-mini-figaro" transform="translate(0.000000, 2.000000)">
                    <g id="fplume">
                        <path d="M14,11.8996 C14,13.0595725 13.0592968,14 11.899576,14 L2.09994401,14 C0.940543258,14 0,13.0595725 0,11.8996 L0,0 L11.899576,0 C13.0592968,0 14,0.940267459 14,2.10024003 L14,11.8996" id="Fill-1" fill="#3775CA"></path>
                        <path d="M8.98235294,9 L8.96698292,8.99192957 C8.96375712,8.98826119 8.6540797,8.6334067 8.00910816,8.05918317 L8,8.02567865 L8.02144213,8.00440205 L8.12125237,8 L8.13529412,8.00538029 C8.48235294,8.31548056 8.64516129,8.51504035 8.87001898,8.79139154 C8.91081594,8.84030325 8.95294118,8.89214967 8.99867173,8.94741991 L9,8.98972854 L8.98235294,9 M8.62590975,8 L8,8 L8,8.29698734 C8.40101892,8.47364668 8.59505095,8.61857508 8.59679767,8.62000119 C8.60232897,8.62374473 9.24949054,9.04248618 9.78020378,9.63806524 C9.97016012,9.85073385 10.1053857,9.98336205 10.2247453,10.1004813 C10.4334789,10.3051281 10.6148472,10.4826787 11,11 C10.6812227,10.4775091 10.2355167,9.91134351 9.56870451,9.17547091 C9.26200873,8.8365916 8.91979622,8.41036306 8.62590975,8" id="Fill-2" fill="#999999"></path>
                        <path d="M10.6843328,9.55518041 C10.116149,9.08335013 9.40411254,8.48105221 8.93555881,8.00650071 L8.91938398,8 L8.77828444,8 L8.75918438,8.01103608 L8.76245376,8.03099174 C9.11640712,8.38777464 9.533167,8.76133844 9.90570421,9.05659141 C10.6939689,9.68065914 11.2208552,10.1608043 11.5976942,10.6039105 C11.1423901,10.1651885 10.9279876,10.014614 10.6812355,9.84106027 C10.5401359,9.74173554 10.3802805,9.62925821 10.1557257,9.44890143 C9.52834896,8.94381173 8.76331412,8.5886918 8.75677536,8.58551703 C8.75453842,8.5843076 8.51793857,8.45746825 8.02839198,8.30432373 L8.0087757,8.30689377 L8,8.32216287 L8,8.52126587 L8.01376581,8.53895384 C8.66299578,8.74485991 8.96240213,8.89377142 8.96532737,8.89528321 C8.97479136,8.89981858 9.93650521,9.37996372 10.637357,9.9716791 C11.2284264,10.4716287 11.3734836,10.6092018 11.5312742,10.7643116 C11.5431472,10.7715682 11.8291319,10.9467849 11.9722963,10.9986394 L11.9803837,11 L11.995354,10.9947087 L12,10.9742995 C11.997591,10.9693106 11.7391379,10.4299032 10.6843328,9.55518041" id="Fill-3" fill="#999999"></path>
                        <path d="M8.12125237,8 L8.02144213,8.00440205 L8,8.02567865 L8.00910816,8.05918317 C8.6540797,8.6334067 8.96375712,8.98826119 8.96698292,8.99192957 L8.98235294,9 L9,8.98972854 L8.99867173,8.94741991 C8.95294118,8.89214967 8.91081594,8.84030325 8.87001898,8.79139154 C8.64516129,8.51504035 8.48235294,8.31548056 8.13529412,8.00538029 L8.12125237,8" id="Fill-4" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,4 L12,4 L12,6.24902942 L10.0433531,6.24902942 L10.0433531,5.86683423 C10.0433531,5.66324813 9.90872142,5.49060838 9.6084674,5.49060838 L7.83657917,5.49060838 L7.83657917,6.75312493 L9.47705334,6.75312493 L9.47705334,8.11052265 L7.83657917,8.11052265 L7.83657917,9.12248379 C7.83657917,9.40100088 7.96629975,9.51567514 8.35800169,9.51567514 L8.97933954,9.51567514 L8.97933954,11 L4,11 L4,9.51567514 L4.65842506,9.51567514 C4.84843353,9.51567514 4.98154107,9.39644532 4.98154107,9.22019255 L4.98154107,5.85678059 C4.98154107,5.6453401 4.94360711,5.49060838 4.62980525,5.49060838 L4,5.49060838 L4,4" id="Fill-5" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M2.02794884,3 C2.0517922,3.66985421 2.26275067,4.39974918 2.26275067,4.39974918 C2.26022422,4.39849506 2.25785568,4.39724095 2.25548713,4.39598683 C2.2591189,4.40962533 2.26275067,4.4234206 2.26638244,4.43721586 L2.26054003,4.45634112 L2.24127586,4.46041699 C2.23669667,4.45884935 2.14227065,4.42577206 2,4.29738203 C2.01279015,4.34268694 2.0258961,4.38705126 2.03963366,4.43063176 C2.23211748,4.91675811 2.74988157,6.04499138 3.53750197,6.43580499 L3.54776567,6.45759523 L3.5286594,6.47233109 C3.51476393,6.47233109 3.22216959,6.46950933 2.94157587,6.35710926 C3.12916469,6.53582066 3.39807358,6.73099232 3.67250908,6.91189842 C3.96620875,7.09985891 4.36080846,7.32951873 4.88757303,7.59962377 L4.89799463,7.61765167 L4.88567819,7.63473899 C4.88330965,7.63583634 4.82220117,7.65982129 4.68829938,7.65982129 C4.59229433,7.65982129 4.48428865,7.64775043 4.36617717,7.62392224 C4.45018159,7.67847625 4.53292279,7.73052203 4.61408495,7.77990281 C4.72461709,7.84543032 4.85583452,7.92099075 5,8 L5,6.50932748 C5,6.29832262 4.96462972,6.1439097 4.67203537,6.1439097 L4.08479394,6.1439097 L4.08479394,5.71798087 C3.20085268,5.08825835 2.53118585,3.85765794 2.3315964,3.31133406 C2.19295752,3.1804358 2.09063635,3.07258191 2.02794884,3" id="Fill-6" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,5 L4,5.43381766 L4.69057935,5.43381766 C5.03466205,5.43381766 5.0762565,5.59109053 5.0762565,5.80600351 L5.0762565,7.32428549 C5.22926467,7.39693438 5.39471404,7.47229762 5.56629116,7.54558518 C6.04796979,7.74660706 6.43680366,7.86891266 6.68748453,7.93772952 C6.79555583,7.96423439 6.90028472,7.98547022 7,8 L6.99442931,5.77199425 C6.99442931,5.77199425 6.94355038,5.66549577 6.83473632,5.49992017 L6.83752166,5.53361009 L6.84792028,5.53281175 L6.97121812,6.76512853 L6.97827433,6.77295226 L6.98254518,6.78333067 L6.99034414,6.88727447 L6.97456053,6.90755229 L6.96769002,6.9085103 L6.94800693,6.89893023 C6.89322852,6.8214913 6.35435751,6.11512055 4.32495667,5.17547501 C4.21410002,5.12422162 4.10584303,5.06530417 4,5" id="Fill-7" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4,4 L4.0551116,4.46365693 C4.11766327,4.52060588 4.18476164,4.57755483 4.25558005,4.63371693 L4.1935795,4.12324186 L4.22747313,4.121078 L4.29319372,4.66371594 C4.35546983,4.71171437 4.42091485,4.75892594 4.48925324,4.80495721 L4.42022596,4.24038556 L4.45398181,4.2382217 L4.52645357,4.82944821 C4.58721411,4.86918462 4.65004133,4.90764237 4.71534858,4.94472312 L4.64425462,4.33451362 L4.67814825,4.33234976 L4.7519978,4.96577161 C4.7729402,4.97737779 4.79415817,4.98878725 4.81551392,5 L4.81551392,4.41880594 L5,4.41880594 C4.79195371,4.3546769 4.52672913,4.26094226 4.26646459,4.1356349 C4.17249931,4.08970198 4.08404519,4.04455592 4,4 M4,3 L3.98329545,3.63329764 C3.95795455,3.75321199 3.93017045,3.87633833 3.9,4 L3.92142045,3.208601 L3.91409091,3.20681656 C3.94414773,3.13650964 3.973125,3.06727338 4,3 M3,3 L2.99230769,3.43918919 C2.96600496,3.61193694 2.93523573,3.8018018 2.9,4 L2.91705955,3.24887387 C2.94646402,3.16283784 2.97419355,3.07995495 3,3 M3,3 C2.98052239,2.97811935 2.94738806,2.94307414 2.9,2.9 L2.90783582,2.96007233 C2.94141791,2.97417722 2.9719403,2.9874141 3,3" id="Fill-8" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,5 L6.96747851,6.66484899 C6.94159503,6.78041107 6.91905444,6.89282718 6.9,7 L6.92965616,5.4880453 L6.93190067,5.4840604 C6.94312321,5.39324664 6.96666667,5.21308725 7,5 M6,5 L5.96457462,6.7394551 C5.94146908,6.82724521 5.91994421,6.91402624 5.9,7 L5.93221757,5.37214934 C5.95178987,5.25247225 5.97447699,5.1271443 6,5 M4.21631664,4 L4,4 L4,4.84048076 C4.04862682,4.87191523 4.09854604,4.90235403 4.14927302,4.93193941 L4.06219709,4.00668516 L4.10177706,4.00398265 L4.19159935,4.9573999 C4.26268174,4.99736861 4.33570275,5.03491928 4.41050081,5.07062087 L4.32164782,4.12730247 L4.36155089,4.12445772 L4.45266559,5.09110305 L4.46946688,5.09906835 C4.5368336,5.12979162 4.60403877,5.16179504 4.67108239,5.19450964 L4.57576737,4.2126449 L4.61550889,4.20951568 L4.71308562,5.21541853 C4.78820679,5.25240026 4.8628433,5.29094659 4.9368336,5.3297774 L4.82084006,4.14010383 L4.86058158,4.13711685 L4.97899838,5.35225091 C5.053958,5.39264633 5.1276252,5.43417965 5.20048465,5.47571296 L5.0819063,4.25887206 L5.12164782,4.25588507 L5.24297254,5.50032003 C5.31793215,5.54412915 5.3914378,5.58822274 5.46300485,5.63288529 L5.34458805,4.4028163 L5.38449111,4.39968708 L5.50581583,5.66005263 C5.5812601,5.70770215 5.65541195,5.75577839 5.7266559,5.80442358 L5.60775444,4.5720788 L5.64781906,4.56937629 L5.76962843,5.8341512 C5.84943457,5.88948154 5.926979,5.94481189 6,6 L5.88029079,4.80605931 L5.91631664,4.8033568 C5.78756058,4.6736363 5.64071082,4.54548041 5.47495961,4.43837565 C4.95121163,4.1015575 4.74862682,4.02218903 4.68432956,4.00398265 L4.70710824,4.13569447 L4.70016155,4.15134059 L4.68174475,4.15503876 C4.67819063,4.1540431 4.48901454,4.10369106 4.21631664,4" id="Fill-9" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4.99426798,4 L4.9992333,3.99745426 L5,3.98647574 L4.98006572,3.9 L4.96020445,3.9 C4.9611172,3.91344471 4.96126323,3.9239459 4.95870756,3.9239459 C4.9584885,3.9239459 4.95823293,3.92386635 4.95797736,3.92370724 C4.94954363,3.91607001 4.94125593,3.90811456 4.93311428,3.9 L4.9,3.9 C4.95659,3.96690533 4.99364732,3.99936356 4.99426798,4 M2.1038496,2 L2.09191286,2.01590668 C2.0519248,2.49826205 2.23202029,3.198156 2.28155774,3.37946271 C2.17711131,3.30493696 2.0341689,3.11965359 2.0325276,3.11759161 L2.00999702,3.11243667 L2,3.13290916 C2.32363474,4.4712796 3.0601313,5.12860846 3.29036109,5.30638035 C3.17218741,5.27427242 2.95628171,5.20283964 2.80528201,5.15070107 L2.78439272,5.15718157 L2.78439272,5.17853776 C3.20173083,5.75721692 4.26126529,6.28523035 4.58012534,6.43516555 C4.38660101,6.41218923 4.06684572,6.34517497 4.06296628,6.34429127 L4.04267383,6.35460115 L4.04789615,6.3763992 C4.37033721,6.62707671 4.69516562,6.83268528 5,7 L5,6.86994816 C4.88287078,6.80617415 4.76111608,6.73650878 4.63533274,6.66036291 C4.53178156,6.5993873 4.44747836,6.54769059 4.38928678,6.5114587 C4.39316622,6.51219512 4.39719487,6.51307883 4.40107431,6.51381525 C4.34079379,6.47493225 4.27991644,6.43457641 4.21829305,6.39289502 C4.21829305,6.39289502 4.65070128,6.46668434 4.79886601,6.46668434 C4.79886601,6.46668434 4.2614145,6.18257335 3.74559833,5.84485095 C3.33407938,5.58283257 3.13264697,5.40682809 3.04461355,5.31948863 C3.04804536,5.32096147 3.05147717,5.32228703 3.05490898,5.32361258 C3.01387645,5.28487687 2.97702178,5.24702486 2.94509102,5.21035113 C2.94509102,5.21035113 3.22843927,5.33112407 3.55162638,5.37044892 C3.55162638,5.37044892 2.63040883,4.86865206 2.20262608,3.51363851 C2.18009549,3.45693413 2.16219039,3.40950866 2.14920919,3.37386591 C2.15458072,3.37887357 2.15995225,3.38373395 2.16517457,3.38844704 C2.15070128,3.33704489 2.13697404,3.28416991 2.12384363,3.23041122 C2.12384363,3.23041122 2.16621904,3.35236244 2.40659505,3.48108872 C2.21874067,2.75998586 2.17173978,2.29294804 2.16039988,2.13240839 C2.16935243,2.1434547 2.17964787,2.15582656 2.1915846,2.16952398 C2.19068935,2.14566396 2.19009251,2.12165665 2.18979409,2.09794391 C2.18979409,2.09794391 3.1753208,3.23011665 4.43330349,3.72572758 L4.62279916,3.72572758 C4.38973441,3.63441145 3.76962101,3.38196654 3.47508207,3.17179215 C2.92002387,2.77545069 2.13115488,2.01178273 2.12324679,2.00412395 L2.1038496,2" id="Fill-10" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6,7 L6,7.16815845 C6.54014327,7.78308894 6.97823053,7.9961912 6.98418458,7.99885736 L6.98678947,8 L6.99376686,7.99504856 L6.99832543,7.97695677 L7,7.83450771 L6.99023165,7.81089316 C6.98148665,7.808227 6.97274165,7.80537041 6.96381059,7.80232337 L6.96381059,7.81889164 C6.96381059,7.81889164 6.90771235,7.79394401 6.80723788,7.7280518 C6.62750023,7.62292897 6.42962136,7.4475338 6.24551121,7.26033137 C6.16820169,7.18358408 6.08605452,7.09693392 6,7 M4.90403155,4 L4.92932556,4 L4.92644278,3.9877 C4.93048797,3.9911 4.93537008,3.9952 4.94094964,4 L5,4 C4.96847548,3.9729 4.936393,3.9487 4.90389206,3.9278 C4.90352009,3.9276 4.90319461,3.9275 4.90286914,3.9275 C4.89812651,3.9275 4.90021885,3.9531 4.90235768,3.9788 C4.90296213,3.986 4.90356658,3.9933 4.90403155,4 M5.0866947,4 L5,4 C5.54836551,4.26608099 5.86331485,4.7443199 6,5 L5.99588989,4.94052307 L5.99436054,4.93527214 C5.93127509,4.81975159 5.70502772,4.42754721 5.44580386,4.2349793 C5.31179507,4.13581743 5.18744026,4.05776027 5.0866947,4" id="Fill-11" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4.99424706,5 C5.00124706,5 5.00084706,4.9868 4.99834706,4.9699 L4.92414706,4.9699 C4.94644706,4.9801 4.96914706,4.9901 4.99224706,4.9997 C4.99294706,4.9999 4.99364706,5 4.99424706,5 M2.9,5 C2.93017045,4.87633833 2.95795455,4.75321199 2.98329545,4.63329764 L3,4 C2.973125,4.06727338 2.94414773,4.13650964 2.91409091,4.20681656 L2.92142045,4.208601 L2.9,5 M2.9,5 C2.93523573,4.8018018 2.96600496,4.61193694 2.99230769,4.43918919 L3,4 C2.97419355,4.07995495 2.94646402,4.16283784 2.91705955,4.24887387 L2.9,5 M1.9,2.9 C1.94738806,2.94307414 1.98052239,2.97811935 2,3 C1.9719403,2.9874141 1.94141791,2.97417722 1.90783582,2.96007233 L1.9,2.9 M2,3 C2.00039904,3.02709829 2.00119713,3.05453321 2.00239425,3.08179982 C2.08160415,3.15972846 2.21089385,3.27552738 2.38607342,3.41606822 C2.63826816,4.00263689 3.48443735,5.32388914 4.60135674,6 L4.60135674,5.85474641 C4.57043097,5.8355588 4.53970471,5.81603456 4.50937749,5.7961737 L4.40243416,4.71224192 L4.35335196,4.71594479 L4.45630487,5.76015485 C4.36173184,5.69670108 4.2707502,5.63089093 4.18276137,5.56289273 L4.07781325,4.55116697 L4.02893057,4.55486984 L4.12889066,5.52098294 C4.02992817,5.44221275 3.93515563,5.3614228 3.84497207,5.27928636 L3.74980048,4.35070691 L3.70071828,4.35440978 L3.79050279,5.22795108 C3.68794892,5.1318447 3.59078212,5.03439183 3.50019952,4.93693896 L3.42039106,4.14351436 C3.54209896,4.21975987 3.67019154,4.29701526 3.80626496,4.37561715 C4.18316042,4.59004713 4.56723863,4.75044883 4.86851556,4.86018851 L5,4.86018851 C3.31783719,4.29381732 2,3 2,3" id="Fill-12" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6.9,7 C6.91905444,6.89282718 6.94159503,6.78041107 6.96747851,6.66484899 L7,5 C6.96666667,5.21308725 6.94312321,5.39324664 6.93190067,5.4840604 L6.92965616,5.4880453 L6.9,7 M5.9,7 C5.91994421,6.91402624 5.94146908,6.82724521 5.96457462,6.7394551 L6,5 C5.97447699,5.1271443 5.95178987,5.25247225 5.93221757,5.37214934 L5.9,7 M4.89493294,4 L4.75670641,4 C4.7585693,4.01073431 4.76099106,4.02242991 4.76341282,4.03396529 C4.77198212,4.07514019 4.78036513,4.11615487 4.76136364,4.11615487 C4.76005961,4.11615487 4.75875559,4.11599466 4.75726528,4.11567423 C4.62704918,4.08218959 4.49850969,4.04341789 4.37220566,4 L4.24944113,4 C4.56389717,4.11679573 4.78204173,4.17351135 4.78614009,4.17463284 L4.80737705,4.17046729 L4.81538748,4.15284379 L4.78912072,4.00448598 C4.86326379,4.02499332 5.09687034,4.11439252 5.70081967,4.49377837 C5.89195231,4.61441923 6.06128912,4.7587717 6.20976155,4.90488652 L6.16821908,4.90793057 L6.30625931,6.25276368 C6.22205663,6.1906008 6.13263785,6.1282777 6.04061103,6.06595461 L5.90014903,4.64133511 L5.85394933,4.64437917 L5.99105812,6.03246996 C5.90890462,5.9776769 5.82339791,5.9235247 5.73640089,5.86985314 L5.59649776,4.45020027 L5.55048435,4.45372497 L5.68703428,5.83925234 C5.6045082,5.78894526 5.51974665,5.73927904 5.43330849,5.68993324 L5.29340537,4.2882243 L5.24757824,4.29158879 L5.38431446,5.66221629 C5.30029806,5.61543391 5.21535022,5.56865154 5.12891207,5.52315087 L4.99236215,4.15444593 L4.94653502,4.15781041 L5.08029061,5.49783712 C4.99497019,5.4540988 4.90890462,5.41068091 4.82228018,5.36902537 L4.70976155,4.23599466 L4.66393443,4.23951936 L4.77384501,5.34547397 C4.69653502,5.30862483 4.61903875,5.27257677 4.54135618,5.23797063 L4.52198212,5.22899866 L4.41691505,4.14018692 L4.37090164,4.14339119 L4.47336066,5.2059279 C4.38710879,5.16571429 4.30290611,5.12341789 4.2209389,5.07839786 L4.11736215,4.00448598 L4.07172131,4.00753004 L4.17213115,5.04971963 C4.11363636,5.01639519 4.05607303,4.98210948 4,4.94670227 L4,5.08496662 C4.1061848,5.15049399 4.21479136,5.20961282 4.32600596,5.26104139 C6.36195976,6.20389853 6.90257079,6.91268358 6.95752608,6.99038718 L6.97727273,7 L6.98416542,6.99903872 L7,6.97869159 L6.99217586,6.87439252 L6.98789121,6.86397864 L6.98081222,6.85612817 L6.85711624,5.61959947 L6.84668405,5.62040053 L6.84388972,5.58659546 C6.57749627,5.18093458 5.96367362,4.42216288 4.89493294,4" id="Fill-13" fill="#999999"></path>
                        <path d="M5,8 C4.96550736,7.96366831 4.93211948,7.93042867 4.9,7.9 L4.9,7.90133521 C4.93735679,7.93675334 4.97135843,7.97062544 5,8 M4,7 C4.44543229,7.48061203 4.90954774,7.88492978 4.90954774,7.88492978 C4.78160031,7.88492978 4.40819482,7.77992035 4.40819482,7.77992035 C4.46140961,7.83923706 4.51398016,7.89666737 4.5660353,7.95200168 C4.66241464,7.98386083 4.75054761,8 4.82888803,8 C4.9381523,8 4.98801701,7.96793125 4.98994975,7.96646405 L5,7.94361769 L4.99149594,7.91951373 C4.56165443,7.55837351 4.23965984,7.25131 4,7 M2,4 C2.30017799,5.41277641 2.94660245,5.93596437 2.94660245,5.93596437 C2.71981991,5.89496314 2.52099257,5.76904177 2.52099257,5.76904177 C2.5433986,5.80727887 2.56925976,5.84674447 2.59805256,5.88713145 C2.78410638,5.99723587 2.97811747,6 2.98733117,6 L3,5.98556511 L2.99319443,5.9642199 C2.47094545,5.58138821 2.12763061,4.47619779 2,4 M2,4 C1.99551935,3.98272598 1.99083503,3.96573592 1.98589613,3.94921912 C1.94002037,3.91045906 1.9095723,3.90047326 1.90809572,3.9 L1.90188391,3.90123048 L1.9,3.90700426 C1.90117108,3.91116895 1.90234216,3.91533365 1.90351324,3.91945102 C1.98553971,3.96081401 2,4 2,4" id="Fill-14" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,9 C6.93582888,8.9654 6.9,8.9523 6.9,8.9523 L6.9,8.961 C6.93190731,8.9701 6.96541889,8.9834 7,9 M5,8 L5,7.99862915 C5.35051156,7.96190476 5.685108,7.92907648 6,7.9 C5.64986737,7.93311688 5.31223948,7.96717172 5,8" id="Fill-15" fill="#999999"></path>
                    </g>
                </g>
            </g>
        </g>
    </g>
</svg> Le figaro.fr 



Le succès historique d'une pétition pourrait engendrer un référendum, en Bavière. Le texte de la pétition demande que 20% des terres arables en Bavière respectent les normes biologiques en 2025.
Quelque 1,75 million d'électeurs de Bavière, un record historique, ont signé jeudi une pétition pour «Sauver les abeilles» qui pourrait déboucher sur un référendum et avoir d'importantes conséquences sur l'agriculture et l'industrie. Le texte de la pétition, lancée par le petit parti écologiste et conservateur ÖDP, demande que 20% des terres arables respectent les normes biologiques en 2025, avant d'atteindre 30% en 2030. 10% des espaces verts en Bavière devraient également être transformés, réclame le texte, en prairies fleuries, et rivières et ruisseaux devraient être mieux protégés des pesticides et engrais.
» LIRE AUSSI - Et si les abeilles venaient à disparaître de notre planète…
Le nombre de personnes qui ont décidé de signer la pétition dans les mairies du Land, selon les chiffres communiqués par la direction des élections du Land, a largement dépassé le million requis pour obtenir un référendum dans les six mois, selon le système de démocratie directe en vigueur en Bavière. Les organisations d'agriculteurs ont pourtant fait campagne contre cette pétition et mis en garde contre les coûts financiers potentiels pour l'agriculture.

La moitié des espèces d'insectes sont en péril


La pétition met également en porte-à-faux le gouvernement bavarois dirigé par le parti de droite conservatrice CSU - parti frère de la CDU de la chancelière Angela Merkel - qui compte les exploitants agricoles parmi son électorat traditionnel. Avec ce futur référendum, la Bavière pourrait «devenir pionnière en Europe en matière de protection de l'environnement», se réjouit jeudi le quotidien Süddeutsche Zeitung.
» LIRE AUSSI - Menacées en milieu rural, les abeilles se réfugient dans les villes
Près de la moitié des espèces d'insectes, essentiels aux écosystèmes comme aux économies, sont en déclin rapide dans le monde entier, a alerté lundi une étude qui met en garde contre un «effondrement catastrophique» des milieux naturels. A l'origine de la perte des insectes, les chercheurs désignent le bouleversement de leur habitat et le recours aux pesticides de synthèse, au coeur de l'intensification de l'agriculture dans le monde ces soixante dernières années.



28Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Lun 18 Fév - 19:43

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Allemagne: Le succès historique d’une pétition pour «Sauver les abeilles» ouvre la voie à un référendum[/size]

ENVIRONNEMENT Le texte de la pétition demande que 20 % des terres arables en Bavière respectent les normes biologiques en 2025

20 Minutes avec agences
 
Publié le 16/02/19 à 09h35 — Mis à jour le 16/02/19 à 09h35



Abeilles zombies: 310x190_abeilles-agglutinees-illustration
Des abeilles (Illustration. — PollyDot
La Bavière pourrait bientôt organiser un référendum sur l’environnement sans précédent. Quelque 1,75 million d’électeurs du Land allemand, soit 18,4 % des inscrits, ont en effet signé ce jeudi une pétition pour « Sauver les abeilles ». Un record historique qui pourrait avoir d’importantes conséquences sur l'agriculture et l’industrie.
Le texte de la pétition, lancée par le petit parti écologiste et conservateur ÖDP, demande que 20 % des terres arables respectent les normes biologiques en 2025, avant d’atteindre 30 % en 2030. Il réclame aussi que 10 % des espaces verts en Bavière soient transformés en prairies fleuries, et que rivières et ruisseaux soient mieux protégés des pesticides et des engrais.


[ltr]
Voir l'image sur Twitter
Abeilles zombies: DzXliO9X0AAtmVR?format=jpg&name=small[/ltr]




Les agriculteurs vent debout


Le nombre de signataires, selon les chiffres communiqués par la direction des élections du Land, a largement dépassé le million requis pour obtenir un référendum dans les six mois, selon le système de démocratie directe en vigueur en Bavière.
Les organisations d’agriculteurs ont pourtant fait campagne contre cette pétition et mis en garde contre les coûts financiers potentiels pour l’agriculture.
La pétition met également en porte-à-faux le gouvernement bavarois dirigé par le parti de droite conservatrice CSU, parti frère de la CDU de la chancelière Angela Merkel, qui compte les exploitants agricoles parmi son électorat traditionnel.

Un « effondrement catastrophique » des milieux naturels selon une étude


Avec ce futur référendum, la Bavière pourrait « devenir pionnière en Europe en matière de protection de l’environnement », se réjouit jeudi le quotidien Süddeutsche Zeitung.
Près de la moitié des espèces d’insectes, essentiels aux écosystèmes comme aux économies, sont en déclin rapide dans le monde entier, a alerté lundi une étude qui met en garde contre un « effondrement catastrophique » des milieux naturels.
A l’origine de la perte des insectes, les chercheurs désignent le bouleversement de leur habitat et le recours aux pesticides de synthèse.

29Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Jeu 21 Fév - 19:48

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

deviennent un refuge pour les pollinisateurs, les jardins privés et public offrant une variété de plantes précieuses.
Les abeilles vivent-elles mieux en ville qu'en milieu rural? La question peut sembler farfelue, mais selon une étude publiée ce lundi dans la revue Nature Ecology and Evolution , les villes sont de véritables refuges pour les pollinisateurs. Les travaux menés par des scientifiques britanniques ont évalué l'impact de l'utilisation des sols en milieu urbain et montrent que la diversité des jardins et des plantes disponibles favorise les abeilles et autres insectes pollinisateurs.
» LIRE AUSSI - Biodiversité: les animaux privés de lieu de vie
«En milieu rural, les abeilles sont fragilisées par l'appauvrissement de la flore liée à l'agriculture et à l'usage des pesticides», commente Isabelle Dajoz, professeur d'écologie à l'université Paris-Diderot. «C'est donc en fait assez logique, bien que triste, que les villes deviennent un lieu de refuge.» 
L'étude britannique a été menée dans quatre villes du Royaume-Uni, Bristol, Reading, Leeds (Angleterre) et Edinburgh (Écosse), des villes assez éloignées les unes des autres, et qui pourtant présentent toutes des résultats assez similaires. Les chercheurs britanniques ont comptabilisé le nombre de pollinisateurs dans différents types d'espaces verts urbains, jardins publics, cimetières, lotissements… En tout ce sont 360 sites qui ont été passés à la cible. 
Toutes ces lieux n'offrent pas les mêmes garanties aux insectes. «Les jardins individuels ou partagés sont les meilleurs habitats urbains pour les insectes pollinisateurs, car ils offrent une grande diversité de fleurs», constate Isabelle Dajoz. «Au-delà du constat qui était déjà connu, l'intérêt de ces travaux est de proposer des solutions pratiques pour aider les pollinisateurs à proliférer en ville.» 

Des solutions pour aider les pollinisateurs

L'équipe britannique a en effet travaillé sur un modèle d'aménagement urbain pour favoriser les pollinisateurs, en transformant les espaces verts sans pour autant transformer les villes. Les jardins privés ne représentent que 1% des superficies urbaines. Pourtant, ce sont eux qui favorisent le plus la biodiversité. Le nombre d'abeilles y était 4 à 52 fois plus élevés. Augmenter leur superficie permettrait non seulement d'offrir à plus de monde le droit de cultiver son petit jardin mais favoriserait aussi les insectes. 
Les espaces verts des bas-côtés des routes représentent au contraire un tiers des espaces verts des villes étudiées, mais sont moins visités par les pollinisateurs. C'est le même constat pour les jardins publics qui représentent près d'un quart de la superficie de ces espaces verts urbains. Les parcs publics régulièrement taillés ne sont pas les meilleurs abris. En fait, plus un terrain est laissé a lui-même, plus il abrite d'insectes. Les pissenlits, les ronces, et renoncules sont en effet plus appréciés des pollinisateurs que ne peuvent l'être les hortensias, les pâquerettes et les myosotis.

30Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Mar 19 Mar - 17:28

Josué

Josué
Administrateur

Un tiers des colonies d'abeilles ont disparu l'hiver dernier en France



Les études se multiplient pour le prouver : aux quatre coins du monde, les insectes connaissent une extinction de masse. Selon un récent rapport de l'Union nationale de l'apiculture française, l'Hexagone ne fait pas exception. Pendant l'hiver 2018, un tiers des colonies auraient disparu.

Ce n'est plus une surprise pour quiconque : les insectes disparaissent à un rythme dramatique. La principale cause : l'utilisation massive des pesticides, qui a provoqué une diminution drastique des populations d'insectes.
C'est vrai aux quatre coins du monde, et donc aussi en France. En témoigne un récent rapport de l'Union nationale de l'apiculture française. Se basant sur les témoignages de plus de 14.000 apiculteurs, l'Unaf révèle que pas moins d'un tiers des colonies d'abeilles ont disparu pendant l'hiver 2017-2018.
Un taux de mortalité alarmant 
Pour les exploitations ayant au moins 10 colonies, le taux de mortalité dépasserait même les 35%. Habituellement, de tels taux de mortalité se comptent sur toute l'année... pas sur la seule période hivernale.


À LIRE AUSSI
Ces images effrayantes témoignent de l'impact de la pollution des océans sur les animaux
Pour l'Unaf, l'urgence est claire : "sortir notre agriculture de sa dépendance auxpesticides". En réaction, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a publié un avis très attendu. Elle y dénonce "uneréglementation obsolète" pour protéger les abeilles des pesticides.
Pour y remédier, elle recommande notamment la pulvérisation des pesticides bénéficiant d'une dérogation après la tombée de la nuit. Mais aussi d'élargir l'interdiction des traitements en floraison à l'ensemble des pesticides, y compris les fongicides et herbicides. "Nous attendons des signaux forts" de la part du gouvernement, annonce le porte-parole de l'Unaf Henri Clément.

Le 16 mars 2019 à 15:15 • Jeanne Travers

31Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Jeu 4 Avr - 17:41

Josué

Josué
Administrateur

Moins de pesticides, le respect croissant de normes écologiques, des aides pour que les agriculteurs changent leurs habitudes : la Bavière se met au vert.



La Bavière va voler au secours des abeilles. À l’appel du petit parti écologiste et conservateur ÖDP (Parti écologiste-démocrate) qui se lance désormais des fleurs sur les réseaux sociaux, les Bavarois se sont mobilisés pour préserver la biodiversité.
Quelque 1,75 million d’entre eux ont signé la « pétition populaire », intitulée « Sauver les abeilles ». Face à ce succès, le ministre-président de ce Land du sud de l’Allemagne Markus Söder a annoncé mercredi que le « texte serait adopté en l’état ».

Moins de pesticides

En un rien de temps en février, la pétition avait obtenu plus d’un million de signatures (soit 10 % des électeurs), soit le nombre nécessaire pour qu’un référendum soit organisé, selon les règles de la démocratie directes bavaroise. Mais avec cette participation inédite, la tenue d’un référendum est superflue, estimé le dirigeant. Le parlement régional devrait a priori l’entériner.
Le texte de la pétition demande que 20 % des terres arables respectent les normes biologiques en 2025, avant d’atteindre 30 % en 2030. Quelque 10 % des espaces verts en Bavière devraient également être transformés en prairies fleuries, et rivières et ruisseaux devraient être mieux protégés des pesticides et engrais. Des cours de sensibilisation aux questions liées à l’environnement seront également dispensés dans les établissements scolaires.

Des aides aux agriculteurs

En accord avec les initiateurs du mouvement, certains points du texte seront toutefois améliorés, a indiqué Markus Söder. Des indemnités de compensation seront par exemple prévues à destination des agriculteurs afin de les « motiver financièrement ». Les organisations paysannes avaient fait campagne contre cette pétition et mis en garde contre les coûts financiers potentiels pour l’agriculture.
Près de la moitié des espèces d’insectes, essentiels aux écosystèmes, sont en déclin rapide dans le monde entier, a alerté le mois dernier une étude qui met en garde contre un « effondrement catastrophique » des milieux naturels.
À l’origine de la perte des insectes, les chercheurs désignent le bouleversement de leur habitat et le recours aux pesticides de synthèse, au cœur de l’intensification de l’agriculture dans le monde ces soixante dernières années.


LIRE AUSSI >Pourquoi les abeilles tombent comme des mouches ?

32Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Jeu 7 Mai - 9:15

Josué

Josué
Administrateur

[size=46]Les abeilles, grandes gagnantes du confinement[/size]
Le miel devrait être produit en abondance cette année, car le confinement profite aux abeilles. Moins de pollution, plus de fleurs... La production est exceptionnelle, que ce soit en qualité ou en quantité.
FRANCE 3

Mis à jour le 06/05/2020 | 23:33
publié le 06/05/2020 | 23:33



LA NEWSLETTER ACTUNous la préparons pour vous chaque matin
France Télévisions utilise votre adresse email afin de vous adresser des newsletters. Pour exercer vos droits, [size=12]contactez-nous. Pour en savoir plus, cliquez ici.
[/size]

Le printemps 2020 est d'ores et déjà une très bonne saison pour les apiculteurs. En Saône-et-Loire, les abeilles sont en pleine production. Cette année, la récolte s'annonce exceptionnelle. "Pour les abeilles, nous sommes dans une très bonne conjoncture à deux titres. D'abord au niveau de la météo, puisqu'on a eu un ensoleillement estival au printemps. Ensuite, parce que la floraison printanière était très abondante", explique Yves Robert, apiculteur.

Les fleurs sont plus nombreuses


Résultat : les volumes de miel produits sont en hausse. Une bouffée d'oxygène pour les plus de 2 000 producteurs français après une saison 2019 catastrophique à cause d'un printemps froid et humide. Les apiculteurs le constatent : le confinement à un impact positif sur les abeilles et donc sur le miel. Les fleurs sont notamment beaucoup plus abondantes, car les municipalités ne fauchent plus les bords de route ou les ronds-points. Seule difficulté pour la filière : les ventes qui tournent au ralenti dans un marché touché de plein fouet par la crise sanitaire.

33Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Jeu 7 Mai - 11:16

Patrice1633

Patrice1633
MODERATEUR
MODERATEUR

J'ai vue un gros boudon au USA, qui ravage les ruche maintenant
il est 3-4 fois plus gros que une abeille
il est immense, il est proche la grosseur du pouce
et il peut ravager une ruche en quelques heure
meme que si un homme se fait piquer par ce faux bourdon nous pouvons en mourrir ...
il se passe bien des chose dans le monde actuellement

https://www.jw.org/fr/

34Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Mar 14 Déc - 12:48

Josué

Josué
Administrateur

Selon la dernière étude de l'Anses, près de 25% des apicuteurs ont signalé des ruches mortes ou sur le point de décliner à l'hiver 2021. Un chiffre en hausse par rapport aux deux années précédentes mais en baisse par rapport à celui de 2018.

Abeilles zombies: AARNpJm
:copyright: Fournis par franceinfoLa mortalité des abeilles demeure importante en 2021, selon l'Anses

La mortalité des abeilles est toujours au centre des inquiétudes. L’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a publié une enquête sur l’ampleur de la mortalité pour l’hiver 2021. Selon les professionnels, cette mortalité est liée principalement aux pesticides. Un sujet qui reste sensible dans le monde agricole. Plusieurs centaines d’agriculteurs notamment de la FNSEA ont protesté, mardi 14 décembre, devant le Conseil d'État contre l'élargissement des zones d'interdiction d'épandage de pesticides.
L’enquête de l’Anses n’est pas un sondage grandeur nature mais elle a touché presque 16 000 apiculteurs. Ils ont signalé pour 25% d’entre eux qu’ils avaient une ruche morte ou sur le point de décliner. "Ce n'est pas un signal fort dans la mesure où en 2018 on était à près de 30%. En revanche, en 2019 et 2020 on était descendu entre 20% et 21%", explique Gilles Salvat, directeur général délégué à l’Anses qui anime l’observatoire des mortalités.

[size=30]Un cocktail de menaces[/size]

Les dégâts sont dans les grandes régions d’apiculture notamment l’Occitanie et l'Auvergne-Rhône-Alpes. Ils touchent les amateurs qui ont moins d’une dizaine de colonies, et les professionnels. Avec un cocktail de menaces estime de l’Union nationale de l’apiculture Française (Unaf). "De manière prépondérante, il y a toujours les pesticides, indique Henri Clément, porte-parole de l'Unaf. Ensuite, vous avez l'évolution de nos environnements notamment avec la monoculture. Il y a aussi de nouveaux prédateurs comme le frelon asiatique."
"En plus de toutes ces causes qui sont déjà importantes, il y a le bouleversement climatique qui aggrave la situation."
Henri Clément, porte-parole de l'Unaf
à franceinfo
Cette nouvelle alerte sur la santé des abeilles arrive quelques semaines après la publication du plan pollinisateur du gouvernement qui a fortement déçu les professionnels.

35Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Jeu 19 Mai - 14:17

papy

papy

Ce que vous ne saviez pas au sujet des abeilles

Les abeilles sont l'un des organismes les plus importants sur Terre, et font bien plus que simplement bourdonner autour des parterres de fleurs. En effet, les abeilles sont les pollinisateurs les plus nombreux et les plus productifs au monde, et sont responsables de la pollinisation de deux tiers de l'approvisionnement alimentaire mondial. Le changement climatique et l'utilisation inconsidérée de pesticides dans l'industrie agricole ont vu la population mondiale d'abeilles chuter à un rythme alarmant ces dernières années, et leur disparition aurait des effets catastrophiques sur la chaîne d'approvisionnement mondiale.
Cliquez sur cette galerie et découvrez quelques faits qui montrent clairement pourquoi les abeilles sont si spéciales.

36Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Mar 12 Juil - 14:10

Josué

Josué
Administrateur

On le sait depuis longtemps: le réchauffement climatique a un impact majeur sur la pollinisation. Il y a maintenant quelques années, nous apprenions que l'augmentation des températures moyennes annuelles à travers le globe rendait les saisons polliniques plus longues et plus intenses. Mais ce n'est pas la seule conséquence de ces vagues de chaleur.
Selon la BBC, ces dernières pourraient engendrer un dérèglement de la pollinisation, phénomène indispensable à la reproduction de la plupart des plantes.

Pour illustrer l'impact des changements climatiques sur le pollen, le média britannique prend l'exemple d'Aaron Flansburg, un agriculteur de l'État de Washington, aux États-Unis. Ses plants de canola –une variété de colza– fleurissent généralement lors des premières semaines d'été, lorsque les températures sont encore douces. Mais l'année dernière, au moment de la floraison, ses champs ont été frappés par une vague de chaleur avoisinant les 42°C.

«C'est pratiquement du jamais-vu dans notre région d'avoir de telles températures en juin», assure-t-il à la BBC. Le résultat de ces chaleurs précoces? «La reproduction s'est arrêtée, et de nombreuses graines qui auraient pu être pressées pour l'huile de canola ne se sont jamais formées», explique le média britannique.

Le cas d'Aaron Flansburg est loin d'être isolé. Avec des vagues de chaleur de plus en plus intenses, ce dérèglement de la pollinisation pourrait toucher de nombreuses autres cultures, «notamment le maïs, les arachides et le riz». Les agriculteurs tentent alors tant bien que mal de faire fleurir leurs plantes avant la hausse des températures, mais cela représente parfois un véritable défi.

37Abeilles zombies: Empty Re: Abeilles zombies: Ven 6 Jan - 13:35

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Chlordécone : la justice prononce un non-lieu dans l’enquête sur ce pesticide aux Antilles[/size]
Les faits 
Deux juges ont prononcé un non-lieu dans l’enquête sur le chlordécone aux Antilles, a annoncé jeudi 5 janvier une source proche du dossier. Ce pesticide, soupçonné d’avoir provoqué une vague de cancers, a contaminé plus de 90% de la population.


  • La Croix (avec AFP), 
  • le 05/01/2023 à 19:47




Lecture en 2 min.

Abeilles zombies: Plantation-bananes-Martinique-2007_0



Une plantation de bananes en Martinique, en 2007.MAXPPP

Deux juges d’instruction parisiennes ont prononcé lundi un non-lieu dans l’enquête au long cours sur l'empoisonnement des Antilles au chlordécone, pesticide autorisé dans les bananeraies jusqu'en 1993, a annoncé jeudi 5 janvier une source proche du dossier.

La Croix.

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum